person:michael bay

  • We Are About to Start Mining Hydrothermal Vents on the Ocean Floor - Facts So Romantic
    http://nautil.us/blog/we-are-about-to-start-mining-hydrothermal-vents-on-the-ocean-floor

    Forty years ago, scientists found alien life. Not on another planet, but on Earth, in the deep sea, in places where plumes of steam and nutrients heated by volcanic activity fed entire ecologies of creatures adapted to harness chemical energy rather than energy from the sun. A submersible takes samples from a microbial ecosystem near a hydrothermal vent in the Juan de Fuca Ridge, a tectonic spreading center located off the western coast of North America.Pilot Mark Spear/Woods Hole Oceanographic InstitutionThe discovery redefined life’s biophysical possibilities, and scientists and explorers have since charted another world. Or, rather, many worlds: there are more than 500 hydrothermal vent fields scattered across Earth’s seafloors, containing not just the iconic smoking vents but (...)

    • Companies and countries have filed prospecting permits or secured mineral rights on 20 percent of the vent fields; the first deep-sea mining operation is expected to break seabed in 2018 off the coast of Papua New Guinea.

      That fate of our ocean’s hydrothermal vent fields depends on how carefully they are mined. Mining can be destructive, but it can also be done judiciously, with attention to its consequences on life other than our own. “We’re going to have to make a choice,” wrote deep-sea ecologist Andrew David Thaler on Twitter recently, “between disposable technology and ecosystems we’ll never see.
      […]
      What will mining companies send down to the sea floor?
      Nautilus Minerals has built some big, Michael Bay-esque machines on the seafloor. As someone who both builds robots and works in deep-sea conservation, I’m amazed and a little terrified. I don’t think there will be autonomous seafloor machines, though. We’re going to be looking at human-controlled vehicles. Some involve dredging up the seafloor. One proposal I saw was just dragging a big bucket across the seafloor and pulling it up, the same way we do strip-mining.

      Can the deep sea be safely mined?
      Like any mining process, it’s ultimately destructive, but there are ways to do it to minimize the extent of the destruction. Companies are building the tools, laying the groundwork, identifying the ore bodies and target prospects, getting the permits—but nobody’s gone down and actually mined the deep sea. Companies have every incentive to look as green as possible. But until someone goes down and mines, we don’t know if they’re actually walking the walk rather than talking the talk. So the first deep-sea mines will be an experiment.

      With deep-sea mining, because conservationists and explorers got there first, we’ve got 40 years of baseline data about the ecosystem including high-resolution seafloor maps and an understanding of populations around hydrothermal vent fields. This gives us the opportunity to think about how to do deep-sea mining right.

      Can the ecosystems around deep-sea vents recover from mining?
      These are dynamic systems. Some communities, with lifespans of 10 to 12 years, have evolved to handle disturbance. Underwater volcanoes erupt regularly and wipe them out. When we talk about mining a hydrothermal vent, there’s a possibility for the community of life to come back. It’s possible that if you remove just one, then 10 years from now there will be no trace of it being mined at the site—though there is damage to the rest of the seafloor, which is prolonged, because the deep seafloor tends to be undisturbed.

      Cobalt-rich crusts and manganese nodule fields, however, are “slow” ecosystems. They can last for centuries. Any affront to a slower system is going to have more consequences. The question becomes: Is there an acceptable loss before we’ve wiped out too much of an ecosystem?

  • Après Megatron et Optimus Prime, Aerocool héberge un nouveau Transformers nommé DeadSilence !
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/refroidissement/24922-apres-megatron-et-optimus-prime-aerocool-heberge-un-nouveau

    Si vous vous souvenez de la série DA à la TV, ou des films de Michael Bay plus récemment, vous voyez de quoi nous parlons. Globalement, les plus gros Transformers ont de la chance, ils peuvent se muter en plein de véhicules super chébran, et équipés à fond technologiquement... [Tout lire]

    #Refroidissement

  • Tout est politique - Le blog de Seb Musset : Pourquoi il faut mettre le créateur d’Instagram en prison (dans la cellule d’Amélie Poulain et Michael Bay)
    http://sebmusset.blogspot.fr/2012/08/instagram-uniformisation.html

    La chose vient se surajouter à l’orgie de clichés permise par le numérique (le moindre week-end chez Mamy se transformant ainsi en 500 « immortelles » #photos sur disque dur que personne ne triera jamais et qui sombreront peu à peu dans l’oubli puisque jamais imprimées et vite submergées par des milliers d’autres). Outil « rendant doué comme Kubrick » le dernier des incapables ayant du caca dans les yeux, Instagram participe du grand processus de destruction de la culture des images et de notre rapport face à elles : c’est à dire un rapport soumis, passif, totalement à sens unique. Tu me diras, c’est moyennement grave, le gros des dégâts ayant déjà été fait avec des décennies de télévision, d’esthétique publicitaire, et de cinéma mainstream.

    • C’est bien vu (si je puis m’exprimer ainsi). Le problème avec la #photo numérique, c’est la boulimie car tu sais que tu as de la place sur ta carte SD. Pas comme avec la pelloche où tu te limitais parce que ça pouvait vite coûter cher. Après, c’est une question de tri : c’est la tâche la plus ingrate, à mon avis et c’est très subjectif. Bon après, il y a une vie en dehors d’Instagram, Fesse-Bouc et autres réseaux attrape-couillons ...

    • Non, c’est un article typiquement réactionnaire, dont l’argument central est le classique « si les gens ont des moyens d’expression ils vont dire n’importe quoi ». Le mépris à la bouche contre le popu qui aime bien les « week-end chez Mamy ». (Contrairement aux Seb Musset qui eux ont des activités distinguées, comme par exemple faire des blogs — moi j’invite à mettre en prison l’inventeur des blogs).

    • Non, je suis d’accord avec Seb sur la culture de la médiocrité et de l’uniformisation (photo)graphique. On utilise des outils de standardisation de masse pour rendre acceptable du moche. Peut-être que la distinction esthétique est un réflexe petit-bourgeois, mais je ne cherche pas à l’extirper de ma couenne bolchévique.

      Quand je vois ce que ça a donné en typographie, avec des revues et bulletins officiels montés sous Word et aujourd’hui distribués comme des supports de lecture professionnels, alors que les règles les plus élémentaires de lisibilité sont manifestement ignorées - et je ne parle même pas de choses élaborées comme l’équilibre des gris ou la proportionnalité des marges - c’est à dire qu’on en arrive à des trucs imbitables qui fatiguent l’œil et rayent la rétine dans la plus parfaite indifférence, je crains également que notre imaginaire photographique finisse par devoir à #Instagram ce que le plaisir culinaire doit à MacDonald’s.

    • Je ne vois pas le rapport avec Instagram ? Plein de photographes utilisent Instagram, et autre chose — comme des reflex numériques — et il faut par ailleurs admettre que pour des récits du quotidien, à base de photos de mobile médiocres par nature, les filtres, plutôt bien pensés, permettent un résultat plus agréable consulté sur mobile. Après, les bons photographes restent bons et les mauvais mauvais, et des modes à la con voient le jour, mais pour le coup, cet outil n’est pas responsable.

      Pour le reste, la grosse erreur de Musset et de parler de « destruction de la culture des images et de notre rapport face à elles » : les gens n’ont clairement jamais été aussi largement éduqués aux images qu’aujourd’hui, même si on peut juger que ça reste insuffisant.

  • REAMDE, Neal Stephenson - Fifokaswiti
    http://www.fifokaswiti.info/blog/index.php?post/2011/11/12/REAMDE%2C-Neal-Stephenson

    Stephenson, qui est pourtant l’un des écrivains les plus fascinants du moment (...), a produit un techno-thriller épileptique. Ça tire de partout, ça ne s’arrête jamais, ça ressemble à un appel du pied à Michael Bay (ou l’un de ses clones) pour faire une adaptation. Certes. Le problème, c’est qu’un film de Michael Bay, ça ne dure pas beaucoup plus de deux heures. Un bouquin de plus de mille pages, c’est bien plus long.
    Et c’est chiant.
    Je n’en suis pas à la moitié, et j’envisage de laisser tomber. Grosse déception, donc.

    je n’en suis pas autant déçu, vu que je suis au tiers et ne vais pas abandonner, mais je partage un peu ce sentiment : c’est efficace et facile, plein de jargon geek même pas marrant, et au fond sans grand intérêt. si on n’a pas déjà tout lu, lire Quicksilver (non traduit) ou Cryptonomicon

    #livre #roman