person:najat vallaud belkacem

  • Grève reconduite au LP Marc Seguin Vénissieux le 7 mars
    https://rebellyon.info/Greve-reconduite-au-LP-Marc-Seguin-17547

    7 Mars : Deuxième jour de grève pour les personnels du LP Marc seguin de Vénissieux. Face au mépris, le mouvement est reconduit ! Mme Najat Vallaud Belkacem a annoncé 450 postes pour les établissements défavorisés : le LP Marc Seguin de Vénissieux n’en a pas vu la Couleur !

    #Infos_locales

    / #Éducation_-_partage_des_savoirs, Une

  • Femmes : engagements non tenus | Entre les lignes entre les mots
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2017/02/14/femmes-engagements-non-tenus

    Le 8 mars 2012, à l’occasion de la journée des droits des femmes, François Hollande, alors candidat, avait présenté pas moins de quarante engagements pour l’égalité femmes-hommes. Parmi ceux-ci, figuraient notamment la création d’un ministère des Droits des femmes, la lutte contre la précarité, contre les violences, ou encore la mise en place d’un service public de la petite enfance. En mai suivant, il respectait son premier engagement et créait un ministère des droits des femmes, avec Najat Vallaud Belkacem à sa tête. Le gouvernement nommé comptait même autant de femmes que d’hommes parmi les 34 ministres, une première en France. Et même si une seule femme héritait d’un ministère régalien (Christiane Taubira à la Justice), le signe était néanmoins positif. De fait, les associations féministes ont accueilli favorablement ce changement, tout en rappelant qu’un ministère doit avoir les moyens de son action et qu’elles restaient mobilisées pour peser et faire avancer l’égalité.

    Or, dès avril 2014, lors du premier gouvernement Valls, les droits des femmes perdent le statut de ministère de plein exercice et Najat Vallaud Belkacem se voit adjoindre les thèmes de la Ville et de la Jeunesse. Puis, en août 2014, les droits des femmes sont rattachés au portefeuille de Marisol Touraine avec les affaires sociales et la santé. Enfin, en février 2016, les droits des femmes sont relégués dans le ministère de la famille et de l’enfance : retour à la tradition, les femmes existent sous un statut de gestionnaire de la famille, épouse ou mère ! Il n’y a même plus de secrétaire d’État en charge de cette question. Cette dégradation progressive reflète l’absence de volonté politique sur cette question.

    #femmes #féminisme #droits_des_femmes

  • Réduire le nombre d’avortements, cette étrange obsession | A Contrario
    http://www.acontrario.fr/2016/09/30/baisse-nombre-ivg

    En ces temps troublés où nos ministres feignent de découvrir l’existence de sites anti-ivg – sites dont l’existence leur a été signalée dès 2010, les yeux dans les yeux et carnet à la main, d’ailleurs je revois Najat Vallaud Belkacem comme si c’était hier, me disant « Ah mais oui vous avez raison, il faut que je dise à mes équipes de cesser de mettre les liens vers ces sites sur nos contenus », sites dont les médias avaient en outre parlé dès 2011 -, bref en ces temps troublés de franche marrade et d’hypocrise récurrente, le nombre d’IVG en France reste un sujet très #OhMonDieuYenABeaucoupKanMême, puisque dans la plupart des articles, reportages, interviews, chroniques et contenus consacrés à l’avortement, on mentionne le nombre annuel d’IVG. Et on a toujours l’air d’en faire un sacré problème.

    Le meilleur avortement, c’est celui qu’on a choisi

    Qu’on tente d’avoir l’air optimiste en affirmant que le nombre d’IVG se stabilise « autour de 200 000 par an » ou qu’on démontre par A + B qu’au regard de la croissance démographique des 40 dernières années, de l’évolution des modes de vie et des choix d’avorter en cas de grossesse non désirée, on peut en fait considérer que le nombre d’IVG n’augmente pas, on n’échappe jamais à la mention de ce foutu nombre. Et en tâche de fond, comme une inquiétude sourde ou un rêve inaccessible, on sent bien que dans un monde idéal, fait de liberté (de disposer de son corps), d’égalité (salariale et sexuelle par exemple) et de fraternité (notamment avec des poneys mauves aux crinières en barbapapa), on parviendrait enfin à faire baisser le nombre d’IVG.

    Car comprenez-vous Madame, le meilleur avortement c’est celui qu’on peut éviter, et c’est Nisand qui le disait. C’est dire si on n’a pas oublié d’être con, en France. Et puis l’avortement, ça reste quand même un échec de la contraception, et ça Madame, c’est une docteure qui le dit alors vous serez gentille de ravaler vos commentaires ironiques.

    #IVG #avortement

    • L’IVG vue comme un échec de la contraception est certes un grand classique, mais dire que l’IVG est un échec de la contraception, c’est oublier un fait essentiel : quand la contraception échoue, la conséquence de cet échec, ce n’est pas l’IVG, mais la grossesse. Les mots sont importants, ils ont un sens. L’IVG n’est un échec de rien du tout. L’IVG est la solution à la grossesse non désirée, qui est elle-même un échec de contraception. La contraception, parfois, ça échoue. L’IVG, beaucoup plus rarement. Avorter n’est donc pas un échec mais bien une solution. Qu’il est légitime d’utiliser.

      Si je continue à dérouler le raisonnement, l’expression « échec contraceptif » m’amène à la notion de prévention : il semble apparemment capital d’agir en vue de « prévenir » les IVG. Là encore, je suis perplexe : la prévention, ça consiste à empêcher qu’une chose négative ou nocive se produise. Cela sous-entendrait que l’IVG est quelque chose de mal, de négatif, de nocif, alors que c’est plutôt la grossesse non désirée qui est un événement négatif.

      Concrètement, l’IVG est une solution, et on ne prévient pas les solutions : on les utilise. L’IVG n’est pas un problème, mais la solution à un problème.

  • Ruffin et Lordon, une Nuit à dormir Debout | Les Enragés
    http://www.lesenrages.antifa-net.fr/ruffin-et-lordon-une-nuit-a-dormir-debout


    Sans déconner, on commence à se demander qui joue vraiment le #confusionnisme, parce là, niveau mauvaise foi et amalgames, ça y va gaiment.

    Nous pourrions ajouter que la Révolution s’éloigne à chaque fois que des Lordon et des Ruffin la convoquent, la surjouent pour mieux la conjurer. Car ce » mouvement « , tranchant avec la vivacité et la rage du mouvement social, le vrai, provient en réalité d’un nuage idéologique à la fois vaste et très cohérent, porté par un ensemble social, somme toute, plutôt homogène, nous le verrons en détail plus bas.

    Qui sont ses promoteurs les plus actifs ? Le plus souvent des gens qui se situent avant tout en défense de quelque chose, des nationalistes de gauche et de droite, des professionnels du militantisme, des champions de la récupération, des moines de la confusion et des fascistes.

    Une poignée qui finalement, tente d’entrevoir une passivité chez quelques uns pour mieux la justifier chez eux en se jetant à corps perdu dans une mystique constitutionnaliste qui, non contente de ne rien solutionner, n’est en aucun cas à l’ordre du jour, même si l’idée n’est pas nouvelle…

    Le procès contre #Lordon est inique et essentialiste : Lordon est un bourgeois, il ne peut donc pas être sincère. À ce compte-là, Jaurès non plus !
    Et en passant, on me pique ma photo de Lordon en violant même la licence creative commons…

    Frédéric Lordon ou la virtuosité bavarde d’un social-chauvin


    De son côté, Frédéric Lordon, qui vit dans un confortable appartement emmitouflé dans l’une des villes les plus riches de France, est tout sauf un prolo. Voici son CV, tel que décrit par deux médias :
    France Tv Info :

    En 1962, rien ne prédestine Frédéric Lordon à la lutte des classes. Né dans une famille bourgeoise de l’Ouest parisien, son père, de droite, est dirigeant d’entreprise et sa mère femme au foyer. En 1985, il sort ingénieur de la prestigieuse Ecole nationale des Ponts et chaussées avant de poursuivre à l’Institut supérieur des affaires, devenu depuis un MBA (Master of business administration) à HEC.
     » C’était au milieu des années 1980. J’avais fort intention de devenir un ‘winner’ et de gagner plein d’argent. « 
    Frédéric Lordon, France Culture

    Ben ouais, les gars, moi aussi dans les années 80, je vivais dans une société d’hypercompétition dédiée au dieu argent et je croyais que c’était la vie et je voulais être Working Girl , ce genre de trucs.
    Heureusement, j’ai grandi, j’ai évolué, j’ai appris et ma vision du monde a drastiquement changé.
    Même s’il est vrai que le chômage m’y a beaucoup aidée. Sinon, sans accident de parcours, comme la majorité des gens, j’y croirais encore à la consommation heureuse et au travail qui épanouit !

  • 8 mars : l’ONU Femmes France reconnaît une mauvaise traduction - Les Nouvelles NEWS
    http://www.lesnouvellesnews.fr/8-mars-lonu-femmes-reconnait-une-mauvaise-traduction

    Tous les ans, sur les réseaux sociaux, dans les médias, le 8 mars décrit comme « la journée de la femme » pique les yeux et donne de l’urticaire à la majorité des militant.e.s féministes.

    Pourquoi ? Parce que, comme le rappelait Najat Vallaud Belkacem lorsqu’elle était encore ministre des Droits des femmes : « Le 8 mars n’est pas, comme on l’entend parfois, la journée de “la” femme, qui mettrait à l’honneur un soi-disant idéal féminin (accompagné de ses attributs : cadeaux, roses ou parfums). » La femme est une abstraction, les femmes sont une réalité.

    Le 8 mars est une journée de mobilisation pour « affirmer auprès de l’ensemble des citoyennes et citoyens que l’égalité femmes-hommes est une condition indispensable pour faire progresser notre société », insistait la ministre. Et de poursuivre : « Vous le savez comme moi, il ne suffit pas d’agir un jour par an : l’égalité est un travail de tous les instants. »

    Le 8 mars est pourtant célébré dans la plupart des magasins comme « la journée de la femme », ou la « fête de la femme ». Et comme chaque année, sur Twitter c’est l’exaspération :

    Commence à lire un peu partout « Le 8 mars, journée de la femme ». Je sens que je vais attaquer à la carotide soon. pic.twitter.com/C4Vp3exdcV

    — Cherjournal (@CherCherjournal) March 4, 2016

    Quel est le con qui a mis la journée de la femme le jour de la journée internationale des droits des femmes ? pic.twitter.com/qlDaC5hrfU

    — Clovis Cassan (@CCassan) March 4, 2016

    #8Mars #8marsFAIL

  • Budget 2016 : l’entourloupe des assistants d’éducation ! (Les déchiffreurs de l’éducation)
    http://www.cahiers-pedagogiques.com/blog/lesdechiffreurs/?p=895

    A en croire Najat Vallaud-Belkacem, l’Éducation nationale va bénéficier en 2017 des 60 000 postes promis par François Hollande lors de sa campagne présidentielle […].
    Bel effet de communication, qu’un examen attentif du projet de budget 2016 vient contredire :
    Ce ne sont pas 11 711 postes qui seront créés en 2016, mais 9 561 … et encore, dont 8 561 pour l’enseignement scolaire (dont 500 pour l’enseignement privé).
    Tout compte fait, ce sont donc 8 061 postes qui seront créés pour l’enseignement public […].
    Najat Vallaud Belkacem a trouvé l’art de multiplier les postes : aux 9 561 postes réglementairement prévus au budget, elle ajoute en effet 2150 « postes » d’assistants d’éducation présentés comme créés dans le cadre de la réforme de l’éducation prioritaire. […]
    On n’est pas loin d’un miracle, celui de la multiplication des postes qui n’en sont pas.
    Il est certes possible que 2150 assistants d’éducation puissent être recrutés à compter du 1er janvier 2016 dans les établissements de l’éducation prioritaire, mais une partie d’entre eux prendront la place d’autres assistants d’éducation en fin de contrat et une autre partie d’entre eux ne seront pas recrutés pour un temps plein, ce qui est fréquent.
    On a affaire là à une belle entourloupe, pour ne pas parler d’une belle malhonnêteté.
    Si on ne s’intéresse qu’aux vrais postes, nous serons à la rentrée prochaine à un peu moins de 45 000. (44 867). Il en faudrait 15 000 au budget 2017, pour que l’engagement présidentiel soit tenu ! Les aurons-nous et combien d’entre eux seront de vrais postes ?

    #éducation #budget #postes #assistant.e.s_d'éducation

  • Najat Vallaud Belkacem supprime la Philo en filières L et ES
    http://www.brujitafr.fr/2015/06/najat-vallaud-belkacem-supprime-la-philo-en-filieres-l-et-es.html

    Ce n’est pas une blague. L’arrêté du 12 juin 2015 relatif à l’enseignement moral et civique au lycée d’enseignement général et technologique et au lycée d’enseignement général et technologique agricole, publiée au Journal Officiel le 21 juin 2015 sous...

  • L’école autorise une seule liberté d’expression : celle de Najat
    http://reflets.info/lecole-autorise-une-seule-liberte-dexpression-celle-de-najat

     « Il y a eu de trop nombreux questionnements de la part des élèves » : c’est ainsi que la Ministre de l’Education nationale résume la problématique des réactions négatives d’une partie des élèves à l’injonction gouvernementale de la minute de silence en mémoire des morts du 7,8 et 9 janvier 2015. Le principe retenu par […]

    • Mes élèves, un drame et des mots | Chouyo’s World
      http://www.chouyosworld.com/2015/01/14/mes-eleves-un-drame-et-des-mots

      Mais si vous saviez. La demande pressante, presqu’une supplique, chaque début d’année dès la 6è : « Madame, on parlera de la Guerre d’Algérie cette année ? » . Si vous saviez le poids mémoriel, le travail énormissime qu’il y a à faire pour rendre droit de cité à une mémoire qui empoisonne ces gamins et nous avec, un désir de vengeance fondé sur rien, un besoin que soit reconnue une souffrance endossée par chaque génération. Pas un mea culpa mais un véritable travail d’historien et de pédagogie pour donner des pistes, un cadre de réflexion, une place réelle dans les mémoires et pas un cours-croupion, qui permettrait à ces élèves et à ces jeunes d’accéder à une reconnaissance après laquelle ils désespèrent.

      L’étape suivante ? Comme ces ados ont souvent l’âge émotionnel d’un enfant de 3 ans, pire que de ne pas être écouté, c’est avoir le sentiment que d’autres sont plus écoutés que nous.

      Un prof est sous le feu nourri de mille questions à la fois. Le dialogue est possible mais le débat serein ne l’est pas tant nous sommes tous face à nos limites quand ce qui nous semble évident, moralement et socialement, est mis en cause. Nous sommes en première ligne d’une lutte pour laquelle nous n’avons que trop peu de moyens, humains et horaires. Pas besoin de textes pétris de bonnes intentions, pas besoin de liens vers des séquences sur la liberté d’expression, pas besoin d’émission sur « comment parler des attentats avec les élèves » : donnez-nous des médecins scolaires, des assistantes sociales, des COP, des assistants d’éducation, des éducateurs, des profs payés et traités correctement. Donnez-nous des heures pour aider à réfléchir, interroger et comprendre le monde dans lequel nos élèves vivent et sont amenés à prendre part. Tout simplement.

    • Et quand parlerons-nous de Madagascar ?
      De quoi ?
      Hé oui, tout est dit : on pense qu’on est les gentils injustement agressés par les barbares, parce que l’on a soigneusement effacé de nos manuels d’histoire et de nos mémoires toute évocation du fait que la barbarie émane essentiellement de nous.
      Cette amnésie bien pratique, en nous dédouanant des crimes passés nous permet d’ors et déjà de justifier tous ceux à venir !

      http://blog.monolecte.fr/post/2004/12/10/les-invasions-barbares

      Le terroriste sème la terreur. Et comment appelle-t-on ceux qui sème le désespoir autour d’eux ?

      http://blog.monolecte.fr/post/2005/07/14/terrorisme-et-relativisme-historique

    • @monolecte
      Madagascar et la révolution de 1947 : 89000 morts et seulement 11000 reconnus officiellement... Une pièce de théâtre censurée en France en 2008... Un gouvernement malgache qui de lui même impose une censure à ce sujet...
      On est loin, très loin d’écrire la moindre virgule dans les livres d’histoire de non enfants.
      Il est tellement plus simple de les laisser mourir de faim tout en pillant légalement ou non leur richesse mais en vantant la beauté des paysages pour se donner bonne conscience.

      Mais bon, je crois que j’ai déjà posté à ce sujet !

      #ca_m_enerve !

    • Qu’est ce qu’être populiste ? Discours aux lauréats de l’Institut de l’Engagement de Najat Vallaud Belkacem, un petit bijoux de la parole #PS
      http://www.najat-vallaud-belkacem.com/2015/11/02/quest-ce-quetre-populiste

      Chers amis,

      Il y a bien longtemps, à la fin du XIXème siècle, le gourou d’une secte avait annoncé la fin du monde pour une date précise. Disons, le 23 novembre 1887.(...)

      Le populisme dont je vais parler est donc, sans ambiguïté aucune, un populisme qui se caractérise par la prétention de défendre le peuple, mais qui repose en réalité sur des manipulations rhétoriques.

      Il s’appuie aussi sur une valorisation indue du court terme, un critère que j’emprunte à Guy Hermet[2] et qui me semble essentiel pour comprendre ce à quoi nous faisons face.

      Le populisme promeut un temps rapide, une immédiateté qui s’oppose au temps long que suppose toute action politique concrète et ambitieuse. Démagogique, il désigne des boucs émissaires et simplifie à outrance.

      Face à ce danger, l’école doit, au contraire, enseigner une pensée complexe. Elle doit même donner à nos élèves le goût de la complexité.

      Ils en font l’expérience à travers toutes les disciplines, et dans les EPI, mais j’évoquerai avec vous deux enseignements qui sont plus directement construits comme autant de réponses, voire de ripostes, aux nouvelles formes du populisme, notamment celles des extrémismes politiques.

      Ces deux enseignements, ce sont l’enseignement moral et civique (EMC) et l’éducation aux médias et à l’information (EMI).

      L’EMC est une réponse, parce qu’il promeut une citoyenneté active. Face aux mots, aux allégations et aux provocations, c’est par l’action que nous devons répondre.

  • De la protection de l’enfance
    http://lmsi.net/De-la-protection-de-l-enfance

    Textes officiels réécrits [1], conférences ou sorties scolaires annulées [2], livres retirés des programmes [3] : voici donc qu’obéissant aux diktats de Jean-François Copé [4], lui même aligné sur des activistes situés à l’extrême droite de l’extrême droite (Civitas, Egalité & Réconciliation, Journée du Retrait de l’Ecole), et obéissant aussi à la plus stricte orthodoxie patriarcale et raciale, les hommes blancs qui nous gouvernent (messieurs Hollande, Ayrault, Valls, Moscovici, Bartolone, Dray) ont sifflé la fin de la récréation et désavoué les projets de loi (GPA, PMA, « loi famille ») et les expérimentations pédagogiques (« ABCD de l’égalité ») – et même le vocabulaire (le fameux « genre ») – de « leurs femmes », souvent non blanches (Dominique Bertinotti, Najat Vallaud Belkacem et Christiane Taubira). Et tout (...)

  • Le très fumeux « tabou de la toute puissance des mères »

    Il y a quelques jours, j’ai été informé d’une pétition en ligne demandant à Mme Najat Vallaud Belkacem et Mme Bertinotti et à tous les JAF, de « défendre la résidence alternée, la prioriser » lors des procédures de divorce.

    http://fsoulabaille.wordpress.com/2014/01/25/le-tres-fumeux-le-tabou-de-la-toute-puissance-des-meres

  • Najat Vallaud Belkacem veut mettre les femmes au travail grâce à la fiscalité
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20131212trib000800704/najat-vallaud-belkacem-veut-mettre-les-femmes-au-travail-grace-a-la-fiscal

    L’emploi des femmes est encore « un salaire d’appoint »
    "L’emploi des femmes est encore vécu comme un travail et un salaire d’appoint, et le système fiscal renforce cet état de fait, car il repose sur le principe de la conjugalisation. (...) Il est donc très coûteux de travailler pour le deuxième apporteur de ressources du ménage qui est souvent la femme," s’explique-t-elle dans un entretien dans les Echos de jeudi....

    #économie
    #Najat-Vallaud-Belkacem
    #femmes
    #travail
    #fiscalité

  • Lettre ouverte à Delphine Batho et Najat Vallaud Belkacem
    http://www.eauxglacees.com/Lettre-ouverte-a-Delphine-Batho-et

    Appel au respect de la parité pour les élections aux Comités de bassin Mesdames les ministres, L’engagement du gouvernement de M. Jean-Marc Ayrault en faveur du respect de la parité s’est déjà traduit par la décision prise en juin 2012 par M. Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de promouvoir cette parité à l’occasion des récentes élections des Chambres d’Agriculture. Après l’annulation des dispositions arrêtées en ce sens par le Conseil d’état, le ministre de l’Agriculture vient de réaffirmer le (...)