person:omar shakir

  • Un tribunal israélien confirme l’expulsion d’un défenseur des droits de l’Homme
    Ali Abunimah, Electronic Intifada, le 18 avril 2019
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/04/24/un-tribunal-israelien-confirme-lexpulsion-dun-defenseur-des-dro

    Mardi, un tribunal israélien a confirmé une décision du gouvernement d’expulser Omar Shakir, directeur du bureau de Jérusalem de Human Rights Watch. Le tribunal a fondé sa décision sur une loi de 2017 qui interdit l’entrée aux gens qui plaident pour un boycott d’Israël ou de ses colonies en territoire occupé.

    #Omar_Shakir #HRW #BDS #Boycott

    Suite de :
    https://seenthis.net/messages/573760
    https://seenthis.net/messages/692740
    https://seenthis.net/messages/775165

    Sur un sujet proche, une liste d’expulsions aux frontières israéliennes ici :
    https://seenthis.net/messages/364741

    #Palestine #Expulsion #Frontière

  • Un tribunal israélien approuve l’#expulsion du directeur de #HRW

    Un tribunal israélien a approuvé mardi une décision du ministère de l’Intérieur d’expulser le directeur local de Human Rights Watch (HRW), accusé de « soutenir le boycott d’Israël ».

    Le tribunal de Jérusalem a accordé à #Omar_Shakir, un citoyen américain, jusqu’au 1er mai prochain pour quitter le territoire, après avoir rejeté son appel contre un ordre d’expulsion. Il peut toutefois faire appel devant la cour suprême.

    le tribunal avait reporté son expulsion en mai 2018 après un recours de l’organisation de défense des droits humains contre une décision du ministère de l’Intérieur.

    Dans sa déclaration mardi, le tribunal de Jérusalem a affirmé qu’il « a été prouvé » que M. Shakir « continue à appeler publiquement au boycottage d’Israël et en même temps demander qu’il (l’Etat hébreu) lui ouvre ses portes ».

    Le ministre des Affaires stratégiques Gilad Erdan a salué la décision de la justice israélienne, précisant que c’est son ministère qui avait fourni les éléments à charge pour incriminer le directeur du HRW et recommander son expulsion.

    « Les activistes du BDS doivent réaliser qu’il y a un prix à payer pour leur activité contre Israël et ses citoyens », a ajouté le ministre.

    Les autorités israéliennes avaient indiqué en 2018 que M. Shakir était depuis des années un militant du BDS soutenant le boycott d’Israël de manière active.

    Le BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions), l’une des bêtes noires des autorités israéliennes, est une campagne mondiale de boycott économique, culturel ou scientifique d’Israël destinée à obtenir la fin de l’occupation et de la colonisation des Territoires palestiniens.

    Le gouvernement israélien combat farouchement tout ce qui ressemble à une entreprise de boycott et en 2017, il a adopté une loi interdisant à tout militant BDS d’entrer en Israël.

    HRW a démenti que son directeur ait soutenu le BDS, et affirmé mardi vouloir saisir la cour suprême israélienne.

    Tom Porteous, adjoint au directeur des programmes de HRW, a affirmé dans un communiqué que la décision de justice constituait une « nouvelle et dangereuse interprétation de la loi » car elle assimilait la critique des entreprises opérant en Cisjordanie à un boycott d’Israël.

    https://www.lorientlejour.com/article/1166762/un-tribunal-israelien-approuve-lexpulsion-du-directeur-de-hrw.html
    #Israël
    ping @nepthys @reka

  • Israel revokes HRW country director’s work permit over claims of BDS support
    MEE staff | Tuesday 8 May 2018
    http://www.middleeasteye.net/news/israel-palestine-hrw-human-rights-watch-director-ban-bds-boycott

    Israeli authorities have revoked the work permit of international NGO Human Rights Watch’s (HRW) Israel and Palestine director, giving him two weeks to leave the country, the organisation said on Tuesday.

    Omar Shakir, who has been working for HRW in Israel and the occupied Palestinian territory since April 2017, saw the American NGO expert’s permit revoked on Monday over his alleged support of the Boycott, Divestment and Sanctions (BDS) movement against Israel. (...)

    #BDS #frontières #Palestine #USA #Expulsion #Frontière

  • Des Palestiniens racontent une confrontation mortelle avec la police israélienne à l’hôpital
    Middle East Eye | Jacob Burns | 23 juillet 2017
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/des-palestiniens-racontent-une-confrontation-mortelle-avec-la-police-

    JÉRUSALEM – Mohammed Abu Ghanam a été transporté en urgence à l’hôpital al-Makassed, à Jérusalem-Est, avec une balle logée dans un important vaisseau sanguin près du cœur, après des affrontements entre des milliers de fidèles palestiniens et les forces de sécurité à l’occasion d’une « journée de colère » vendredi, à propos du contrôle israélien exercé sur le troisième site le plus saint de l’islam.

    Le jeune homme de 19 ans était presque mort et l’équipe médicale tentait l’impossible pour le sauver en effectuant un massage cardiaque.

    Ils devaient l’opérer rapidement, mais dans le couloir de l’hôpital, ils ont été arrêtés par la police israélienne et le médecin en charge a été battu, selon deux infirmières présentes au moment des faits.

    « Chaque minute compte dans les situations où la vie de quelqu’un est en danger », raconte une des infirmières à Middle East Eye.

    « Ils nous ont arrêté pendant peut-être cinq minutes dans le couloir et ont battu un des médecins qui tentaient de réanimer le patient. »

    Ghanam, sur qui la police israélienne avait tiré lors des affrontements à At Tur, sur le Mont des Oliviers à Jérusalem-Est, est mort de ses blessures peu de temps après.
    (...)
    L’administration de l’hôpital a déclaré dans un communiqué qu’il travaillait avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour « mettre un terme rapidement et sans délai au chaos causé par les raids effectués par les forces d’occupation israéliennes à l’intérieur des enceintes et des locaux de l’hôpital ».

    Un porte-parole de la police, Micky Rosenfeld, a déclaré que les unités de police étaient allées à l’hôpital pour « rechercher des suspects directement impliqués dans les émeutes ».

    Israeli forces use tear gas against Palestinian protesters outside Al Makassed hospital in East #Jerusalem. pic.twitter.com/qMjiEj2SLU

    — Middle East Eye (@MiddleEastEye) 21 juillet 2017

    Traduction : « Les forces israéliennes utilisent du gaz lacrymogène contre des manifestants palestiniens à l’extérieur de l’hôpital al-Makassed à Jérusalem-Est »

    Il n’a pas répondu aux sollicitations concernant les allégations selon lesquelles la police avait empêché une équipe médicale d’effectuer son travail.

    La police israélienne a empêché Omar Shakir, directeur de Human Rights Watch (HRW) chargé d’Israël et de la Palestine, d’accéder à l’hôpital vendredi.

    Samedi, Shakir a expliqué à MEE que, s’il ne pouvait pas commenter la légalité de ce raid à l’hôpital vendredi, pour qu’un raid dans un hôpital soit légal, il doit avoir un « objectif ciblé… [et] l’impact sur les opérations de l’hôpital doit être négligeable ». (...)

  • Israël instaure des coupures illégales de l’alimentation électrique de Gaza
    21 juin | Charlotte Silver pour The Electronic Intifada |Traduction SF pour l’AURDIP
    http://www.aurdip.fr/israel-instaure-des-coupures.html

    Israël est responsable

    Mais des groupes de défense des droits des êtres humains ont repoussé les efforts que fait Israël pour s’en laver les mains et insisté sur l’obligation qu’a Israël de maintenir la fourniture d’électricité sans s’occuper du paiement.

    Le directeur régional de Human Rights Watch, Omar Shakir, a dit au journal de droite pro israélien Algemeiner, qu’Israël étant « de droit la puissance occupante, il doit refuser la requête de l’AP visant à couper l’électricité à Gaza.

    « Israël contrôle les frontières, l’espace aérien, les eaux de Gaza, donc Israël a une obligation qui va au-delà d’une simple réponse à une requête des autorités palestiniennes » a dit Shakir.

    L’ONU, le CICR, les États Unis et l’Union Européenne maintiennent tous qu’en droit international, Israël reste la puissance occupante à Gaza, malgré le retrait de ses soldats et colons, de l’intérieur du territoire en 2005.

    « En tant que puissance occupante, Israël a l’obligation d’assurer que les besoins vitaux de la population civile sont satisfaits » a dit la semaine dernière Magdalena Moughrabi, la directrice internationale adjointe d’Amnesty International pour le Moyen Orient et l’Afrique du Nord.

    « Les autorités israéliennes doivent immédiatement lever le blocus illégal et mettre fin à la punition collective qu’ils infligent à la population de Gaza » a dit Moughrabi.

    Le porte-parole de la responsable des affaires internationales de l’Union Européenne, Federica Mogherini n’a pas rémondu à notre demande de commentaire sur la détérioration de la situation à Gaza.

    #GAZA

  • Israël refusera des visas à Human Rights Watch, accusé de partialité Publié vendredi 24 février 2017
    https://www.rts.ch/info/monde/8413578-israel-refusera-des-visas-a-human-rights-watch-accuse-de-partialite.html

    Israël n’accordera plus de visa de travail aux membres étrangers de Human Rights Watch (HRW) qu’il accuse de partialité, a indiqué vendredi l’ONG basée à New-York, en jugeant la mesure « choquante ».

    Le ministère israélien des Affaires étrangères a confirmé à cette décision et accusé HRW d’avoir « constamment montré qu’elle était une organisation fondamentalement partiale et anti-israélienne dotée d’un ordre du jour hostile ». Il a toutefois précisé que les employés israéliens et palestiniens sont autorisés à continuer à travailler.

    HRW, qui a établi de nombreux rapports critiques sur l’occupation israélienne des territoires palestiniens, a demandé il y a plusieurs mois un visa pour le nouveau directeur de son bureau chargé d’Israël et de la Palestine, l’Américain Omar Shakir.
    « Réprimer le messager »

    Les autorités israéliennes ont rejeté la demande car, selon elles, HRW « n’est pas vraiment une organisation de défense des droits de l’Homme », a précisé l’ONG.

    « Nous travaillons dans plus de 90 pays. De nombreux gouvernements n’aiment pas nos conclusions fondées sur des recherches approfondies, mais leur réaction n’est pas de réprimer le messager », a déploré Omar Shakir.

    afp/jvia