person:mehdi jomaa

  • Tunisie : Mehdi Jomâa, la tentation du retour - JeuneAfrique.com
    http://www.jeuneafrique.com/mag/318508/politique/tunisie-mehdi-jomaa-tentation-retour

    e tassement de popularité, conséquence de son éloignement, est logique et naturel. Mais l’ex-Premier ministre se maintient à un niveau remarquablement élevé. « Jomâa est une épine dans le pied de Nidaa Tounes, le parti présidentiel, car il mord largement sur son électorat centriste et moderniste modéré, analyse un communicant qui échange régulièrement avec l’ancien chef du gouvernement. En votant Ennahdha en octobre 2011, les Tunisiens ont opté pour la rupture, politique et identitaire, et cela a été la débandade.

    Ils ont corrigé le tir en octobre et en décembre 2014, et plébiscité Nidaa Tounes et Béji Caïd Essebsi [BCE] au nom du vote utile, c’est-à-dire pour faire barrage à Ennahdha. La situation ne s’est guère améliorée. Les gens sont désillusionnés, ils ne croient plus au leader providentiel. La prochaine fois, ils pourraient privilégier la technicité et la compétence par un vote de raison. » Sur ce terrain, Jomâa, même s’il ne fait pas rêver, est celui qui offre les plus sérieuses garanties.

  • Sidi Bouzid cinq ans plus tard : terrorisme, pauvreté et initiatives locales | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/sidi-bouzid-cinq-ans-apr-s-terrorisme-pauvret-et-initiatives-locales-

    Les milices armées sont nombreuses dans la région. Surnommée auparavant le « Triangle de la pauvreté », la zone qui s’étend entre Gafsa, Kassérine et Sidi Bouzid abrite plusieurs groupes violents, dont de nombreux se cachent dans les montagnes du centre-ouest du pays. À Tunis, certains ont rebaptisé la zone le « Triangle de la mort » en raison des nombreux accrochages entre gardes nationaux, militaires et groupes armés.

    « Les salafistes ont peur, ils se font très discrets. Mais Sidi Bouzid est un terreau favorable. Depuis l’affaire de Soliman [une fusillade survenue en janvier 2007 dans la région de Soliman opposant les forces de l’ordre tunisiennes à un groupe salafiste armé], tous sont sortis de prison, certains sont revenus ici et sont devenus imams. Pour l’instant ils sont calmes, jusqu’à ce que Daech donne l’ordre d’attaquer », prévient Thameur Baccari.

    Ces dernières années, la ville a été le théâtre d’affrontements entre salafistes et habitants. Entre 2012 et 2014, sept mosquées sur les dix que compte la ville ont été occupées par les salafistes. L’été 2014 marque une reprise en main par les autorités, à l’occasion de l’instauration du gouvernement de technocrates dirigé par Mehdi Jomaa et du départ du pouvoir des islamistes d’Ennahdha. La police effectue alors des contrôles dans les mosquées, les imams non habilités sont sommés de quitter leurs fonctions, et l’État ordonne la fermeture administrative de plusieurs associations salafistes.

    « Sidi Bouzid est un symbole dont ils [les salafistes] veulent s’emparer », affirme Thameur. À l’instar des commémorations du 17 décembre marquant le début de la révolution il y a cinq ans. Si la première année, l’heure était à la fête, avec des milliers de personnes venues des quatre coins du monde, dès la deuxième année, des drapeaux noirs du Hizb ut-Tahrir flottaient parmi la foule. Un stand du parti politique salafiste siégeait à l’endroit même où Bouazizi s’était immolé, devant la grande Poste.

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  • Tunisie-France | Tunisie - France : BCE à Paris pour une nouvelle donne diplomatique | Jeuneafrique.com - le premier site d’information et d’actualité sur l’Afrique
    http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2830p040.xml0/france-diplomatie-b-ji-caed-essebsi-dette-tunisienne-tunisie-france-tu

    Slim Chaker, le ministre des Finances, vient de le reconnaître : il va devoir trouver 7,5 milliards de dinars (3,5 milliards d’euros) pour boucler son budget, et n’aura d’autre alternative que de faire appel à la générosité des amis de la Tunisie. L’an passé à la même époque, les éditorialistes avaient beaucoup reproché au Premier ministre, Mehdi Jomâa, d’être revenu les mains vides de ses tournées en France et dans les pays du Golfe.
    BCE aimerait éviter pareille mésaventure à l’issue du périple diplomatique qui doit également le conduire aux États-Unis et aux Émirats arabes unis. L’étape française risque d’être frustrante. Paris et Tunis négocient d’arrache-pied une transformation de la dette tunisienne en investissement pour un montant de 100 millions d’euros. L’accord, s’il aboutit, devra encore passer sous les fourches Caudines de Bercy.

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  • Politique démission du premier ministre en #Tunisie
    http://grigrinews.com/politique-demission-du-premier-ministre-en-tunisie/2580

    « 27/01/2015, Tunis, Tunisie : Le chef du gouvernement tunisien sortant Mehdi Jomaa a présenté, lundi, la démission de son gouvernement au président de la République, Béji Caïd Essebsi, a-t-on appris auprès de la présidence du gouvernement. »

  • http://www.lapresse.tn.html Jeudi 14 Août 2014

    Editorial
    Une nouvelle approche prometteuse

    IL semble que Mehdi Jomâa et les membres de la cellule de crise aient décidé de rompre définitivement avec l’approche suivie jusqu’à la démission du général Mohamed Salah Hamdi, en matière de lutte antiterroriste, plus particulièrement pour ce qui est de la coordination sur le terrain avec l’Algérie.
    La réunion, mardi 12 août, du Conseil national de sécurité a accouché d’une série de décisions dont la plus significative concerne l’instauration d’un commandement commun à la frontière tuniso-algérienne « afin d’enrayer plus aisément les risques sécuritaires et de combattre plus efficacement le terrorisme », comme l’a précisé Mongi Hamdi, ministre des Affaires étrangères, présent à la réunion.
    En plus clair, l’absence de coordination avec l’armée algérienne, dénoncée à juste titre par les spécialistes et les experts, relève désormais du passé.
    Et s’il y a un fait à saluer, c’est bien celui de voir les communiqués publiés à l’issue des réunions du Conseil national de sécurité rompre avec l’ancienne tradition où l’on se contentait de passer en revue l’identité des personnalités présentes et produire une phrase sur l’examen de la situation sécuritaire et sur les mesures prises sans en révéler le contenu.
    Mardi dernier, les langues se sont déliées, et l’on a vu Ridha Sfar, Mehdi Jomâa et Mongi Hamdi révéler aux Tunisiens les faits tels qu’ils sont, sans chercher à cacher les vérités que tout le monde connaît, des vérités qui commandent de nouvelles approches et qui imposent que la stratégie de lutte antiterroriste leur trouve les solutions les plus appropriées.
    Ainsi, la révélation selon laquelle les menaces terroristes sont encore présentes, en dépit des réussites engrangées ces dernières semaines par nos forces armées et de sécurité, la possible création d’une agence nationale de renseignements et le passage de l’intervention sécuritaire du stade de la réaction à celui de l’initiative montrent que les choses bougent. Tous les indicateurs montrent que le plan national de lutte antiterroriste, piloté désormais par les spécialistes agissant sur le terrain, est en train de gagner progressivement en visibilité en se libérant lentement mais sûrement de la contrainte des instructions émises par ceux qui conduisaient jusqu’ici les opérations dans leurs bureaux feutrés, attendant eux aussi les ordres d’en haut.
    Il reste que ces prémices annonçant une nouvelle approche en la matière soient consolidées et aboutissent le plus tôt possible à des réalisations concrètes.❞

  • Tunisian Minister Resigns After Normalization Accusations
    http://english.al-akhbar.com/content/tunisian-minister-resigns-after-normalization-accusations

    Tunisia’s premier-designate #Mehdi_Jomaa (R) presents his new government during a parliamentary session in the constituent assembly on January 28, 2014 in Tunis. (Photo: AFP - Fethi Belaid) #Tunisia's premier-designate Mehdi Jomaa (R) presents his new government during a parliamentary session in the constituent assembly on January 28, 2014 in Tunis. (Photo: AFP - Fethi Belaid)

    In perhaps the fastest resignation in history, Tunisia’s Minister of Tourism #Amal_Karboul handed in her resignation to Prime Minister Mehdi Jomaa on January 29, after holding the position for just a few minutes. Karboul was accused of normalization with #Israel after visiting occupied Palestine though Tel Aviv airport. (...)

    #Mideast_&_North_Africa #Articles #National_Constituent_Assembly

  • Tunisian parliament approves apolitical government line-up
    http://english.al-akhbar.com/content/tunisian-parliament-approves-apolitical-government-line

    From right, #Tunisia's premier-designate Mehdi Jomaa, Justice Minister Hafedh Ben Salah and Interior Minister Lotfi Ben Jeddou attend a parliamentary session to present Jomaa’s new government in the Constituent Assembly on January 28, 2014 in Tunis. (Photo: AFP - Fethi Belaid)

    Tunisia’s parliament on Wednesday approved a technocratic caretaker government tasked with leading the country out of a bruising political crisis and to fresh elections. After a marathon session broadcast live on national television, the line-up proposed by Prime Minister-designate Mehdi Jomaa was approved by 149 lawmakers, with 20 voting against and 24 abstaining. The line-up was only agreed after weeks of horsetrading and will replace the government led by the Islamist al-Nahda party, (...)

    #Top_News

  • Le cas Bouchamaoui et le ministère de l’Industrie : la gestion bananière des ressources naturelles de l’État tunisien | Nawaat - Tunisia
    http://nawaat.org/portail/2014/01/09/le-cas-bouchamaoui-et-le-ministere-de-lindustrie-la-gestion-bananiere-des-re

    N’y a-t-il pas quelque chose de choquant pour l’opinion publique que de relever que celle -Mme Bouchamaoui- qui est membre du quartette (au nom de l’UTICA), soit en position de contribuer à proposer le nom d’un premier ministre qui fut précédemment celui-là même qui signe ses permis de recherche à la tête du ministère de l’Industrie (3). Ce mélange d’intérêts est-il sain pour un mode de gouvernance conforme aux attentes de la nation ?
    Si des malversations se révèleraient ultérieurement, comment ne pas s’interroger sur une éventuelle implication -y compris passive- de Mehdi Jomaa dans cette affaire ? Comment ne pas s’interroger également sur le rôle des précédents ministres de l’Industrie ? Comment enfin ne pas faire le parallèle entre cette gestion littéralement « népotique », et non moins bananière, sous Ben Ali, avec ce qui est en train de se passer dans le domaine minier, aujourd’hui, en 2014 ?

    Comment ne pas s’interroger, en outre, si la proposition du nom de Mehdi Jomaa, entre autres, par Wided Bouchamaoui ne fut pas le fruit d’un renvoie d’ascenseur entre les deux parties ?

    #Tunisie
    #pétrole

  • Tunisie : transition dans l’ordre ou nouvelle révolution sociale ?
    Tunisie - La Rue pousse le gouvernement à partir par la porte de derrière | Businessnews.com.tn
    http://www.businessnews.com.tn/details_article.php?a=43449&t=519&lang=fr&temp=3

    La journée du 9 janvier 2014 est à marquer, à plus d’un titre, dans l’histoire de la Tunisie avec l’annonce officielle de la démission du gouvernement d’Ali Laârayedh, devenant ainsi un simple cabinet de gestion des affaires courantes en attendant la formation de son successeur par Mehdi Jomâa, et l’annonce de la suspension des nouvelles taxes sur les moyens de transport, décrétées dans la Loi de finances 2014, jusqu’à sa révision par l’ANC.

    La démission d’Ali Laârayedh était, pourtant, prévue et programmée par la feuille de route, élaborée par le Quartet parrainant le dialogue national et signée par 21 partis politiques. Mais les dirigeants d’Ennahdha ont multiplié les déclarations faisant persister un flou artistique sur les réelles intentions du parti islamiste et du gouvernement de la Troïka.
    [...]
    Mais c’était compter sans cette « Intifadha » de la Rue qui a tout « balayé » sur son chemin et a fait l’effet d’un véritable séisme sous les pieds du pouvoir en place. En l’espace de quatre jours seulement, le mouvement populaire des agriculteurs et des transporteurs a pu avoir raison des ultimes résistances d’un gouvernement accrocheur.
    Il faut dire que les protestations ont fait tâche d’huile dans toutes les régions du pays et ont eu un effet boule de neige balayant tout sur leur passage : sièges de gouvernorats, de délégations du parti d’Ennahdha et des postes de polices sans oublier, bien entendu, le blocage de plusieurs routes, ce qui était annonciateur d’une paralysie totale de toute l’activité économique dans le pays.

    Face à cette détermination implacable et le risque de voir le pays mis à feu et à sang, Ali Laârayedh a été contraint de hâter la présentation de sa démission. Certaines sources indiquent que cette pression de la Rue a été relayée et renforcée par une autre, à savoir celle des pays étrangers desquels notre pays et notre économie dépendent en grande partie.

  • La Tunisie espère avoir pour le 3e anniversaire de la chute de Ben Ali le 14 janvier 2014 une nouvelle constitution et un nouveau gouvernement.

    La Polit-Revue : Les travaux d’Hercule de Mehdi Jomaa | Nawaat - Tunisia
    http://nawaat.org/portail/2013/12/23/la-polit-revue-les-travaux-dhercule-de-mehdi-jomaa

    Les fuites et spéculations vont bon train au sujet de la composition du futur gouvernement Mehdi Jomâa, le 6ème après la révolution. Ce dernier semble avoir tiré les leçons de l’impopularité de l’équipe ministérielle dont il est lui-même issu. Encore meurtrie par la tournure du dialogue national, l’opposition hésite, selon ses composantes, entre jouer le jeu et faire obstruction.

    Quelques certitudes sont d’ores et déjà acquises : le gouvernement de compétences qui devrait voir le jour la semaine prochaine fera l’objet d’une véritable cure d’amincissement quant au nombre de ministres et comportera davantage de femmes, 3 ou 4, à des portefeuilles significatifs voire régaliens, dont probablement la Justice où est pressentie la juge Jaouida Guiga. Jomâa jouera à n’en pas douter la carte de la séduction autour d’une équipe rajeunie et moderne.

    Une accalmie politique de façade

    Mais déjà la contestation s’organise en amont : samedi, amputé d’al Joumhouri, le Front du Salut National (FSN) tenait une conférence de presse au siège du Parti des Travailleurs (PT) pour présenter une série de conditions adressées au quartet. Si certaines sont légitimes, d’autres laissent présager d’un bras de fer politicien tenace.

    En guise de conditions préalables au retour à la table du dialogue, le porte-parole du PT Jilani Hammami demande de redéfinir l’échéancier de la feuille de route et de parachever le processus gouvernemental, sans inclure de ministres actuellement en poste. C’est une première difficulté pour Jomâa dont on sait qu’il est tenté par un jeu de chaises musicales partiel, notamment avec une possible reconduction de Lotfi Ben Jeddou à un autre ministère.

    la 3ème condition est la plus floue et la plus problématique : il s’agit de « créer les mécanismes garantissant la fin des blocages durant l’étape restante » : en clair, la révision de la loi régissant les pouvoirs publics provisoires, en revenant sur les modalités des motions de censure, ce dont la majorité ne veut pas entendre parler.

  • Mehdi Jomaa : Bref bilan controversé d’un ministre prochainement promu (?) chef du gouvernement. | Nawaat - Tunisia
    http://nawaat.org/portail/2013/12/19/mehdi-jomaa-bref-bilan-controverse-dun-ministre-prochainement-promu-chef-du-
    Un article critique sur le bilan de M. Jomaa dans ses fonctions de ministre de l’Industrie, qui inclue la tutelle de l’énergie

    Nous nous demandons donc, comment est-ce que Jomaa pourrait honorer l’engagement de son “éventuel futur” gouvernement à lutter contre toutes les formes de corruption, alors que, manifestement, nous avons là ce qui ressemble fort à un laxisme de sa part à traiter le dossier de la corruption relatif au passif -certains affirment relatif au présent également- du ministère qu’il chapeautait ?

    Par ailleurs, M. Jomaa est gaz de schiste. Son management des subventions énergétiques a été un peu obscur les hausses de tarif ne seraient pas justifiées... Enfin, il serait prêt à offrir le secteur des énergies renouvelables aux entreprises étrangères françaises et allemandes (et autres).

  • Un député de l’opposition tunisienne explique pourquoi il donne un préjugé favorable au premier ministre pressenti

    Les 10 raisons de mon soutien critique à Mehdi Jomâa | Noomane Fehri
    http://www.huffpostmaghreb.com/noamane-fehri-/les-10-raisons-de-mon-sou_b_4449771.html

    Les 10 raisons pour lesquelles Mehdi Jomâa est un bon choix pour la 3ème phase de transition :

    Il a démontré sa compétence professionnelle.
    Sa première mission au ministère de l’Industrie est plutôt réussie (à en juger par les professionnels qui l’ont côtoyé et ma propre expérience de député régional).
    Il a remplacé les nominations partisanes de son prédécesseur à la CPG et à la STEG par des compétences non partisanes.
    Il a annulé les autorisations partisanes et contraires à l’intérêt national de cimenteries délivrées par son prédécesseur. Il a aussi abrogé la subvention énergétique des cimenteries.
    Il a eu le courage de s’attaquer intelligemment au problème de la compensation de l’énergie sans porter atteinte au pouvoir d’achat des couches les plus démunies.
    Il est opérationnel tout de suite.

  • Une recette miracle pour que M. Mehdi Jomaa réussisse
    http://www.leaders.com.tn/article/une-recette-miracle-pour-que-m-mehdi-jomaa-reussisse
    Face à l’impasse politique des partis issus de la révolution, surprenante proposition en faveur d’une approche décentralisée et participative. S’il existe des analyses de ce qui se passe à Gabès, je suis preneur

    L’horizontalité du pouvoir économique et politique avec une décentralisation accrue et de véritables pouvoirs reconnus aux régions et aux localités. On le voit, au plus fort de la crise, le peuple s’en sort ; certes, très difficilement, mais il s’en sort en bricolant sa vie ; d’où ce secteur économique informel qu’on dénonce et qui se révèle être une soupape de sécurité. C’est également et surtout grâce à des solidarités anciennes, traditionnelles, enracinées localement, qu’il arrive non seulement à s’en sortir, mais même à continuer à satisfaire son désir de profiter de la vie, servir une âme hédoniste quant au fond. Aussi faut-il passer dans l’urgence d’une démocratie représentative qui n’a plus de sens ¬— et ce même en un Occident en pleine crise — vers une démocratie participative où la société civile aura un rôle majeur à jouer dans chaque localité. On l’a vu récemment avec le cas de Gabès ; c’est le sens incontournable de l’histoire. Ce ne sont donc pas des élections nationales qu’il importe de réaliser au plus vite — et surtout pas au scrutin anonyme de liste —, mais bien des élections municipales au scrutin uninominal où chacun connaît personnellement son élu qui doit être continuellement comptable de son action devant ses électeurs par le biais d’instances de proximité dotées de pouvoirs et de compétences.

    #Tunisie
    #Gabès
    #décentralisation
    #participation

  • #Tunisia picks little-known political newcomer to become interim PM
    http://english.al-akhbar.com/content/tunisia-picks-little-known-political-newcomer-become-interim-pm

    A picture taken on March 13, 2013 at the Carthage Palace in Tunis, shows newly appointed (at that time) Tunisian Industry Minister Mehdi Jomaa taking an oath of office during the country’s new government swearing-in ceremony. (Photo: AFP - Fethi Belaid)

    Tunisia’s political parties chose Industry Minister Mehdi Jomaa Saturday to head a government of independent figures aimed at pulling the country out of a months-long crisis, the principal mediator said. “Dialogue and discussions led to a vote and the choice of Mehdi Jomaa as the candidate for the post of head of government,” said Houcine Abassi, secretary general of the powerful UGTT trade union. "Our people have waited for a long time, but despite the difficulties and obstacles... this dialogue has not (...)

    #Top_News

  • Tunisie : le ministre de l’Industrie formera le prochain gouvernement - Libération

    http://www.liberation.fr/monde/2013/12/14/tunisie-le-ministre-de-l-industrie-designe-pour-former-le-prochain-gouver

    Le ministre sortant de l’Industrie Mehdi Jomaâ a été désigné samedi, malgré les protestations d’une partie de l’opposition, pour former un gouvernement d’indépendants et sortir la Tunisie d’une profonde crise politique en conduisant ce pays vers des élections.