person:rania raad tawk

  • Un Samy Gemayel amoureux devant la caméra... - Rania Raad Tawk - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/1008996/un-samy-gemayel-amoureux-devant-la-camera.html
    Quand le rejeton d’une famille confessionnaliste qui construit sa carrière politique sur le confessionalisme va devoir gérer sa vie privée sur un mode non-confessionnel... une bonne nouvelle pour le Liban ? ou bien juste des pratiques communes au sein de l’élite sans traduction dans le vie politique ? Rappelons nous d’un jeune ophtalmologue syrien épousant hors de « sa » communauté...

    Le jeune politicien annonce ensuite en direct son désir de fonder une famille avec une jeune dentiste libano-française, Carine Tadmouri, avec laquelle il convolera en justes noces, samedi prochain en l’église Mar Mikhaël, dans sa paroisse. « Nous nous contenterons d’une cérémonie simple et familiale, et Carine devra quitter la France pour s’installer avec moi au Liban », ajoute-t-il. Le chef des Kataëb avoue avoir essayé de décourager sa promise en lui expliquant la complexité des relations entre sa famille et la vie politique, et son dévouement pour le Liban, mais cela n’a pas découragé, semble-t-il, la jeune femme, qui est issue de la communauté sunnite, une remarque que M. Abboud aurait dû cependant ne pas mentionner, car sans aucun intérêt pour la nouvelle génération, fort heureusement.

  • Efforts en cours pour éviter des débordements à Aïn el-Héloué après le meurtre d’un Palestinien - Rania Raad Tawk - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/997374/efforts-en-cours-pour-eviter-des-debordements-a-ain-el-heloue-apres-l
    L’implantation progressive dans le camp d’une force palestinienne conjointe de sécurité de même que la coordination entre l’armée libanaise et les parties palestiniennes ont réussi jusqu’à aujourd’hui à maintenir un semblant de calme dans ce camp où la situation est complexe et où se mêlent des factions de plus en plus hétérogènes, en plus de l’affluence d’activistes non palestiniens soupçonnés de lien avec le Front al-Nosra ou avec d’autres formations opposées au régime du président syrien Bachar el-Assad depuis le début de la crise syrienne. Cette coordination vise surtout à empêcher que se répète le scénario de Nahr el-Bared (2007) ou d’autres épisodes de violences au sein du camp.

    Les groupes Esbat el-Ansar, dirigé par cheikh Abou Tarek el-Saadi, Ansar Allah et le Mouvement islamique des combattants de Jamal Khattab assurent un dialogue permanent entre les mouvements salafistes et les mouvements palestiniens conventionnels comme l’OLP ou le Hamas à l’intérieur du camp, et ce en coordination permanente avec la députée Bahia Hariri qui les a rencontrés mardi à Majdelyoun, près de Saïda, afin de trouver les moyens susceptibles de circonscrire l’incident d’hier et d’empêcher toute escalade.

  • « La solution pour alimenter Beyrouth en eau est prête mais les responsables n’en veulent pas » - Rania Raad Tawk - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/999075/-la-solution-pour-alimenter-beyrouth-en-eau-est-prete-mais-les-respon

    « Nous avons plusieurs fois présenté aux responsables et même au président Tammam Salam des projets avec des études permettant d’alimenter Beyrouth et les banlieues en eau à moindre coût, mais personne ne daigne les regarder car ils ne leur permettent pas de s’enrichir, il n’y a que les mégaprojets de plusieurs dizaines de millions de dollars qui les intéressent malheureusement, ajoute-t-il avec un air désolé. L’Office des eaux de Beyrouth et du Mont-Liban, le ministère de l’Énergie et de l’Eau avec le Conseil du développement et de la reconstruction forment un trio à la tête d’un budget de 260 millions de dollars qu’ils veulent dépenser en distribuant des projets de barrages là où il faut mais surtout là où il ne le faut pas tandis que plusieurs régions du Liban, comme Saïda, Marjeyoun, Nabatiyeh, etc, s’alimentent grâce à des puits artésiens aménagés avec un coût modeste et qui exploitent l’eau souterraine renouvelable, ajoute-t-il. La vraie richesse du Liban c’est son eau souterraine facilement exploitable et qui est d’ailleurs de meilleure qualité que celle des rivières, polluée et rare pour ne pas dire inexistante en été. Pourquoi va-t-on chercher une eau polluée en détruisant la faune et la flore et en dépensant des fortunes lorsque nous avons sous nos pieds et sous nos yeux à la périphérie de Beyrouth un or bleu de meilleure qualité, moins cher et renouvelable grâce à l’infiltration d’au moins 40 % des précipitations ? », a-t-il conclu.

  • Des militants aounistes à l’étranger dénoncent la mauvaise gouvernance au sein du CPL - Rania Raad Tawk - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/965183/des-militants-aounistes-a-letranger-denoncent-la-mauvaise-gouvernance

    À la base de cette protestation, ajoute-t-il, nous trouvons « les irrégularités qui ont accompagné la désignation du gendre du général Michel Aoun à la tête du CPL dans une ignorance totale d’une liste d’autres candidats qui sont aussi des membres fondateurs du parti ». « Ce qui est aberrant, c’est le changement au niveau du règlement intérieur du parti un mois avant les élections de façon à assurer les résultats à l’avance, en bafouant clairement les principes démocratiques », s’emporte M. Gemayel. « Non seulement le président, qui n’est autre que le gendre du général Aoun, a été nommé et désigné, mais il a amendé le règlement intérieur de façon à concentrer entre ses mains tous les pouvoirs et rattacher à lui la commission d’audit financier qui est supposée le surveiller, puisqu’il est le représentant de l’exécutif au sein du courant », reprend M. Gemayel. « Les familles Aoun, Hachem et Bassil sont en train de tailler la formation politique à leur propre mesure et c’est ce qu’on essayait d’expliquer depuis longtemps, mais nous n’avons eu aucune réponse à nos questionnements. Donc il est temps de laisser derrière nous ce courant qui ne nous représente plus », tranche le cadre aouniste.