person:matthias fekl

  • Tentative d’incendie au QG de Marine Le Pen - Œil sur le front
    https://oeilsurlefront.liberation.fr/en-bref/2017/04/13/tentative-d-incendie-au-qg-de-marine-le-pen_1562470
    https://statics.liberation.fr/oeil/oeiltheme/images/share.png

    Le ministre de l’Intérieur Matthias Fekl a dénoncé sur RTL « des actes inacceptables » : « Nous sommes en lien avec l’équipe de la candidate du Front national, dès hier soir, et nous verrons s’il y a lieu, le cas échéant, en lien avec eux, de renforcer les dispositifs de sécurité », a-t-il affirmé. 

    Un groupe affirmant s’appeler « Combattre la xénophobie » a contacté l’AFP pour revendiquer cette action, menée selon lui à l’aide « de cocktails Molotov ». L’interlocuteur a également déclaré avoir mené une action similaire au siège du quotidien d’extrême droite Présent. « Ca va continuer tous les jours jusqu’aux élections », a ajouté l’interlocuteur, qui ne s’est pas présenté. « Un policier est venu ce matin » pour vérifier les locaux du journal, a indiqué à l’AFP Caroline Parmentier, journaliste à Présent. « Il n’y a pas eu de tentative d’incendie » mais « nous avons le même tag "FN vs KLX" sur notre façade d’immeuble », a-t-elle ajouté.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN

  • Tentative d’incendie au QG de Marine Le Pen - Œil sur le front
    https://oeilsurlefront.liberation.fr/en-bref/2017/04/13/tentative-d-incendie-au-qg-de-marine-le-pen_1562470

    Le ministre de l’Intérieur Matthias Fekl a dénoncé sur RTL « des actes inacceptables » : « Nous sommes en lien avec l’équipe de la candidate du Front national, dès hier soir, et nous verrons s’il y a lieu, le cas échéant, en lien avec eux, de renforcer les dispositifs de sécurité », a-t-il affirmé. 

    Un groupe affirmant s’appeler « Combattre la xénophobie » a contacté l’AFP pour revendiquer cette action, menée selon lui à l’aide « de cocktails Molotov ». L’interlocuteur a également déclaré avoir mené une action similaire au siège du quotidien d’extrême droite Présent. « Ca va continuer tous les jours jusqu’aux élections », a ajouté l’interlocuteur, qui ne s’est pas présenté. « Un policier est venu ce matin » pour vérifier les locaux du journal, a indiqué à l’AFP Caroline Parmentier, journaliste à Présent. « Il n’y a pas eu de tentative d’incendie » mais « nous avons le même tag "FN vs KLX" sur notre façade d’immeuble », a-t-elle ajouté.

    #Linfiltré #PhoneStories #FN

  • L’islamologue Hani Ramadan, frère de Tariq et petit-fils du fondateur des Frères musulmans a été expulsé de France vers la Suisse
    http://www.lemonde.fr/societe/article/2017/04/08/l-islamologue-hani-ramadan-expulse-de-france-vers-la-suisse_5108311_3224.htm

    « Connu pour avoir dans le passé adopté un comportement et tenu des propos faisant peser une menace grave sur l’ordre public sur le sol français », l’islamologue helvète Hani Ramadan a été expulsé dans la soirée du samedi 8 avril vers la Suisse, a annoncé le ministère de l’intérieur. « Les forces de l’ordre sont pleinement mobilisées et continueront de lutter sans relâche contre l’extrémisme et la radicalisation », a déclaré Matthias Fekl.

    #hani_ramadan #expulsion

  • « Police politique » : Matthias Fekl, le ministre de l’Intérieur, porte plainte contre Florian Philippot - Le Parisien
    http://www.leparisien.fr/elections/presidentielle/le-ministre-de-l-interieur-depose-plainte-pour-diffamation-apres-des-prop

    « Quand vous avez une police politique... les pauvres... je vous assure, ils étaient là, ils ne savaient pas ce qu’ils devaient faire, ils ne savaient pas où ils devaient aller. Ils ont pris des dossiers qui n’avaient rien à voir, ils ont pris des dossiers liés à l’élection présidentielle d’une candidate d’opposition (...) On envoie la police de l’État pour chercher des dossiers liés à la présidentielle. Il faut que les gens voient ça », avait déclaré Florian Philippot en commentant les perquisitions dont a fait l’objet le 17 février le siège du Front national.

    #PhoneStories #Linfiltré #FN

  • [Exclusif] Législatives : Le gouvernement va interdire le vote électronique pour les Français de l’étranger | Valeurs Actuelles
    https://www.valeursactuelles.com/politique/exclusif-legislatives-le-gouvernement-va-interdire-le-vote-electro

    C’est le secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, de la Promotion du tourisme et des Français de l’étranger, Matthias Fekl, qui fera cette annonce aujourd’hui devant l’Assemblée des Français de l’étranger : lors des prochaines élections législatives, les Français de l’étranger ne pourront pas voter par internet. Une décision lourde de conséquence et qui devrait conduire de nombreux Français à être dans l’impossibilité de pouvoir voter en juin prochain.

    Pour justifier cette décision, le gouvernement invoque des raisons de sécurité. Frédéric Lefebvre, le député des Français d’Amérique du Nord dénonce aujourd’hui cette nouvelle mesure, selon lui injustifiée. “Le gouvernement est à même d’assurer la sécurité des transmissions par internet pour que les Français déclarent et payent les impôts” écrit-il dans un texte où il note également que le vote électronique est utilisé par d’autres pays comme l’Estonie et la Suisse.

    Pour certains Français de l’étranger, ne pas voter par internet implique parfois de se déplacer à plus de 3 000km pour trouver un bureau de vote. “Je veux que vous soyez en mesure d’exercer votre droit de vote comme n’importe quel autre Français” poursuit Frédéric Lefebvre, qui lance aujourd’hui une pétition adressée au président de la République et du Premier ministre. En 2012, le vote électronique avait été utilisé pour les élections législatives, sans qu’aucun incident notable ne soit à relever.

    #c'est_la_faute_à_Poutine

  • Vers la fin du Tafta ? Une annonce qui ne doit pas rester un trompe l’oeil...

    A écouter les medias, c’est désormais entendu : les négociations du Tafta sont arrêtées, suite à la demande française. C’est malheureusement plus compliqué, raison d’être de ce décryptage en 6 points pour éviter les raccourcis et imprécisions nombreuses dans la presse suite à l’annonce de Matthias Fekl et François Hollande.

    https://blogs.mediapart.fr/maxime-combes/blog/300816/vers-la-fin-du-tafta-une-annonce-qui-ne-doit-pas-rester-un-trompe-lo

    #ceta #FEKL #Hollande #Mobilisations #TAFTA

  • La France veut l’arrêt des négociations sur le traité de libre échange transatlantique
    http://www.brujitafr.fr/2016/08/la-france-veut-l-arret-des-negociations-sur-le-traite-de-libre-echange-tra

    Le gouvernement français va demander en septembre à la commission européenne d’arrêter les négociations sur le projet de traité de libre échange entre Européens et Américains (TTIP) a annoncé le secrétaire d’Etat au Commerce extérieur Matthias Fekl. « Il...

  • Traité transatlantique : pourquoi la France menace de stopper les négociations

    http://transatlantique.blog.lemonde.fr/2015/09/28/traite-transatlantique-pourquoi-la-france-menace-de-sto

    Un an après sa nomination comme secrétaire d’Etat au commerce extérieur, Matthias Fekl a décidé de hausser le ton dans le principal dossier de son portefeuille : le traité transatlantique Tafta/TTIP. Dans une interview parue lundi 28 septembre dans Sud-Ouest (lien payant), le quotidien de son fief de Marmande, M. Fekl menace les Etats-Unis de suspendre les négociations du grand accord commercial en discussion entre les deux rives de l’Atlantique si ceux-ci ne montrent pas un peu plus de bonne volonté.

    Mais Matthias Fekl insiste surtout sur les deux aspects de la négociation qui prêtent le plus le flanc à la critique depuis son lancement, en 2013 :

    L’opacité des discussions, qui se déroulent « derrière les portes closes de grands hôtels internationaux d’où rien ne sort ». Une charge régulièrement assénée par les ONG et les partis anti-Tafta, qu’il est plus étonnant de retrouver dans la bouche d’un ministre français qui se félicitait il y a un an de la « transparence » obtenue par le gouvernement français.

    Il faut dire qu’entre-temps, les règles de confidentialité pour accéder aux documents de négociation ont encore été durcies sur la demande des Américains : depuis le 27 juillet, ceux-ci ne sont plus accessibles que dans des salles de lecture ultra-sécurisées, à Bruxelles ou dans les ambassades américaines - l’envoi de versions électroniques ayant donné lieu à trop de fuites. Matthias Fekl réclame un retour sur ces règles pour que les parlementaires puissent y accéder beaucoup plus librement, afin de préserver la symétrie avec les parlementaires américains.

    Le remplacement des très controversés tribunaux d’arbitrage privés ISDS par une juridiction publique de règlements des différends en matière d’investissement. Dénonçant un « scandale démocratique », il se félicite une nouvelle fois que les « propositions françaises » soient « au cœur du débat » - bien que les Etats-Unis y aient pour l’instant opposé une brutale fin de non-recevoir, selon Die Welt.

  • Tafta ou climat : sept questions à François Hollande et au gouvernement

    http://blogs.mediapart.fr/blog/maxime-combes/040515/tafta-ou-climat-sept-questions-francois-hollande-et-au-gouvernement

    Tafta ou climat : sept questions à François Hollande et au gouvernement

    04 mai 2015 | Par Maxime Combes

    Interrogé à plusieurs reprises, le gouvernement nie les implications climatiques du Tafta. A l’occasion de l’audition de Matthias Fekl, ce mardi 5 mai, à l’Assemblée nationale, voilà sept questions documentées, comme autant d’arguments, à ce sujet : Tafta ou climat, il faut choisir !

    Dans une même phrase, un même discours, une même journée, François Hollande n’hésite pas à dire qu’il souhaite obtenir un accord historique entre les Etats-Unis et l’Union européenne (Tafta), et ensuite qu’il veut laisser « sa trace dans l’histoire » avec un « accord historique » lors de la Conférence des Nations-Unies sur le changement climatique à Paris à la fin de cette année. De notre point de vue, il y a clairement un « historique de trop ».

    #tafta #climat

  • Comment la #France a laissé la voie libre aux #tribunaux_privés internationaux | La bataille transatlantique
    http://transatlantique.blog.lemonde.fr/2014/12/19/comment-la-france-a-laisse-la-voie-libre-aux-tribunaux-

    C’est l’histoire d’un coup de force franco-allemand avorté qui aurait pu abattre un totem du commerce mondial. L’histoire de quelques semaines décisives où la timidité du gouvernement français a conduit à laisser l’Union européenne avaliser un choix qu’elle regrettera peut-être dans quelques années : l’inclusion d’un mécanisme d’arbitrage privé dans l’accord commercial #CETA conclu entre l’#UE et le #Canada le 26 septembre.

    Selon les informations du Monde, une montée au créneau de Paris aurait pu faire basculer le rapport de force européen pour enterrer l’#ISDS (Investor-State Dispute Settlement), un système de tribunaux privés fréquemment intégré dans les accords commerciaux internationaux. Mis en lumière ces derniers mois par la négociation du traité transatlantique #TTIP/#Tafta, ce mécanisme est de plus en plus contesté, dans la société civile comme dans le champ politique, car il permet aux grandes entreprises de réclamer des dommages et intérêts aux Etats lorsqu’ils prennent certaines décisions allant à l’encontre de leurs intérêts.

    >> Pour en savoir plus sur les risques, lire : Pourquoi le traité Europe-Canada est inquiétant

    L’#Allemagne, attaquée à deux reprises par le géant suédois de l’énergie Vattenfal (notamment pour avoir décidé de sortir du nucléaire), est fermement opposée à la signature de nouveaux traités avec ISDS. Jusqu’à la veille de la signature officielle du CETA, son ministre de l’économie, Sigmar Gabriel, menaçait de torpiller l’accord si la clause d’ISDS n’était pas retirée. Le 10 novembre, après avoir rencontré la nouvelle commissaire européenne au commerce Cecilia Malmström à Berlin, le social-démocrate a dû admettre l’échec de sa croisade : « Si le reste de l’Europe veut cet accord, alors l’Allemagne doit l’approuver, s’est justifié le social-démocrate quelques jours plus tard devant le Bundestag. Nous n’avons pas le choix. »

    Dans la dernière ligne droite, Berlin s’est donc retrouvé seul pour contester l’ISDS. En face, 14 Etats européens – Royaume-Uni, Espagne et Scandinaves en tête – ont écrit à la Commission européenne pour la sommer de défendre l’arbitrage privé.

    Où se situait la France dans ce débat ? Nulle part. Se contentant devant le Sénat de rappeler les « réserves » de Paris sur la question, le secrétaire d’Etat chargé du commerce extérieur, Matthias Fekl, n’est jamais monté au créneau pour défendre son homologue allemand – pas plus que ses supérieurs. Le 10 novembre, dans Marianne, il s’est justifié dans ces termes :

    « Je pourrais très bien aller demain devant les caméras et dire qu’on dénonce ce mécanisme et qu’on le refuse. Mais ça, c’est du spectacle ! Ce n’est pas ça la politique. »

    Selon nos informations, une alliance franco-allemande aurait pourtant pu changer la donne. « Si la France était entrée dans l’arène aux côtés de l’Allemagne, l’ISDS aurait vécu ses derniers moments », aurait ainsi reproché une homologue européenne à Matthias Fekl lors d’une séance de travail à Bruxelles, le 21 novembre. « La Commission a réellement hésité, se demandant si elle ne devait pas se débarrasser de ce fardeau politiquement coûteux », confie une source proche du gouvernement français. Si la France et l’Allemagne n’ont officiellement pas le pouvoir d’imposer un veto au Conseil de l’Union européenne, le poids politique du couple aurait sans nul doute pesé dans la balance, et pu entraîner des Etats hésitants, comme les Pays-Bas, où un important débat sur l’ISDS a saisi l’opinion publique.

    L’Allemand Sigmar Gabriel, contraint de faire avaler son renoncement à ses troupes social-démocrates, a gardé en travers de la gorge ce lâchage français en rase campagne. Il aurait même demandé – sans succès – des explications à Paris sur son silence lors du conseil « Ecofin » franco-allemand du 3 décembre.

    Ces hésitations françaises sont d’autant plus surprenantes que Paris avait été parmi les premiers à critiquer l’ISDS dans le cadre du Tafta/TTIP, en janvier 2014, par la voix de l’ancienne ministre du commerce extérieur #Nicole_Bricq. Les remaniements successifs, conjugués à la reprise en main du dossier par le quai d’Orsay et la direction du trésor, ont achevé d’édulcorer cette position.

    #Fleur_Pellerin a ainsi vanté les mérites du mécanisme devant les députés en juin, Laurent Fabius s’en remettant aux conclusions d’une consultation publique en juillet, Matthias Fekl refusant de se positionner en octobre… Le moins que l’on puisse dire est que le gouvernement socialiste n’est guère en phase avec sa majorité, qui a demandé à l’Assemblée le rejet du chapitre ISDS du CETA, dans une résolution du 23 novembre.

    « Si le texte ne bouge pas, je voterai contre lorsqu’il arrivera pour ratification au Parlement », promet la députée socialiste #Chantal_Guitet, la rapporteure de la résolution à l’Assemblée. Et je ne suis pas la seule, car le scepticisme se retrouve aussi bien à droite qu’à gauche. » Or, un vote négatif du parlement d’un des vingt-huit Etats de l’UE, et c’est le CETA tout entier qui s’effondrera, car l’accord ne peut être amendé. « Il y a un gros déficit démocratique dans cette façon de traiter les parlements et l’opinion publique », poursuit Mme Guitet.

    On peut dès lors se demander si Bruxelles et Paris entendent prendre le même risque dans le cadre du traité transatlantique négocié avec les Etats-Unis, qui doit comporter le même type de mécanisme d’arbitrage ISDS. Les conséquences d’un échec de la ratification du Tafta/TTIP seraient autrement plus dramatiques pour la Commission européenne, qui en a fait l’une de ses priorités pour relancer l’Europe dans le jeu mondial.

    Maxime Vaudano

    #commerce_international #etat

  • La Cimade - Actualités - Au moins 62% des étrangers sont expulsés sans voir le juge
    http://www.lacimade.org/nouvelles/4443-Au-moins-62--des--trangers-sont-expuls-
    s-sans-voir-le-juge

    62% des personnes étrangères arrêtées puis enfermées en centre de rétention en 2012 ont été ensuite expulsées directement, sans voir le juge des libertés et de la détention, seul garant de la liberté individuelle.

    Ce chiffre rendu public dans le rapport sur l’immigration du parlementaire Matthias Fekl illustre le grave recul des droits qu’a provoqué la dernière loi sur l’immigration, dite loi Besson. Celle-ci prévoit en effet que le JLD n’intervienne plus qu’au bout de 5 jours de rétention au lieu de 2 auparavant. À titre de comparaison, début 2011, c’était 22% des personnes enfermées en rétention qui étaient expulsées avant de voir le juge.

    Écarter ainsi le juge des libertés donne toute latitude à la police pour arrêter et enfermer des personnes étrangères sans trop se préoccuper du respect des procédures, pourtant garde-fous indispensable des droits fondamentaux.

    #Etrangers #expulsions #droits #Eric_Besson