ENTRETIEN LIBRE n°5 - ANNIE LACROIX-RIZ - Les nouvelles droites - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=c7_KzTgM7LM
ENTRETIEN LIBRE n°5 - #ANNIE_LACROIX-RIZ - Les nouvelles droites
ENTRETIEN LIBRE n°5 - ANNIE LACROIX-RIZ - Les nouvelles droites - YouTube
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ENTRETIEN LIBRE n°5 - #ANNIE_LACROIX-RIZ - Les nouvelles droites
Lancelin, Le Media, FI, qui font la courte échelle à la nationaliste complotiste Annie Lacroix-Riz, sous couvert de critique de l’extrême droite, c’est du grand n’importe quoi
►https://seenthis.net/messages/657577
« L’Entretien Libre » donnera régulièrement la parole à un intellectuel, politique ou acteur de la vie sociale. Un format sans contrainte de temps, pour faire le point sur une question d’actualité, éclairer un débat, ou évoquer une oeuvre.
1 - Emannuel Todd
2 - Philippe Vion-Dury
3 - Marc Endeweld
4 - Gilles Perret
5 - Annie Lacroix-Riz #Les_nouvelles_droites
Mark Zuckerberg vous veut du bien
▻https://blog.mondediplo.net/2018-01-27-Mark-Zuckerberg-vous-veut-du-bien#forum
Si l’impact pernicieux des nouvelles technologies sur la politique, la démocratie et nos fonctions cognitives fait aujourd’hui scandale, c’est principalement à cause du rapport très ambigu, voire schizophrène, qu’elles entretiennent avec leurs utilisateurs.
Cette relation est mue à la fois par la compassion et l’indifférence, deux logiques adverses qui jouaient autrefois un rôle nécessaire, permettant aux entreprises technologiques d’invoquer leurs bonnes intentions quand on les accusait de malveillance. La coexistence de ces deux principes contradictoires semble de moins en moins tenable, révélant enfin l’incohérence de leur vision d’ensemble.
Leur compassion affichée n’est pas tout à fait fausse. Les géants des technologies, aussi puissants soient-ils, dépendent beaucoup de la publicité et des ventes, c’est-à-dire de notre capacité à consommer. Leurs intérêts sont donc, dans une certaine mesure, indexés sur ceux de leurs utilisateurs. Sans ressources, ces derniers ne pourraient pas acheter les produits tant vantés. C’est pourquoi certains magnats de la technologie manifestent leur soutien au revenu de base universel et s’essaient à la résolution des problèmes croissants de protection sociale en matière d’éducation ou de santé.
Aude Lancelin : interview de Philippe Vion-Dury auteur de La nouvelle servitude volontaire
►https://www.lemediatv.fr/video/l-entretien-libre-2-p-vion-dury-01302018-2034
#GAFA #algorithmes #Silicon_Valley #multinationales #totalitarisme
« Les GAFA contre l’Etat, tout contre » par Aude Lancelin
▻https://www.lemediatv.fr/video/les-gafa-contre-l-etat-tout-contre-180118-01182018-2253
Des algorithmes qui gouvernent le monde : le projet politique de la Silicon Valley. Dans son livre La nouvelle servitude volontaire , Philippe Vion-Dury démontre comment, progressivement, chacun délègue son libre-arbitre aux algorithmes. Pour l’auteur, il est temps d’acquérir un réflexe critique.
" Les entreprises de technologies n’ont de cesse de se présenter comme les sauveurs du monde" , écrit Philippe Vion-Dury. Les entreprises de la Silicon Valley sont porteuses d’un véritable projet politique. Leurs algorithmes mettent sous leur coupe ceux qui s’y soumettent, volontairement. Aveuglant les consommateurs et les Etats par l’éclat de leur spectaculaire réussite économique, ces entreprises sont en train d’accumuler des sommes incalculables de données, grâce auxquelles elles ambitionnent de tout mesurer, tout contrôler, tout prévoir. Ou quand les mathématiques deviennent totalitaires .
#GAFA #algorithmes #Silicon_Valley #multinationales #totalitarisme #Philippe_Vion-Dury #entretien
Un excellent entretien d’Aude Lancelin sur lemédiatv.fr !
Philippe Vion-Dury : « Le vrai visage de la Silicon Valley, c’est celui du capitalisme prédateur » – Le Comptoir
▻https://comptoir.org/2016/10/28/philippe-vion-dury-le-vrai-visage-de-la-silicon-valley-cest-celui-du-capit
Le Comptoir : Le numérique est souvent vu comme démocratique et porteur de nouvelles libertés. Pour vous, il est cependant responsable d’une « nouvelle servitude volontaire » en édifiant un modèle sécuritaire, sans surprise, et où les individus sont à la fois normalisés et isolés les uns des autres. Sur quels arguments s’appuient ces critiques ? Les nouvelles technologies sont-elles mauvaises en soi, ou bien est-ce leur utilisation qui est mauvaise ?
phillipePhilippe Vion-Dury : Peut-être faut-il commencer par expliciter l’expression « nouvelle servitude volontaire » dans ce contexte. Il y a servitude, car de grandes multinationales des nouvelles technologies numériques font tout pour prédire nos désirs, comportements et potentiels afin de mieux les contrôler, les orienter ou les dicter – se rendre maîtres de nous. Cette servitude est volontaire dans la mesure où ce contrôle, ce pouvoir, s’exerce par la médiation d’outils et de plateformes que nous utilisons volontairement et quotidiennement comme Facebook, Netflix, Uber, Spotify ou Google. Ce sont les algorithmes de ces entreprises qui construisent notre monde social (le fil d’actualités), nos recherches (les résultats après requête), définissent le trajet le plus court, le partenaire idéal, la prochaine chanson à écouter ou vidéo à visionner. Enfin, cette servitude volontaire est “nouvelle”, car ce pouvoir qui émerge n’est pas une domination à l’ancienne, où l’on nous dit quoi faire ou ne pas faire avec des ordres et des interdits, – patriarcale et disciplinaire –, mais une domination infiniment plus soft, insidieuse, bienveillante, immanente au champ social, agissant par la multiplication des suggestions, incitations, conseils, recommandations… J’essaie de ramasser cette idée à la fin du livre en opposant la figure très actuelle de Big Mother à celle, selon moi révolue, de Big Brother.
Peut-être une autre “société numérique” est-elle possible, mais disons que le numérique permet un développement du libéralisme en accouchant d’une sorte de « libéralisme algorithmiquement régulé » – une expression absolument affreuse. L’alliance entre Wall Street et la Silicon Valley est facilitée par une résonance entre le capitalisme libéral et la “société numérique” imaginée par les cybernéticiens : tous deux reposent sur une axiomatique des systèmes auto-régulés, tous deux envisagent les hommes de manière non-humaine, tous deux se placent dans une perspective saint-simonienne et envisagent, vous l’avez dit, le bon gouvernement comme une « saine administration des choses » qui se ferait par l’application de lois (économiques, communicationnelles, etc), et tous deux haïssent, en conséquence, le politique, l’humain, l’indétermination, le hasard, l’erreur ou l’affect.
Mais attention, ce ne sont pas les nouvelles technologies elles-mêmes qui empêchent l’autonomie (ou l’auto-institution politique, qu’il faudrait prendre le temps de définir plus longuement), mais plutôt l’hétéronomie dont elles sont vectrices. Ces mêmes technologies pourraient avoir une place dans une société réellement autonome, même si leur visage serait certainement bien différent. Mais, il est difficile de nier que ces technologies renforcent aujourd’hui l’hétéronomie à deux têtes (la Silicon Valley et Wall Street) au détriment de l’autonomie. Cela doit mener à deux conclusions. La première est que lutter pour une société nouvelle en s’en remettant exclusivement aux nouvelles technologies (éthique des hackers et makers) ou au contraire en rejetant en bloc celles-ci (néo-luddisme et rejet en bloc des technologies modernes) serait une erreur : le recours aux technologies porte le risque de renforcer le pouvoir en place, leur rejet porte celui de passer à côté de leurs bienfaits éventuels dans l’organisation d’une société meilleure. La seconde conclusion est qu’il faut redonner ses lettres de noblesse à la critique de la technologie, longtemps mise de côté par la “critique classique” française.
#Silicon_Valley #idéologie_californienne #politique_numérique
Retour sur le débat du 21 mars avec Tristan Nitot et Philippe-Vion Dury | Le Mouton Numérique
▻http://mouton-numerique.org/retour-debat-21-mars-tristan-nitot-philippe-vion-dury
Face au numérique, sommes-nous tous Moutons ? La question était posée le 21 mars dernier à Mediaschool Paris, avec Tristan Nitot (Hacktiviste) et Philippe Vion-Dury (journaliste).
Les algorithmes nous volent notre hasard et nous nous laissons faire. Une conversation avec Philippe Vion-Dury
▻http://maisouvaleweb.fr/les-algorithmes-nous-volent-notre-hasard-et-nous-nous-laissons-faire-u
Sur internet, nous sommes tous sous l’emprise d’algorithmes divers, c’est un lieu commun. Et c’est justement pour ça qu’il faut l’étudier en détail. Philippe Vion-Dury, journaliste, s’y attelle dans son récent ouvrage La nouvelle servitude volontaire, enquête sur le projet politique de la Silicon Valley (éd. FYP). Engagé et densément référencé, l’essai de Philippe dresse un constat inquiétant : grâce au Big Data, les géants de la Silicon Valley captent notre attention et nous privent de ce qui nous reste de (...)
#algorithme #marketing #profiling #Facebook #Netflix #Spotify
Big Data, algorithmes... « L’esprit porté par la Silicon Valley est totalitaire »
▻http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/big-data-algorithmes-l-esprit-porte-par-la-silicon-valley-est-to
Dans son livre La nouvelle servitude volontaire, Philippe Vion-Dury démontre comment, progressivement, chacun délègue son libre-arbitre aux algorithmes. Pour l’auteur, il est temps d’acquérir un réflexe critique. « Les entreprises de technologies n’ont de cesse de se présenter comme les sauveurs du monde », écrit Philippe Vion-Dury. Mais l’enfer est pavé de bonne intentions. Pour l’essayiste, auteur de La nouvelle servitude volontaire publié mercredi (aux éditions FYP), les entreprises de la Silicon (...)
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