person:marie-noëlle lienemann

  • Le bilan humain de facebook s’alourdit
    Ouragan Michael : des données de 29 millions de comptes récupérées par les pirates

    Le bilan humain de Bansky s’alourdit
    L’ouragan Michael peut-il échapper aux règles du marché ?

    Le bilan humain du parti socialiste s’alourdit
    Après quarante-sept ans à l’ouragan Michael, Marie-Noëlle Lienemann annonce son départ.

    #de_la_dyslexie_créative

  • (20+) Smic : le non-coup de pouce qui ne passe pas - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2016/12/19/smic-le-non-coup-de-pouce-qui-ne-passe-pas_1536298

    Un agacement partagé par plusieurs politiques. A commencer par Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris, pour qui la décision de l’exécutif est à la fois une « erreur sociale », car « de plus en plus de salariés s’appauvrissent et n’arrivent plus à vivre décemment de leur travail et à faire vivre leur famille », et une « erreur économique », face à une croissance « insuffisante pour réduire le chômage ».

    #travail #smic #pauvreté #travailleurs_pauvres

  • Primaire socialiste : Lienemann pour la relance et une 6e semaine de congés
    http://www.liberation.fr/france/2016/08/07/primaire-socialiste-lienemann-pour-la-relance-et-une-6e-semaine-de-conges

    La sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann, candidate à la primaire du PS, défend un plan de relance économique de 35 milliards d’euros et une …

  • Du Front de Gauche à l’Ump, l’appel des élus contre la privatisation des autoroutes
    http://www.marianne.net/Du-Front-de-Gauche-a-l-Ump-l-appel-des-elus-contre-la-privatisation-des-au

    Alors que le gouvernement s’apprête à prolonger de trois ans la rente des autoroutes, Marianne publie un texte signé par la droite comme par la gauche appelant le gouvernement à y renoncer. François Hollande ne le signera pas, lui qui alors candidat, avait pourtant qualifié cette privatisation « d’opération à courte vue » (voir le document). Cet appel est ouvert à vos signatures…

    http://www.marianne.net/photo/art/default/975792-1156438.jpg?v=1382961566
    Premiers signataires :

    Jean-Luc Mélenchon et Martine Billard (députés européens, coprésidents du Front de gauche), Nicolas Dupont-Aignan (député-maire de Yerres, président de Debout la République), François de Rugy (député de Loire-Atlantique, vice-président d’Europe Ecologie-Les Verts) Emmanuel Maurel (vice-président du conseil régional d’Ile-de-France, PS), Marie-Noëlle Lienemann (sénatrice de Paris, PS), Jacques Myard (député-maire de Maisons-Laffitte, UMP).

    Après la vente à vil prix par l’Etat du réseau autoroutier français, qui a débuté en 2002 et s’est achevée en 2006, après la prorogation d’un an des concessions en 2011 sous un prétexte environnemental, le gouvernement Ayrault entend finaliser son plan de relance autoroutier en prolongeant une nouvelle fois, de trois ans, la durée d’exploitation de nos autoroutes par leurs actuels concessionnaires. Il reporte ainsi à 2033 en moyenne la fin des concessions dont disposent les groupes Vinci, Eiffage et Albertis.

    En contrepartie, ceux-là devraient prendre à leur charge une vingtaine de projets d’aménagement de sections autoroutières autour de grandes villes, de liaisons entre des autoroutes existantes, ou encore la mise aux normes de sections existantes. L’ensemble devrait représenter un montant de 3,7 milliards d’euros.

    Nous, élus soucieux des deniers publics mais aussi de la préservation du patrimoine national, ne pouvons accepter une nouvelle démission de la puissance publique alors que les groupes concessionnaires n’ont pas respecté leurs obligations. Un rapport, pour l’heure « officieux », commandé à deux hauts fonctionnaires, a alerté les pouvoirs publics sur cette situation ; pourtant, les bases de l’actuelle négociation restent inchangées, ne prenant pas en compte ces manquements des concessionnaires. De son côté, la Cour des comptes a dénoncé à de nombreuses reprises l’incapacité de l’Etat à imposer aux concessionnaires le respect de leurs obligations, constatant notamment des tarifs manipulés et une qualité des chaussées dégradée.

    Pourtant, les recettes générées par l’exploitation des concessions autoroutières donnent lieu chaque année à de très substantiels profits : plus de 2 milliards d’euros de bénéfices net pour un chiffre d’affaires de 8 milliards d’euros en 2012.

    C’est cet incroyable cadeau que s’apprête à renouveler l’Etat, au profit de ces grands groupes du secteur peu respectueux de leurs engagements. La quasi-totalité de leurs investissements passés sera intégralement remboursée dans les dix prochaines années. A l’horizon 2030, au rythme de l’évolution actuelle des tarifs et de la progression du trafic, chaque année d’exploitation devrait donc leur rapporter 10 milliards d’euros, et presque autant de bénéfices.

    Ce sont donc entre 5 et 7 milliards d’euros net d’impôt chaque année pour une période de trois années supplémentaires que l’Etat s’apprête à offrir, soit 18 milliards d’euros d’ici à vingt ans. Soit l’équivalent d’un enrichissement immédiat de 6 à 9 milliards d’euros pour les groupes propriétaires des concessions, et un appauvrissement du même ordre de l’Etat.

    Quel est donc cet Etat stratège qui organise son propre dépouillement : faire financer par d’autres 3,5 milliards d’euros d’investissements quand cela lui en coûte entre le double et le triple ? Nous, élus soucieux des deniers publics mais aussi de la préservation de l’indépendance nationale, sommes alarmés par l’ampleur de la dette dont souffre aujourd’hui la nation. Le poids de l’endettement de l’Etat lui interdit désormais d’affecter à l’investissement les économies budgétaires qu’il peut dégager.

    Beaucoup de pays dans le monde découvrent aujourd’hui que la privatisation partielle du service public de la route a souvent octroyé des rentes extravagantes aux grands groupes. Au prétexte que l’Etat doit se désendetter, il se prive de recettes précieuses !

    La France peut et doit récupérer le contrôle et le bénéfice de ses infrastructures de transport.

    Cela sera bénéfique aux finances publiques et au pouvoir d’achat des automobilistes ; la seule conséquence négative se lira dans les résultats boursiers des grands groupes actuels...."

    Du #Front-de-Gauche à l’ #Ump, l’ #appel des élus contre la #privatisation des #autoroutes

    • Faites le calcul. Avec 83,8 milliards de kilomètres facturés, une manne de plus de 2 milliards tombe chaque année dans leurs poches, près de 43 % de plus qu’en 2005. A ce rythme-là, les 15 milliards payés en 2006 lors de la privatisation seront remboursés dans trois ans ! Et la poule aux œufs d’or est dans leur poulailler pour encore vingt longues années (au moins). Jusqu’en 2033.

      Martingale ? Au moment où les autoroutiers font pression sur l’Etat pour proroger (une fois de plus) leur concession, le récent rapport de la Cour des comptes en décrypte les méthodes. Insensible à la baisse du trafic, le chiffre d’affaires des autoroutiers poursuit inlassablement sa progression. Bizarre. Donc, quand le trafic croît, c’est le Pérou. Côté coûts, les économies, elles, sont au rendez-vous. De la réduction des moyens affectés à l’entretien des chaussées jusqu’à l’automatisation à marche forcée des bornes de paiement qui permet de réduire les charges de personnel, tout est bon pour tirer un maximum des péages.

      Sans compter que le temps joue pour eux : l’amortissement de nombreux tronçons allège chaque année le coût de leur endettement. Résultat mécanique : le chiffre d’affaires progresse trois fois plus vite que l’inflation, quand le bénéfice net, lui, met le turbo, avec une vitesse quatre fois supérieure à celle des prix.
      http://www.marianne.net/photo/art/default/973306-1156468.jpg?v=1382962770
      http://www.marianne.net/Le-scandale-des-peages-privatises_a231095.html

  • Marie-Noëlle Lienemann : le #traité budgétaire n’est pas acceptable !
    http://www.marianne2.fr/Marie-Noelle-Lienemann-le-traite-budgetaire-n-est-pas-acceptable-_a220868.

    Vous êtes donc déterminée à aller jusqu’au bout …

    Absolument. Nous déposeront une motion car nous sommes convaincu que c’est en début de quinquennat que doivent être posées les grandes questions qui nous reviendront comme un boomerang dans cinq ans si on ne s’en préoccupe pas maintenant. On le sait parce qu’on a l’expérience du pouvoir. On sait que ce qui n’a pas été engagé avec force au début et bien c’est à la fin qu’on le paie et que les électeurs se détournent. On l’a vu en 1981, en 1988, en 1997. Et c’était la même chose en 2002. Et ce n’est pas vrai qu’il n’y a pas de risque de voir le FN capter encore une partie de notre électorat à l’avenir. C’est l’une de nos grandes batailles car si ce débat n’a pas lieu dans le parti, il aura lieu en dehors et dans les plus mauvaises conditions.

    Quels autres sujets souhaitez-vous que le parti aborde ?

    La question européenne en priorité. Nous considérons qu’on ne peut pas accepter le traité budgétaire en l’état, notamment parce qu’il inscrit dans le marbre et pour l’éternité la règle d’or et la mise en œuvre de sanctions automatiques pour les Etats qui ne la respecteraient pas. Nous pensons donc qu’on ne peut pas construire l’Europe dans cette perspective d’austérité durable et de contrôle policier sans qu’il y ait la moindre solidarité. Et nous croyons également que cette austérité va plomber tout initiative complémentaire de croissance ce qui n’est pas acceptable.
    Par notre contribution, nous souhaitons aussi que soit abordée la question de la puissance publique et du rôle de l’Etat que le texte de Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault n’évoque pas beaucoup… Nous plaidons, par exemple, pour une réflexion portant sur la renationalisation de Gaz de France.
    En fait, « Le Temps de la #gauche », c’est un support de discussion qui permet de réfléchir à ce que sera la dominante du cycle qui va succéder au cycle libéral en train de s’achever.