person:rached ghannouchi

  • “بي بي سي” تعتذر لراشد الغنوشي | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=814973

    La BBC, un mois et demi plus tard tout de même, présente ses excuses à Rached Ghannouchi, le chef d’Ennahdha, qu’elle avait accusé à tort de figurer sur une liste concoctée par les adversaires du Qatar (comprendre l’AS et les EAU) dénonçant des organisations et des personnalités extrémistes et terroristes.

    #fake_news donc ?

  • Tunisie : quel est le sens de la nouvelle stratégie d’Ennahdha ? - Tunisie libre - Rue89 - L’Obs
    http://rue89.nouvelobs.com/blog/tunisie-libre/2016/05/30/tunisie-quel-est-le-sens-de-la-nouvelle-strategie-dennahdha-235323

    Interrogé par un diplomate britannique au moment où son parti s’apprêtait à renoncer au gouvernement, à l’issue du Dialogue national en décembre 2013, pour savoir s’il avait la garantie qu’Ennahdha n’allait pas subir une version locale du scénario égyptien de répression, son président Rached Ghannouchi avait répondu : « En politique, il n’y a pas de garantie. La garantie est dans les choix. »

    Son 10ème Congrès tenu du 20 au 22 mai, a entériné un choix stratégique : en annonçant vouloir spécialiser le parti sur son activité politique, voire « sortir de l’islam politique », Ennahdha cherche non seulement à se défaire de la connotation sulfureuse attachée à l’appellation « islamiste », assimilée aux groupes radicaux et violents, mais surtout à franchir un pas supplémentaire pour pérenniser son intégration au système politique tunisien.

  • Ennahda from within:Islamists or “Muslim Democrats”? A conversation | Brookings Institution
    http://www.brookings.edu/research/papers/2016/03/ennahda-islamists-muslim-democrats-ounissi

    Much can be gleaned in this regard by examining the intellectual and religious origins of Tunisia’s Islamic movement. For instance, the two main founders of Ennahda, Abdelfattah Mourou and Rached Ghannouchi, were both graduates of Zaytouna University, the first Islamic university in the Arab world. Founded in 737, it gained a reputation for being responsive to the changing needs of society. Understanding this is significant, as Abdelfattah Mourou’s spiritual father is Sheikh Hmed Ben Miled, a Zaytunite, rather than Sayyid Qutb as many may erroneously assume. Ben Miled played a key role in Tunisia’s national liberation movement. He was heavily engaged in the struggle for the modern Tunisian state and a supporter of the state institutions that formed its bedrock. There is a famous picture of Miled with a group of scholars from Zaytouna in front of the Parliamentary building, taking part in legislative consultations during Bourguiba’s regime.

    In the movement’s early years, Ennahda’s religious circles were oriented towards Sheikh Tahar Ben Achour’s teaching and legal judgements. A president of Zaytouna University and adherent of the Maliki school of jurisprudence, Ben Achour was one of the modern fathers of a more rationalist approach towards Quran exegesis (tafsir) which emphasized the importance of maqasid al-sharia, in other words the objectives or ends, rather than the means, of Islamic law. An arch-enemy of the traditionalists, he was pushed out of the university in 1960.

  • Entretien avec Rached Ghannouchi - Institut Jean Lecanuet - France Forum
    http://www.institutjeanlecanuet.org/blog

    Jeudi 28 août 2014

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    ENTRETIEN AVEC RACHED GHANNOUCHI

    Terre de naissance des révolutions arabes, la Tunisie vit, depuis trois ans, un chapitre capital de sa jeune histoire. C’est évidemment l’opinion de Rached Ghannouchi, président du parti Ennahda. Pour lui, l’ensemble de l’islam est concerné par l’expérience démocratique tunisienne. « Ce qui est en train de se passer en Tunisie libère l’image de l’islam de celle du terrorisme et lui associe celle de la démocratie : une démocratie musulmane, assise sur une souveraineté populaire. » La religion garde un rôle important tempère Rached Ghannouchi, mais un rôle différent : « Diffuser des valeurs de paix et de tolérance, d’équité et de justice. » Est-ce bien l’avis de tous les Tunisiens ? « Islamistes et laïques modérés peuvent vivre ensemble. Le problème vient des extrémistes des deux camps », répond le président d’Ennahda.

    Guillaume Klossa, président du think tank EuropaNova se demande néanmoins si, derrière le mot démocratie, chacun met bien la même chose. Le responsable politique tunisien est on ne peut plus clair dans sa réponse : « J’ai 72 ans et, dans ma vie, je n’ai voté qu’une fois, mais je sais ce que veut dire pour moi la démocratie : des élections libres et multipartistes, la liberté de la presse, l’égalité des sexes, la justice, l’alternance au pouvoir. » Et puis, fait-il remarquer : « Nous ne sortons pas d’une période avec un gouvernement “fort” comme ont dit certains politiques en France après la chute de Ben Ali, mais d’une dictature véritable. » Ce sera la seule petite mise au point du déjeuner car « les Tunisiens veulent aller de l’avant. Le reste, c’est de l’histoire ancienne », n’a cessé de répéter Rached Ghannouchi.

    Le sénateur de Paris Yves Pozzo di Borgo évoque les prochaines élections en Tunisie et leurs conséquences possibles sur la cohésion nationale du pays. Rached Ghannouchi, dont le parti est donné favori, se montre rassurant : « Les élections auront lieu à la fin de l’année et, quelle que soit l’issue, un gouvernement de coalition est souhaitable car notre démocratie naissante est encore fragile. Oui, un consensus est nécessaire même si une majorité se dégage. Il nous faut encore au moins cinq ans pour stabiliser notre démocratie. »

    Rachida Dati, ancien ministre de la Justice, député européen et maire du 7e arrondissement de Paris, et Anne-Marie Idrac, ancien secrétaire d’État aux Transports et au Commerce extérieur et ancienne présidente de la SNCF et de la RATP, abordent la situation compliquée des autres pays arabes : Syrie, Irak, Libye, Egypte. Entre contextes sociaux sectaires ou communautaristes, interventions extérieures, aucune solution ne semble émerger. Rached Ghannouchi constate aussi ces crises et les fortes difficultés pour qu’une véritable démocratie s’installe dans ces pays voisins, mais il reste optimiste, notamment pour l’Egypte : « Le monde arabe dans son ensemble est entré dans une nouvelle ère comme l’Europe l’a été à la suite de la Révolution française. La révolution égyptienne réussira aussi sa mue démocratique. Le génie ne retournera pas dans sa lampe ! La Tunisie a mieux réussi que les autres parce que la situation y est moins complexe. Notre société est plus homogène comparée à l’Irak, à la Syrie ou à l’Egypte. Forcément, le prix de la démocratie sera plus lourd dans ces pays. » Yves Pozzo di Borgo évoque les relations politiques des nouveaux partis du monde arabe et interroge sur les relations entre Tunisie, Algérie et Maroc. « Qu’attendez-vous de la France ? » demande Rachida Dati. « Nous attendons que nos amis français et européens nous aident, que les démocraties européennes et toute la communauté internationale fassent leur devoir car il n’y a pas d’autres solutions que la réussite de la démocratie. Chacun y a intérêt. » Il ajoute : « Nous sommes avec tous ceux qui se battent pour la démocratie et contre le terrorisme. Le vrai visage de l’islam, c’est la liberté et la démocratie. Nous devons montrer le bon produit islamique pour faire disparaître le mauvais. » Anne-Marie Idrac ajoute : « Vous devez, de votre côté, nous aider à mieux vous comprendre, c’est bien le but de telles rencontres. »

    Guillaume Klossa s’interroge sur l’état des relations avec la France compte tenu des tensions diplomatiques au moment de la révolution. Rached Ghannouchi le rassure : « Les relations avec la France et aussi avec l’Europe s’améliorent. La Tunisie a maintenant un accord de partenariat privilégié avec l’Europe. Les visites ministérielles de la France sont nombreuses. L’ambassadeur de France en Tunisie a prononcé un discours en arabe. Le nombre d’étudiants tunisiens en France augmente. Les touristes français sont un peu moins nombreux, mais c’est aussi le résultat de la crise économique en France. » « C’est aujourd’hui notre intérêt et celui de l’Europe de vous connaître et de vous accompagner vers la démocratie. J’espère que la nouvelle Commission européenne sera à la hauteur de cet enjeu », ajoute Rachida Dati.

    « L’union du Maghreb reste un objectif, mais la question du Sahara est toujours un point très dur entre l’Algérie et le Maroc », précise le président d’Ennahda.

    Fadila Mehal, conseillère de Paris, voit bien les interrogations qui persistent dans la société française envers les évolutions en cours en Tunisie ou au Maroc et souhaite le faire entendre à Rached Ghannouchi : « La France a deux points de vigilance très forts qui peuvent compliquer nos relations. Je pense à la question du rôle des partis religieux par rapport à nos valeurs de laïcité et aussi à la question des femmes. »

    Rachida Dati partage la remarque de Fadila Mehal, mais elle note néanmoins que « nous sommes exigeants avec les peuples arabes comme en Tunisie alors que nous avons cautionné pendant des années des dictatures ». Et elle déplore que le ressentiment contre l’Islam repose parfois sur des fantasmes ou des comportements très minoritaires : « La loi sur les signes ostentatoires, puis celle sur le port de la burqa n’ont causé aucun problème dans la communauté musulmane et chez ses responsables. »

  • Crise tunisienne : la clef se trouve-t-elle à Alger ? - Jean-Pierre Séréni
    http://orientxxi.info/magazine/crise-tunisienne-la-clef-se-trouve,0353

    La visite à Alger, à 24 heures d’intervalle les 10 et 11 septembre, du leader de la majorité, Rached Ghannouchi, président du mouvement islamiste Ennadha, et de celui de l’opposition, Béji Caïd Essebsi, est passée largement inaperçue à Alger, accaparée par un énième remaniement ministériel. Mais pas à Tunis où l’événement a fait la une de la presse. Les deux hommes politiques tunisiens n’étaient-ils pas les premiers étrangers à rencontrer le président de la République algérienne, Abdelaziz Bouteflika, depuis (...)

  • Ennahdha et Rached Ghannouchi dans le collimateur d’AQMI (vidéo) | Businessnews.com.tn
    http://www.businessnews.com.tn/Ennahdha-et-Rached-Ghannouchi-dans-le-collimateur-d’AQMI-(vidéo),52

    Al-Qaïda Maghreb Islamique (AQMI) a adressé, via l’un de ses cheikhs, l’Algérien Ahmed Abi Abdellah Al Jijli, un message à Ennahdha et à son leader Rached Ghannouchi, où les conseils et les menaces s’entremêlent. La vidéo est, également, entrecoupée par des versets coraniques, des séquences prises de discours de Rached Ghannouchi et de propagande de leurs actions humanitaires auprès des plus démunis.

    AQMI s’est dite, au début de ce message, attristée par le comportement d’Ennahdha qui a changé après son arrivée au pouvoir : alors qu’il prônait et promettait aux jeunes l’application de la Chariâa, il s’est rétracté et les a trahis, en les jetant dans les prisons.
    Concernant l’affaire de l’attaque de l’ambassade américaine, l’organisation explique qu’il était normal que ces jeunes défendent l’honneur du Prophète et que Rached Ghannouchi aurait dû être dans les premiers rangs.

  • Quand Frida Dahmani, journaliste de Jeune Afrique, plagie mal La Presse de Tunisie et transforme Burhan Ghalioune en « numéro deux des Frères musulmans en Syrie » en « complétant » une interview d’Ahmed Manaï :

    Le 11 décembre 2011, une rencontre importante s’est tenue à Tripoli. Elle a réuni Youssef Kardhaoui, Rached Ghannouchi, le ministre des Affaires étrangères du Qatar, le second personnage des Frères musulmans en Syrie, tous venus en principe sceller la réconciliation des Libyens. A participé à cette réunion aussi Abdelhakim Belhaj, le gouverneur militaire de Tripoli. C’est au cours de cette réunion qu’a été décidée l’adhésion à l’accord Ghoulioune-Abdeljelil d’armer et d’envoyer des combattants tunisiens et libyens en Syrie. http://www.lapresse.tn/28032013/64790/le-recrutement-lentrainement-le-financement-et-lenvoi-de-jihadistes-en-syri

    Selon Ahmed Manaï, président de l’Institut tunisien des relations internationales (Itri) et membre de la commission des observateurs arabes en Syrie, une rencontre stratégique aurait ainsi eu lieu à Tripoli, en décembre 2011, avec la bénédiction de Mustapha Abdeljalil, alors numéro un libyen, entre Youssef al-Qaradawi, président de l’Union internationale des savants musulmans, Rached Ghannouchi, chef du parti Ennahdha, Borhane Ghalioune, numéro deux des Frères musulmans en Syrie, Abdelhakim Belhaj, ancien d’Afghanistan et fondateur du Parti national libyen (PNL), et le ministre qatari des Affaires étrangères. Aux termes de l’accord dit Ghalioune-Abdeljalil, les participants sont convenus d’armer les jihadistes syriens et de leur envoyer des renforts tunisiens et libyens. http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2726p043.xml0

  • Journal Le temps -Remaniement ministériel - Accord sur la neutralité des ministères de souveraineté
    http://www.letemps.com.tn/article-74195.html

    C’est par la voix de son Chef historique, Rached Ghannouchi, que le mouvement a annoncé , hier, avoir accepté le principe de la neutralité des ministères de souveraineté. S’exprimant hier sur les ondes de “Radio Kalima”, le cheïkh Ghannouchi a affirmé qu’”Ennahdha a accepté officiellement de confier les quatre ministères de souveraineté à des personnalités indépendantes qui n’ont pas de liens avec des partis politiques”, tout en indiquant que la nouvelle équipe gouvernementale devrait être annoncée pendant le prochain week-end.

    Même son de cloche chez Lotfi Zitoun, membre du Conseil de la Choura d’Ennahdha. “Ennahdha a accepté de confier les portefeuilles régaliens à des indépendants afin de garantir une coalition gouvernementale large”, a-t-il indiqué.

    Ennahdha semble ainsi répondre aux principales revendications de plusieurs partis qui devraient rejoindre le gouvernement comme le Forum Démocratique pour le Travail et les Libertés (FDTL ou Ettakaol) , l’Alliance Démocratique , le groupe Liberté et Dignité et le Congrès pour la République. Aux dernières nouvelles, Ettakatol et l’Alliance démocratique qui ont conditionné leur participation au gouvernement par la neutralité des ministères de souveraineté sont” satisfaits” de cette mesure.

  • Rached Ghannouchi: La Constitution ne condamnera pas le sionisme
    http://www.tixup.com/international-politique/10909-ghannouchi-la-constitution-ne-condamnera-pas-le-sionisme.html

    Plus tôt dans la semaine, le quotidien israélien, Israël Hayom, a publié un article indiquant que la prochaine Constitution tunisienne peut inclure un article “condamnant le sionisme et excluant tout lien avec Israël”.

    Mercredi, Rached Ghannouchi, leader du parti du Mouvement Ennahdha, qui se trouvait aux Etats Unis, a contesté l’article paru sur Israël Hayom. Je ne pense pas que cette clause sera incluse dans la Constitution, aurait-il déclaré selon le magazine US The Weekly Standard.

    • We only want good things for Saudi Arabia - Ghannouchi Asharq Alawsat Newspaper (English)
      http://www.asharq-e.com/news.asp?section=1&id=27737

      Rashid Ghannouchi yesterday strongly denied the comments attributed to him by the Washington Institute for Near Eastern Policy and which were later published in the press. The Washington Institute for Near Eastern Policy, following an hour long meeting with the Tunisian political leader, claimed that he had said that he believes revolutions will break out in Arab Kingdoms, and that he also said that the Tunisian constitution would include a clause prohibiting normalization of relations with Israel.

      Speaking exclusively to Asharq Al-Awsat during a telephone interview, the Tunisia political leader stressed “I completely deny these comments.” He added “these comments are fabricated and aim to harm our relations with the US, and Western and Arab states, particularly the Gulf States.

      As for Tunisia’s post-revolutionary relations with the Kingdom of Saudi Arabia, Ghannouchi told Asharq Al-Awsat that “we want only good things for the Kingdom [of Saudi Arabia], and our policy is one of non-intervention in the internal affairs of other states.”