person:nicolas delesalle

  • Twitter Réseaux Sociaux

    J’ai dit adieu à mes 6 500 followers sur Twitter

    par @koliadelesalle

    http://www.telerama.fr/medias/j-ai-dit-adieu-a-mes-6-500-followers-sur-twitter-par-koliadelesalle,84456.p

    Billet | Pendant deux ans, notre journaliste a tweeté matin, midi et soir, et aussi la nuit. Puis, du jour au lendemain, il a fermé son compte. Une libération.

    Le 20/07/2012
    Nicolas Delesalle - Télérama n° 3262

    Voilà, je suis mort. Un clic a suffi. ­Fini Twitter. Je disparais du réseau, sans un mot ; une libération, un choix, motivé par un million de raisons que je pourrais renier un jour, mais pour l’heure, c’est trop tard, c’est fait, game over, et c’est le sentiment d’autodestruction qui prédomine, adios les 650 comptes que je suivais, bye bye les 6 500 qui me lisaient, vertige, j’ai sauté dans le ravin, deux ans de furie communicative, matin, midi, soir, et la nuit, terminé l’obligation induite de faire des bons mots, de partager les bons plans, les liens, les articles, de raconter des histoires, réagir, commenter, croiser le fer, tailler le verbe en cent quarante caractères ciselés, le devoir d’informer, d’ironiser, je retourne dans la forêt au bord de la rivière et j’écoute pousser ma barbe dans le vent tiède du monde réel.

  • Adieu Facebook, je t’aimais bien
    – L’actu Médias / Net - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/medias/adieu-facebook-je-t-aimais-bien,80720.php

    Adieu Facebook, je t’aimais bien
    Facebook n’en finit pas de gagner du terrain sur l’intimité de ses abonnés. Au grand dam de notre reporter Nicolas Delesalle, fan au bord de la rupture.
    Télérama n° 3250

    /.../Certes, on pouvait ajouter des photos, apposer des « like » sous des statuts, des films, des disques, des séries, des marques, mais on n’y était pas obligé. C’était facile de ne pas dévoiler sa vie privée. Exposer l’épaule sans montrer le sein. /.../

    #facebook #telerama