person:marlon brando

  • https://www.lemonde.fr/cinema/video/2018/11/26/le-cinema-de-bertolucci-en-quatre-scenes-cultes_5388950_3476.html

    Et donc dans un montage vidéo ni fait ni à faire, le journal Le Monde maintient que l’un des quatre scènes à retenir du cinéma de Bertolucci c’est celle de « passe-moi le beurre » dans le Dernier Tango à Paris. Pour ma part je ne suis pas certain que je serais capable de retenir ne serait-ce qu’une seule scène de ce réalisateur merdique, ah si, peut-être celle du Dernier empereur dans laquelle le docteur de la cité interdite, auquel on tend les selles du petit empereur à humer, pour déterminer ce qu’on doit servir au petit empereur les prochains jours, prescrit justement : moins de matière grasse.

  • La boutique parodiant celle de l’Élysée reverse ses gains à trois associations Alexis Feertchak - 2 Novembre 2018 - Le figaro
    http://www.lefigaro.fr/politique/2018/11/02/01002-20181102ARTFIG00090-la-boutique-parodiant-celle-de-l-elysee-reverse-s

    Le projet « Enlysée »https://enlyseeboutique.fr lancé par trois jeunes de Calais et Lille a enregistré 3000 commandes en seulement un mois. Les 30.000 euros de revenus sont reversés ce vendredi à trois associations qui œuvrent pour l’aide aux migrants et aux sans-abri.


    « Le jour où tu veux faire la Révolution, t’apprends d’abord à faire ton café et à te nourrir toi-même. » Pour boire son café le matin, quoi de mieux qu’une maxime d’Emmanuel Macron imprimée en bleu, blanc, rouge sur sa tasse ? Pardon, en « rouge, bleu, blanc, rouge » si l’on en croit les termes d’« Enlysée », boutique en ligne qui parodie celle lancée en septembre par la présidence de la République. Cette initiative, lancée par trois trentenaires de Calais et Lille, a engendré 3000 commandes en seulement un mois. Ses bénéfices vont être reversés à trois associations venant en aide aux migrants et aux sans-abri, selon France Info.

    30.000 euros seront ainsi partagés ce vendredi à Calais entre la Fondation Abbé Pierre, l’Auberge des migrants et Salam. Pour cette dernière association qui distribue près de 500 repas par jour à Calais, les 10.000 euros représentent 10% de leurs dépenses. « On vit beaucoup sur les dons, les récupérations et là ça nous permet de faire ce qu’on ne fait jamais, d’acheter un peu de fruits à des grossistes, acheter des chaussettes, des gants, etc. Ce sont des frais qu’on est souvent amené à reporter », confie à France Info le président de Salam, Jean-Claude Lenoir.

    « Boutique officielle du ruissellement »
    « Vous savez maintenant où va partir ce pognon, qu’on espère de dingue ! », déclare l’« Enlysée » sur son site, référence à la petite phrase d’Emmanuel Macron, qui avait déclaré en juin dernier : « On met un pognon de dingue dans les minima sociaux ». C’est l’expression phare de la boutique qui propose t-shirts, sweat-shirts et sacs avec l’imprimé « Je coûte un pognon de dingue ». D’autres saillies présidentielles s’affichent également à la vente : « Phransaizilaitrée », « Gaulois réfractaire », « Dernier de cordée », « Mafia bretonne » (avec Jean-Yves Le Drian portant le smoking de Marlon Brando dans Le Parrain), « champion du monde » (avec Alexandre Benalla, casqué, en bleu, blanc, rouge) ou « champion de la Terre » (avec Emmanuel Macron, torse nu, portant la planète sur ses épaules). Les articles « Maison » promettent quant à eux d’apporter « une ambiance de maison inspirée par le mépris présidentiel ».

    En plus des trois fondateurs, une équipe d’une quinzaine de bénévoles conçoit, réalise, met en ligne et envoie les produits parodiques. La boutique « Enlysée » ne veut pas s’arrêter là. Elle attend beaucoup des fêtes de Noël et prépare à cet effet un « pack spécial de fin d’année » pour la semaine prochaine. Pour continuer d’abreuver les finances d’associations, elle espère aussi de nouvelles petites phrases présidentielles. « Que ce soit le ‘pognon de dingue’ ou ‘traverser la rue’, on n’aurait pas pu les imaginer nous-mêmes, donc franchement, on le remercie beaucoup. S’il pouvait nous en ressortir quelques-unes, d’ici Noël et jusqu’à la fin du quinquennat, on pourrait reverser beaucoup d’argent », déclare Manu, l’un des fondateurs, à France Info. Le trentenaire aimerait aussi qu’Emmanuel Macron devienne le parrain de ce projet joliment défini comme « la boutique officielle du ruissellement ».

    #Elysée #Enlysée #ruissellement #Calais #Lille #emmanuel_macron #migrants #pognon_dingue #traverser_la_rue #start_up #ruissellement #perlimpinpin #manu #en_marche

    La suite de https://seenthis.net/messages/724130

  • Peut-on séparer l’œuvre de la vie de l’artiste ? avec Nathalie Heinich

    Question qu’on se pose pour tous les #grands_hommes repérés sur seenthis

    https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/peut-separer-loeuvre-de-la-vie-de-lartiste-avec-nathalie-heinich


    Peut-on séparer l’oeuvre de l’artiste ?

    Le président d’Unifrance et ancien directeur de la Cinémathèque Serge Toubiana a accepté de rester avec nous pour ouvrir la discussion sur la séparation de corps prônée par certains entre l’œuvre et l’artiste, tandis que d’autres estiment que l’œuvre prime.

    La sociologue Nathalie Heinich, spécialiste d’art contemporain, directrice de recherche au CNRS, Lauréate du Prix Pétrarque de l’essai 2017 pour son ouvrage Des valeurs (Gallimard). Ni réalités, ni illusions, les valeurs sont des représentations collectives cohérentes et agissantes. Elle étudie ce qui fait valeur, sans les hiérarchiser.

    • Elle est très orienté anti-féministe cette émission. Seule la présentatrice n’est pas masculiniste. Puritanisme, stalinisme, révisionnisme, maccartisme, censure, ligue de vertu, antiaméricainisme c’est un super bingo.
      Il s’agit pas de révisionner les œuvres, mais de pouvoir interroger les œuvres hors des seuls limites de l’esthétique. Et si on dois séparé l’oeuvre de l’artiste, alors autant se souvenir que le viol de Samantha Geimer fait partie de l’oeuvre du réalisateur et qu’on peu examiné sa manière de mettre en scène les femmes au regard de cette partie de son oeuvre.

      pour l’émission l’autre qui cite Hitchcock comme amoureux de LAFAME !!!

      Il me semble pas que les féministe demandent la censure des films de Polansky. J’ai vu ca nulle part. Donner des décorations honorifiques ou faire des rétrospectives c’est différent. On peu diffuser les films de polansky, mais pas lui filer la présidence d’honneur de prix cinématographiques.
      La censure qui existe aujourd’hui viens d’hommes, dans leur tentative idiotes de faire un truc plutot que rien tellement ils se sentent merdeux vis à vis de #meToo. Je pense au cas du film de Louis CK, film qui ne sera pas diffusé par censure du diffuseur. Film que je n’ai pas envie de voire mais dont il n’est pas question d’interdire à celleux qui veulent le voire de le faire. Et puis ca peut être un bon objet d’étude de la mentalité d’un agresseur sexuel blanc américian qui se fait passé pour une victime et utilise sa technique d’agression sexuelle comme source de revenue et de reconnaissance dans le milieu très masculinisé de l’humour et du cinéma.

    • je suis d’accord avec @mad_meg les hommes dans cette émissions sont complètement affligeants et obscène. javais aussi remarqué cette sortie sur les réalisateurs amoureux des femmes (pas seulement hitchcokk d’ailleurs). Frédéric Bonneau dans l’extrait de son entretien sur médiapart : c’est dommage. On l’a connu plus inspiré, on a l’impression qu’il a pété un câble.

      Costa Gavras : « ... On ne peut pas dire qu c’était un viol ! il faut arrêter avec ça ! »

      Journaliste : « Mais elle n’avait que 13 ans »

      Costa Gavras : « Mais vous avez vu la photo ? elle en parait 25 ! »

  • Bertolucci, Bonnaud et les demi-folles - Libération
    http://www.liberation.fr/debats/2017/11/12/bertolucci-bonnaud-et-les-demi-folles_1609595

    Invité sur le plateau de « Mediapart », le directeur de la Cinémathèque était interrogé sur la rétrospective #Polanski et l’ajournement de celle sur #Brisseau.

    Le cinéma est-il hors de la société ? Vaste question. C’est le thème du débat de la semaine de Mediapart. Pas vraiment un débat, d’ailleurs : le directeur de la Cinémathèque française, Frédéric Bonnaud, y est invité seul. Bonnaud est un ancien journaliste. Il a dirigé les Inrocks. Quatre ans durant, il a animé cette même émission de Mediapart, dont il est aujourd’hui l’invité-accusé : pourquoi a-t-il maintenu la rétrospective hommage à Roman Polanski, en présence du réalisateur, malgré l’affaire Weinstein ? Sur le plateau, deux hommes, Bonnaud et François Bonnet, directeur de la rédaction de Mediapart, et une femme, Lenaïg Bredoux, journaliste à Mediapart.

    Dans nombre de rédactions, l’affaire Weinstein, comme l’affaire Polanski avant elle, a creusé un fossé entre les journalistes culture et leurs confrères et consœurs chargés des violences faites aux femmes. Comment sauver l’œuvre, si son créateur est un agresseur ou un violeur ? Comment traiter le délinquant sexuel dont on admire l’œuvre ?

    Pourquoi avoir maintenu l’invitation de Polanski ? demande-t-on à Bonnaud. Parce que Polanski. Parce que grand cinéaste. Parce que, depuis que Polanski vit en France, il n’a jamais récidivé. D’ailleurs, si Bonnaud convient sans difficulté que Weinstein est un porc, il avertit néanmoins : « Cette libération de la parole, est-ce qu’elle ne s’accompagne pas d’un flash totalitaire et d’un retour à l’ordre moral, sous la direction de ligues de vertu ? »

    Ce que l’on entend à ce moment, c’est une certitude en perdition. Homme de gauche, combattant pour la liberté d’expression et contre les « ligues de vertu », travaillant avec le monument Costa-Gavras (président de la Cinémathèque), autant dire sous l’ombre gigantesque d’Yves Montand, Frédéric Bonnaud a toujours été « du bon côté ». Et soudain, dans le sidérant miroir que lui tend l’époque, il se découvre du côté des oppresseurs.

    Bref, circulez ligues de vertu, on n’a rien à discuter. Et alors, très doucement, se fait entendre la voix de Lenaïg Bredoux. « S’il n’y a aucun débat, pourquoi avez-vous suspendu la rétrospective Brisseau à la Cinémathèque ? » Car une seconde rétrospective était prévue en janvier, autour du cinéaste Jean-Claude Brisseau, condamné en 2005 et 2006 pour harcèlement et agression sexuelles sur ses actrices. Et l’on vient d’apprendre qu’elle était ajournée.

    Et d’un seul coup, c’est un autre Bonnaud. Le résistant capitule. « Tu sais pourquoi nous avons renoncé ? Mettre dix gardes du corps dans le hall, ça coûte 10 000 euros. Nous ne sommes pas de taille. Je dis à Osez le féminisme ! "vous avez gagné". Moi, je suis pas venu travailler à la Cinémathèque française pour entendre Marlène Schiappa me dire que j’avais la culture du viol. On ne me l’a pas encore dit, mais on va me le dire. Et c’est normal qu’on me le dise. »

    Et Bonnaud part en roue libre, sur le mode « plus rien à perdre ». On vient de restaurer 1900, ce très grand film. « Je pourrais inviter Bernardo Bertolucci, son auteur. Mais je ne vais pas l’inviter pour qu’il se fasse traiter de violeur par des demi-folles. » #Bertolucci, violeur ? Il y a du sous-texte. Bonnaud parle ici d’un autre film, le Dernier Tango à Paris, resté célèbre pour la scène de sodomisation (simulée) de Maria Schneider par Marlon Brando à l’aide d’une plaquette de beurre. De longues années plus tard, Bertolucci a avoué que cette scène, non prévue, avait été imaginée par Brando et lui le matin même du tournage, sans que Schneider en fût avertie. « Je voulais sa réaction d’humiliation en tant que femme, et pas en tant qu’actrice », a dit Bertolucci - aveu justement livré à la Cinémathèque de Paris. Bertolucci avait alors expliqué se sentir « coupable » mais ne pas regretter. A noter que ce débat, en 2013, n’avait pas provoqué de réactions particulières en France, jusqu’à ce que son enregistrement soit exhumé trois ans plus tard par la version américaine de Elle.

    Il faudrait prendre Bonnaud entre quatre-z-yeux et lui expliquer que ce qui arriva jadis à Maria Schneider s’appelle bien un viol. On ne parle pas de cinéma. On parle de deux hommes, #Brando et Bertolucci, qui montent un traquenard à une femme, Maria #Schneider, sous un prétexte artistique. Que cela n’empêche peut-être pas d’aimer le film, mais que le temps est venu d’appeler les choses par leur nom. Au risque de se faire traiter de demi-fou, ou de demi-folle.
    Daniel Schneidermann

    #viol #cinéma

  • Truman Capote (1/4) : Un cœur à deux faces
    https://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-auteurs/truman-capote-14-un-coeur-deux-faces


    De Truman Capote on peut affirmer qu’il était un homme de travestissements, de masques, un homme qui jouait son propre rôle. Liliane Kerjan nous fait entrer dans la vie de celui qui fut, enfant, surnommé « Bulldog Persons », futur ami de grandes stars comme Marilyn Monroe ou bien Marlon Brando.

    Pas mal cette série. Le début un peu trop biographique pour moi, mais plus tard Carrère raconte des trucs très troublants sur de sang froid et comment capote souhaitait la mort de ses héros tout en leur faisant croire qu’il les soutenait.
    #truman_capote #journalisme #roman #trahison

  • « Les Clinton me font penser à "The Godfather" » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2016/11/les-clinton-me-font-penser-a-the-godfather.html

    Cette élection présidentielle américaine est un show inouï depuis des décennies, observe l’analyste américain Lew Rockwell, et certains de ses protagonistes ressemblent à s’y méprendre aux personnages du fameux film sur la mafia.

    Lew Rockwell est un économiste américain, fondateur et président de l’Institut Ludwig von Mises, rédacteur du site lewrockwell.com.

    RT : Beaucoup de personnes de l’entourage proche d’Hillary Clinton font l’objet d’enquêtes du FBI – de cinq enquêtes distinctes. Comment cela est-il possible que le favori à la course présidentielle soit ainsi examiné à la loupe ?

    Lew Rockwell (L. R.) : La famille Clinton a cette réputation d’être corrompue, d’avoir commis des escroqueries dès le début de leurs mandats au gouvernement. Il est excellent que ces personnes fassent maintenant l’objet d’examen attentif. Je suis certain qu’ils s’en inquiètent tous. Donald Trump a promis que, s’il était élu, il nommerait un procureur spécial pour enquêter sur les crimes d’Hillary. Je pense que ce procureur spécial va enquêter sur leurs fonctionnaires. Cette élection est tellement amusante, c’est l’élection la plus intéressante et la plus inoubliable que j’ai jamais vue. Il y en a probablement eu de meilleures au XIXe siècle, mais moi, je trouve que c’est énorme.

    Toutes ces personnes sont des criminels. Je pense qu’il est faux que le FBI n’ait pas réussi à le prouver
    RT : Jusqu’à présent, le FBI n’a rien prouvé concernant le cas de Clinton. Mais elle fait l’objet d’une enquête, ses assistants et ses amis également – tout cela ne fait-il pas penser en quelque sorte aux Sopranos ou bien au film Le Parrain ?
    L. R. : Les Clinton me font penser à The Godfather, à l’exception près qu’ils ne présentent pas autant d’intérêt que Marlon Brando. Toutes ces personnes sont des criminels. Je pense qu’il est faux que le FBI n’ait pas réussi à le prouver. Le FBI est juste sous la pression de Loretta Lynch et, probablement, de Barack Obama. Ils ont arrêté la procédure, soulignant qu’elle [Hillary Clinton] n’était pas coupable. Je pense qu’on commence maintenant à se rendre compte de l’importance des crimes des Clinton. Nous avons 650 000 mails, montrant qu’elle partageait son ordinateur avec son mari - elle prétend ne pas savoir comment c’est arrivé. Je m’attends à ce que les démocrates accusent le KGB [d’être à l’origine de la fuite], étant donné qu’on accuse la Russie de tout - et ce, même si la KGB n’existe plus.

    Lire aussi
    Le FBI rouvre l’enquête sur les courriels : « Un coup énorme contre Hillary »
    RT : Maintenant, une autre histoire : le FBI vient de publier 129 pages de son enquête de 2001 sur la fondation Clinton et l’amnistie de Mark Rich. Celui-ci avait été poursuivi à l’époque pour la plus grande évasion fiscale de l’histoire américaine. Bill Clinton l’a gracié au dernier jour de son mandat. Et on suspecte Rich d’avoir été un donateur de la famille Clinton. Le timing de la parution de cette affaire, que vous apprend-il ? 

    L. R. : Cela peut montrer que la FBI est fâché contre les Clinton. Toute l’affaire de Marc Rich est instructive. Ce n’est qu’un des crimes commis par Bill Clinton, mais Marc Rich était en fuite, et Bill Clinton l’a pardonné au dernier moment, le dernier jour où il était à son poste. Il a pris son temps pour voler ce qu’il voulait. Il y a eu également un scandale moins important sur le vol des meubles, à la fin du travail de l’administration de Clinton. Ils l’ont donc pardonné, et la Fondation Clinton a reçu énormément d’argent. C’était évidemment un pot-de-vin, du donnant-donnant. C’est comme ça que tout fonctionne à Washington.

    Bill Clinton a tué énormément de gens en Serbie et dans d’autres endroits, Hillary a aidé à tuer peut-être un million de personnes, elle voudrait en tuer bien plus
    Je ne soutiens pas les criminels parmi les Républicains, qu’il faut également démasquer, mais cela ne concerne pas que les Clinton. Les Clinton sont les pires, il faut leur faire subir une pression pour les forcer à cesser de faire ce qu’ils font, mettre un terme à leur belligérance. Bill Clinton a tué énormément de gens en Serbie et dans d’autres endroits, Hillary a aidé à tuer peut-être un million de personnes, elle voudrait en tuer bien plus. Il est très important d’arrêter ces criminels et que le FBI publie tout.

    RT : Si Bill l’a gracié en raison de ses dons : ce n’est pas la seule accusation du genre « payer pour jouer » ou quid pro quo contre Bill Clinton. Si Hillary est élue, sa présidence sera-t-elle différente ?

    L. R. : Je pense qu’elle est une plus grande criminelle que lui. C’est une grande criminelle, une trafiquante d’influence et bénéficiaire de pots-de-vin. Il n’y aura donc pas de grande différence [avec Bill], cela peut seulement devenir encore pire. Qui sait, elle pourra emmener Bill Clinton à la Maison Blanche, le laissant faire ce qu’il veut pour s’enrichir et enrichir sa famille de façon illégale.

    Hillary Clinton est dangereusement incompétente et qu’elle est entourée de nombre de personnes extrêmement stupides
    RT : Devin Nunes, chef du renseignement intérieur américain (House Intelligence Committee), a accusé lundi Hillary Clinton et ses assistants d’avoir laissé des documents sensibles en déplacement à l’étranger et à plusieurs reprises : en Russie, en Chine...
    Le porte-parole du département d’Etat a déclaré qu’il ne pouvait pas répondre à cette accusation, mais a suggéré que cela ne présentait aucune menace réelle. Cela vous surprend-il ? Pourquoi pensez-vous que l’évaluation des actions de Clinton n’est pas la même au renseignement intérieur et au département d’Etat ?

    L. R. : Une chose intéressante au sujet des mails de WikiLeaks nous montre qu’Hillary Clinton est dangereusement incompétente et qu’elle est entourée de nombre de personnes extrêmement stupides. Aucune stupidité, aucune erreur, ne me surprend. Elle a laissé derrière elle une flaque de sang et de désordre, tout comme son mari. Espérons seulement que ça ne va pas continuer.

    Il faut publier tout ce qui est non-classifié, sans édition. Les responsables du gouvernement estiment que tout ce qu’ils font doit être secret, alors que tout ce que fait la population doit être transparent et ouvert. Il faut que l’inverse soit valable, pour que la population puisse juger si le gouvernement fait bien son travail ou non. La publication, à mon avis, apporterait une révolution paisible, permettant de se libérer de l’oligarchie, c’est de cela dont le monde entier a besoin.

  • Les archéologues sont-ils surtout des fouilleurs de poubelles ?
    http://www.franceculture.fr/emissions/le-salon-noir/le-salon-noir-samedi-21-mai-2016

    Ordures et détritus, les grandes civilisations auraient souvent laissé plus de rebuts que d’autres. Est-ce pour cela que les archéologues fouillent des poubelles, surtout des poubelles ? Dès les années 1970, quelques archéologues avant-gardistes créent « l’archéologie des déchets ». Aujourd’hui, le salon noir aura, pour toute ruine, quelques dépotoirs ou décharges, celles des Lyonnais notamment, mais aussi les poubelles de célébrités, Brigitte Bardot, Ronald Reagan ou Marlon Brando….

    Montre moi tes poubelles, je te dirais qui tu es ! Les poubelles d’aujourd’hui, seront pour les archéologues les trésors de demain…

    #déchets

  • #WhiteHistoryMonth: When #Marlon_Brando brought up Native American rights at #The_Oscars
    http://africasacountry.com/whitehistorymonth-when-marlon-brando-brought-up-native-american-rig

    In March 1973, Marlon Brando won the Oscar for Best Actor for his role in “The Godfather.” Before the live broadcast of the ceremony Brando indicated he would not turn up at the ceremony and refuse the prize if he won. He won. Brando had asked Shasheen Littlefeather, a Native American #MEDIA activist, to go on stage and give a speech about the portrayal of Native people in Hollywood films. In this video you can see what happened at the ceremony. Basically Ms Littlefeather was not able to give the full speech (no surprises, some attendees in the audience booed her), but afterwards handed it out to journalists. Some media ran it in full the next (...)

    #Native_Americans #Sasheen_Littlefeather

  • Marlon Brando Rejected Oscar For ’The Godfather’ - Business Insider
    http://www.businessinsider.com/marlon-brando-rejected-godfather-oscar-2014-2

    He wrote:
    The motion picture community has been as responsible as any for degrading the Indian and making a mockery of his character, describing him as savage, hostile and evil. It’s hard enough for children to grow up in this world. When Indian children ... see their race depicted as they are in films, their minds become injured in ways we can never know.

    A tsunami of criticism toppled over Brando and Littlefeather following the Oscars, from peers in the industry and the media.

    Still, Brando lent the Native American community a once in a lifetime opportunity to raise awareness of their fight in front of 85 million viewers, leveraging an entertainment platform for political justice in unprecedented fashion. His controversial rejection of the award (which no winner has repeated since) remains one of the most powerful moments in Oscar history.

  • 2月16日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-140216

    My Tweeted Times tweetedtimes.com/ChikuwaQ - top stories by ScottATaylor, mashable, silverstar22b posted at 12:00:12

    忘れっぽい天使 rokuroku.tumblr.com/post/76792831068 | Rolling in the snow. #cat posted at 11:30:08

    Top story: Ellen Page Comes Out as Gay With Emotional Speech [VIDEO] mashable.com/2014/02/15/ell…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ posted at 10:05:23

    Papier is out! paper.li/ChikuwaQ/13277… Stories via @EricMainville @FugueurXY @therourke posted at 09:16:24

    Top story: Twitter / RPanh: Marlon Brando by Mary Ellen ... pic.twitter.com/WE16CMDB1c, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ

    posted at 00:23:14

  • Bernardo Bertolucci, le viol avec alibi artistique - Serge Quadruppani
    http://quadruppani.blogspot.fr/2013/09/bernardo-bertolucci-le-viol-avec-alibi.html

    « L’idée nous est venue à Brando et à moi pendant que nous prenions le petit-déjeuner, assis sur la moquette. A un moment, il a commencé à étaler le beurre sur une baguette, aussitôt on s’est donné un coup d’oeil complice » a raconté Bernardo Bertolucci, à la Repubblica du 18, à propos du tournage de Dernier Tango à Paris, « Nous avons décidé de ne rien dire à Maria [Schneider] pour avoir une réaction plus réaliste, pas d’une actrice mais d’une jeune femme. Elle pleure, hurle, se sent blessée. Et d’une certaine manière, elle a été blessée parce que je ne lui avais pas dit qu’il y aurait la scène de la sodomie et cette blessure a été utile au film. Je ne crois qu’elle aurait réagi de la même si elle l’avait su. » A la question de savoir si se comporter de cette manière sur le tournage avec les acteurs serait aujourd’hui moralement acceptable, il a répondu, ironique, « ne pas appartenir à aujourd’hui ».

    De cette complicité entre mâles, ainsi décrite par l’un d’eux, on comprend bien quel pouvait être le vrai désir qu’ils ont refoulé. Si Bertolucci et Brando avaient utilisé le beurre entre eux au lieu de mettre une fille au milieu, elle n’aurait pas subi un demi-viol et ils auraient sûrement découvert de nouveaux espaces pour leur créativité.

    #cinéma #viol

    • Ce n’est pas la première fois que Bertolucci revient sur cette scène, avec la plus grande satisfaction de lui-même et de son complice quant au résultat « artistique ». Lors du décès de Maria Schneider en 2011 il a déclaré regretter de ne pas avoir eu l’occasion de s’excuser ; c’est sûr, 40 ans, ça faisait court...

    • C’est quoi que Quadruppani appelle un demi-viol ? Il veut dire qu’elle était consentante pour un rapport sexuel mais pas pour la sodomie ? On peut pas dire viol tout court, quand la victime se sent abusée au point de « pleurer, hurler, se sentir blessé » ?
      En tous cas ce récit me bouleverse.
      Et ça renforce la vision d’Andrea Dworkin qui explique ici http://seenthis.net/messages/168521 que la libération sexuelle a surtout libéré les ardeurs masculines pour se faire plaisir en toutes circonstances en expliquant aux femmes que c’était tantôt de l’art, tantôt de la subversion, tantôt de la liberté...

    • Ah merci, je suis à moitié rassuré @Rastapopoulos.. tel qu’il en parlait, avec cette idée de vouloir une réaction plus vraie que nature, j’ai halluciné...
      Mais cette façon de tromper une actrice, en lui volant une réaction hors de son jeu d’actrice préparé, et en s’en prenant à son intégrité physique sans son consentement, outch...
      C’est du vol, et le i entre le v et le o n’est pas loin...

      Et quel mépris pour l’actrice.. Je ne sais pas si Marlon Brando aurait apprécié et accepté qu’un réalisateur ne le prévienne pas d’une scène de baston pour choper la peur sur son visage quand il se fait agresser et croit qu’il va se faire casser la gueule...

    • Malheureusement quand on lit les témoignages de ceux qui ont été proches de Maria Schneider, elle a tous les signes d’une personne traumatisée par un viol. Ce film est tout à fait représentatif du cinéma (cette scène est même devenue mythique, c’est dire) ou les actrices sont dépendantes de la jouissance des hommes, en fait un pourcentage effarant de cette industrie. Le plus pervers dans cette dominance violente c’est d’avoir mis Maria Schneider dans l’obligation de faire la promotion de ce film, donc de son viol.

    • Maria Schneider citée sur Facebook (mais sans source) :

      « Ils ne m’ont prévenue qu’au moment de tourner, j’étais dégoûtée. J’aurais dû appeler mon agent ou un avocat, parce qu’on ne peut pas forcer quelqu’un à faire quelque chose qui n’est pas dans le script, mais à l’époque je n’en savais rien. Marlon m’a dit : ne t’inquiète pas, ce n’est qu’un film, mais pendant la scène, même si ce que Marlon faisait n’était pas réel, j’ai pleuré pour de bon. Je me suis sentie humiliée et, pour être honnête, presque violée, à la fois par Marlon et par Bertolucci. Je n’ai jamais vraiment pardonné à Bertolucci la manière dont il m’a traitée. Quand je l’ai rencontré il y a quelques années à Tokyo, je l’ai ignoré... En plus, lui et Marlon ont gagné une fortune avec ce film, alors que je n’ai touché que 2500 dollars. Et Bertolucci était communiste ! »

    • Je pense que le viol c’est la question du consentement pas de la pénétration.
      Cette discussion pour savoir si il y a doigt ou bite dans le cul est je trouve très désagréable et inopportune. A t’on besoin de tous les détails de l’agression pour se faire un avis ? je pense que non.

      Elle dit qu’elle a ressenti un viol, c’est un viol. On est pas au tribunal, a convertir des objets forcés dans des orifices en mois ou années de prison. Il ne s’agit pas du viol au sens législatif ici.
      Désolé si mon ton est énervé et violent, mais ca m’énerve vraiment et je trouve cette évaluation technique très violente.

      On peu parler de viol pour un territoire ou une puce RFID imposé en douce sur le permis de conduire, mais ici dans ce contexte tout a coup il y a des réticences a utiliser ce mot et en on en fait un demi-mot qu’on se plait à mesuré. #fausse_pudeur

      Maria Shneider à été avilie dans cette scène et c’est cela qui a plu au publique et c’est cela que les réalisateurs voulaient voire et revoir en elle par la suite.

      Sur la fiche wikipédia de Maria Schneider j’apprends qu’elle fut renvoyé de nombreux plateaux de tournage par la suite car elle refusait d’être encore dénudée, agressée, avilie ou/et violée par des salopards libidineux armés de caméra, de grands hauteurs toujours respectés et admirés qui n’avaient pas d’autre idée en tête que de lui faire revire le viol de Bertolucci-Brando au service de lard bien évidemment. Ils ont tant aimé, ces hommes, voire une jeune femme salie à l’écran. C’est si libératoire pour leurs ego hypertrophiés de nous refaire jusqu’à la nausée des croutes animées de « Suzanne et les vieillards ».
      https://www.google.fr/search?safe=off&client=firefox-a&hs=NBj&rls=org.mozilla:fr:official&q=suzanne

      Et pour le coté communiste je ne voie pas de contradiction vu que ce types prennent les femmes pour des masturbateurs ambulants, de la viande ou au mieux des animaux de compagnie. Leur libération sexuelle gauchiste-coco, c’est juste la mise en commun de leurs sextoys ou de leurs steaks entre phallophores seuls digne à leur yeux de faire partie du genre humain.

      J’ai vraiment de la peine pour elle de savoir que tous ces types se branlaient (dans tous les sens du terme) de la voire vivre encore et encore l’agression et réactivé ses symptômes post-traumatiques. Comme je la comprend d’être partie loin de tout dans un lieu sans hommes au fin fond du nord. C’est pas n’importe quel porno ce dernier tango à Paris, c’est un snuff-movie. Un film de « happy slapping » comme disent les agresseurs. Sans parlé de tout l’aspect pédo-beurk car Maria Shneider est sans cesse qualifié de « femme-enfant » par rapport à ce film que je ne verrait jamais et pour cela merci de m’avoir prévenu car j’aurais détesté avoir vu cette merde sur pellicule.
      Les palmeurs de cannes, avec leurs amis les Pue-l’Ozone, les t’es-chiche et les paul-en-ski se masturbent encore sur le même scénario et nous le refont chaque année le même brouet infâme sous couvert de grand art que les Dédé la saumure et assimilés viennent encensé la bave aux lèvres. Ah ca m’exaspère ce cynisme omniprésent et ce mesurage de la souffrance. Je ne sais pas comment je vais me calmé mais peace & love quant même ^^ et surtout Sororité parce qu’on en a bien besoin !

    • J’entends ce que tu écris @mad_meg que ça te choque que je dise qu’il y a viol des données personnelles (fichage sans consentement) parce que l’état impose une société de contrôle mais que j’hésite à dire viol concernant Maria Schneider. Oui, j’exprime des choses différentes avec le même mot, lorsqu’il s’agit de contrainte mentale ou de contrainte sexuelle, ça ne retire pas la violence et l’incapacité à se défendre. J’avoue commencer à entrevoir depuis peu ce qu’on nomme un viol sexuel et j’essaie de respecter ce que cette femme n’a pas voulu dire de plus, comme je peux.

    • Je te fait pas ce reproche à toi @touti, ni a celleux qui discutent ici et je ne dit pas qu’on ne peu pas dire viol pour la puce RFID ou autre. C’est le mot « demi-viol » de l’article de départ qui fait qu’on se pose ses questions et qui me gène. Et le « viol sexuel » n’est pas uniquement une question de penétration, c’est encore une idée phallocentré, c’est ca qui me semble le plus important dans ce que je voulais dire.
      Maria Shneider dit l’avoir vécu « comme une viol » alors on peu dire viol et je ne voie pas ce que le fait de savoir si un doigt ou une verge furent introduits changent quelque chose au problème et autorise à minoré le mot avec du demi-truc.
      Ca me touche trop ces question, je vais prendre des vacances d’ici. Ca fera du bien à tout le monde.

    • je suis assez d’accord toi @mad_meg et ton témoignage ne peut que nous inviter à dénoncer toutes les formes de violences sexuelles, et les autres.
      Là, je voudrais revenir sur une idée largement répendue selon laquelle les « grands artistes » sont des gens tyranniques qui maltraitent souvent le petit personnel mais c’est assez logique, on leur pardonne, c’est pour l’"Art". J’ai vu passer quelques seens à ce propos (peut-être du cinéma d’ailleurs, je ne sais plus) mais j’ai continué ma route parce qu’appelée ailleurs. Je m’inscris en faux, extra bold corps 120, contre ce paradigme. Si un auteur n’est pas foutu de réaliser une œuvre sans faire souffrir son prochain, à mon sens, c’est qu’il a raté l’essentiel. On n’est plus face à une œuvre d’art, esthétique sur tous les plans et dans tous les sens du terme, de son élaboration à sa réalisation, mais on est le témoin d’une production esthétisante qui donne à voir, pour complaire au goût de l’époque./

  • La Chine a un nouveau plan pour dominer le monde, et il implique de l’eugénisme et des bébés génies
    http://www.vice.com/fr/read/des-bebes-genies-chinois

    C’est pas vraiment le genre d’infos dont la Chine se vante, nan ? Pendant que la civilisation occidentale s’étouffe de sa propre gloutonnerie comme Marlon Brando vers la fin de sa vie, la Chine continue de racheter la dette américaine et de bloquer les ressources naturelles mondiales. Sauf que maintenant, non content de juste se foutre de la gueule de l’Occident, de nous faire des gros bras d’honneur et de passer devant nous sur …

    Flippant, mais est-ce vraiment étonnant ?

    #www.vice.com #chine #eugénisme #adn #ogm

  • Chambre avec vue : « l’Aube Dorée » (greek crisis)
    http://greekcrisisnow.blogspot.fr/2012/05/chambre-avec-vue-laube-doree.html

    « L’Aube Dorée » fut un hôtel légendaire au pays lumineux qu’était la Grèce des années 60, tout du moins pour les représentations collectives, car la réalité est souvent bien plus sombre qu’elle n’y paraît, à travers le miroir déformant de la mémoire. Situé sur l’île de Poros, l’hôtel s’est rendu célèbre par le cinéma populaire et commercial grec de l’époque, car certaines scènes inoubliables ont été réalisées dans ses locaux, et notamment, la comédie burlesque : « Bien mieux que Marlon Brando », entièrement tournée dans cet hôtel en 1964, mettant en scène le grand acteur comique (...) Source : greek crisis

  • Top 10 des films à l’envers
    http://www.bandofmovies.fr/forum/avis-top-10-des-films-a-l-envers-t4489.html

    Apocalypse now : Un mec bute Marlon Brando, fume des joints et descend un fleuve avec des junkies. Arrivé à bon port, il fait un coma éthylique.
    Braveheart : On greffe des tripes à Mel Gbson pour qu’il puisse faire la guerre avant de prendre une retraite paisible avec sa femme et son gosse.
    Into the wild : Un mec qui se gèle trop les couilles dans son bus perdu dans les montagnes décide de prendre la route pour acquérir une voiture, une carte bleue et se les gratter sur son canapé Ikéa.
    La mouche : Un monstre est embrassé par Gena Davis et devient Jeff Goldblum qui l’emmène bouffer un cheeseburger.

    #cinéma #geek
    Très marrant. J’aime bien aussi Aliens à l’envers.