person:nicole kidman

  • En Chine, le « jour des célibataires » déclenche un nouveau record de ventes
    http://abonnes.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2017/11/11/en-chine-le-jour-des-celibataires-organise-par-alibaba-decroche-un-n

    Inventé par le leader chinois du commerce Alibaba, l’événement repousse les records de vente en ligne chaque année, illustrant l’augmentation du pouvoir d’achat des Chinois.

    Passé minuit, la musique s’arrête dans la Mercedes Arena de Shanghaï, choisie par Alibaba pour accueillir son gala du « jour des célibataires », grande fête prétexte aux soldes les plus fous. Sur l’écran géant qui trône au milieu de la scène, le décompte commence : les millions s’accumulent à une vitesse hypnotique… le milliard d’euros est atteint en deux minutes. Ce sont les ventes enregistrées par les plates-formes d’Alibaba, principalement Tmall (d’entreprises à clients) et Taobao (de particuliers à particuliers).

    En 2016, la fête des célibataires – représentés symboliquement par les quatre « 1 » du 11 novembre : 11.11 –, les ventes sur les plates-formes du leader chinois du commerce en ligne avaient atteint l’équivalent de 16,38 milliards d’euros en vingt-quatre heures. Alibaba a battu son record cette année, totalisant samedi l’équivalent de plus de 21,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires.

    De fait, le 11.11 est bien une gigantesque opération de communication à destination du monde entier. En témoigne la soirée de gala où se sont produits Pharrel Williams, accompagné au piano du célèbre soliste chinois, Lang Lang, ou la chanteuse de pop anglaise Jessie J, ou encore Nicole Kidman, qui annonça un court-métrage incongru où Jack Ma, le patron d’Alibaba, jouait un maître de kung-fu terrassant tour à tour une ribambelle de stars des arts martiaux, en finissant par Jet Li… Et pour s’assurer que le monde n’en perdît pas une goutte, Alibaba avait invité plusieurs centaines de journalistes étrangers et chinois.

    La concurrence s’installe y compris sur le marché électronique chinois

    Une transition qui fait plutôt les affaires du principal concurrent d’Alibaba, JD.com : la plate-forme, numéro 2 du commerce en ligne en Chine, grignote des parts de marché à Alibaba. Avec un avantage de taille : la maîtrise de sa logistique. Là où les plates-formes d’Alibaba mettent en relation vendeurs et clients, JD.com fonctionne davantage comme un supermarché en ligne : l’entreprise achète des produits, les stocke dans ses propres entrepôts et les livre elle-même grâce à une armée de livreurs, qui assure aussi la relation client. Son « double 11 » à elle dure onze jours, du 1er au 11 novembre, permettant des opérations plus fluides. A midi, samedi, l’entreprise affichait 111 milliards de yuans de vente depuis le début de l’événement.

    Face à cette concurrence sur le marché chinois, Alibaba joue sur deux tableaux, explique Michael Evans : d’un côté, attirer plus de marques internationales pour répondre aux goûts de la classe moyenne chinoise. Une tâche loin d’être évidente, tant la relation d’Alibaba avec les grandes marques est entachée par la réputation de Taobao d’être un marché aux imitations.

    L’autre front, c’est l’innovation et la collaboration avec des magasins physiques. Plus de 100 000 boutiques ont participé à cette édition. Alibaba se charge d’attirer les clients jusqu’à elles à travers une publicité ciblée, un jeu en réalité augmentée façon Pokemon Go, (« trouver le chat », symbole de Tmall) pour trouver des bons de réduction dans les magasins, auquel a participé le fabricant de cosmétiques L’Occitane.

    #Commerce_électronique #Chine #Alibaba

  • Edwardian Summer Borrowing glamour from the 1900s - #Ready-to-Wear
    http://www.orientpalms.com/Edwardian-Summer

    Do you remember Nicole Kidman’s costumes in the movie “Far and away”? I had them in mind when selecting these 7 looks from the Spring Summer 2017 collections. It’s know as the Edwardian style with its bow tie, frilled collar and bouffant sleeves. Each designer had his own different version, from the ingénue look of #Reem_Acra to the punkette in lingerie of #Marc_Jacobs... Reem Acra’s long tulle dresses impress with their delicate transparencies. The little black bow tie on a lace high-neck and (...) #mode

    #Rouba.G #Anna_Sui

  • Haute Bohème - #Ready-to-Wear
    http://www.orientpalms.com/Haute-Boheme

    The expression “Haute Bohème” described how eccentric bourgeois and aristocrats were fascinated by the bohemian way of life, aesthetically and philosophically, at the beginning of the twentieth century. The Haute Bohème trend gave us such masterpieces as La Bohème (1896) by Giacomo Puccini. It was also the idea of the song interpreted in 1965 by Charles Aznavour. More recently, the movie Moulin Rouge! by Baz Luhrmann (2001) with Nicole Kidman and Ewan McGregor depicted this trend where the high (...) (...)

    #Roberto_Cavalli #Gucci #Alberta_Ferretti #Francesco_Scognamiglio #N°_21 #Alexander_McQueen #Zac_Posen #Elie_Saab #Valentino #Alexander_Wang #Chloé #Etro

  • Je reviens avec un papier que j’ai vu apparaître sur la page Facebook de Courrier International. L’auteure est Emily Harris, je ne l’avais absolument jamais lue, et je n’ai plus vraiment envie. Le papier est en anglais, mais le propos est simple : « le féminisme est mort » du fait de la « légèreté » des combats considérés aujourd’hui comme féministes. On y compare une Dame de Fer et la Reine avec les collectifs ayant fait bannir l’affiche #Beachready. On y dit qu’on aimerait continuer à porter du maquillage et des talons. L’auteure est donc #antiféministe à souhait, et ne comprend pas grand chose à ce qu’elle critique (le passage dans lequel elle critique Emma Wtason qui se préoccupe trop du regard des garçons, est simplement une négation du patriarcat).
    Voici le lien : http://bit.ly/1PCbMvM

    • Traduction (un peu bancale à certains moments) pour les non-anglophones :
      Le féminisme est fini, la bataille est gagnée. Il est temps d’avancer.
      Alors qu’il devrait se réjouir de ses victoires passées, le féminisme s’abaisse aujourd’hui à vainement attirer l’attention.
      Par Emily Hill

      Il serait tentant de croire, d’après les journaux ces temps-ci, que les femmes n’ont jamais été aussi oppressées qu’aujourd’hui. De l’éditorialiste Caitlin Moran à la comédienne Bridget Christie, un nouveau sermon est prêché : nous sommes les victimes, de la guerre des sexes, pas les gagnantes. Les féministes scandent que nous sommes réifiées par les sifflements des hommes dans la rue, que le flirt d’un inconnu est pareil à une agression sexuelle. Soudainement, alors même que nous les femmes semblions avoir tout obtenu, une nouvelle vague de féministes a commencé à nous décrire comme faibles d’esprit – incapables de supporter un mauvais rendez-vous, ou de négocier seule son augmentation de salaire.
      Encore pire, elles abandonnent ce qu’il y avait de mieux dans la tradition féministe (ou le féminisme traditionnel) : la solidarité entre sœurs (sisterhood) et la liberté de chaque femme de faire ce qu’elle veut comme bon lui semble. Le féminisme 4.0 consiste en des attaques inopinées, parfois envers d’autres femmes, sur des causes aussi cruciales que, hum [sic], l’épilation du maillot, le fait de porter ou pas des escarpins et la page 3 du Sun (page style « Playboy » avec des filles très proches du standard de beauté blanche – gros seins – taille fine du magazine tabloïd the Sun). Moran écrit que c’est la maternité qui fait qu’une « petite fille devient femme » (ce qui a provoqué quelques grognements irrésistibles dans l’assistance féminine au bureau) et que le féminisme triomphera quand « une actrice nominée aux Oscars ira chercher son prix dans des chaussures qui ne la tuent pas de douleur ». La révolution sera télévisée, avec « Nicole Kidman en tongs ».
      Eh bien, si c’est ça le féminisme, alors le féminisme est mort, et la trivialité des combats que ces féministes défendent est la preuve évidente de son décès. Ce qui a débuté par une croisade sincère contre un préjudice réel est devenu une vaine tentative pour attirer l’attention.
      Je suis née en 1983, et ai eu la chance de grandir dans un pays où il était (aveuglément) évident que les femmes étaient au pouvoir : une reine sur le trône et une au 10, Downing Street (Premier Ministre, référence à Thatcher). J’étais la fille d’un épicier, inscrite à l’école publique, vivant dans l’appartement au-dessus de l’épicerie, et je voyais Margaret Thatcher, cette icône féministe, comme la preuve évidente que je pouvais aller aussi loin que je le voulais dans la vie, si tant est que j’aiguisai mon esprit et me donnai corps et âme. Je savais, sans qu’on ait eu à me le dire, que l’on ne finit pas là où l’on naît, parce que Maggie (Thatcher), alors face à des barrières bien plus importantes, avait réussi à réduire en miettes tout obstacle suffisamment bête pour s’être mis sur son chemin, avec une douce ardeur et une attitude qui hurlait « Ne jamais se laisser abattre ». Les féministes occidentales, si elles avaient un peu de bon sens, arrêteraient se geindre, de se plaindre, commanderaient une couronne de laurier à Germaine Greer (écrivaine et scénariste féministe australienne), chevaucheraient leur carrosse à quatre roues et marcheraient triomphantes dans les rues de Rome, pour faire le sacrifice de leur sang à Emmeline Pankhurst (femme politique au Royaume-Uni fin XIXème début XXème qui a combattu pour obtenir le droit de vote pour les femmes). Les batailles phares étaient dures à mener, et elles ont été gagnées.
      Aujourd’hui, les filles sont meilleures que les garçons à l’école – et elles le sont depuis au moins le milieu des années 70. Elles ont plus de chance de réussir les 5 épreuves du GSCE (sorte de bac pour rentrer à la fac). Un tiers d’entre elle va à l’Université, un quart seulement des garçons y va. Une fois à l’Université, elles s’en sortent mieux et ont des chances significativement supérieures de décrocher les meilleures notes à leur diplôme. Et l’égalité ? Dans certains cours, on est allé au-delà. L’année dernière, les filles représentaient 55% des étudiants de première année de médecine et dentaire, 62% des étudiants en droit. Les métiers de la banque et de l’entreprise sont certes dominés par les hommes, mais à en juger par la rapidité de notre ascension, ça ne va pas durer. Comme Boris Johnons (maire de Londres) l’a observé, quand ma génération atteindra le sommet de sa carrière professionnelle, la structure managériale de la Grande Bretagne sera totalement transformée – et féminisée.
      Depuis que les suffragettes ont obtenu le droit de vote, les femmes ont plus progressé que les hommes pendant des millénaires. En fait, la catégorie démographique réussissant le moins à l’école est les garçons blancs dans les écoles publiques – seulement un quart d’entre eux ont obtenu des notes décentes aux GCSE. Oui, les problèmes d’égalité des genres existent – mais ils sont beaucoup moins branchés. Qui va distribuer des tracts, ou s’allonger sur les tapis rouges aux avant-premières pour la cause des garçons en difficultés scolaires ?
      La plupart des féministes auto-désignées clament que l’on va rencontrer des difficultés au travail. Ca non plus, ce n’est pas certain. Les femmes dans la vingtaine ont rattrapé les niveaux de salaire des hommes en quelques années seulement ; et les moins de 40 ans, bientôt. La rapidité de l’évolution est incroyable. En Europe, aux USA et particulièrement en Scandinavie, les femmes tracent leur route vers les comités exécutifs et les sièges de pouvoir. Le gouvernement français a même légiféré pour que 2 des cinq sièges d’un conseil d’administration reviennent à des femmes. Les féministes disent que nous aussi, avons besoin de quotas. Mais n’y-a-t-il pas meilleur triomphe à voir nos sœurs y arriver toutes seules ?
      Donc la prochaine génération a toutes les cartes en main – si seulement elle n’est pas encouragée à se voir comme une pauvre victime à la merci d’un patriarcat irrésistible. Seulement 19% des femmes s’identifient aujourd’hui comme féministes, ce qui n’est pas tellement surprenant compte tenu de l’ennui de leur combat. Dans les années 70, les féministes étaient des casses-couilles [sic], des ass-kicking (qui met des coups de pieds au cul), des penseuses qui tentaient le diable, telles Greer, Glorian Steinman ou Susan Sontag. Maintenant, la « voix d’une génération » est l’actrice star de Harry Potter, Emma Watson qui a délivré un discours très applaudi aux Nations Unies, dans lequel elle se plaint que certaines de ces amies ont arrêté le sport parce qu’elles s’inquiétaient de ce que leurs bras deviennent trop musclés.
      Mais pendant que Watson s’inquiète de la tyrannie du regard des garçons, c’est être regardé avec consternation par une féministe qui est réellement terrifiant (it’s being eyeballed by a feminist which is truly terrifying). Ces esthètes de classe moyenne aiment à jouer au petit chef avec les femmes qui l’entourent, ricanent sur leurs choix vestimentaires et leurs comportements. Elles désapprouvent Beyoncé et Rihanna, qui fanfaronnent dans leurs superbes corps dans les clips de musique avec une véhémance digne d’une Taleban (alors Internet me dit que c’est peut-être taliban, mais ce n’est pas clair). En Avril, on voyait dans le métro londonnien une publicité sur laquelle apparaissait une mannequin avec une jolie poitrine, qui scandait « Votre corps est-il prêt à sortir à la plage ? ». Dans les heures qui ont suivi, l’affiche a été gribouillée, dans les jours qui ont suivi 44 000 signatures sont venues demander que l’on enlève l’affiche. Faire en sorte que les femmes soient recouvertes en public, que leur chair nue ne vienne heurter quiconque, c’est quelque chose que l’on s’attend à voir en Arabie Saoudite, pas ici, où nous sommes censées nous habillement librement et de manière aussi provocatrice que l’on souhaite.
      Pourquoi ne pourrions-nous pas porter de maquillage, de collants ou de jarretelles, si nous en avons envie ? D’Elizabeth I à Bette Davis, les femmes ont toujours considéré le rouge à lèvres, les escarpins, et les coiffures comme des armes légitimes de combat, aussi efficaces à leur manière, que des bazookas ou des arbalètes. Mais les nouvelles féministes sont déterminées à enlever tout le fun de votre vie, et de vous montrer à quel point il est terrible d’être femme au Royaume-Uni aujourd’hui.
      Un autre défi que les filles doivent apparemment relever, et en ont peur, est le troll sur Internet. Disons que vous recevez des menaces de losers complètement à côté de la plaque, qui sont en désaccord avec tout ce que vous dites. Devriez-vous appeler la police ? Quitter Twitter ? Ou peut-être vous réjouir des insultes, à la manière de Maggie, qui disait « Je me réjouis toujours lorsque je suis victime d’une attaque particulièrement blessante. Cela signifie qu’ils n’ont plus d’armes politiques. »
      Sinon, vuos pouvez aussi rester imperméable à l’insulte, comme la reine de marbre Chrissie Hynde, qui a été, le mois dernier, trollée par des féministes après avoir confessé qu’elle a souffert d’une agression sexuelle à l’âge de 21 ans, et qu’elle en prenait la totale responsabilité. Twitter a alors spectacle bête de centaines de féministes l’attaquant alors qu’elle ne faisait que librement exprimer son opinion, jusqu’à que le journaliste du Guardian, Julie Bindel, daigne souligner que Hynde n’était pas une violeuse. Ce à quoi, Hynde a magistralement répondu « Si vous ne voulez pas de mon opinion, ne me demandez pas ».
      Mais quand il s’agit de sexe, les nouvelles féministes s’avèrent facilement impressionnables, tellement qu’un jeune et timide garçon, Samuel Fishwick, a compilé un guide de conseils de drague en temps d’égalité des sexes. En approchant les auteurs du blog Vagenda pour des conseils, il a été informé que les hommes ne doivent jamais demandé à une fille de sortir pour boire un verre dans un endroit proche de chez lui « Ça pourrait laisser penser que vous allez prendre leur peau pour en faire un abat-jour ».
      Les féministes exagèrent-elles outrageusement, passant tellement de temps à s’épancher sur leur vagin qu’elles en viennent à ne plus user leur cerveau ? Nous devrions surtout nous délecter de ne plus avoir à nous appeler « le second sexe » et apprendre à nos filles comment compter sur les âmes qu’Emily Bronte a surnommé « no coward souls » (les âmes non soumises ? non peureuses ?)

  • Même gratuit Australia est un bide
    http://www.ecranlarge.com/article-details-10654.php

    Australia rêvait d’être le nouveau Titanic, il va bien finir par le devenir... en tant que mémorable naufrage... Avec son budget de 130 millions de dollars et ses recettes de 43 millions aux États-Unis, le film est déjà un bide conséquent. Mais Baz Luhrmann fait encore plus fort en battant des records de non-demandes sur les sites de Peer-to-Peer. Des copies illégales d’Australia ont fleuri un peu partout sur le web mais les téléchargements se font rares. C’est même un fait exceptionnel pour un blockbuster avec des stars à son générique. Ce n’est pas due à une baisse générale du piratage, bien sûr, mais clairement spécifique à la catastrophe qui risque de précipiter la retraite de Nicole Kidman. En tout cas, ni Luhrmann, ni la Fox, ne pourront se plaindre que le téléchargement illégal aura volé des entrées à leur bébé. On se console comme on peut.

    #cinéma #hadopi