person:patrice de mac mahon

  • Patrice de Mac Mahon — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrice_de_Mac_Mahon#La_guerre_et_la_Commune

    Il participe à la guerre franco-prussienne de 1870, essuie plusieurs défaites en Alsace et lors de la bataille de Sedan où il est blessé dès le début des combats ; sa stratégie paraît confuse et marquée par une certaine indécision.

    Il est fait prisonnier lors de la capitulation de Sedan (1er septembre).

    En 1871, lors de la campagne à l’intérieur, il est nommé à la tête de l’armée régulière dite « versaillaise » qui, aux ordres du gouvernement légal, réprime durement la Commune de Paris, tuant ou capturant des milliers de personnes.

    Parmi les avenues qui partent de la Place de l’étoile, tu en as une qui se nomme Mac Mahon. On a pas mal de témoignages ces dernières semaines, sur les évènements autour de la Place de l’étoile, où on cite cette avenue.

    Il me semblait pertinent de te rappeler le haut fait d’arme pour lequel ce quidam avait le droit à une avenue à Paris : capturé piteusement lors de la guerre de Napoléon III contre la Prusse et tortionnaire de citoyens.

    Tu trouveras sur la page Wikipédia qu’il a aussi, par le succès qu’il rencontra dans la répression, pu devenir Président d’une France écartelée entre royalistes et républicains.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Avenue_Mac-Mahon

    Cette voie porte le nom du comte Patrice de Mac Mahon (1808-1893), 1er duc de Magenta, maréchal du Second Empire et le 3e président de la République française, fonction qu’il a occupée de 1873 à 1879. La rue a donc été baptisée de son vivant, alors qu’il occupait la fonction de président de la République.

    En France, même les tortionnaires peuvent avoir une rue à leur nom.

  • Le dernier numéro de la Revue Confins (revue franco brésilienne dirigée par H Théry et son épouse) vient de sortir.
    Editorial du numéro 34
    http://journals.openedition.org/confins/12748

    « Que d’eau, que d’eau ! ». C’est ce que Patrice de Mac Mahon (1808-1893), alors Président de la République aurait dit, à la vue des inondations catastrophiques de Toulouse, le 26 juin 1875. Ce à quoi le Préfet aurait répondu « Et encore, vous ne voyez que le dessus ! ». Anecdote probablement apocryphe, mais qui pourrait s’appliquer à ce numéro 34 de Confins, où le thème de l’#eau, douce ou salée, est très présent dans toutes les sections. Principalement, bien sûr, dans le dossier central sur les cartographies environnementales du Rio Grande do Norte, mais aussi dans les autres articles, depuis les champs de dunes de Jericoacoara jusqu’aux comptes-rendus de livres sur l’eau au Moyen-Orient et sur la navigation sur le Rio Grajaú, en passant par la deuxième partie de l’article de synthèse « L’embouchure de l’#Amazone, macro-frontière géomorphologique » qui tire les « enseignements de 30 années de recherches franco-brésiliennes sur les systèmes côtiers amazoniens ».

    Le thème de l’inondation, qui atterrait Mac Mahon pourrait s’appliquer à l’’arrivée de propositions d’articles à notre revue, mais cette fois non pas un flux catastrophique mais bénéfique, bien qu’il nous pose quelques problèmes. À ce jour la liste des textes en cours d’évaluation, de réécriture après évaluation et en attente de publication compte 107 titres. Si bien que nous avons décidé, pour que les délais de publication ne s’allongent pas trop, de publier cette année un cinquième numéro, qui devrait paraître en avril ou mai, avant le numéro de juin. Nous ne plaindrons évidemment pas d’être – pour reprendre une autre formule cliché – « victimes de notre succès » et au contraire remercions les candidats-auteurs de la confiance qu’il nous font.

    La première partie de ce numéro 34 s’ouvre sur deux articles qui vont de l’histoire à l’actualité de São Paulo avec les « Aspects de la représentation du territoire de #São-Paulo dans sa cartographie imprimée : une analyse carto-bibliographique (1833-1932) » de José Rogério Beier et Daniel Marhtin et « Utilisation et occupation du sol à São Paulo, changements climatiques et risques environnementaux contemporains », de Jane Zilda dos Santos Ramires et Neli Aparecida de Mello-Théry. Elle se poursuit – en espagnol – par un texte de deux collègues argentins, Silvina Carrizo et Guillermina Jacinto, qui nous ont confié leur article sur « Co-construcciones de redes energéticas. Acciones colectivas territoriales en Argentina, siglo XXI (Co-constructions de réseaux d’énergie » (Actions collectives territoriales en Argentine, au 21ème siècle).


    Les « Images commentées » associent cette fois un exercice scolaire, « Lyon, ville brésilienne ? » ,


    coordonné par Catherine Didier-Fèvre dans la #Khâgne Sainte-Marie-Lyon 2017-2018, qui se demande, en analysant plusieurs villes brésiliennes, si Lyon en fait désormais partie.


    Et un remarquable ensemble de cartes est rassemblé par Bruno de Oliveira Lemos, Antonio Paulo Cargnin, Suzana Beatriz de Oliveira et Ana Maria de Aveline Bertê dans leur « Analyse cartographique #transfrontalière de la démographie à la #frontière sud du Brésil » .

  • ARTICLE DU JOUR :...Le Monde fait l’éloge d’Henri de Castries
    http://www.brujitafr.fr/2016/12/article-du-jour.le-monde-fait-l-eloge-d-henri-de-castries.html

    La tentation politique d’Henri de Castries, ex-patron d’Axa Coopté président du groupe Bilderberg, en 2012 2012 est l’année de la consécration pour ce trilingue français-allemand-anglais. Il entre au conseil d’administration de Nestlé et est coopté président...

    • Henri de La Croix de Castries
      Ne spolions pas ce Monsieur de son Nom.

      Intéressante la biographie de la famille sur Wiki.
      De grands « serviteurs* » de la République.

      Élisabeth de Mac Mahon, née Élisabeth Charlotte Sophie de La Croix de Castries était l’épouse de Patrice de Mac Mahon

      * Serviteurs, dans le sens de se servir, bien sur