person:otto pérez

  • La honte | Entre les lignes entre les mots
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2017/03/19/la-honte
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    Corée du Sud, Allemagne, Brésil, Guatemala… nombreux sont les pays où la corruption a un prix. Tou-te-s ont été soupçonné-e-s de malversation : Park Geun-hye, Christian Wulff, Dilma Rousseff, Otto Pérez, respectivement président-e de la République de Corée du Sud, d’Allemagne, du Brésil, du Guatemala, démissionnent après quelques années d’exercice du pouvoir. En Roumanie, la guerre des citoyens contre la corruption est déclarée et est devenue une ligne de conduite dans les affaires politiques. Au Nigeria, des tentatives du même type voient le jour. Il y a bien évidemment des réfractaires : Jacob Zuma en Afrique du Sud, Teodoro Obiang en Guinée Équatoriale, Alpha Condé en Guinée, Omar Al Bashir au Soudan, Robert Mugabe au Zimbabwe, Paul Biya au Cameroun, et ceux qui les ont précédés, qui restent impunis.❞

  • La honte
    https://joellepalmieri.wordpress.com/2017/03/16/la-honte

    Corée du Sud, Allemagne, Brésil, Guatemala… nombreux sont les pays où la corruption a un prix. Tou-te-s ont été soupçonné-e-s de malversation : Park Geun-hye, Christian Wulff, Dilma Rousseff, Otto Pérez, respectivement président-e de la République de Corée du Sud, d’Allemagne, du Brésil, du Guatemala, démissionnent après quelques années d’exercice du pouvoir. En Roumanie, la guerre … Lire la suite →


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  • Arnulfo Vásquez : « Les riches ne le sont pas parce que Dieu l’a voulu »
    http://www.revue-ballast.fr/arnulfo-vasquez

    Récit de la résistance des communautés indigènes guatémaltèques par l’un de ses membres.

    La lutte des communautés zapatistes du Chiapas a traversé les frontières pour devenir le signal de ralliement contre les multinationales et les gouvernements corrompus ; au risque de laisser dans l’ombre ses semblables de la région. Totonicapán est un département du sud-ouest du Guatemala en Amérique centrale. Surnommé « Toto », il compte un peu moins de 100 000 habitants et est peuplé de près de 22 communautés dont l’immense majorité est indigène maya. Ici, les traditions préhispaniques se perpétuent : les communautés s’enracinent et s’organisent tantôt en parallèle d’un État, tantôt à son encontre lorsqu’il soutient des mégaprojets sur leur territoire. Parmi ces organisations indigènes, les quarante-huit cantons de Totonicapán présentent sans doute la plus forte capacité de mobilisation liée à l’importance de l’identité, du territoire, de traditions, et d’une mystique — formant ce que le philosophe Cornélius Castoriadis nomme des « gisements culturels ». Quelques mois après l’arrivée à la présidence de l’ex-général Otto Pérez Molina, élu sur un programme de mano dura (« main de fer »), l’armée réprimera une manifestation pacifique en tuant six paysans indigènes qui y participaient. Le 4 octobre 2012, l’organisation bloquait, comme elle le fait souvent, la Route panaméricaine pour protester contre la hausse des tarifs de l’électricité. Arnulfo Vásquez, secrétaire de leur comité directeur en 2011, nous éclaire sur leur organisation et leur méthode.

    « Notre identité demeure vivante grâce au souvenir de toutes les luttes, tous les sacrifices, tous les succès ou revers subis dans le passé. »

    http://zinc.mondediplo.net/messages/46251 via Ballast

  • Verrouillage fiscal en Amérique centrale, par Mikaël Faujour (décembre 2015)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2015/12/FAUJOUR/54388

    Manifestations contre la corruption, démission de l’ancien président Otto Pérez Molina, installation d’une commission de l’Organisation des Etats américains (OEA) sous la pression de la rue : au Guatemala, l’année 2015 a été marquée par le retour des revendications populaires. Mais l’entrée du premier milliardaire guatémaltèque au classement Forbes et l’adoption du plan Alliance pour la prospérité dans le triangle nord (Salvador, Guatemala, Honduras) rappellent aussi que le néolibéralisme fleurit dans une région structurellement inégalitaire. Trois essais récemment parus en analysent l’essor à travers le rôle et les stratégies des élites économiques. [#st]

    http://zinc.mondediplo.net/messages/14225 via Le Monde diplomatique

  • Le président du Guatemala, au passé lié aux dictatures, destitué par la justice
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2625

    Le président guatémaltèque « Otto Perez Molina » a démissionné mercredi 2 septembre, à minuit de l’heure locale, après qu’un procureur général a lancé un mandat d’arrêt le visant, alors qu’il est en exercice à la tête de l’Etat. Impliqué dans l’affaire de corruption nommée « La Línea », il part, à la veille d’une élection présidentielle qui devait se tenir en 2016, date de fin de son mandat, après des élections générale fixées à ce dimanche 6 septembre (demain). Le départ de ce dernier agent de la CIA en Amérique (...)

    diplomatie, présence, officiels, relations, échanges, politique internationale, rapports,

    / censure, presse, journaux, dictature, expressions, liberté, #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale, #crise,_capitalisme,_économie,_justice,_Bourse, économie, politique, arts, corruption, (...)

    #diplomatie,_présence,_officiels,_relations,_échanges,_politique_internationale,_rapports, #censure,_presse,_journaux,_dictature,_expressions,_liberté #économie,_politique,_arts,_corruption,_opposition,_démocratie #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion,_perdition #Socialisme,_Amérique_Latine,_Chine,_marxisme,_égalité,_pauvreté,_justice,_sociale #chômeurs,_emploi,_social,_syndicat,_revendication,_jeunesse,_travailleurs,_chômage

  • 9月4日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-150904

    Top story: President Otto Pérez Molina of Guatemala Resigns Amid Scandal www.nytimes.com/2015/09/04/wor…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 15:49:35

    RT @synodos: 「αシノドス」179号 ★教育とテクノロジー 藤本徹「シリアスゲームの挑戦」豊福晋平「遅れる日本の教育情報化」重田勝介「MOOC入門」芳賀高洋「学校はSNSを利用すべきか」片岡剛士「経済ニュースの基礎知識」synodos.jp/a-synodos posted at 13:33:10

    Top story: Les photos «qui changent le monde» changent-elles vraiment le monde … www.liberation.fr/societe/2015/0…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=tnp posted at 12:19:44

    My Tweeted Times tweetedtimes.com/ChikuwaQ?s=rgp - top stories by @JulienBinet, @ChronCulture, @Kitri1 posted at 12:00:01

    RT @Dokushojin_Club: 【週刊読書人2015年9月4日号】▼今週の読物▼◆連載=漢字点心<第148回>/円満字 二郎(えんまんじ・じろう氏=編集者・ライター)◎「政」#円満字二郎 dokushojin.shop-pro.jp/?pid=93207172 posted at 10:35:59

    Papier is out! paper.li/ChikuwaQ/13277… posted at 09:18:35

    Top story: Pourquoi nous n’avons pas (...)

  • Another Massacre of Indigenous People in #Guatemala

    The Indigenous people of Guatemala have just lived through another massacre in their territories, which has led to the declaration of another state of emergency by the government of Otto Pérez Molina.

    The acts of violence started on the evening of September 19th, when, according to the communities, armed actors entered their territories and identified themselves as workers with Cementos Progreso, they opened fire and killed a member of the community delegation that was in the area, killing him. That began a cycle of violence that has, up until now, caused eleven deaths and injured various people, and which has dramatically aggravated the conflicts that exist in the region.

    http://upsidedownworld.org/main/guatemala-archives-33/5068-another-massacre-of-indigenous-people-in-guatemala

    #massacre #violence #peuples_autochtones
    cc @reka

  • Amérique centrale, la difficile lutte contre l’impunité
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/06/03/amerique-centrale-la-difficile-lutte-contre-l-impunite_3423165_3232.html

    Dès le début du procès, les avocats du général Rios Montt ont multiplié les incidents et les manoeuvres dilatoires. Le patronat, les anciens officiers et plusieurs médias influents ont organisé la contre-offensive, niant qu’un génocide ait eu lieu au Guatemala lors du « conflit armé » entre les militaires et la guérilla communiste. Le président du Guatemala, le général Otto Pérez Molina, a défendu la même position.

    Commandant une garnison dans la province du Quiché pendant la guerre civile, il a été accusé de violations des droits de l’homme par un témoin, un ancien militaire, lors du procès. La comparution d’un autre témoin, le journaliste américain Allan Nairn, a été annulée au dernier moment. Selon ce reporter, qui a couvert le conflit guatémaltèque dans les années 1980, la responsabilité de Rios Montt dans les massacres d’Indiens Mayas n’est pas la seule engagée.

    Politique de terre brûlée

    Allan Nairn ne cachait pas qu’il allait mettre en cause le président Pérez Molina et le soutien des diplomates américains et de la CIA à la politique de terre brûlée du général Rios Montt. Engagé dans une guerre secrète contre le Nicaragua sandiniste, le président Ronald Reagan appuyait le général Rios Montt, qu’il considérait comme « un homme d’une grande intégrité, totalement dévoué à la démocratie » ! Loin de dénoncer les massacres commis par l’armée guatémaltèque, Elliot Abrams, le responsable des droits de l’homme au département d’Etat, vantait le bilan de Rios Montt.

    En Haïti, les avocats de l’ancien dictateur Jean-Claude Duvalier ont souligné les ambiguïtés de la communauté internationale. Pourquoi « Bébé Doc » n’a-t-il pas été poursuivi en France pour les crimes contre l’humanité qui lui sont reprochés ? De sa fuite en février 1986 à son retour en Haïti, en janvier 2011, il a vécu vingt-cinq ans en exil en France, sans être inquiété. Face aux témoignages des victimes qui ont décrit les tortures, les assassinats et les disparitions, les défenseurs de l’ancien dictateur ont ressorti les rapports du département d’Etat américain faisant état de « progrès » à la fin des années 1970.

    Aux côtés d’Amnesty International et de Human Rights Watch, la haut-commissaire des Nations unies pour les droits humains, Navi Pillay, a insisté pour que Jean-Claude Duvalier soit jugé pour crimes contre l’humanité et non pas seulement pour corruption et détournement de fonds, comme l’avait décidé un juge d’instruction. Au même moment, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, déclarait irrecevables les plaintes déposées contre l’organisation pour l’introduction du choléra en Haïti. Deux poids, deux mesures en matière d’impunité, entendait-on en Haïti, où l’épidémie a fait plus de 8 100 morts depuis 2010. Selon plusieurs études scientifiques, le choléra a été introduit en Haïti par des casques bleus népalais.

    Le courage des victimes pour mettre fin à l’impunité se heurte au manque de volonté politique du président haïtien Michel Martelly, prêt à passer l’éponge au nom de la « réconciliation nationale ». Au Guatemala comme en Haïti, les plaignants ne veulent pas de dédommagement. Juste dire ce qui a été « afin que ça ne se reproduise plus ».

  • Le président du Guatemala veut légaliser toutes les drogues
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2012/04/08/le-president-du-guatemala-veut-legaliser-toutes-les-drogues_1682382_3222.htm

    Le président du Guatemala, Otto Perez, a lancé samedi 7 avril dans le quotidien britannique The Guardian un appel à la dépénalisation des drogues comme « alternative » pour lutter contre la violence qui déferle sur l’Amérique centrale. Partant du constat que « la consommation et la production de drogue sont toujours plus importantes » malgré des années de lutte gouvernementale, Otto Perez en appelle à « abandonner toute position idéologique - que ce soit celle de la prohibition ou de la libéralisation - et lancer un vaste dialogue international basé sur une approche pragmatique : la régulation du marché de la drogue. »

  • Genocide-Linked General Otto Pérez Molina Poised to Become Guatemala’s Next President (Relevé sur le net)
    http://www.democracynow.org/2011/9/15/genocide_linked_general_otto_prez_molina

    A retired military general has won the first round in Guatemala’s presidential election, leading to a runoff election in November. If elected, General Otto Pérez Molina would become the first former military official to win the presidency since the end of the military dictatorships in 1986. Human rights groups have accused Pérez of being directly involved in the systematic use of torture and acts of genocide in Guatemala in the 1980s. Pérez has run largely on a platform of using “an iron fist” to crack down on drug cartels. Nobel Peace Prize laureate and Mayan activist, Rigoberta Menchú, is one of nine other candidates challenging Pérez. Democracy Now! discusses the election and its implications with human rights attorney Jennifer Harbury. Her husband, Efraín Bámaca Velásquez, a guerrilla leader, was tortured and killed in 1982 by members of the Guatemalan army. (...)

  • Virage à droite au Guatemala | Sergio Ferrari (Le Courrier)
    http://www.lecourrier.ch/virage_a_droite_au_guatemala

    Vingt-huit partis politiques et dix candidats à la présidentielle – dont trois femmes – se disputeront dimanche les voix de 7,3 millions d’électeurs guatémaltèques, sur une population totale de 14 millions d’habitants. Les sondages prédisent une victoire du candidat du Parti patriote (extrême droite), l’ex-général Otto Pérez Molina. Des menaces d’autoritarisme et d’une politique de la main de fer planent sur le futur de la plus peuplée des nations d’Amérique centrale, dont le thème de l’insécurité citoyenne occupe une place prépondérante. Au Guatemala, en effet, la violence sociale tue chaque jour entre quinze et vingt personnes.