person:ramtane lamamra

  • #Sahara_occidental : Alger appelle Paris à soutenir l’autodétermination

    Le chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra a appelé mardi Paris à soutenir un processus conduisant à l’autodétermination du Sahara occidental reconnaissant que ce sujet ultra sensible était un point de « désaccord » entre Paris et Alger.

    http://www.courrierinternational.com/depeche/sahara-occidental-alger-appelle-paris-soutenir-lautodetermina

  • Coopération diplomatique et énergétique entre l’Algérie et le Kenya
    http://grigrinews.com/cooperation-diplomatique-et-energetique-entre-algerie-et-le-kenya/2870

    Actualités Afrique « 26/02/2015, Alger, #Algérie : Deux mémorandums d’entente et un accord de coopération ont été signés mercredi à Alger par les ministres algérien et kenyane des Affaires étrangères, respectivement Ramtane Lamamra et Amina Chawahir Mohamed. » (c) 2015 - Grigrinews.com

  • Diplomatie : rencontre entre le président Algérien et le ministre des affaires étrangères Italien
    http://grigrinews.com/diplomatie-rencontre-entre-le-president-algerien-et-le-ministre-des-affaires-etrangeres-italien/2627

    « 03/02/2015, Alger, #Algérie : Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a rencontré lundi à Alger le ministre italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Paolo Gentilon en présence du ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra et du ministre de l’Énergie, Youcef Yousfi. »

  • L’Algérie appuie la coalition internationale contre l’État islamique | TSA-Algérie
    http://www.tsa-algerie.com/2014/09/19

    Le secrétaire d’État américain, John Kerry, a révélé jeudi soir, que l’Algérie soutenait la coalition internationale contre l’organisation Daesh (l’État islamique en Irak et au Levant). Lors d’un échange avec son homologue algérien, Ramtane Lamamra, peu avant le début des entretiens bilatéraux à huis clos, John Kerry a remercié le gouvernement algérien pour son soutien rapide et fort à la coalition pour faire face à l’État islamique en Irak et au Levant.
    Le responsable américain n’a pas précisé comment l’Algérie apporterait son soutien à la coalition. Il n’a pas non plus dit si l’Algérie va intégrer la coalition internationale.
    John Kerry a annoncé la tenue dans les prochains jours d’une réunion à New York consacrée à la situation en Libye. Une réunion qui verra la participation des pays clés de l’Afrique du Nord, comme l’Algérie et l’Égypte. « Nous savons tous que la Libye fait actuellement face à des défis. L’Algérie de par son état de proche voisin de ce pays est concernée par cette situation ainsi que l’Égypte », a-t-il déclaré.

  • Points de vue divergents sur la Libye - Actualité - El Watan
    http://www.elwatan.com/17-09-2014

    Visite du Chef d’état-major des Armées françaises en Algérie
    Points de vue divergents sur la Libye

    La visite du chef d’état-major des armées françaises en Algérie n’a pas été commentée par la presse française.

    (...) La dernière visite du chef d’état-major des armées françaises en Algérie avait donné lieu à bien des analyses de la part de la presse algérienne relayant le principe de non-intervention militaire algérienne hors de ses frontières. La presse française est restée, quant à elle, bien avare en articles sur cette visite intervenant dans un contexte où la France tente de faire rallier les pays du Maghreb à son expédition libyenne. Le niet d’Alger exprimé par son chef de la diplomatie, Ramtane Lamamra, et son offre de dialogue à tenir en Algérie entre les Libyens ne sont pas pour étonner la partie française. Mais au-delà de cette réponse prévisible et qui a sans doute touché les portes de l’Elysée avant qu’elle ne soit délivrée à la presse, il serait utile de noter que le choix de participer ou non à une intervention militaire ne se décide pas lors de la visite d’un chef des armées.

    Ces décisions se prennent, du moins du côté français, au niveau politique ; le chef des armées est pour sa part concerné par les aspects opérationnels. D’où l’interrogation sur l’objet réel de la visite du général Pierre de Villiers en Algérie (Alger et Biskra) pendant que Lamamra affirmait que l’Algérie ne fera pas partie de l’expédition militaire en Libye. De Villiers a-t-il été invité à livrer les intentions de l’intervention technique en Libye ou est-il venu demander aux Algériens une assistance extra-muros, c’est-à-dire en dehors des frontières libyennes en cas d’opération militaire dans le pays voisin ?

    Le silence assourdissant de la presse française n’apportant pas de réponse, a été habillé par deux sites anglophones, l’un est turc, World Bulletin, et le deuxième est moyen-oriental, Middleeast Monitor, qui se sont intéressés à la visite du responsable militaire français en Algérie et ont cité une source diplomatique algérienne anonyme sur le sujet.

    « Les officiels algériens désirent discuter avec le chef des armées français, Pierre de Villiers, de garanties permettant d’éviter de cibler des civils, si intervention militaire occidentale il y a, et le déploiement d’une force capable de préserver la sécurité pour les Libyens une fois l’intervention terminée », indique le site turc World Bulletin en citant un diplomate anonyme s’exprimant à l’agence turque Anadolu. Ce diplomate aurait déclaré que l’Algérie avait conditionné son appui à l’opération si ces deux exigences étaient garanties. Et d’ajouter : « L’Algérie n’est pas convaincue qu’une intervention militaire agirait en faveur de la stabilité en Libye », en rappelant l’anarchie et l’instabilité régnant dans ce pays voisin depuis la dernière intervention de l’Otan en 2011.

    (...) « L’Algérie craint que le degré de violence connaisse une hausse avec une nouvelle intervention militaire ce qui pourrait avoir des conséquences sur la sécurité dans la région du Maghreb. »

    Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait suggéré que les troupes françaises postées au Mali soient mises à contribution pour intervenir en Libye. La question est de savoir si l’Algérie permettra une nouvelle fois le survol de son territoire pour ces troupes postées au Mali en partance vers la Libye ou bien ira-t-elle jusqu’à permettre un passage terrestre ? 

    Nadjia Bouaricha

  • Terrorisme et Mali au menu : Le ministre français de la Défense demain à Alger
    http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5198368

    Terrorisme et Mali au menu : Le ministre français de la Défense demain à Alger
    par Moncef Wafi

    Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, sera demain et jusqu’à mercredi à Alger où il doit notamment rencontrer le président Bouteflika.

    Le Drian devra également s’entretenir avec le vice-ministre de la Défense, Ahmed Gaïd Salah, le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, et le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Une visite qualifiée par les Français d’« importante » et où seront notamment évoqués, selon le menu établi, « les dispositifs de lutte contre le terrorisme au Sahel » et « la situation au Mali ». Deux dossiers en commun entre les deux pays puisque Paris, qui revient en force sur la scène africaine ces dernières années, s’est impliquée militairement au Mali et a fait de la lutte antiterroriste dans la sous-région du Sahel le cheval de bataille de sa politique extérieure. La France, qui a déployé près de 6.000 soldats entre le Mali et la Centrafrique, cherche à s’appuyer davantage sur l’Algérie pour une coopération plus étroite concernant l’aspect sécuritaire dans la région d’autant plus que la France est sur le point, même si elle le dément, d’ouvrir un nouveau front au Nigeria. Cette visite en Algérie, la première du ministre français de la Défense depuis sa nomination en 2012, survient aussi alors que la région connaît un regain de violence que ce soit en Libye ou au Mali plus précisément à Kidal où Bamako n’a jamais repris véritablement le contrôle malgré l’intervention militaire française dans le nord du pays en janvier 2013. Dans son entrevue avec M. Lamamra, il sera certainement question de la situation au Mali, l’une des étapes de la tournée du chef de la diplomatie algérienne dans les pays du Sahel, avec la Mauritanie et le Burkina Faso, dans le prolongement de la réunion interministérielle sur la région tenue à Alger en avril 2014.

  • Le ministre des Affaires étrangères égyptien à Alger : « La destitution de Morsi est une décision souveraine »
    http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5192512

    Le ministre des Affaires étrangères égyptien à Alger : « La destitution de Morsi est une décision souveraine »
    par Z. Mehdaoui

    Le ministre des Affaires étrangères égyptien, Nabil Fahmy, est, depuis dimanche, à Alger pour des « consultations diplomatiques » avec son homologue algérien, Ramtane Lamamra. Cette visite intervient dans une conjoncture particulière, du fait de la destitution du Président Morsi, suite à un putsch orchestré par le ministre de la Défense et chef d’état-major de l’armée égyptienne, le général Abdelatif Sissi, devenu, désormais, célèbre pour ces positions radicales à l’encontre des Frères musulmans. La visite aurait pu passer inaperçue si ce n’est que notre pays est le principal instigateur d’une résolution de l’Union Africaine (UE) qui ne reconnaît pas les régimes africains, arrivés au pourvoir par la force armée. Et pour ce qui est du cas de l’Egypte, il s’agit bel et bien d’un coup d’Etat contre un président élu démocratiquement après la chute de Hosni Moubarek, qui a tenu, faut-il le rappeler, le pays d’une main de fer, durant plusieurs décennies. Lors d’une conférence de presse, organisée hier, au ministère des Affaires étrangères, le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, a été plus « diplomatique » que d’habitude, en expliquant que la suspension de l’Egypte de l’Union Africaine n’était pas une « suspension » à proprement dite, mais simplement un « gel temporaire » pour inciter au retour du pouvoir constitutionnel. Quelque peu gêné par la question qui revenait, à chaque fois, Lamamra lâchera : « nous n’avons de leçons à recevoir de personne » dira-t-il en soulignant que l’Algérie n’a jamais cautionné l’exclusion d’un quelconque pays de l’Union Africaine. Au contraire, ajoute le ministre, notre pays a toujours soutenu le règlement pacifique des conflits, tout en évitant de s’immiscer dans les affaires internes de pays souverains. La visite du ministre égyptien entre dans le cadre de la relance des relations bilatérales et de concertation, autour d’un certains nombre de dossiers, dira Ramtane Lamamra qui précise, qu’en dépit du manque de temps, Nabil Fahmy a pu rencontrer plusieurs responsables algériens, à leur tête le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika.

    « Nous avons affaire à des Etats et nous nous interdisons de s’ingérer dans les affaires internes de l’Egypte » renchérit le chef de la diplomatie algérienne qui ajoute, toutefois, que l’Algérie suit également avec intérêt les aspirations du peuple égyptien.

    Comme il fallait s’y attendre, on a eu droit, hier, tout au long de la conférence de presse, à la langue de bois de notre ministre, dans un souci évident d’éviter de « froisser » son invité et son homologue qu’il dit connaître depuis une trentaine d’années.

    De son côté Nabil Fahmy a été très clair. La destitution de Mohamed Morsi est une décision souveraine de l’Egypte, a-t-il déclaré, en appelant, au passage, la Communauté internationale à soutenir les nouveaux hommes forts de ce pays. Le chef de la diplomatie égyptienne dira, à ce sujet, que l’armée de son pays est intervenue sur demande du peuple pour écarter un dictateur.

    La mouvance islamiste ne se limite pas, seulement, aux Frères musulmans, ajoute encore M. Fahmy qui soutient que « le peuple égyptien a prouvé qu’il pouvait se libérer du joug de n’importe lequel, en l’espace de trois années ». « Il n’y aura plus de place au terrorisme dans le futur, en Egypte » tonne le conférencier qui a plaidé pour le retour de son pays au sein du conseil de l’UA.

    « Nous voulons que le conseil de l’UA revoit sa décision car ce qui s’est passé en Egypte est simplement une opération de reprise de la légitimité », a déclaré le ministre égyptien qui soutient pour ce qui est des centaines de Frères musulmans emprisonnés, que la justice dans son pays est « indépendante ».

    Evoquant le dossier syrien, Nabil Fahmy affirme que son pays partage des « points convergents » avec l’Algérie, à leur tête une issue pacifique au conflit qui a déjà fait des dizaines de milliers de victimes.

    Enfin pour ce qui est de sa visite en Algérie, le ministre des Affaires étrangères affirme que cela entre dans le cadre de la reconstruction de la politique égyptienne à l’étranger.

  • Le ministre égyptien des Affaires étrangères sera à Alger dimanche

    L’Algérie comprend l’intérêt de l’Egypte pour le continent africain et la scène moyen-orientale (Lamamra) - APS : Algérie Presse Service
    http://www.aps.dz/L-Algerie-comprend-l-interet-de-l.html

    APS) jeudi 2 janvier 2014 09 : 27
    L’Algérie comprend l’intérêt de l’Egypte pour le continent africain et la scène moyen-orientale (Lamamra)
    ALGER - L’Algérie comprend l’intérêt de l’Egypte pour le continent africain et son rôle sur la scène moyen-orientale d’où l’importance pour ce pays de retrouver sa place « naturelle » au sein de l’Union africaine (UA), a affirmé mercredi à Alger le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.

    « L’Algérie comprend l’intérêt de l’Egypte pour le continent africain. Elle comprend aussi le rôle important que joue ce pays sur la scène moyen orientale », a-t-il indiqué sur le plateau l’émission « Sur le fil » diffusée par la chaîne publique Canal Algérie, appelant, à cet effet, à faire la distinction entre les évènements internes qui s’y déroulent et le rôle de l’Egypte au niveau extérieur.

    « Il y a un distinguo subtil à faire entre la situation interne de l’Egypte et le rôle international de tel ou tel pays, sur lequel il faut bien compter », a encore précisé le chef de la diplomatie algérienne.

  • Lamamra : Les propos de Hollande sont « une moins value » dans les relations algéro-françaises - Actualité - El Watan
    http://www.elwatan.com/actualite/lamamra-les-propos-de-hollande-sont-une-moins-value-dans-les-relations-alge

    Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a indiqué samedi à Alger que les récents propos du président français, François Hollande, sur la sécurité en Algérie, représentent une « moins-value » à l’esprit qui enveloppe les relations algério-françaises.

    « Il est claire qu’il s’agit d’une moins-value par rapport à l’esprit qui enveloppe nos relations et à la réalité de ce que les délégations françaises et même autres peuvent constater de la situation sécuritaire en Algérie », a indiqué M. Lamamra lors d’une conférence de presse à l’issue de ses entretiens avec son homologue chinois, Wang Yi.

    Le président français avait évoqué lors d’une rencontre officielle du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) le retour « sain et sauf » de son ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, qui était en mission en Algérie.

    M. Lamamra a ajouté que « le sens de l’humour peut apporter une valeur ajoutée au sens des responsabilités lorsqu’il s’exprime avec élégance, avec mesure et qu’il introduit de la décontraction dans le cadre de cet art souvent austère qui est la pratique de la diplomatie. A l’inverse, le sens de l’humour peut être générateur d’une moins-value lorsqu’il abouti à suggérer que les réalités ne seraient pas celles qui sont à la portée de tous et qui ont pu être vérifiées par tous ».
    Il a estimé que les propos de M. Hollande pourraient paraître une « improvisation d’une plaisanterie » tout en notant que « les improvisation sont souvent périlleuses ».

    l’improvisation périlleuse est au tout début, je ne crois pas que l’Algérie avait promis l’achat de Rafales, mais si c’était le cas, ce serait encore fichu.
    http://www.dailymotion.com/video/x18h7q3_discours-a-l-occasion-du-70eme-anniversaire-du-conseil-represen

    Discours à l’occasion du 70ème anniversaire du CRIF, le lundi 16 décembre à l’Elysée.
    Juste après la blague :

    C’est une bonne tradition que de pouvoir renouveler ici à l’Elysée le pacte de confiance qui existe entre la République et le CRIF

    C’est le site Panamza qui avait mis en lumière l’info sur la blague , quand ?
    http://www.panamza.com/19122013-hollande-valls-algerie-sain-et-sauf

  • Le triste sort des handicapés en Algérie | ChoufChouf
    http://www.chouf-chouf.com/chroniques/le-triste-sort-des-handicapes-en-algerie

    Ramtane Lamamra, le ministre des Affaires étrangères, a beau jeu de parader à l’Assemblée générale des Nations Unies, comme il l’a fait en septembre dernier lors d’une réunion sur le handicap, en égrenant les mesures prises par l’Algérie pour lutter contre le handicap, le problème principal n’est pas la norme, qui existe, mais le fait qu’elle n’est appliquée par personne, et en particulier par l’Etat. Une énième loi ne servirait d’ailleurs à rien, ou pas rand chose, si come celle de 2002 elle n’est pas appliquée. L’urgence est de mettre en œuvre l’existant, de traduire dans les faits ce que les normes prévoient.

    Malgré, ou à cause, de cette incurie, de nombreuses associations s’activent sur le terrain, dans toutes les wilayas du pays. Dans l’ombre d’un Etat inerte, elles accompagnent les handicapés, fournissent une aide à l’emploi (et en emploient d’ailleurs elles-mêmes un nombre substantiel), du soutien scolaire, de l’écoute.