Encore un portrait complaisant de Terry Richardson, l’un des plus célèbres photographes de mode, régulièrement accusé d’abus sexuels
Why Does the Media Continue to Act Like Terry Richardson Isn’t Totally Fucked Up ?
►http://jezebel.com/5890638/why-does-the-media-continue-to-act-like-terry-richardson-isnt-totally-fucke
This past weekend, the New York Times published a softball profile of the photographer (title: “The Naughty Knave of Fashion’s Court”), written by Laura Holson, most notable in its cavalier treatment of a serious subject matter: allegations of sexual misconduct. How serious? My specific complaint is that he got naked and persuaded me to give him a handjob (or “perform a sex act,” in Times euphemism-speak) while several adult employees of his egged me on, took photos, handed me a cum rag and then saw me out. I also told Holson that he groped my breast without asking.
En 2010, son ami Olivier Zahm avait pris sa défense sur son blog de la Règle du jeu, le site de la revue de BHL :
Un procès en sorcellerie contre Terry Richardson
►http://laregledujeu.org/zahm/2010/03/25/8/un-proces-en-sorcellerie-contre-terry-richardson
Il est assez inquiétant de réaliser que cette journaliste —sans doute sincère dans ses convictions féministes— se trompe ouvertement de cible. Pensant défendre les droits de son sexe, en impliquant dans sa condamnation la fureur capitalistique du monde de la mode et ses mécanismes de pouvoir, elle ne fait que participer à un nouvel ordre moral qui place les artistes sous haute surveillance, et voudrait en faire des criminels sexuels en puissance.