person:lloyd austin

  • La guerre secrète multinationale de la CIA en Syrie et le chaos islamiste
    http://www.dedefensa.org/article/la-guerre-secrete-multinationale-de-la-cia-en-syrie-et-le-chaos-islamiste

    La guerre secrète multinationale de la CIA en Syrie et le chaos islamiste

    Le mythe de l’« inaction » militaire occidentale contre le régime syrien

    Ces derniers mois, le secrétaire à la Défense Ashton Carter et le général Lloyd Austin – qui dirige les opérations du Pentagone au Moyen-Orient et en Asie centrale –, ont tous deux reconnu l’échec du programme de formation de rebelles « modérés » pour lutter contre Daech en Syrie. Monsieur Carter a d’abord affirmé devant le Congrès des États-Unis que seulement 60 combattants avaient été formés dans le cadre de cette opération, lancée en 2014 et budgétée à hauteur de 500 millions de dollars ; (1) puis le général Austin a estimé que seuls « 4 ou 5 » hommes entraînés par les militaires états-uniens étaient alors actifs sur le terrain. (2) À la suite d’un ultime revers, ce (...)

  • La guerre secrète de la CIA en Syrie et le chaos islamiste
    http://www.dedefensa.org/article/la-guerre-secrete-de-la-cia-en-syrie-et-le-chaos-islamiste

    La guerre secrète de la CIA en Syrie et le chaos islamiste

    Le mythe de l’« inaction » militaire occidentale contre le régime syrien

    Ces derniers mois, le secrétaire à la Défense Ashton Carter et le général Lloyd Austin – qui dirige les opérations du Pentagone au Moyen-Orient et en Asie centrale –, ont tous deux reconnu l’échec du programme de formation de rebelles « modérés » pour lutter contre Daech en Syrie. Monsieur Carter a d’abord affirmé devant le Congrès des États-Unis que seulement 60 combattants avaient été formés dans le cadre de cette opération, lancée en 2014 et budgétée à hauteur de 500 millions de dollars ; (1) puis le général Austin a estimé que seuls « 4 ou 5 » hommes entraînés par les militaires états-uniens étaient alors actifs sur le terrain. (2) À la suite d’un ultime revers, ce programme (...)