person:rené ricol

  • Medef : le spectaculaire carton rouge de René Ricol
    https://acteursdeleconomie.latribune.fr/debats/conferences/2018-06-29/medef-le-spectaculaire-carton-rouge-de-rene-ricol-78345

    Lors d’un débat organisé le 25 juin à Lyon par La Tribune et Acteurs de l’économie et le confrontant au secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, l’ancien médiateur du crédit et commissaire général à l’investissement, René Ricol, a vilipendé le Medef. Joutes « violentes », « bande d’apparatchiks », esprit fermé, évitement de sujets centraux par peur de déplaire aux branches professionnelles, et même risque de « disparition » : à quatre jours de l’élection à la présidence du syndicat - aux instances duquel il siège -, les propos de ce « poids lourd » du patronat français sonnent comme un coup de tonnerre.
    […]
    Il existe un thème sur lequel, toutefois, un tel unisson n’était pas prévu, c’est celui du Medef. Et le plus impitoyable des deux ne fut pas celui auquel l’assistance pouvait croire.
    […]
    [René Ricol,] fondateur du cabinet Ricol Lasteyrie (désormais membre du réseau EY), ancien médiateur du crédit et commissaire général à l’investissement, est en effet membre du comité d’orientation stratégique du Medef.

    « J’y suis allé assez peu. La dernière fois que je m’y suis rendu, c’était tellement violent... J’ai alors pensé qu’il serait préférable que je n’y retourne pas », claque-t-il en substance.

    « Ce qui me frappe avec le Medef, c’est que des positions sont prises qui ne sont pas celles de ses mandants », poursuit-il.

    Et d’asséner le coup de grâce : « l’ouverture des chefs d’entreprise que je rencontre est sans commune mesure avec celle de la bande d’apparatchiks qu’il y a au Medef. »

  • Ces élus salariés dans le privé : « Mes clients ne sont pas vos affaires... »
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/13322-ces-elus-salaries-dans-le-prive-mes-clients-ne-sont-pas-vos-affaire

    Les députés de Paris Pierre Lellouche et François Fillon (ici lors du 75e anniversaire de l’appel du 18 juin, en

    2015 à Londres) exercent parallèlement à leur mandat des activités de conseil aux grandes entreprises.

    (LE CAER VIANNEY/SIPA)

    Comme François Fillon, députés et sénateurs sont nombreux à travailler dans des cabinets d’avocats ou des sociétés de conseil, avec des salaires pouvant atteindre 30.000 euros. Parfois soupçonnés de conflits d’intérêts, peu jouent le jeu de la transparence.

    C’était un secret farouchement gardé : l’identité des clients de la société de François Fillon, 2F Conseil. Interrogé, le leader des Républicains éludait. On comprend mieux pourquoi. Trois de ses principaux employeurs – René Ricol, Henri de Castries, Marc Ladreit de Lacharrière – étaient des amis. Le (...)

    #En_vedette #Actualités_françaises

  • Le job en or caché du candidat Fillon
    https://www.mediapart.fr/journal/france/010217/le-job-en-or-cache-du-candidat-fillon

    François Fillon et #René_Ricol, lors d’un comité interministériel à Matignon, en mai 2010. © Reuters. #François_Fillon est depuis 2012 senior advisor et membre du comité stratégique du groupe Ricol Lasteyrie, qui conseille de nombreuses sociétés du CAC 40 et multinationales. Ce que le candidat à la présidentielle n’a jamais déclaré publiquement. Ce job lui a rapporté au moins 200 000 euros en quatre ans et demi. Il n’en a toujours pas démissionné.

    #France #consultant #Penelope_Fillon

    • François Fillon connaît bien son “employeur” René Ricol, puisque ce dernier était chargé de distribuer les milliards du grand emprunt quand M. Fillon était à Matignon.

      Lorsque le candidat de droite à la présidentielle crée sa société de conseil, dont il est l’unique associé, en juin 2012 – quelques jours avant de devenir député –, il la domicilie d’ailleurs dans les locaux du cabinet de René Ricol, avenue Hoche, dans les beaux quartiers à Paris. « Il était dans la Sarthe et n’avait pas de locaux à Paris, cela n’a duré que quelques mois », assure René Ricol.

      Pourquoi avoir fait appel à l’ex-premier ministre pour ce poste généralement confié à des dirigeants d’entreprise en fin de carrière désireux de continuer à maximiser leurs réseaux ? Selon le cabinet Ricol, ce n’était pas du tout pour son carnet d’adresses. « Il ne nous a apporté aucun client et n’a jamais mis les mains dans notre business », précise le dirigeant qui compte aussi parmi ses clients des enseignes telles que L’Oréal, Alstom, EDF, LVMH, Veolia, Thales, Danone, PSA, Bouygues, Altran, BPCE, la Poste, HSBC, Orange…

      À quoi donc Fillon a-t-il été payé ? « Avec la globalisation, nous nous posions des questions sur la stratégie du cabinet avec des clients de plus en plus demandeurs d’expertises à travers le monde. François Fillon nous a aidés à réfléchir à tout cela », se justifie René Ricol pour qui l’ex-premier ministre a « fait le job ».

      [...] L’avantage de ce statut de senior advisor est qu’il est « particulièrement souple », détaille un consultant. « Il n’y a strictement aucune obligation de présence, on est dans la production de conseils. Ce n’est pas forcément très chronophage », poursuit-il.

      [...] « De toute façon, nous pensions mettre un terme à cette collaboration mais nous n’avons toujours pas reçu sa lettre de démission », explique René Ricol quand on lui objecte que depuis plusieurs mois leur consultant n’avait sans doute pas beaucoup de temps à leur consacrer dans la mesure où il était candidat à l’élection présidentielle.

      Depuis l’affaire Cahuzac, les parlementaires sont tenus de déclarer scrupuleusement leurs liens d’intérêts et activités extérieures à leur mandat. Astucieusement, François Fillon, en s’abritant derrière le paravent de sa société de conseil, évite de dire qui sont ses véritables clients.

  • Jean-Luc Tavernier va prendre la tête de l’#Insee | Contes publics
    http://bercy.blog.lemonde.fr/2012/02/20/jean-luc-tavernier-va-prendre-la-tete-de-linsee

    Le directeur général de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), Jean-Philippe Cotis, 54 ans, quittera cette institution début mars à sa demande pour rejoindre la Cour des comptes. Comme Les Echos l’ont annoncé dans leur édition du lundi 20 février, il sera remplacé à l’Insee par Jean-Luc Tavernier, 50 ans, adjoint de René Ricol au Commissariat général à l’investissement et ancien directeur du cabinet d’Eric Woerth (2007-2009) au ministère du budget.

    pi ça c’est les commentaires :

    On retiendra surtout de Cotis le traitement déplorable des chiffres du chômage. Pas une ligne là-dessus.

    Monsieur Tavernier n’est pas uniquement un sympathisant de l’UMP. Il est un militant ultra-sarkozyste. Ce proche de Nicolas Sarkozy l’a accompagné dans toutes ses batailles. Par exemple il a participé à l’élaboration de son programme économique pour l’élection présidentielle de 2007.

    c’est vrai votre article est d’une « insipide impartialité » Comment éviter de parler de l’engagement UMPiste de M Tarvenier ? Comment ne pas attribuer autant à cette affiliation qu’a ses diplômes sa promotion à la direction de l’INSEE ? Est-ce une incompétence (ignorance) du Journaliste ou une « prudence » de « chien de garde » ?

    #politique #ump #je_fais_ce_que_je_veux_d'abord