person:mark rutte

  • ParcourSup met 158 000 jeunes au supplice Olivier CHARTRAIN - 23 Août, 2018 - L’Humanité

    62 000 étudiants sans affectation, 96 000 qui ne savent toujours pas où ils seront à la rentrée. Voilà les vrais chiffres de ParcourSup. A deux semaines de la fin de la procédure.

    Quand on n’a pas envie de compter, on peut toujours compter… sur sa capacité à jouer sur les mots. C’est apparemment un exercice qu’affectionne Frédérique Vidal, la ministre de l’Enseignement supérieur. Elle s’y est livrée avec gourmandise hier matin sur France Inter. Interrogée sur le nombre d’étudiants encore en attente sur la plateforme Parcoursup, dont la phase principale se termine le 5 septembre, elle a martelé deux chiffres. Ils seraient « plus de 591 000 à savoir où ils seront à la rentrée », tandis qu’« un peu moins de 15 000 candidats » seraient toujours en attente d’une réponse, ces derniers étant bien entendu « accompagnés par les commissions » académiques d’ accès à l’enseignement supérieur (CAAES), créées à cet effet.

    Or, ces chiffres répétés comme des mantras par la ministre sont faux. Il suffit pour le vérifier de consulter le site officiel de Parcoursup. Hier, 490 705 candidats avaient définitivement accepté une proposition (soit 60,4 % des 812 000 inscrits). Frédérique Vidal leur a tout simplement additionné les 95 635 qui ont reçu une proposition, mais ne l’ont toujours pas acceptée et restent en attente pour d’ autres vœux, correspondant plus à leur projet. Or ceux-là, de fait, ne savent toujours pas « où ils seront à la rentrée ». Ce qui ne va pas sans poser de nombreux problèmes, en premier lieu pour leur logement.

    Des étudiants sans réponse ... et donc sans logement
    Céline Paul est dans ce cas. Avec son bac ES, elle est prise en BTS « design d’espaces » à Reims, proposition qu’elle n’a toujours pas acceptée car elle habite Quimper et préférerait étudier à Caen ou à Nantes, bien plus près de chez elle. « J’ai longtemps été troisième sur la liste d’attente à Caen, mais je viens de passer première, et deuxième à Nantes. » Elle attend donc encore, sans aucune garantie . « Je n’ai pris de logement nulle part », explique cette boursière : « Avec mes parents , nous nous sommes dit qu’on n’allait pas louer à Reims, alors que je risque d’aller ailleurs. Mais du coup, dans les trois villes , il ne reste pas grand-chose, seulement les appartements les plus chers ou alors les plus excentrés. »

    D’autres ont sauté le pas et payé des cautions… qu’ils risquent de ne jamais revoir, les Crous (centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires) par exemple ne remboursant plus ces sommes au-delà d’un délai d’un mois. Sans compter ceux qui, déjà locataire , ne savent pas si ni quand ils vont devoir déposer leur préavis. Céline, elle, avoue un « gros stress » : « C’est la première fois que je décohabite, J’aurais aimé pouvoir me préparer dans de meilleures conditions. » Elle n’est de toute façon pas concernée par le dispositif d’« aide à la mobilité » annoncé par la ministre. Doté de 7 millions d’euros, il doit permettre de distribuer une aide unique variant de 200 à 1 000 euros à des étudiants contraints de s’inscrire dans un établissement éloigné de leur domicile.

    Quant aux candidats qui n’ont toujours reçu aucune proposition, ils sont en vérité 62 501, et non 15 000. Pour obtenir son chiffre , cette fois la ministre a tout simplement rayé de la carte 47 058 candidats considérés comme « en attente » le 22 juillet , avant la pause estivale, et devenus d’un coup des « inactifs », parce qu’ils n’ont pas fait appel à la CAAES et/ou ne se sont pas inscrits en phase complémentaire – alors que de nombreux étudiants avouent ignorer l’existence même de ces commissions. Voilà donc comment 158 136 étudiants sont toujours dans l’incertitude. Un chiffre que la ministre, visiblement, n’a guère envie de prononcer.
    https://www.humanite.fr/education-parcoursup-met-158-000-jeunes-au-supplice-659613 &
    https://www.legrandsoir.info/parcoursup-met-158-000-jeunes-au-supplice.html

    #ParcourSup #Etudiant.e.s #logement #Crous #frédérique_vidal #parcours_sup #universités #université #sélection #discrimination #orientation

    • - Emmanuel Macron, le président français, n’a pas d’enfant.
      – La chancelière allemande Angela Merkel n’a pas d’enfant.
      – Le Premier ministre britannique Theresa May n’a pas d’enfant.
      – Le Premier ministre italien Paolo Gentiloni n’a pas d’enfant.
      – Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte n’a pas d’enfant.
      – Le Premier ministre suédois Stefan Löfven n’a pas d’enfant.
      – Le Premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel n’a pas d’enfant.
      – Le Premier ministre écossais Nicola Sturgeon n’a pas d’enfant.
      – Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker n’a pas d’enfant.
      . . . .

      https://seenthis.net/messages/718614

  • L’Europe aux mains de gens qui n’ont pas d’enfant. Théophraste R. - 31 août 2018 - LGS

    Trouvé sur Facebook et signé Danielle Lapierre :
    « Un terrible constat »


    - Emmanuel Macron, le président français, n’a pas d’enfant.
    – La chancelière allemande Angela Merkel n’a pas d’enfant.
    – Le Premier ministre britannique Theresa May n’a pas d’enfant.
    – Le Premier ministre italien Paolo Gentiloni n’a pas d’enfant.
    – Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte n’a pas d’enfant.
    – Le Premier ministre suédois Stefan Löfven n’a pas d’enfant.
    – Le Premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel n’a pas d’enfant.
    – Le Premier ministre écossais Nicola Sturgeon n’a pas d’enfant.
    – Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker n’a pas d’enfant.
    Donc, l’avenir de l’Europe est confié à des gens qui n’ont pas d’enfant ! Ils ont donc une vision à COURT TERME et se foutent COMPLÈTEMENT de l’avenir de NOS enfants ».

    Je relève une petite erreur : Juncker a une fille, surnommée « La Biture ». Aimante et dévouée, elle ne le quitte pas.

    Théophraste R. (Père de famille et donc « aventurier des temps moderne » selon Péguy).

    #avenir #enfants #Premier_ministre #europe #UE #union_européenne

  • Juncker est-il encore physiquement capable de diriger la Commission ? Jean Quatremer - 18 juillet 2018
    http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2018/07/18/juncker-est-il-encore-physiquement-capable-de-diriger-la-

    Il y a comme une atmosphère de fin de règne brejnévien à Bruxelles. Comme au temps de l’ancienne URSS, le sommet de l’appareil bureaucratique européen fait corps pour dissimuler l’évidence, la grave dégradation de l’état de santé du dirigeant suprême, en l’occurrence Jean-Claude Juncker, de peur que l’ouverture prématurée de la succession ne remette en cause leurs privilèges...

    Les images capturées par les télévisions jeudi soir 12 juillet à l’occasion du diner de gala du sommet de l’OTAN, à Bruxelles, ont mis la Commission européenne en difficulté. On y voit Jean-Claude Juncker, son président, incapable de monter les quelques marches menant au podium de la « photo de famille ». Tel un vieillard qu’il n’est pas (il a 63 ans), on le voit hésiter au bas des marches avant d’être solidement empoigné par ses partenaires, dont le très costaud Ukrainien Petro Porochenko, puis solidement maintenu debout durant la cérémonie. Après avoir été quasiment porté en bas du podium, on le voit tituber et marcher péniblement, quasiment porté par le Néerlandais Mark Rutte et le Portugais Antonio Costa. Interrogé sur sa prestation titubante à l’issue du sommet, Juncker a expliqué qu’il souffrait d’une « sciatique » à éclipses. C’est depuis l’explication officielle.


    Et gare à tous ceux qui osent la mettre en doute : c’est de « l’indécence », selon Viviane Reding, députée européenne, ancienne commissaire luxembourgeoise et marraine politique du tout puissant allemand Martin Selmayr, le très contesté secrétaire général-chef de cabinet-sherpa du président de la Commission. « La façon dont certains médias cherchent à exploiter la douleur physique du président Juncker pour en faire des titres insultants est plus qu’indélicate », surenchérit son porte-parole, Margaritis Schinas. Circulez, il n’y a rien à voir.

    Le problème est que l’explication « sciatique » ne tient pas vraiment la route. Juncker n’avait pas l’air de souffrir : durant toute sa pénible prestation, il a souri, s’est amusé, a ri, parlé et embrassé ses partenaires à son habitude. Or une crise aigüe de sciatique vous cloue au lit. Mais peut-être était-il sous l’emprise d’analgésiques puissants ? Selon plusieurs sources, Juncker était de fait en fauteuil roulant lorsque les photographes et les télévisions n’étaient pas là et il n’a même pas pris la parole durant le diner alors que les enjeux du sommet avec Trump étaient vitaux pour l’Europe… Le problème est que les mêmes témoins affirment que Juncker a copieusement bu durant le repas, ce qui est totalement contre-indiqué quand on prend des analgésiques. En admettant même qu’il souffre d’une sciatique, comment a-t-il pu se rendre quelques jours plus tard en Chine et au Japon ? Une sciatique rend un tel voyage difficilement envisageable sauf à supposer chez Juncker « une force morale hors du commun, une capacité à supporter la souffrance pour le bien de l’Europe », s’amuse un diplomate.

    En réalité, ce qui est en cause ici, c’est l’alcoolisme de Juncker, un secret de Polichinelle, même s’il s’en défend. « J’ai un problème d’équilibre avec ma jambe gauche », nous a-t-il confié, « qui m’oblige à m’agripper à la rampe lorsque je suis dans un escalier. Un ministre néerlandais, que j’avais attrapé par le bras après un déjeuner, a raconté que j’étais ivre. Ce problème remonte à un grave accident de voiture. En 1989, j’ai passé trois semaines dans le coma, puis six mois dans une chaise roulante. » Néanmoins les sources sont très nombreuses, à la fois au Luxembourg, à Bruxelles et dans les capitales européennes qui décrivent un Juncker porté sur la bouteille : « lorsqu’un huissier lui apporte un verre d’eau lors d’un conseil des ministres, on savait tous que c’était du gin », raconte un ancien ministre. L’ancien président de l’Eurogroupe, le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem, n’a pas hésité à décrire, à la télévision néerlandaise, un Luxembourgeois souvent ivre lors des Eurogroupes. De son côté, le Français Pierre Moscovici, actuel commissaire européen et ancien ministre des Finances, reconnait délicatement que l’alcool ingéré « n’a jamais empêché Juncker d’être fonctionnel ». Tout le monde se souvient encore du sommet de Riga de 2015 lorsqu’il s’est donné en spectacle sous l’oeil des caméras du monde entier, accueillant le Hongrois Viktor Orban d’un « tiens, voilà le dictateur », embrassant le Belge Charles Michel sur le crâne ou encore demandant à la cantonade : « qui c’est celui-là ? »… Mais comme les dirigeants ne sont pas soumis à des alcootests, on ne saura jamais s’il avait ingéré quelque chose ce jour-là ou avait décidé de se lâcher...

    Le problème est que le spectacle offert lors du sommet de l’OTAN a été bien au-delà du folklore d’un Luxembourgeois porté sur la bouteille. On a vu un homme manifestement gravement malade, incapable de se mouvoir seul. Autrement dit, c’est la question de sa capacité à gouverner qui est posée. Ce n’est pas un hasard s’il est devenu totalement dépendant de Martin Selmayr qu’il n’a pas hésité à nommer, en février dernier, secrétaire général de la Commission en violation de toutes les règles de la fonction publique européenne. Pris la main dans le sac, il a même menacé de démissionner si le Parlement européen exigeait le départ de son protégé, une inversion de la causalité politique sans précédent. Le délabrement physique de Juncker conjugué à la puissance de Selmayr indique que le pouvoir a une apparence, le président de la Commission, une réalité, un eurocrate non élu et non responsable.

    La démocratie ne peut se contenter de la parole un rien soviétique de Schinas qui affirme qu’il n’y a « aucune inquiétude à se faire quant à la capacité (de Juncker) à travailler dur comme il le fait toujours ». Les doutes sont désormais tels qu’ils imposent une transparence totale, c’est-à-dire un bulletin de santé certifié par le corps médical afin que les Européens sachent qu’ils n’ont pas à leur tête une momie.

    N.B. : version française (et un peu plus longue) de l’article écrit pour The Spectator de ce jeudi : https://www.spectator.co.uk/2018/07/jean-claude-drunker https://www.spectator.co.uk/2018/07/jean-claude-drunker


    Mise à jour du 18 juillet : Interrogé ce mercredi, Jean-Claude Juncker a déclaré : « J’avais mercredi dernier une sciatique ». « Et en plus, j’avais des crampes dans les jambes », a-t-il ajouté. « J’ai des problèmes de santé qui ne concernent que moi ». Il s’est dit « impressionné par l’intérêt que certaines personnes ont pour ces sujets ». « Je demande du respect ». Une réponse étonnante : la capacité de Juncker à diriger la Commission, surtout après ce qu’a révélé l’affaire Selmayr où il est apparu comme la marionnette d’un eurocrate arrogant, dominateur et sûr de lui (pour paraphraserde Gaulle), est une question légitime. Le « respect » n’a rien à voir dans cette affaire, la démocratie, si.

    #UE #union_européenne #OTAN #jean-claude_juncker #europe #commission_européenne #alcoolisme #alcool #Eurogroupes #parlement_européen #démocratie

  • Les parlementaires néerlandais réclament la fermeture du site de l’UE « anti-fake news russes » _
    https://ruptures-presse.fr/actu/pays-bas-ue-desinformation-gelderlander

    Les dirigeants du Service européen pour l’action extérieure ( #SEAE ) de l’UE n’en sont toujours pas revenus. Leur cellule de contre-propagande (baptisée « #East_Stratcom ») créée pour pourchasser les « mensonges » russes a poussé le zèle #inquisiteur si loin qu’il a déclenché la colère des #députés_néerlandais. Au point que ces derniers réclament désormais la fermeture pure et simple du site Internet géré par Bruxelles, EUvsdisinfo.eu, https://euvsdisinfo.eu censé mettre en garde contre la « #désinformation » en provenance de Moscou.

    L’histoire commence début mars, quand le site en question pointe un index accusateur contre trois médias des #Pays-Bas (dont le grand quotidien régional #De_Gelderlander) : ceux-ci sont accusés d’avoir relayé des informations sur l’ #Ukraine osant affirmer que ce pays était corrompu et abritait des fascistes ; et d’avoir relaté des éléments factuels fournis par une firme russe d’armement invalidant la thèse selon laquelle la Russie serait coupable d’avoir abattu le vol #MH17 de la Malaysian Airlines (une tragédie aérienne qui avait fait 300 victimes le 17 juillet 2014). Il n’en fallait pas plus pour qu’EUvsdisinfo.eu, véritable #Torquemada 2.0, octroie un sceau d’infamie aux médias en question.

    Ces derniers, qui estimaient n’être coupables de rien du tout si ce n’est d’avoir informé leurs lecteurs, ont menacé EUvsdisinfo de poursuites judiciaires. Le site a rapidement fait machine arrière, admettant, dans un communiqué le 8 mars, avoir agi de manière erronée. Les médias ont alors retiré leur plainte.

    Mais, pour les parlementaires du pays, le mal était fait. Deux d’entre eux – un du Parti socialiste (SP, équivalent du PG en France), l’autre du Parti libéral VVD (la formation du premier ministre Mark Rutte) – ont sommé le gouvernement d’intervenir auprès de #Bruxelles pour faire fermer le site. Selon les deux députés, leurs collègues sont prêts à voter « à une très large majorité » une motion enjoignant au chef du gouvernement d’agir. Ils font valoir qu’une instance européenne n’a aucune légitimité pour surveiller les #médias et #journalistes nationaux.

    Gêné aux entournures, le ministre de l’Intérieur a promis « d’essayer de trouver des soutiens dans les instances européennes pour faire valoir cette requête parlementaire ». Problème : la création de cet organe « anti-fake news russes » avait été approuvée par tous les chefs d’Etat et de gouvernement, y compris M. #Rutte, ce qui place ce dernier en porte-à-faux.

    Depuis 2005 et le Non massif (61,6%) au projet de constitution européenne, les Pays-Bas étaient considérés à Bruxelles comme l’un des nombreux maillons faibles de l’UE. Onze ans plus tard, les électeurs déclenchaient un nouveau cataclysme en rejetant, également par référendum, un accord de libre échange entre l’UE et l’Ukraine (dont le résultat fut finalement piétiné par un vote parlementaire ; et désormais, cette possibilité de référendum a été supprimée…).
    En mars 2017 cependant, M. Rutte sortit des élections générales avec la possibilité de former une nouvelle coalition, l’« eurosceptique » Geert Wilders progressant, mais restant isolé. Cela fut présenté à Bruxelles comme un signe indubitable du retour de flamme des citoyens européens en faveur de l’UE, un amour qui aurait ensuite été confirmé par l’élection d’Emmanuel Macron.

    A la lumière de l’humiliation batave infligée aujourd’hui à l’Union européenne, cette interprétation relevait donc bien de la méthode Coué. Ou de la désinformation.

    #ue #union_européenne #censure
    Source : La revue de presse du site Les Crises : https://www.les-crises.fr/revue-de-presse-du-27-03-2018

    • L’Ukraine européenne, le grand pays Démocratique où il fait bon vivre (libre).

      La Pologne européenne, le pays où la santé des Femmes passe avant la Religion

      La France européenne, le pays En Marche (dans quoi ?)

    • Des juristes français et états-uniens s’y mettent aussi. On notera la pudeur du Monde qui, à aucun endroit, ne nomme le service concerné, se contentant de donner le nom de sa publication. Il est vrai que le service en question est une référence du #Decodex (cf. supra)

      « Fake news » : des juristes s’inquiètent des contrôles de l’Union européenne
      http://www.lemonde.fr/europe/article/2018/03/30/fake-news-des-juristes-s-inquietent-des-controles-de-l-union-europeenne_5278

      La Clinique juridique sur l’Union européenne, un organisme résultant d’un partenariat entre HEC Paris et la New York University School of Law, a déposé, mercredi 28 mars, une plainte auprès du médiateur de l’Union européenne (UE) contre le service de fact checking (« vérification des faits ») de l’UE, qui publie chaque semaine une Disinformation Review. Cette branche du service européen d’action extérieure (SEAE), dirigée par la haute représentante de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Federica Mogherini, a été créée sur décision du Conseil européen, au printemps 2017. Les chefs d’Etat et de gouvernements s’étaient alarmés de la multiplication de fausses nouvelles pouvant, notamment, influencer des résultats électoraux.
      […]
      Il en a déduit, explique-t-il, que « l’Union bafoue la liberté d’expression et le droit à une procédure régulière, même si son action part d’une bonne intention ». Le professeur Alemanno estime que la Disinformation Review tente, en réalité, de contrôler des contenus, ce qui peut avoir un effet dissuasif pour le travail journalistique, « pourtant au cœur de la démocratie ». Une menace d’autant plus pernicieuse, à ses yeux, que beaucoup de médias vivent une situation de crise et sont confrontés à des gouvernements de plus en plus hostiles.

      Répondre à la crise de confiance dont les médias sont l’objet ? « Oui, répond le juriste, mais pas en violant des droits fondamentaux. Même si les idées exprimées sont parfois désagréables, honteuses, ou carrément fausses. »
      Les plaignants, qui ont envoyé au médiateur un mémoire de treize pages, assimilent les pratiques actuelles des services européens à de la mauvaise gouvernance. Notamment parce qu’ils ne respecteraient pas les standards internationaux en matière de vérification des faits.

  • Référendum sur la surveillance d’internet aux Pays-Bas
    https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/referendum-sur-la-surveillance-d-internet-aux-pays-bas_122246

    Les Néerlandais sont appelés ce mercredi à se prononcer par référendum sur le droit des agences de renseignement à surveiller et collecter les données sur internet. La consultation, dont le résultat n’est pas contraignant, intervient en plein scandale sur le siphonnage des données personnelles de millions d’utilisateurs de Facebook aux Etats-Unis. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, qui appelle à voter « oui », a déclaré mardi lors d’un débat télévisé qu’il prendrait le résultat du référendum (...)

    #écoutes #données #web #surveillance #législation

  • Retour de l’électricité dans un village palestinien, trois mois après la confiscation par Israël de son système électrique
    23 octobre | Amira Hass pour Haaretz |Traduction J.Ch. pour l’AURDIP
    http://www.aurdip.fr/retour-de-l-electricite-dans-un.html

    Chaque famille du village de Jubbet Adh-Dhib a droit à seulement trois kilowattheures par jour alors qu’une association israélo-palestinienne réinstalle un système à énergie solaire hybride que lui avait pris Israël.

    L’électricité a été restituée dans les modestes maisons de pierre et de ciment du village palestinien de Jubbet Adh-Dhib, au sud-est de Bethléem. En juin dernier, l’Administration Civile avait confisqué l’installation électrique qui y fonctionnait depuis huit mois.

    Comme cela a été dit à Haaretz le jour de la confiscation par un porte-parole du Coordinateur de l’Activité Gouvernementale dans les Territoires (COGAT), la raison en était que les panneaux solaires avaient été installés sans les permis exigés. Fin septembre, les panneaux confisqués ont été rendus. Et, comme l’a écrit le chef de l’Administration Civile, le Brigadier général Ahvat Ben Hur, aux avocats qui ont présenté en août une requête contre cette confiscation, la raison est : « Etant donné les circonstances de cette affaire – tout d’abord, la période passée entre leur installation et leur confiscation - j’ai décidé de restituer immédiatement les objets saisis. » Cette décision rendait la pétition inutile.
    (...)
    Dans les circonstances de cette affaire, il y a aussi le fait que le gouvernement néerlandais a financé le système électrique qui a été construit par Comet-ME ; il ne s’est pas contenté d’une protestation diplomatique contre cette confiscation. Le parlement néerlandais s’est réuni deux fois à ce sujet, comme l’a rapporté Haaretz. Au cours de ces séances, les députés ont été informés qu’à la fin juin, le premier ministre hollandais sortant, Mark Rutte, avait exprimé sa consternation au premier ministre Benjamin Netanyahu à propos de ces confiscations. Répondant aux questions des députés néerlandais à ce sujet, des ministres néerlandais ont raconté que Netanyahu avait promis par écrit de rendre les panneaux. ( Le Bureau du premier ministre n’a pas répondu à une question de Haaretz à ce sujet.)

  • The Dutch disease
    http://africasacountry.com/2017/03/the-dutch-disease-2

    Coming ahead of the French presidential #elections in April and the German national election in September, last Wednesday’s election in the #Netherlands (won handily by the center-right VVD of Prime Minister Mark Rutte) was seen as a test of populist right-wing sentiment in Europe. More importantly, it was also a referendum about left #POLITICS in…

    #colonialism #neoliberalism #racism

  • Edition de Besançon | Tabassé lors du meeting de François Fillon : il ne s’était pas levé pour « La Marseillaise »
    http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/03/17/tabasse-lors-du-meeting-de-francois-fillon-il-ne-s-etait-pas-leve-pou

    J’abhorre Fillon et toute sa clique mais sincèrement je n’en étais même pas au point où je pensais qu’une telle chose pouvait arriver. Je ne sais pas si c’est comme ça qu’ils comptent récupérer des voix mais en tout cas ça en dit long sur l’ambiance actuelle.
    L’après-élections va être chaud quoi qu’il arrive !

    #Fillon #marseillaise #meeting #élections_présidentielles #agression

    • Peut-être comme ça (aussi) ?

      François Fillon s’en prend au « racisme anti-français »
      http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2017/03/17/35003-20170317ARTFIG00116-francois-fillon-s-en-prend-au-racisme-anti-franca

      Pour la première fois, le candidat de la droite à l’élection présidentielle reprend à son compte la dénonciation du « racisme anti-Français ».

      C’est un terrain sur lequel on ne l’avait jamais vu : la dénonciation du « racisme anti-Français ». Jeudi soir, à Caen, devant plusieurs milliers de militants, François Fillon a fait sien de ce plaidoyer. « Je refuse la progression de l’antisémitisme. J’exècre tous les racismes dont le racisme anti-français », a lâché l’ancien premier ministre. « Nous formons tous ensemble le peuple de France. Je prendrai mes responsabilités, et je demande à nos compatriotes musulmans de nous aider à faire le ménage contre l’obscurantisme », a-t-il poursuivi. Et de promettre que s’il est élu président de la République, « le culte musulman fera l’objet d’un contrôle administratif serré, jusqu’à ce qu’il soit aussi fermement ancré dans la République que les autres religions ».

      #copéisation #lepenisation (cf suite de l’article)

    • le culte musulman fera l’objet d’un contrôle administratif serré

      Vu que c’est déjà plus que serré, je ne sais pas ce que ça
      donne si on serre encore plus… Guantanamo peut-être ?

      …jusqu’à ce qu’il soit aussi fermement ancré dans la République que les autres religions

      Très menaçantes les formules en tout cas.

    • (janvier 2017) Pour le Premier ministre des Pays-Bas : qui n’aime pas le pays doit le quitter
      http://geopolis.francetvinfo.fr/pour-le-premier-ministre-des-pays-bas-qui-n-aime-pas-le-pays-d
      Par Jacques Deveaux | Publié le 25/01/2017 à 10H17

      Le Premier ministre Mark Rutte vient de publier une lettre ouverte au pays, où il dénonce l’égoïsme de certains de ses compatriotes. Il ne veut viser personne, mais il s’en prend à l’ingratitude de ceux qui, venus dans le pays, refusent son mode de vie. Les élections législatives du 15 mars pousse Mark Rutte vers l’extrême-droite.

      La lettre du Premier ministre Mark Rutte à ses concitoyens a été publiée dans plusieurs journaux néerlandais et sur le site de son parti libéral, le VVD. Une publicité sur une page entière où le Premier ministre vise les personnes qui « refusent de s’adapter et critiquent nos valeurs, (elles) doivent se comporter normalement ou s’en aller » .

      Alors dans son message, Mark Rutte dit comprendre la lassitude (l’inconfort) des Néerlandais vis-à-vis de ceux qui abusent de la liberté qu’ils ont trouvée en arrivant aux Pays-Bas, « qui s’en prennent aux gays, sifflent les filles en jupe courte et considèrent les Néerlandais comme racistes » .

      Je n’avais pas vu passer ça. Un modèle pour battre l’extrême-droite, hum...

  • #Pays-Bas : les sociaux-démocrates en perdition
    https://www.mediapart.fr/journal/international/160317/pays-bas-les-sociaux-democrates-en-perdition

    Mark Rutte, premier ministre sortant (VVD) © Reuters Le scrutin législatif aux Pays-Bas est marqué par l’effondrement historique des sociaux-démocrates. Le système partisan néerlandais, plus que jamais polarisé et fragmenté au lendemain de cette élection, est en fait déstabilisé depuis une vingtaine d’années.

    #International #Geert_Wilders #social-démocratie

  • #Pays-Bas : un paysage politique toujours plus fragmenté
    https://www.mediapart.fr/journal/international/160317/pays-bas-un-paysage-politique-toujours-plus-fragmente

    Mark Rutte, premier ministre sortant (VVD) © Reuters Le scrutin législatif aux Pays-Bas est marqué par l’effondrement historique des sociaux-démocrates. Le système partisan néerlandais, plus que jamais polarisé et fragmenté au lendemain de cette élection, est en fait déstabilisé depuis une vingtaine d’années.

    #International #Geert_Wilders #social-démocratie

  • Projet de gazoduc Israël-Gaza avec l’aide des Pays-Bas
    http://www.romandie.com/news/Projet-de-gazoduc-IsraelGaza-avec-laide-des-PaysBas/734387.rom

    La Haye - Les Pays-Bas aideront Israël a améliorer l’approvisionnement en eau et en énergie de la Bande de Gaza avec notamment la construction d’un gazoduc, a annoncé mardi à La Haye le Premier ministre Benjamin Netanyahu au cours d’une visite de deux jours aux Pays-Bas.

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    Said Shoaib
    #Netanyahu Is Not Welcome in The #Netherlands'


    https://twitter.com/saidshouib/status/773158163608657920

    • Former Dutch PM calls Benjamin Netanyahu a ‘war criminal’ who should be tried in The Hague

      Dries van Agt said the Israeli leader should go ‘straight to the international criminal court’
      Harry Cockburn | 6 sept 2016
      http://www.independent.co.uk/news/world/europe/former-dutch-pm-dries-van-agt-benjamin-netanyahu-war-criminal-tried-t

      Former Dutch prime minister Dries van Agt has described Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu as a war criminal who should be tried in the International Criminal Court in The Hague.

      His comments come ahead of Mr Netanyahu’s visit to The Netherlands this week.

      Speaking to Dutch television channel NPO 1, Mr van Agt said: “There’s a war criminal coming to this country.

      “The occupation and expansion… building of settlements, of occupied territory, this is according to the Rome Statute, which is… the statute on which the international criminal court is based, in so many words, a war crime.

      In a rambling interview, the 85-year old, who was prime minister of The Netherlands for five years until 1982, added: “So why should we receive someone who continues with such things?

      “We could have sent him straight away to the international criminal court – that would have been better.”

      Mr Van Agt has been highly critical of Israel in recent years, despite supporting the state during his years in office.

      In 2012, he caused controversy after saying Jews should have built a state in Germany rather than in the Middle East.

      Dutch pro-Israel group Likoed Nederland said in a statement on Monday: “Van Agt merits no serious podium”.

      Mr Netanyahu’s official visit to the Netherlands includes meetings with Dutch Prime Minister Mark Rutte, who he calls a “personal friend”, and with King Willem-Alexander.

      Mr Netanyahu said he planned to speak to Dutch leaders about Israel’s role in preventing the spread of Islamist terrorism.

  • Le Non au traité UE/Ukraine l’emporte lors du référendum aux Pays-Bas

    Le Non l’a emporté avec une confortable majorité lors du référendum organisé mercredi aux Pays-Bas sur un accord d’association entre l’Union européenne et l’Ukraine.

    Sur base de 191 communes (38,9% des votants), le camp des opposants remporte 61%, contre 38% pour les électeurs favorables au traité.
    Les projections du service des élections de l’agence de presse néerlandaise ANP confirment aussi que la participation au référendum a bien dépassé la barre des 30% nécessaires pour que le vote soit validé.

    « Avec un tel non, le traité avec l’Ukraine ne peut pas être ratifié de la sorte par les Pays-Bas », a commenté le Premier ministre néerlandais Mark Rutte. (Belga)

    Source : http://www.rtbf.be/info/monde/detail_le-non-au-traite-ue-ukraine-l-emporte-lors-du-referendum-aux-pays-bas?id

  • La fin de l’Europe libérale
    http://www.wsws.org/fr/articles/2016/jan2016/pers-j25.shtml

    Partout, les élites dirigeantes sont en train de virer rapidement à droite. On voit monter le #chauvinisme, la #xénophobie, le #militarisme et les appels à l’Etat fort. Cela ne s’applique pas seulement aux partis émergents d’#extrême-droite comme le Front national en France, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), le Parti de la Liberté autrichien (FPÖ), le parti hongrois Fidesz ou le parti polonais Droit et Justice (PiS) mais aussi à tous les partis traditionnels, y compris ceux soi-disant de gauche.

    Des publications de la pseudo-gauche comme International Viewpoint, édité par le Secrétariat unifié pabliste, sont parmi les voix dominantes du chœur réclamant l’intervention de l’Etat et la guerre impérialiste au nom d’une prétendue défense des droits de la femme.

    En Allemagne, suite au battage médiatique orchestré autour d’événements survenus la nuit de la Saint-Sylvestre à Cologne et qui rappelle les campagnes antisémites des nazis, les partis politiques et les médias ont déclenché une campagne d’incitation au #racisme contre les #réfugiés. Gouvernement et partis d’opposition cherchent à se surpasser les uns les autres dans les appels à plus de police et au durcissement des lois ; le parti La Gauche (Die Linke) surclasse les autres en la matière.

    En France, le gouvernement PS (Parti socialiste) a imposé un état d’urgence permanent en menaçant de retirer, dans la pure tradition du régime de Vichy, la #citoyenneté aux délinquants condamnés d’origine étrangère.

    Les #frontières sont rétablies partout en Europe, et le système Schengen est quasiment mort. Les #conflits entre membres de l’UE ne cessent de s’amplifier. Le premier ministre français, Manuel Valls, a prévenu au Forum économique mondial de Davos que l’Union européenne faisait face à un danger de « dislocation » dans « les mois qui viennent ». Son homologue néerlandais, Mark Rutte, a dit qu’il restait à l’UE « six à huit semaines pour réussir à gérer la crise des réfugiés. » Le journal conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung écrit, « Jamais auparavant la fin de l’UE n’a été aussi réaliste qu’aujourd’hui. »

    Les élites dirigeantes européennes sont d’accord lorsqu’il s’agit de renforcer les capacités militaires, de mener des guerres au Moyen-Orient et en Afrique et de déployer l’armée à l’intérieur. Mais même là, l’unité de l’Europe ne devrait pas être considérée comme acquise. Compte tenu de l’accroissement des antagonismes nationaux, ce n’est qu’une question de temps avant que les chars ne soient envoyés aux frontières entre les Etats membres. Soixante-dix ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, il y a le risque qu’une nouvelle guerre éclate au cœur de l’Europe.

  • Migrants : un accord conclu à Bruxelles avec la #Turquie

    La Commission européenne a annoncé, dans la nuit de jeudi à vendredi, qu’elle avait conclu un « plan d’action commun » avec la Turquie pour endiguer les flux migratoires, à l’issue d’un sommet des chefs d’Etat à Bruxelles. « La Turquie se montre prête à accueillir davantage de réfugiés et à leur offrir plus de perspectives pour leur éducation et leur travail, à mieux les enregistrer, à une surveillance des frontières plus efficace et aussi à une lutte commune contre les réseaux criminels de trafic d’êtres humains », a détaillé le PM néerlandais, Mark Rutte. En échange, « on va aider, car investir financièrement en Turquie est aussi dans notre intérêt à nous », a-t-il ajouté, confirmant qu’Ankara exigeait trois milliards d’euros d’aide de la part des Européens. Le chef de l’exécutif européen, Jean-Claude Juncker, a indiqué que cet aspect du plan devait encore être négocié « dans les jours qui viennent ». François Hollande a confirmé qu’"il n’y [avait] pas de montant fixé". « Il ne s’agit pas de donner de l’argent. Il s’agit de savoir » à quoi ces fonds peuvent servir, a-t-il plaidé. Les aides doivent notamment être consacrées « à la création de centres de réfugiés » et à « la prise en charge des enfants », a souligné M. Hollande. Le feu vert politique des dirigeants européens à ce plan est « une étape majeure » dans la gestion de la crise migratoire, a indiqué de son côté Donald Tusk, le président du Conseil européen. Les dirigeants de l’UE sont également convenus d’œuvrer à un système intégré de gestion des frontières qui « ira au-delà du mandat de #Frontex », l’agence européenne de surveillance des frontières. « Dans les prochains mois, l’agence va se transformer en un organe plus opérationnel », a expliqué M. Tusk. Enfin, les 28 ont également débattu de la création d’un corps de gardes-frontières européens pour renforcer les #frontières extérieures de l’Union européenne.

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/10/16/migrants-un-accord-conclu-a-bruxelles-avec-la-turquie_4790609_3214.html
    #terminologie #endiguer #vocabulaire #asile #migrations #externalisation #EU #Europe #politique_migratoire #accord

    #honteux
    signalé par @reka

  • MH17 : Final report on the investigation by this year | New Straits Times
    http://www.nst.com.my/node/70563

    The independent committee investigating the shooting down of Malaysia Airlines flight MH17 is expected to be ready with its final report by the second half of this year, Netherlands Prime Minister Mark Rutte said.

    He said this during a bilateral meeting with Prime Minister Datuk Seri Najib Razak, on side-lines of the ongoing annual World Economic Forum (WEF).
    (…)
    Najib said Rutte assured him that the committee will submit the final report to Malaysia before releasing it to the public. Rutte also said that the tragedy has brought the two nations closer.

    Étrange formulation dont on peut déduire que la Malaisie ne participe (toujours) pas à l’enquête, malgré les annonces de début décembre…

  • We couldn’t say goodbye to 2014 without one more #ZwartePiet list
    http://africasacountry.com/we-couldnt-say-goodbye-to-2014-without-one-more-zwartepiet-list

    When in December 2013 Chandra Frank compiled a list of common excuses Dutch people make for racism (much of it revolved around defending #ZwartePiet, the #blackface character trotted out around Christmastime and who.....

    #AFRICA_IS_A_COUNTRY #Mark_Rutte #Netherlands #Zwarte_Piet

  • Dutch PM cancels ceremony in dispute over cargo scanner for Gaza crossing
    By Barak Ravid | Dec. 8, 2013
    Haaretz
    http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/.premium-1.562268

    Dutch Prime Minister Mark Rutte has canceled a gala ceremony planned for Sunday to inaugurate a new container scanner donated by the Netherlands to Israel’s border crossing with the Gaza Strip, due to Israel’s refusal to view the high-tech machine as grounds for allowing exports from Gaza to the West Bank to resume.

    The dispute over this issue, which erupted about a week ago, is weighing on Rutte’s impending visit to Israel, which was supposed to have taken place in a positive atmosphere.

    Rutte is slated to arrive Sunday, and is expected to ask Israel to reconsider its position when he meets with Prime Minister Benjamin Netanyahu on Sunday night. Dutch Foreign Minister Frans Timmermans, who will accompany Rutte, is similarly expected to raise the issue of exports from Gaza at his meeting with Defense Minister Moshe Ya’alon.