person:luc bronner

    • « Il se passe quelque chose de très #malsain dans ce pays » : critiques après de nouvelles convocations de journalistes par la #DGSI
      https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/23/vague-de-protestations-apres-de-nouvelles-convocations-de-journalistes-par-l

      La rédaction du #Monde continue de dénoncer « une forme de banalisation de ce type de convocations, qui devraient être absolument exceptionnelles et liées à des affaires particulièrement graves de mise en danger de la sécurité nationale ». De source judiciaire, #Ariane_Chemin est convoquée dans le cadre d’une enquête ouverte pour « révélation de l’identité d’un membre des unités des #forces_spéciales ».

      Selon des sources concordantes, cette #enquête fait suite à une plainte déposée à la mi-avril par #Chokri_Wakrim. Ce dernier était lié par un contrat de protection rapprochée avec un homme d’affaires russe, qui a conduit à l’ouverture d’une enquête pour « corruption ». « L’intérêt public suppose de pouvoir enquêter sur les entourages et les liens entretenus par des collaborateurs de l’Elysée ou de Matignon, quels que soient leurs parcours antérieurs », défend Luc Bronner.

      La rédaction de #Disclose dénonce également « une nouvelle tentative du #parquet_de_Paris de contourner la #loi_de_1881 sur la liberté de la presse et la protection des sources ». « En tant que témoin notre #journaliste ne pourra pas être assisté d’un avocat. Il ne pourra pas non plus faire valoir le “droit au silence”. Mais en tant que journaliste, il pourra invoquer le secret des #sources », précise le site.

  • Le destin inespéré des „miraculés“ de Mai 68, Luc Bronner (eh oui...), Le Monde, 29.03.2005
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2005/03/29/le-destin-inespere-des-miracules-de-mai-68_632691_3224.html

    Le « relâchement » des examens, en 1968, a permis, selon une étude, l’ascension sociale des bacheliers de cette année-là, diplômés de l’université par la suite, plus souvent cadres, mieux rémunérés. Cette faveur de départ a aussi eu des conséquences positives pour leurs enfants

    On savait que Mai 68 avait durablement marqué la vie politique et intellectuelle nationale. On savait qu’il avait fait évoluer en profondeur la société française. Mais on ne savait pas qu’il avait permis à une génération de jeunes, candidats au baccalauréat cette année-là, d’accéder assez miraculeusement à l’Université et de profiter d’une ascension sociale exceptionnelle. On imaginait encore moins que cet épisode de l’histoire conduirait leurs enfants à mieux réussir à l’école.

    Une note rédigée par les économistes Eric Maurin et Sandra McNally sur « les bénéfices de long terme de 1968 » démontre que la simplification et la désorganisation des examens après la crise ont permis à un nombre important de jeunes d’intégrer l’Université, alors qu’ils n’y seraient jamais parvenus dans des conditions normales. Ces miraculés de Mai ont eu une carrière professionnelle et des revenus largement supérieurs à ce qu’ils pouvaient attendre. Et, près de quarante ans plus tard, il apparaît que leurs enfants ont moins redoublé à l’école.

    #étudiants #sélection #luttes

  • Monsieur le président, il n’appartient pas à l’Élysée de choisir les journalistes !

    Quand des journalistes de médias nationaux et des directeurs de rédaction s’inquiètent de l’organisation de la communication présidentielle, à l’occasion du déplacement d’Emmanuel Macron au Mali.

    Monsieur le président,

    Vous effectuez demain votre premier déplacement de chef d’Etat au Mali. Avant votre décollage, nous souhaitons vous transmettre nos inquiétudes quant à l’organisation de la communication présidentielle qui est en train de se mettre en place depuis votre entrée en fonction.

    Pour des raisons de place ou de sécurité, nous comprenons la nécessité de constituer des pools de journalistes – parfois, et à condition que toutes les rédactions y aient accès selon un roulement établi. En revanche, il n’appartient en AUCUN CAS à l’Elysée de choisir ceux d’entre nous qui ont le droit ou non de couvrir un déplacement, quel qu’en soit le thème (défense, diplomatie, économie, éducation, social...). Ce n’est pas au président de la République, ou à ses services, de décider du fonctionnement interne des rédactions, du choix de leurs traitements et de leurs regards. Ce choix relève des directions des rédactions et des journalistes qui les composent, qu’ils soient permanents ou pigistes, JRI ou reporters, photographes ou dessinateurs.

    Aucun de vos prédécesseurs ne s’est prêté à ce genre de système, au nom du respect de la liberté de la presse. Alors que la défiance pèse de plus en plus sur l’information, choisir celui ou celle qui rendra compte de vos déplacements ajoute à la confusion entre communication et journalisme, et nuit à la démocratie.

    Matthieu Croissandeau , directeur de la rédaction de l’Obs
    Guillaume Dubois , directeur de L’Express
    Laurent Joffrin , directeur de la publication de Libération
    Edwy Plenel , directeur de Mediapart
    Jean-Philippe Baille , directeur de la rédaction de RTL
    Alexis Brézet , directeur de la rédaction du Figaro
    Frédéric Barreyre , directeur de la rédaction de France Culture
    Luc Bronner , directeur de la rédaction du Monde ...

    Et bien d’autres qui l’ont tant porté aux nues !

    http://www.regards.fr/web/article/monsieur-le-president-il-n-appartient-pas-a-l-elysee-de-choisir-les#comments

    #monarchie_présidentielle #qu'est_ce_qu'on_rigole

  • Fillon à propos de l’annulation de l’interview au « Monde » : « C’est pas les médias qui décident des questions »

    Invité de RTL, jeudi 20 avril, François Fillon est revenu sur l’annulation d’une interview dans Le Monde, et son refus de se voir poser des questions sur les affaires qui lui valent d’être mis en examen, notamment pour détournement de fonds publics.

    http://www.lemonde.fr/affaire-penelope-fillon/article/2017/03/14/soupcons-d-emplois-fictifs-francois-fillon-mis-en-examen-notamment-pour-deto

    « C’est moi qui choisis comment j’organise ma campagne, c’est pas Le Monde », a-t-il affirmé, précisant ne pas avoir souhaité répondre « aux questions sur les affaires à huit jours de la fin de la campagne ».

    Luc Bronner, directeur de la rédaction du Monde, a annoncé mercredi avoir annulé un entretien avec le candidat de droite et du centre. Ce dernier avait posé « comme condition de ne pas avoir à répondre à des questions portant sur les affaires pour lesquelles il a été mis en examen ». La rédaction du Monde, qui a interviewé tous les autres principaux candidats, considère que « les hommes et femmes politiques n’ont pas à décider des questions qui leur sont posées » et « regrette vivement cette attitude ».
    Mais pour #Fraude_François, « il y a une chose qui est très importante pour moi, c’est que c’est pas les médias qui décident du tempo, qui décident des questions, qui décident de la campagne ». « Chacun pose les questions qu’il veut, mais moi, je réponds à qui j’ai envie de répondre », a-t-il poursuivi sur RTL, jeudi matin.

    Le candidat Les Républicains avait également refusé de se rendre mardi sur BFM-TV pour répondre aux questions de Jean-Jacques Bourdin. Il avait alors été remplacé par François Baroin.

    Le Monde 20/04/2017
    #Fillon

  • Banlieues : l’appel au secours de collégiens d’Aubervilliers | Rue89
    http://www.rue89.com/2010/03/07/banlieues-lappel-au-secours-de-collegiens-daubervilliers-141643

    Luc Bronner, 36 ans, est le seul reporter de la presse nationale à consacrer tout son temps de travail aux « quartiers » des banlieues françaises, de l’Ile-de-France à la Drôme ou à la Haute-Marne. Il a reçu en 2007 le prix Albert Londres pour ses articles sur ce sujet, notamment les émeutes de Villiers-le-Bel.

    #sécurité #violence #enfance #éducation #enquête #ville #for:twitter