person:oliver stone

  • Eliot Borenstein, Author at NYU Jordan Center
    http://jordanrussiacenter.org/author/eliot

    Eliot Borenstein is a Professor of Russian and Slavic Studies and Collegiate Professer at New York University. Educated at Oberlin College (B.A., 1988) and the University of Wisconsin, Madison (M.A., 1989, Ph.D., 1993), Mr. Borenstein was an Assistant Professor at the University of Virginia (1993-95) before taking an appointment at NYU in 1995.
    ...
    Articles by Eliot Borenstein
    The Americans: “Take Your Daughter to Work” Day
    Previously, on the Walking Dead…
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    The Americans: The Marriage Plot against America
    Even if our heroes survive the season, their future looks bleak.
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    Was Putin targeting Jews?
    Semantics, not anti-Semitism, may be behind Putin’s gaffe.
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    Boys Just Want to Have Fun: Just How Queer are the “Satisfaction” Videos?
    The Satisfaction supporters are definitely fighting for something, but it is not LGBT rights
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    Enabling Russian Paranoia: A Response to Thomas Weber
    We may not be colluding with Russia, but we are handing over propaganda victories free of charge
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    Matt Taibbi’s Not-So-Secret Russian Past
    Like the clueless expats they loathed, the editors treated Moscow and its residents as their playground.
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    Ksenia Sobchak; or, Who Gets to Lose to Putin in 2018?
    Russia could do a lot worse than Ksenia Sobchak. In fact, most countries currently are (not everyone gets to be Canada).
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    Is “fake news” fake news?
    We are in a panic about the very means that are used to spread panic.
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    Blaming Russia
    Blaming Russia lets us off the hook.
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    Change is coming to All The Russias
    I am stepping away from most of my editorial duties for the blog
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    Talking with Geoff Cebula, Author of “Adjunct”
    I knew from the beginning that I didn’t want her to be a Slavist.
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    Cringe-Watching: Oliver Stone’s The Putin Interviews
    Watching Stone question Putin and, worse, try to make small-talk, is simply embarrassing.
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    The Ballad of Sonya and Louie: An Immigrant Story
    I had thought my family was Russian, but then when I went to college, I found out we were just Jews.
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    Hulk Smash Stupid Russia Theories
    Monocausal explanations have the virtue of catchiness and the vice of absurdity.
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    In Defense of Russia’s Holocaust on Ice
    Has “Springtime for Hitler” finally met its match?
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    American Fascism: Lessons from Russia
    Putin is not a fascist, in part because he does not need to be. Trump ran a consistently fascist campaign.
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    Russia vs. PornHub: Lie Back and Think of the Motherland
    Apparently, people would rather do anything else—watch porn, have gay sex—than engage in heterosexual intercourse.
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    PokéMaidan, or, How to Start a Moral Panic in Russia
    Pokémon Go troubles the Russian media imagination because it represents the return of the repressed.
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    Is Donald Trump carrying Putin’s baby?
    The real problem with the constant Trump/Putin comparisons is that they are profoundly unfair… to Putin.
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    No Netflix, No Chill: Russia’s Culture Minister Would Rather Purge than Binge
    In the West, we’ve long been familiar with the clear and present danger of Netflix.

    #Russie #culture #sciences #société

  • Wall Street avant Wall Street
    http://www.dedefensa.org/article/wall-street-avant-wall-street

    Wall Street avant Wall Street

    10 novembre 2017 – Il y a à peu près trente ans, disons pour être précis trente ans et 20 jours, Wall Street nous offrait la plus belle chute boursière de son histoire. Ce fut le Black Monday du 19 octobre 1987. L’effondrement se faisait simultanément, à quelques jours près, avec la sortie du film d’Oliver Stone, Wall Street (première en octobre, sortie en salle tout début décembre 1987).

    La chaîne Arte a programmé lundi dernier le film de Stone, suivi d’un documentaire sur le film, de la série Un Film & son époque, emprunté à la chaîne Histoire qui diffuse cette série et rebaptisé pour l’occasion Il était une fois… Wall Street. (*) C’est du second que je veux vous entretenir, le film lui-même étant connu et ne pouvant prétendre apporter beaucoup à nos conceptions et à nos (...)

  • Assassinat de Kennedy : ce qu’on a appris par les documents déclassifiés
    http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/10/27/assassinat-de-kennedy-ce-qu-on-a-appris-dans-les-documents-declassifies_5207

    La lecture des dizaines de milliers de pages rendues publiques prendra des mois. Mais personne ne s’attend à y découvrir une révélation incroyable à propos du 22 novembre 1963.

    d’autant plus que,

    Conformément à une loi signée en 1992 (en réponse à la sortie du film JFK, d’Oliver Stone), le gouvernement américain s’était engagé à rendre publics 3 100 documents d’ici au 26 octobre. La date fatidique étant arrivée, Washington s’est exécuté, mais en décidant, à la dernière minute, de retenir la publication de plusieurs centaines de documents contenant de l’information « qui reste sensible, en fonction du contexte ». Le président, Donald Trump, s’est résolu à bloquer leur diffusion, sur le conseil de la CIA et du FBI, évoquant le risque de « dégâts potentiellement irréversibles pour la sécurité nationale ». Une nouvelle décision quant à leur publication devra être prise le 26 avril 2018.

  • Poutine, ou l’éloge de la prudence
    http://www.dedefensa.org/article/poutine-ou-leloge-de-la-prudence

    Poutine, ou l’éloge de la prudence

    07 octobre 2017 – Comme on l’a vu, il est fort question de Poutine et de son triomphe de ces derniers jours. A côté de quoi, il m’apparaît intéressant de m’essayer, une fois de plus je crois, à déchiffrer l’énigme de cet homme. Effectivement, Poutine est et reste une énigme pour moi, surtout dans la façon dont il s’est accordé à son destin par rapport à ses origines. Une analyse de ses actions politiques en fonction de sa psychologie me paraît très justifiée et enrichissante.

    Il reste assez mystérieux qu’une épave aussi caractéristique que pouvait l’être Eltsine en 1999, cet homme dont l’âme était corrompue par des forces qui le dominaient, ait choisi Poutine pour lui succéder. (D’autant, comme on l’a appris lors des interviews Oliver Stone, que Poutine n’était rien moins (...)

  • Plus beaucoup de temps pour voir les quatre Conversations avec Mr Poutine d’Oliver Stone

    Conversations avec monsieur Poutine - épisode 2 en streaming sur France 3
    https://www.france.tv/france-3/conversations-avec-monsieur-poutine/187471-emission-du-lundi-26-juin-2017.html

    Pendant deux ans, le réalisateur Oliver Stone a eu l’occasion de s’entretenir avec Vladimir Poutine. Bénéficiant d’un accès sans précédent à l’intimité du président russe, il l’a accompagné au Kremlin ou lors de ses déplacements. A cette occasion, il a pu s’entretenir avec lui et le questionner librement sur les sujets les plus divers, comme ses relations avec les Etats-Unis ou l’histoire récente de la Russie.

  • http://teleobs.nouvelobs.com/actualites/20170625.OBS1179/le-scandaleux-documentaire-d-oliver-stone-sur-vladimir-poutine.ht

    Le scandaleux documentaire d’Oliver Stone sur Vladimir Poutine

    France 3 diffuse à partir du lundi soir 26 juin quatre heures d’interview du président russe avec le réalisateur de « JFK » qui ne contredit jamais le maître du Kremlin, son héros, et lui laisse proférer de multiples mensonges.

    Evidemment Poutine a accepté cette série d’entretiens-fleuve parce qu’il connaissait cette obsession intime d’Oliver Stone. Il a compris tout le parti qu’il pouvait tirer de l’admiration béate de cette star d’Hollywood qui connaît très mal son sujet au point de confondre Caucase et Asie Centrale ! Face à cet interlocuteur si peu professionnel et dont la hargne anti-américaine le surprend parfois, le président russe gratifie les téléspectateurs d’un festival complotiste qui met en joie son « interviewer ».

    [...]

    A quoi bon prendre la peine de demander au chef du Kremlin pourquoi les organes de propagande destinés à l’étranger, tels Sputnik et Russia Today, ne cessent de proférer des mensonges sur les pays occidentaux qui les accueillent (comme la France, ainsi qu’Emmanuel Macron l’a dit lors de sa conférence de presse avec Poutine à Versailles) ? Oui, à quoi bon surtout si votre propre fils, Sean Stone, travaille justement depuis plusieurs années à Russia Today ?...

    #russia_today #poutine #oliver_stone #documentaire #propagande #russie #complotisme

  • Comment Poutine “aime bien” McCain
    http://www.dedefensa.org/article/comment-poutine-aime-bien-mccain

    Comment Poutine “aime bien” McCain

    Alex Christoforou, sur le site TheDuran.com, ne manque pas de mettre en évidence un passage d’une longue “interview” en plusieurs épisodes de Poutine qu’a effectuée le réalisateur de cinéma Oliver Stone, célèbre pour ses sujets dissidents et ses prises de position politiques à mesure. Stone a eu beaucoup de contact avec les Russes ces deux dernières années, avec la réalisation de son film sur Snowden, qui réside toujours en Russie. Il en a gardé de nombreux liens structurels et la Russie est désormais devenue un de ses champs d’activité de dissident US. La très longue interview de Poutine, qui s’étend sur un temps assez long lors de quatre rencontres principalement, constitue en fait un portrait du président russe qui aura la forme d’un film (la sortie est prévue le 12 juin) (...)

  • De Trump à Lincoln : pourquoi le président US fait la guerre
    http://www.dedefensa.org/article/de-trump-a-lincoln-pourquoi-le-president-us-fait-la-guerre

    De Trump à Lincoln : pourquoi le président US fait la guerre

    Un qui avait bien pesé la misère du puissant de ce monde c’est Juvénal. S’adressant à Hannibal, il écrit dans sa dixième satire :

    « Va insensé, cours à travers les Alpes escarpées, pour finalement amuser des écoliers et devenir un sujet de déclamation. »

    Or là est le problème : pourquoi ne célèbre-t-on que ceux qui font la guerre, les Hitler, Napoléon et Gengis Khan ?

    Evoquons le cas de l’hyperpuissance dont Oliver Stone nous a rappelé qu’elle a livré comme deux-cents guerres au vingtième siècle ; et évoquons aussi le film Les hommes d’influence qui montre comment l’on doit créer des guerres de diversion pour amuser la galerie ou remonter dans les sondages.

    Je l’ai déjà maintes fois cité et j’y reviens encore : le grand historien américain Ralph (...)

  • L’antirussisme à la lumière de George Orwell
    http://www.dedefensa.org/article/lantirussisme-a-la-lumiere-de-george-orwell

    L’antirussisme à la lumière de George Orwell

    Le général de Gaulle disait à Alain Peyrefitte sur cette rivalité russo-américaine qui l’énervait quelque peu : « les deux super-grands s’entendent comme larrons en foire. »

    C’est l’historien Charles Beard qui a parlé au moment de la lugubre présidence Truman d’une guerre perpétuelle pour une paix perpétuelle. La guerre perpétuelle est celle que mène à tout moment l’Amérique dans telle ou telle partie du monde. Les Etats-Unis ont mené dans le monde 200 conflits comme l’a montré Oliver Stone dans son angoissant documentaire. Sept conflits ont été menés sous le prix Nobel de la paix Obama qui cherche à retourner au pouvoir ; son successeur intérimaire Donald Trump fait déjà la guerre au Yémen et menace l’Iran. Ensuite on verra. Pour prouver qu’il n’est pas un agent russe, (...)

  • Edward Snowden’s Long, Strange Journey to Hollywood
    (Irina Alexander, August 2016)

    A long but interesting read about how Oliver Stone’s “Snowden” came to be.

    Oliver Stone, director
    Moritz Borman, the producer
    Anatoly Kucherena, Snowden’s Russian lawyer
    Ben Wizner, Snowden’s lawyer at the American Civil Liberties Union (ACLU)

    https://www.nytimes.com/2016/09/04/magazine/edward-snowdens-long-strange-journey-to-hollywood.html

    On “Snowden,” he and Borman became so preoccupied with American government surveillance that they had their Los Angeles offices swept for bugs more than once.

    ...

    [Wizner said] that Snowden wasn’t profiting from Stone’s film in any way. “One hard-and-fast rule Ed always had was, I’m not selling my life rights,” Wizner said. Snowden’s participation in a Hollywood movie would only fuel the claims of his critics — that he was a narcissist eager to cash in. That said, Stone’s film would be seen by millions of people, which meant it could sway public opinion. “We were choosing between two bad options,” Wizner said.

    ...

    Wizner had negotiated veto control over any footage featuring Snowden in the film. After we spoke, the lawyer says he asked Borman to put that in writing. He also reiterated that if Stone took a reporter along, Snowden would not participate. Stone and I eventually reached a compromise: I wouldn’t observe the shoot, but I could still come and meet Kucherena.

    ...

    Anticipating a homesick Snowden, [Stone’s co-writer] hauled over a duffel bag packed with the stuff of Americana dreams: Kraft macaroni and cheese, Jell-O cups, Oreos, Pepperidge Farm cookies, Twizzlers, peanut butter, Spam, an Orioles baseball cap and a pair of Converse sneakers. “It was like delivering a care package to a kid at summer camp,” [he said.] He also slipped in a copy of “The Odyssey” translated by his grandfather “I thought it was appropriate, since Ed was on his own kind of odyssey trying to get home.”

    ...

    Wizner, who is 45, has been at the A.C.L.U. since 2001. Before Snowden, he tried to bring several suits to increase oversight over the intelligence community. Wizner likes to say that he spent a decade banging his head against a wall, and then Snowden came along and brought that wall down. Snowden had not only revealed the scope of the surveillance apparatus, but also that top government officials routinely misled the public about it. Since becoming Snowden’s advocate, Wizner has become a figure of not insignificant geopolitical importance. Those revelations have since formed a critical backdrop for legislative reforms, and there are few things that irritate Wizner more than claims that threaten to tarnish Snowden’s character and their common cause.

    It would not be a stretch to say that for Wizner, Kucherena has become a bit of a liability. Since 2013, the Russian lawyer has announced that Snowden landed a job at a major Russian website — news that turned out to not be true — and has supplied the news media with photos of his client enjoying his new life in Russia, attending an opera at the Bolshoi Theater and cheerfully hugging a dog named Rick. (Rick later turned out to be the dog of one of Kucherena’s friends). Now Kucherena had sold a novel to Stone, making it seem as if the director had to pay a Russian fixer to have access to Snowden — or worse, that Snowden was somehow under the lock and key of the Russian authorities, lent to Stone for a Hollywood movie.

    ...

    According to Wizner, [Snowden] leads a free existence in Russia, making appearances via live video and publishing op-eds against Russia’s human rights violations. “I think people are inclined to believe that Russia would never let him stay there unless he was paying for it in some way,” Wizner said. “But it’s just not true. Not only is he not cooperating, but he’s actually being critical.”

    ...

    Oliver Stone, Edward Snowden, Anatoly Kucherena and Kieran Fitzgerald in Kucherena’s office in Moscow.


    The shoot took place at Kucherena’s dacha. The day went long. Stone’s idea was to interview Snowden and capture an affecting moment that would give the film its dramatic ending. But the first takes were stiff. “Ed is used to answering questions on a level of intelligence,” Stone said. “But I was interested in the emotional, which is difficult for him.”

    ...

    “Suddenly this little creature comes teetering in — so fragile, so lovely, such a charming, well-­behaved, beautiful little man,” the cinematographer, Anthony Dod Mantle, told me. “He’s like an old soul in a very young body. He’s got fingers like violins.” Filming Snowden reminded Mantle of shooting other men with outsize reputations and slight builds. “It’s like Bono or Al Pacino,” he added. “Those guys are teeny-­weenies. But if you isolate him into a frame, he can be as big as anybody else.”

    ...

    Convinced that making the film on American soil would be too risky, Stone decided to film in Germany, where Borman was able to score some tax subsidies. With roughly 140 script pages to shoot in 54 days, the crew sprinted from Munich to Washington, to Hawaii, to Hong Kong, and then back to Munich. Often, Mantle wouldn’t get to see locations before he had to film in them. To cut costs, the suburbs of Munich had to stand in for rural Maryland and Virginia, with German extras cast as Americans. “Thank God the Germans act like Americans,” Stone said.

    The production itself resembled a covert operation, with a code name (“Sasha” had stuck) and elaborate security protocols. Worried that “Sasha” would be of interest to the N.S.A., Borman and Stone avoided discussing production details by phone or email — “It was all handwritten notes and long walks in the park,” Borman said — and kept the script on air-­gapped computers, ones that have never been connected to the internet. If it had to be mailed, Borman would mix up the pages into four packages, which he would send with four different couriers to four different addresses. “Maybe nobody gave a [expletive],” Borman told me. “Or maybe the N.S.A. is laughing at us like, ‘Look at those idiots — of course we copied everything that came through DHL and FedEx!”

    ...

    In the spring of 2014, Stone flew to Berlin and met with Poitras. The meeting did not go well. According to Poitras, Stone proposed that she delay the release of “Citizenfour,” which she was then in the middle of editing, to time up with his film. “Because his film would be the real movie — because it’s a Hollywood movie,” Poitras told me. “Obviously I wasn’t interested in doing that. To have another filmmaker ask me to delay the release of my film was — well, it was somewhat insulting.”

    ...

    If Poitras had a strong reaction to Stone’s proposal, it was because she had already been hounded by Sony. After the studio optioned Greenwald’s book, Poitras says Sony asked to buy her life rights — an offer she declined. Sony suggested that she come on as a consultant, but when the contract arrived, it stipulated that the studio would have access to Poitras’s tapes and notebooks. “So I’d already gone through that when Oliver came in trying to position himself,” she said.

    ...

    Stone was right about Gordon-­Levitt. His performance is not an interpretation so much as a direct replica of the whistle-­blower’s even demeanor and intonation. Quinto plays Greenwald with such intensity that he appears perpetually enraged. Melissa Leo’s Poitras is in turn warm and protective, almost maternal.

    ...

    Snowden’s N.S.A. boss is unsubtly named Corbin O’Brian, after the antagonist in Orwell’s “1984.” “Most Americans don’t want freedom,” O’Brian tells Snowden. “They want security.

    ...

    Snowden’s many storytellers all tell a similar hero narrative. But if Greenwald’s account is about journalism, Poitras’s is a subtle and artful character study and Kucherena’s is an attempt at the Russian novel — a man alone in a room, wrestling with his conscience — Stone’s is the explicit blockbuster version, told in high gloss with big, emotional music and digestible plot points that will appeal to mass audiences. As Wizner wisely anticipated, it is the narrative most likely to cement Snowden’s story in Americans’ minds.

    ...

    Snowden declined to comment for this article, but Stone told me he had seen the film and liked it. At a screening at Comic-­Con a few months later, Snowden would beam in via satellite to give his somewhat wary approval. “It was something that made me really nervous,” he said of Stone’s film. “But I think he made it work.”

    ...

    Gordon-­Levitt was so moved by Snowden’s story that he donated most of his salary from the film to the A.C.L.U. and used the rest to collaborate with Wizner on a series of videos about democracy.

  • Anatoly Kucherena, Snowden’s Russian lawyer wrote a novel about this story, “The Time of the Octopus” (January 2017)

    In Moscow’s Sheremetyevo airport, fugitive US intelligence officer Joshua Kold is held in limbo, unable to leave the airport’s transit area. He is on the run, after blowing the lid off the terrifying reach of covert American global surveillance operations. Will the Russian authorities grant him asylum, or will they hand him over the clutches of the global octopus eager for revenge for his betrayal.

    This book is a fiction, but it is based on Kucherena’s own interviews with Snowden at Sheremetyevo airport, and provides the basis for Oliver Stone’s major Hollywood movie ‘Snowden’.

    It took Kucherena a month to negotiate Snowden’s stay and three months to write “Time of the Octopus.” According to WikiLeaks, Stone paid a million dollars for the book.

    The original book in Russian. “The whole truth about the American agent on the run,” the cover boasts. Also: “Oliver Stone is currently shooting a film based on this book.”:

    The book in English:

    Anatoly Kucherena:

    #book
    #Snowden #Edward_Snowden
    #Oliver_Stone

  • « Nous vous surveillerons » : le site du Club Bilderberg piraté par HackBack et Anonymous
    https://www.crashdebug.fr/informatik/93-securite/12930-nous-vous-surveillerons-le-site-du-club-bilderberg-pirate-par-hackb

    Pour bien comprendre de quelque coté se situe la puissance à ce niveau-là, je vous conseille fortement de voir le film d’Oliver Stone sur Snowden, (j’ai essayé de vous le passer en clean ici, mais je n’ai pas pu)

    (c) Albert Gea / Reuters

    Des pirates informatiques ont hacké le site de l’organisation, remplaçant sa page d’accueil par un avertissement qui spécifie que les élites atlantistes ont un an pour travailler pour le bien de l’humanité, sans quoi leurs avoirs seront menacés.

    « Chers membres du Bilderberg, dès maintenant, chacun d’entre vous à un an (365 jours) pour travailler réellement en faveur des humains et non de vos intérêts privés », ont écrit les hackers, qui disent agir au nom des mouvement activistes HackBack et Anonymous, contre l’élite des « 1% ».

    « Sinon, nous vous (...)

    #En_vedette #Sécurité #Actualités_Informatiques

  • Soirée surveillance et cinéma le mercredi 21 décembre 2016 dans les locaux de Mozilla (Paris) | Le cinéma est politique
    http://www.lecinemaestpolitique.fr/rencontres

    De quoi grignoter sera disponible sur place pendant la soirée, n’hésitez pas à ramener quelque chose pour partager !

    L’inscription est gratuite, ouverte à tou-te-s et pseudonymisable : https://frama.link/cine-surveillance
    Au programme :
    19h15 Accueil
    --
    19h30 – 20h30
    Révélations Snowden : ce que ca change pour vous, par Laure Betaille, e-responsible.com

    En 2013, Edward Snowden révélait aux yeux du monde la surveillance de masse menée par le gouvernement américain : sa seule crainte est alors que son sacrifice n’éveille pas les consciences. Concrètement, que contenaient ces documents, et en quoi concernent-ils chacun d’entre nous ? Trois ans plus tard, qu’est-ce qui a réellement changé ? Enfin, nous verrons en quoi nous avons tous un rôle à jouer pour préserver notre vie privée en ligne face au Big Brother numérique.
    --
    20h30 – 21h15
    Snowden au cinéma : quels enjeux et stratégies de représentation ?, par Arroway du site Le cinéma est politique

    En février 2014, Laura Poitras sort le documentaire “Citizenfour” sur les étapes des révélations Snowden. A l’automne 2016, une fiction réalisée par Oliver Stone sort à son tour au cinéma. Utilisant des stratégies différentes, les deux films ont pour même enjeu de sensibiliser aux questions de surveillance de masse dans des contextes de politique sécuritaire.

    • Vu Snowden, je suis très partagé.

      – D’un côté, faire de Snowden un héros de la culture populaire, positif et tout, qui vit heureux avec sa copine, contrairement au sort réservé à Chelsea Manning, très bien.

      – La personnalisation de l’affaire, qui détournerait l’attention publique du fond de l’affaire vers l’anecdotique, il me semble que c’est une des principales craintes de Snowden.

      – L’évolution du personnage, conservateur fidèle au système, à lanceur d’alerte politiquement conscient, c’est sans doute l’idée la plus intéressante du film, mais dans le même temps je trouve que ça donne l’impression de motifs tout à fait égoïstes (genre : je casse le système parce que j’ai des crises d’angoisse…), alors que dans Citizen4, le vrai Snowden a des arguments juste admirables de bout en bout. C’est ce qui me chagrine le plus.

      – Si je comprends bien, il y aurait des éléments inventés et des personnages fictifs. Ça me semble logique, sinon ça reviendrait à dénoncer des vrais gens de la vraie vie. Mais c’est problématique.

      – Évidemment, CitizenFour est largement mieux, mais ici c’est clairement un spectacle grand public, avec la prétention de faire passer le message au travers d’un divertissement.

      – Accessoirement, c’est peut-être la première fois que, dans un film, les acteurs sont moins beaux, moins charismatiques et moins sympathiques que les originaux (Snowden, Poitras, Greenwald). Pour le coup, la scène finale, avec l’apparition du vrai Snowden, calme, serein, le regard lumineux, c’est presque contre-productif, sauf à se dire qu’il faut absolument voir CitizenFour avec the real thing :-))

    • Assez d’accord (mais ne confonds pas l’épilepsie avec des crises d’angoisse).

      Ce qui m’a intéressé par rapport à Citizen 4, c’est les personnages secondaires, surtout ceux de l’intérieur : ses collègues de la NSA et ses mentors.

      Je n’en dis pas plus pour ne pas gâcher le film à celleux qui ne l’ont pas encore vu, mais ça démontre une palette assez généreuses d’abus de nature très variée (abus couverts par les multiples niveaux de secret), et aussi quelques degrés de liberté dans le système (le film terminant par un appel assez explicite à ce qu’il y ait d’autres #whistleblowers).

    • Apporte peu d’intérêt par rapport à Citizen4, si ce n’est sa vie privée et comment il gère son choc éthique. Tout ce qui se passe en amont aussi et pourquoi il fait ces choix et assume sa décision. en streaming sur yify.tv, mais sans sous titres

  • Vie privée : 5 outils utilisés et approuvés par Snowden
    https://www.crashdebug.fr/informatik/93-securite/12620-vie-privee-5-outils-utilises-et-approuves-par-snowden

    Histoire de finir de façon ludique tranquillement ce week end, il est toujours bon de prendre les conseils d’une personne comme Snowden, du reste vous verrez ici confirmé l’intéret d’avoir passé l’intégralité de notre petit site en HTTPS... ; ))))))))

    Bonne soirée,

    Amicalement,

    f.

    Visioconférences, usage quotidien du réseau social Twitter... Le lanceur d’alerte utilise des outils sécurisés

    pour continuer de faire entendre sa voix sans être inquiété, Barack Obama refusant toujours de lui accorder

    son pardon. - AFP PHOTO / DAGENS NYHETER / LOTTA HARDELIN

    Le lanceur d’alerte réfugié à Moscou, dont Oliver Stone dresse le portrait au cinéma cette semaine, se connecte tous les jours à Internet. Voici comment il s’assure de ne pas être espionné.

    Après avoir affronté en 2013 le (...)

  • Oliver Stone : Clinton ne vaut pas mieux que Trump - EL DIABLO - Commun Commune
    http://www.communcommune.com/2016/10/oliver-stone-clinton-ne-vaut-pas-mieux-que-trump.html

    Oliver Stone : « Je ne pense pas que Trump va gagner, mais Clinton n’est pas mieux »

    L’absence d’alternative et le film sur Snowden. Oliver Stone n’est pas l’américain moyen, mais il fait partie de ceux qui veulent encore agir au cœur du cyclone, des actes individuels, mais qui s’adressent au grand public d’une manière adulte et politique… A la différence près que le cinéma qui a été jadis un art populaire se partage en block buster infantilisant et pratique élitiste. La passion de masse pour un art a d’abord concerné un public populaire, puis leurs enfants en situation de promotion sociale (en France c’est la nouvelle vague et les cahiers du cinéma) Aujourd’hui nous sommes en plein dans l’art d’élite et le sous-art populaire, dichotomie revendiquée par un nouvel académisme. Oliver Stone tente d’y échapper. Avec le blocage de l’ascension sociale, il reste les pokemons et les amateurs éclairés de la bourgeoisie. Difficile d’en faire un instrument politique ne serait-ce qu’à cause des capitaux qu’il nécessite, saluons ceux qui mènent ce combat (note et traduction de DB ).

  • #Edward_Snowden: ’I’m willing to make a lot of sacrifices for my country’ – video interview | US news | The Guardian
    https://www.theguardian.com/us-news/video/2016/sep/13/edward-snowden-im-willing-to-make-a-lot-of-sacrifices-for-my-country-vi

    NSA whistleblower Edward Snowden tells the Guardian’s Ewen MacAskill why he should be granted a pardon by the US government. He also discusses the dangers of Donald Trump’s rhetoric on mass surveillance – and what he makes of Oliver Stone’s new movie

  • SNOWDEN - Official Trailer
    https://www.youtube.com/watch?v=QlSAiI3xMh4

    Academy Award®-winning director Oliver Stone, who brought Platoon, Born on the Fourth of July, Wall Street and JFK to the big screen, tackles the most important and fascinating true story of the 21st century. Snowden, the politically-charged, pulse-pounding thriller starring Joseph Gordon-Levitt and Shailene Woodley, reveals the incredible untold personal story of Edward Snowden, the polarizing figure who exposed shocking illegal surveillance activities by the NSA and became one of the most wanted men in the world. He is considered a hero by some, and a traitor by others. No matter which you believe, the epic story of why he did it, who he left behind, and how he pulled it off makes for one of the most compelling films of the year.

    The american process.

    #Biopic #Cinéma #Edward_Snowden #Oliver_Stone #Révélations_d'Edward_Snowden #États-Unis

  • The Okinawa missiles of October 1962 | Bulletin of the Atomic Scientists
    http://thebulletin.org/okinawa-missiles-october8826

    The story begins just after midnight, in the wee hours of October 28, 1962, at the very height of the Cuban Missile Crisis. Then-Air Force airman John Bordne says he began his shift full of apprehension. At the time, in response to the developing crisis over secret Soviet missile deployments in Cuba, all US strategic forces had been raised to Defense Readiness Condition 2, or DEFCON2; that is, they were prepared to move to DEFCON1 status within a matter of minutes. Once at DEFCON1, a missile could be launched within a minute of a crew being instructed to do so. (...) By Bordne’s account, at the height of the Cuban Missile Crisis, Air Force crews on Okinawa were ordered to launch 32 missiles, each carrying a large nuclear warhead. Only caution and the common sense and decisive action of the line personnel receiving those orders prevented the launches—and averted the nuclear war that most likely would have ensued.

    #histoire #nucléaire #secret

  • Oliver Stone : les États-Unis « ne sont pas menacés. Nous sommes la menace » | Middle East Eye | James Reinl | 22 septembre 2015
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/oliver-stone-les-tats-unis-ne-sont-pas-menac-s-nous-sommes-la-menace-

    Alors qu’il lance une nouvelle série documentaire offrant un point de vue critique sur les actions américaines outremer, le réalisateur explique à MEE qu’il n’a pas toujours vu les choses de cette manière

    « (...) Nous avons déstabilisé toute la région, semé le chaos. Et maintenant, nous accusons l’État islamique du chaos que nous avons nous-même créé », a-t-il ajouté, en référence à la milice extrémiste qui contrôle désormais de larges pans de la Syrie et de l’Irak.

    Stone a préparé et écrit la série et le livre qui l’accompagne en partenariat avec Peter Kuznick, un professeur de l’American University spécialiste de la question des frappes nucléaires américaines sur le Japon qui ont mis fin à la Seconde Guerre mondiale.

    « Tout tourne autour du pétrole. Vous vous souvenez de cet autocollant pour voiture où était écrit : ‘’Qu’est-ce que notre pétrole fait sous leur sable ?” », a demandé Kuznick à MEE.

    La soif américaine de l’or noir est au fondement de l’alliance des États-Unis avec l’Arabie saoudite, du coup contre le Premier ministre iranien Mohammad Mossadegh en 1953, appuyé par la CIA, et du soutien américain aux miliciens religieux qui combattaient les Soviétiques en Afghanistan dans les années 80, a-t-il poursuivi.

    « Nous avons créé ces pagailles, et ensuite nous avons élaboré un plan militaire grandiose pour y mettre un terme. Mais les solutions militaires ne marchent tout simplement pas. »

    Les opinions de Stone et de Kuznick ne risquent guère de faire froncer les sourcils dans les rues du Caire, de Moscou ou de Paris.

    En revanche, aux États-Unis, elles sont loin d’être majoritaires. (...)