person:philippe varin

  • « #Dieselgate » : PSA et sa « stratégie globale visant à fabriquer des moteurs frauduleux »
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/09/08/dieselgate-psa-et-sa-strategie-globale-visant-a-fabriquer-des-moteurs-fraudu

    Selon la recension effectuée par la DGCCRF, « au moins 1 914 965 véhicules diesel de génération Euro 5 [la norme en vigueur jusqu’en 2015] dont le moteur fonctionne selon les stratégies frauduleuses, objet du présent procès-verbal », ont été vendus en France entre le 1er septembre 2009 et le 1er septembre 2015. Ce qui correspond à un « chiffre d’affaires minimal » de « 33,86 milliards d’euros ». Soit plus du double que les 946 097 véhicules du constructeur allemand (pour un « chiffre d’affaires frauduleux » déjà spectaculaire de 22,78 milliards d’euros) épinglés pas les enquêteurs dans le dossier Volkswagen (Le Monde du 24 mai 2017) et que les 898 557 voitures (16,85 milliards d’euros) concernées dans le cas de Renault.
    […]
    Un document saisi au siège du constructeur et intitulé « dossier technique émissions stratégie diesel Euro 5 » explique que les moteurs étaient paramétrés selon deux modes de fonctionnement : un mode « LowNox » qui « abaisse les Nox mais augmente la consommation et réduit le brio [reprise] du véhicule » et un mode « LowCO2 » qui « réduit la consommation, favorise le brio mais augmente de manière significative les NOx ».

    L’enquête conclut que les véhicules étaient équipés d’un « calculateur de contrôle moteur » qui permettait d’activer « exclusivement » le mode LowNox « pendant le test d’homologation » et « majoritairement » le mode LowCO2 « en condition de vie client » avec pour « objectif de réduire au maximum l’occurrence du mode LowNox en situation client ».
    […]
    L’enquête va encore plus loin. Elle montre que cette stratégie concerne des véhicules plus récents puisqu’elle a été « élargie pour les moteurs Euro 6 », soit les modèles commercialisés depuis septembre 2015. Un document interne précise par ailleurs que l’objectif était de « rendre l’aspect “#defeat_device” [dispositif d’invalidation] moins évident et visible ». « Cet objectif a été présenté à la direction du groupe Peugeot Citroën Automobile SA dès novembre 2010 », précise la répression des fraudes.

    • « Dieselgate » : PSA va porter plainte « pour violation du secret de l’instruction »
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/09/08/dieselgate-psa-va-porter-plainte-pour-violation-du-secret-de-l-instruction_5

      PSA a annoncé, vendredi 8 septembre, avoir décidé de déposer une plainte à la suite de la publication par Le Monde d’extraits d’un rapport de la Direction de la répression des fraudes (DGCCRF) accusant le constructeur d’avoir vendu près de deux millions de véhicules équipés de moteurs frauduleux en matière d’émissions polluantes.

    • Suisse - Le titre sur l’article de la RTS est le meilleur !

      Le groupe PSA soupçonné d’avoir truqué 2 millions de moteurs diesel RTS - agences/lan - 8 Septembre 2017
      http://www.rts.ch/info/economie/8903842-le-groupe-psa-soupconne-d-avoir-truque-2-millions-de-moteurs-diesel.html
      Le groupe automobile français PSA aurait vendu près de deux millions de véhicules équipés de moteurs frauduleux en matière d’émissions polluantes, rapporte vendredi le Monde, citant des extraits d’un rapport transmis à la justice.

      Ces révélations s’inscrivent dans le cadre d’une enquête judiciaire visant l’entreprise pour des soupçons de tromperie dans cette affaire du « dieselgate ». L’investigation est conduite, depuis avril, par des juges d’instruction.


      Les constructeurs allemand Volkswagen, français Renault et italo-américain Fiat-Chrysler sont déjà dans le viseur de la justice française pour des faits similaires.

      Selon la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) citée par le quotidien, quelque 1,9 million de véhicules diesel de génération Euro5 (norme en vigueur jusqu’en 2015), « dont le moteur fonctionne selon les stratégies frauduleuses », ont été vendus par PSA entre septembre 2009 et septembre 2015 en France.

      Vif démenti
      De son côté, PSA a vivement démenti cette accusation et a annoncé avoir « décidé de déposer une plainte auprès du Procureur de la République pour violation du secret de l’instruction ».

    • Pour PSA, la facture finale risque d’être très salée. Cinq milliards d’euros, c’est le montant de l’amende qui menace le constructeur automobile français dans le dossier du « Dieselgate ». Cette somme correspond à 10 % de la moyenne du chiffre d’affaires des exercices 2013, 2014 et 2015, selon le procès-verbal d’infraction de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), auquel Le Monde a eu accès. Ce document clé, qui résume les charges contre le constructeur, est le principal élément d’enquête de l’instruction ouverte le 7 avril pour « tromperie aggravée ». Après Volkswagen, Renault et Fiat Chrysler, le groupe est soupçonné, comme ses concurrents, d’avoir manipulé ses moteurs diesel afin qu’ils émettent moins d’oxyde d’azote (NOx), un gaz très toxique, lors des tests d’homologation qu’en conduite réelle.

      Confiée à trois juges du pôle santé publique du tribunal de grande instance de Paris, l’enquête a mis en évidence le nombre important de véhicules concernés par cette « tromperie sur les qualités substantielles d’une marchandise et sur les contrôles effectués ». Selon la recension effectuée par la DGCCRF, « au moins 1 914 965 véhicules diesel de génération Euro 5 [la norme en vigueur jusqu’en 2015] dont le moteur fonctionne selon les stratégies frauduleuses, objet du présent procès-verbal », ont été vendus en France entre le 1er septembre 2009 et le 1er septembre 2015. Ce qui correspond à un « chiffre d’affaires minimal » de « 33,86 milliards d’euros ». Soit plus du double que les 946 097 véhicules du constructeur allemand (pour un « chiffre d’affaires frauduleux » déjà spectaculaire de 22,78 milliards d’euros) épinglés pas les enquêteurs dans le dossier Volkswagen (Le Monde du 24 mai 2017) et que les 898 557 voitures (16,85 milliards d’euros) concernées dans le cas de Renault.

      La DGCCRF estime également que PSA a réalisé une « économie frauduleuse d’investissement » (qu’elle ne quantifie pas) en intégrant un dispositif qui modifie le comportement du moteur pour être en conformité avec les normes d’émissions de polluants uniquement lors du test d’homologation plutôt que d’investir dans le développement loyal d’un moteur conforme à la réglementation et dans des technologies plus efficaces en matière de dépollution.

      Neuf modèles du groupe PSA, dont les Peugeot 208, 807 et 5008 et les Citroën C3 et C5, ont été passés au crible par l’UTAC, l’organisme chargé en France de certification des véhicules. Tous présentent des taux d’émissions de NOx inférieurs à la limite autorisée (180 mg/km) dans les conditions du test d’homologation (moteur à froid). Mais ces mêmes concentrations augmentent, voire explosent quand la température du moteur varie et se rapproche des conditions de conduite réelle. Les enquêteurs constatent ainsi « une augmentation des émissions de NOx entre 30 % et 170 % pour l’ensemble des neuf véhicules testés ». Record pour la C3, dont les rejets d’oxyde d’azote s’envolent à 267,4 mg/km.

      « Calibrations frauduleuses »

      Les agents de la DGCCRF ont cherché à savoir ce qui pouvait expliquer de tels écarts. Alors que Volkswagen a été obligé de reconnaître l’utilisation d’un logiciel « truqueur », l’enquête française met au jour chez PSA une stratégie de « calibrations frauduleuses » pour que le système de dépollution (la vanne dite EGR) s’active surtout pendant les tests d’homologation. Un document saisi au siège du constructeur et intitulé « dossier technique émissions stratégie diesel Euro 5 » explique que les moteurs étaient paramétrés selon deux modes de fonctionnement : un mode « LowNox » qui « abaisse les Nox mais augmente la consommation et réduit le brio [reprise] du véhicule » et un mode « LowCO2 » qui « réduit la consommation, favorise le brio mais augmente de manière significative les NOx ».

      L’enquête conclut que les véhicules étaient équipés d’un « calculateur de contrôle moteur » qui permettait d’activer « exclusivement » le mode LowNox « pendant le test d’homologation » et « majoritairement » le mode LowCO2 « en condition de vie client » avec pour « objectif de réduire au maximum l’occurrence du mode LowNox en situation client ». Avec un double intérêt pour le constructeur : passer les tests d’homologation avec succès et « éviter la surconsommation de carburant et la baisse du brio du moteur induites par l’utilisation de l’EGR ».

      Stratégie « élargie pour les moteurs Euro 6 »

      L’enquête va encore plus loin. Elle montre que cette stratégie concerne des véhicules plus récents puisqu’elle a été « élargie pour les moteurs Euro 6 », soit les modèles commercialisés depuis septembre 2015. Un document interne précise par ailleurs que l’objectif était de « rendre l’aspect “defeat device” [dispositif d’invalidation] moins évident et visible ». « Cet objectif a été présenté à la direction du groupe Peugeot Citroën Automobile SA dès novembre 2010 », précise la répression des fraudes.

      Sur la base des documents saisis lors des perquisitions effectuées sur les différents sites du groupe, de l’étude des correspondances électroniques et des auditions de plusieurs ingénieurs et responsables, les enquêteurs ont acquis la conviction que la direction savait. Ils évoquent une « stratégie globale visant à fabriquer des moteurs frauduleux, puis à les commercialiser ».

      Aussi, PSA est cité comme personne morale prise en la personne de son représentant légal, Carlos Tavares, le président du directoire. Quant aux anciens dirigeants, Jean-Martin Folz (1997 à 2007), Christian Streiff (2007 à 2009) et Philippe Varin (2009 à 2014), ils sont tous les trois mis en cause comme responsables présumés en tant que personnes physiques. Et les enquêteurs ne sont pas tendres avec les ex-dirigeants du groupe : « MM. Folz, Streiff et Varin sont des dirigeants avertis, ils ne sauraient donc exciper de leur bonne foi sur le caractère frauduleux de la stratégie mise en œuvre au sein de Peugeot Citroën Automobile SA. »

      « J’ignore tout d’une éventuelle enquête dont ferait l’objet PSA et n’ai plus aucun contact avec ce groupe depuis plus de dix ans », a réagi M. Folz. Egalement contactés par Le Monde, MM. Streiff et Varin n’ont pas donné suite à nos sollicitations. Au niveau du groupe, on fait savoir que « PSA n’a jamais reçu de notification du transfert du dossier [à la justice] et n’a pas de commentaire à faire sur un dossier auquel il n’a pas eu accès ». Et de rappeler que « le groupe respecte la réglementation dans tous les pays où il opère ». Un porte-parole a de nouveau démenti vendredi « toute stratégie frauduleuse ».

      Egalement joint par Le Monde, Me Eric Dezeuze, du cabinet Bredin Prat, qui défend les intérêts de PSA indique qu’il « ne pouvait faire aucun commentaire, n’ayant pas accès à la procédure ». Le 10 février, au lendemain de la communication par le ministère de l’économie de la transmission de l’enquête de la DGCCRF à la justice, il avait écrit au procureur de la République pour solliciter « une entrevue afin que nous puissions avoir un premier échange sur le fond de ce dossier et que vous puissiez ainsi décider en parfaite connaissance de cause des suites que vous souhaitez donner à la transmission de ce procès-verbal ». Les suites ? Ce sont les prochaines auditions, menées par les juges d’instruction, des dirigeants de PSA, lequel s’est toujours prévalu d’être le champion du « diesel propre ».

  • Allocution de Nathalie Arthaud sur la situation politique [fête de Lutte Ouvrière]
    http://www.lutte-ouvriere.org/notre-actualite/le-texte-du-dernier-meeting/article/allocution-de-nathalie-arthaud-sur-38826


    Extraits :

    Depuis trois ans, Hollande est l’homme à tout faire du grand patronat : retraites, loi sur la flexibilité, crédit d’impôt compétitivité emploi, pacte de responsabilité, travail du dimanche, affaiblissement des Prud’hommes et maintenant, le recul des droits syndicaux avec la loi Rebsamen. En trois ans, Hollande a fait plus pour démanteler les droits des travailleurs et baisser le prétendu coût du travail que Sarkozy n’en a fait en cinq ans !
    D’un côté le gouvernement a entériné les dividendes exorbitants, les retraites chapeau, par exemple les 300 000 euros mensuels de Philippe Varin, l’ex PDG de Peugeot qui avait promis d’y renoncer. Il a arrosé le patronat de milliards et de l’autre côté, il a gelé le smic, les pensions, les droits sociaux et imposé des coupes drastiques comme celle qu’il veut faire dans les hôpitaux.
    Oui la bourgeoisie peut dire merci à Hollande. Grâce à lui, elle a d’ores et déjà profité de la crise.
    L’économie capitaliste est une jungle mondiale où les gros et les moyens capitalistes se combattent, mangent les plus petits, sans que personne ne puisse connaître l’issue globale de cette concurrence impitoyable.
    Cours du pétrole et de l’euro, taux de croissance, valeurs boursières, tout cela va et vient, tels des phénomènes climatiques de plus en plus déréglés à cause de la spéculation.
    En un mot, l’économie capitaliste est un bateau ivre où le travail des dirigeants politiques se borne à faire accepter aux travailleurs une politique anti-ouvrière car dans toute cette anarchie, il y a une constante : plus on fait trimer les travailleurs, mieux cela ira pour la bourgeoisie. Eh bien voilà ce à quoi s’attelle Hollande depuis trois ans.

    La mobilisation de la classe ouvrière pour ses intérêts collectifs est une nécessité pour mettre un coup d’arrêt à l’offensive patronale.
    Il n’y a rien à attendre des recherches diverses et variées pour recombiner la gauche et la transformer en vraie gauche ou en gauche de la gauche. Rien à attendre des ex ministres du gouvernement, frondeurs ou pas et de leurs amis politiques qui pensent favoriser leur carrière en se démarquant de Hollande maintenant qu’il est déconsidéré.
    Rien à attendre non plus des écologistes, également ex et futurs ministres, source inépuisable de combinaisons politiciennes, y compris avec la majorité gouvernementale.
    Et à tout seigneur tout honneur, car il faut bien lui reconnaître une certaine antériorité dans la tentative de capter les déçus du gouvernement, il y a Jean-Luc Mélenchon. Après sa première opération avec le Front de gauche et le Parti communiste, Mélenchon s’est lancé dans un mouvement pour la 6ème république. Et maintenant, le voilà qui vient de déclencher sa petite guerre personnelle contre l’Allemagne. C’est ce qu’on appelle vouloir faire du neuf avec du vieux !
    Alors toute cette agitation peut réserver encore bien des surprises mais il n’y en aura aucune de bonne ! Comme des faiseurs de miracle, ils promettront, sans toucher à un cheveu de la bourgeoisie, de raser gratis pour les travailleurs.
    Regardez ce qui se passe en Grèce. Le programme de Tsipras n’était pas révolutionnaire, l’essentiel pour lui était de demander du temps pour rembourser la dette et avoir un peu de marge de manœuvre pour augmenter le Smic, verser un 13ème mois aux retraités les plus pauvres et réembaucher des fonctionnaire.
    Ce qui lui a valu d’être traité d’irresponsable et de provocateur par les dirigeants européens qui se sont empressés de frapper la Grèce au portefeuille.
    Cela doit être une leçon pour nous ici. Revendiquer une petite augmentation de salaire, de meilleurs retraites qui permettraient ne serait-ce que d’annuler les reculs de ces dernières années sera considérée comme une déclaration de guerre pour la bourgeoisie.

  • Varin exige une « baisse des coûts pesant sur les entreprises »
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2014/01/14/varin-exige-une-baisse-des-couts-pesant-sur-les-entreprises_4347479_823448.h

    Alors que le chef de l’Etat doit détailler le contenu du « pacte de responsabilité » avec les entreprises, mardi 14 janvier, le président de PSA Philippe Varin dresse la liste des attentes des chefs d’entreprises, dans un entretien au Figaro.

    Egalement président du Cercle de l’industrie, un think-tank qui rassemble les trente-quatre plus grandes entreprises industrielles françaises, il assure : « nous ne voulons plus d’un discours qui stigmatise les chefs d’entreprise. Ce sont les entreprises qui créent les emplois et la richesse de la France ».

    « Ensuite, nous attendons que le président fixe un cap clair et si possible précis pour restaurer la compétitivité. Libérer les contraintes et s’engager dans une réelle baisse des charges, c’est crucial », insiste le président du directoire de PSA.

    BAISSE DES COÛTS ET BAISSE DES IMPÔTS

    Pour Philippe Varin, qui a fin novembre renoncé à sa retraite chapeau d’un montant de 21 millions d’euros, face à l’avalanche de critiques, « la priorité, c’est une baisse des coûts pesant sur les entreprises ». Cette réduction doit se faire dans trois domaines : « l’allégement de la fiscalité, la baisse du coût du travail et un prix de l’énergie compétitif ».

    Il réclame aussi « une stabilisation du cadre réglementaire pour que les règles ne changent pas en permanence et des Assises de la fiscalité qui aboutissent réellement à une baisse des impôts ». Concernant la baisse des dépenses publiques, « c’est le coût du millefeuille territorial qui doit être réduit en priorité ».

    Enfin, sur la contrepartie en matière d’embauches attendue du patronat en échange d’une baisse du coût du travail, M. Varin promet que les chefs d’entreprise « assumeront leur responsabilité sociale et économique. Si les conditions d’amélioration de leur compétitivité, donc leurs marges, sont restaurées, ils investiront et embaucheront ».

    Le président Hollande a annoncé le 31 décembre qu’il proposait aux entreprises un « pacte de responsabilité » fondé sur « un principe simple : moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, une contrepartie, plus d’embauches et plus de dialogue social ».

    #Varin
    #baisse-des-coûts
    #baisse-des-impôts
    Quid de la #baisse-du-coût-du-capital ?

  • Pourquoi le MEDEF et le CAC40 n’en ont rien à foutre de votre indignation
    http://www.cspinyourface.com/2013/11/pourquoi-le-medef-et-le-cac40-nen-ont.html

    21 millions d’euros, même répartis sur 21 ans ça reste une fort coquette somme, on est bien d’accord. Ledit dédommagement - ces gens souffrent de tellement d’affres qu’il faut bien les récompenser à hauteur, dame - ne serait même pas justifié si Philippe Varin laissait une société florissante, seulement voilà : PSA est au bord du dépôt de bilan, et on finit par se demander par quelle sorcellerie on met à la tête de grands groupes des personnes à l’évidence pas foutue de gérer une barque à frites.