person:marguerite duras

  • L’Académie de l’eau, Henri Smets, Stéphane Hessel, Olivier Giscard d’Estaing et Marguerite Duras...
    http://www.eauxglacees.com/L-Academie-de-l-eau-Henri-Smets

    Suite prévisible de notre récente pique, notre ami Henri Smets, avec la très matoise diplomatie qui est sa marque de fabrique, persiste et signe as apologist du « Droit à l’eau », ce qui nous permet d’apprendre que l’Académie avait, in extremis, ramené dans ses filets feu la Conscience des Indignés. Quand nous vous disions que ces académiciens sont dangereux, puisque adeptes éprouvés de la triangulation… Ceci au moment où Veolia licencie un employé dans le Vaucluse, qui avait refusé de couper l’eau à des (...)

  • L’atelier intérieur > lundi 23h minuit > france culture
    https://www.facebook.com/atelierinterieur

    L’atelier intérieur s’ouvre à la plongée, et à l’apnée. Regarder la mer c’est regarder le tout disait Marguerite Duras. Alors être dans la mer ce serait, un instant, être le tout. Ce soir c’est une ode aux nageurs. A ceux qui frottent leur corps à la ligne d’horizon. Qui font bouger les lignes. C’est de la sensation plutôt que de la contemplation. Un corps à corps. Regarder la mer oui. Mais y entr
    er. Bouger la perspective en se posant devant. Le nageur a devant lui la ligne de l’eau, la ligne de l’air ; les yeux se glissent dans le mouvement. Ce qui ne fait pas de vagues ne nous intéressera pas. On cherchera à atteindre non pas l’infini mais la profondeur. Pour toucher la terre en son fond. Retenir son souffle, et faire du ressac sa respiration. Pression de la mer, pression des poumons. Garder un lien avec la surface. Se maintenir sur la zone de flottaison. L’image de départ ce soir serait celle-là : les yeux dans les yeux avec la mer pour la première fois. Le corps dans l’eau : la caméra film. Moitié liquide moitié solide, moitié mer moitié terre, on aperçoit le rivage. Le regard bouge avec la vague. C’est Marcel Dinahet qui plonge pour l’image. Il adopte la rhétorique des marées. Se laisse aller dans une eau à forte salinité. L’eau n’éteint pas le feu, c’est un mensonge. Elle excite. Elle rend amoureux. Chaque mer a son histoire, c’est un lieu de mémoire. C’était commencer ce soir par la mer vue de loin avec les mots de Martine Abat, un temps femme de marin. Ce soir se jeter à la mer, et voir ce qui refait surface. Une descente puis une remontée. La question des limites : c’est déjà désuet. Entre le monde et nous, une continuité. La mer ne portera jamais la trace de notre passage, la vie des hommes ne s’y inscrira pas, tout s’effacera : mais elle nous offre pourtant le pouvoir fou, un instant, de rehausser l’horizon. Voilà la technique : prendre la ligne, fixer le niveau 0, viser la mer, et donner son corps. Plonger — pour sentir et faire remonter la surface de la terre entière

  • Vacarme n° 56 disponible en ligne
    http://www.vacarme.org/article2179.html

    Un an après sa parution papier, le numéro spécial de Vacarme (été 2011) est intégralement disponible en ligne. Et c’est un événement. Conçu comme une anthologie de textes introuvables, il est composé de textes rares et précieux de figures incontournables de la pensée et de l’art : l’historien E. P. Thompson, Anne Cheng, Marguerite Duras, Serge Daney, André Markowicz, Dionys Mascolo, Charles Reznikoff et tant d’autres. l’actualité de Vacarme / affichage Une

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  • 17 octobre 1990, Marguerite Duras au sujet de Delphine Seyrig
    http://next.liberation.fr/cinema/01012365802-delphine-seyrig-inconnue-celebre

    Delphine Seyrig est née au Liban en 1932. « Dans la plus belle lumière du monde », dit-elle. […] De l’enfance protestante, de la culture, du ciel rose du mont Liban et de Balbek sont venus l’intelligence de l’art et de la vie, la grâce austère du maintien, la loyauté absolue, le dégoût presque traumatique du mensonge, etc.

  • Le Coupeur d’eau, par Marguerite Duras - Les eaux glacées du calcul égoïste
    http://www.eauxglacees.com/Le-Coupeur-d-eau

    « C’était un jour d’été, il y a quelques années, dans un village de l’Est de la France, trois ans peut-être, ou quatre ans, l’après-midi. Un employé des Eaux est venu couper l’eau chez des gens qui étaient un peu à part, un peu différents des autres, disons, arriérés. Ils habitaient une gare désaffectée – le T.G.V. passait dans la région - que la commune leur avait laissé. L’homme faisait des petits travaux chez les gens du village. Et ils devaient avoir des secours de la mairie. Ils avaient deux enfants, de quatre ans et d’un an et demi.

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