person:renaud girard

  • #Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce lundi 5 septembre 2016
    https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/12303-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna

    https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png

    Bonjour, dur dur ce matin, alors pas de chichi pas de blala et voici la Revue de presse du jour !

    f.

    Actualités françaises :

    05.09.2016

    Quand l’écologie populaire permet de lutter contre la désespérance sociale et la criminalité (Basta !)

    Divers :

    Moment détente :

    Actualités internationales :

    05.09.2016

    Japon : les cuves de 13 réacteurs nucléaires viennent en partie du même fabricant que Flamanville (L’Express.fr)

    Régionale en Allemagne : la CDU de Merkel devancée par le parti populiste (Les Echos.fr)

    Syrie : « La France doit sortir de son aveuglement néoconservateur au plus vite », par Renaud Girard (Les Crises.fr)

    Les banques centrales commencent-elles à nationaliser l’économie ? (Ph. Herlin) (Olivier Demeulenaere)

    High-Tech :

    Sciences :

    Informatique :

    20 Minutes par jour :

    Sécurité :

    Dossiers : (...)

    #En_vedette

  • Olivier Cyran sur Twitter : « ça se bouscule à un raout patronal ultra-pro-israélien »
    https://twitter.com/oliviercyran/status/574155795429982208

    Ça fronce le nez devant un meeting contre l’islamophobie mais ça se bouscule à un raout patronal ultra-pro-israélien.

    Et donc, les gentils participants (question : qui va s’assoir sur les genoux d’Alexandre Del Valle ?) :
    http://www.liguedefensejuive.com/dimanche-8-mars-2015-colloque-de-l-upjf-2015-02-27.html

    L’UPJF vous invite à assister à des échanges qui auront lieu, autour des 3 tables rondes réunissant des spécialistes et des personnalités politiques ; parmi lesquels, entre autres, Alexandre Adler, Antoine Sfer, Ramin Parham, Frédéric Encel, Paul Amar, Renaud Girard, Vanessa Ratignier, Alexandre Del Valle, Guy Millière, Nicole Bacharan, Harlem Désir, Malek Boutih, Claude Goasguen, Christian Estrosi, Alain Juppé, Meyer Habib, François Zimeray, Barbara Pompilli, Bruno Le Maire ainsi que d’autres.

  • “Renaud Girard est un motif suffisant pour acheter Le Figaro” ......Aïe, Aïe, Aïe, voilà qu’on se réfère au Fig, en plus pour dire que la visite de députés au président syrien, dont un de droite, n’est pas forcément une mauvaise idée.. Houlala
    ../... “Ceci dit, ces couillons là à Radio France, devraient remplacer Caroline Fourest par Renaud Girard, et la mettre dans une poubelle...”
    Syrie : Ce qu’en pense Renaud Girard par Gilles Devers
    http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2015/03/02/syrie-ce-qu-en-pense-renaud-girard-914440.html

  • Entre ici, Renaud Girard ! (Sauf erreur, texte de fin 2005)
    http://www.arenes.fr/spip.php?article909

    Qu’est-ce qui fait courir Renaud Girard sous les obus ? L’amour du journalisme et le goût de l’aventure, bien sûr, mais pas seulement. L’hebdomadaire nous apprend qu’une autre passion anime le reporter vedette du Figaro, entré en journalisme après avoir fréquenté les bancs de l’École nationale d’administration (ce qui ferait de lui un « rebelle de l’ÉNA », un « iconoclaste ») : rendre service aux dirigeants de son pays.« “Cela a été ma façon à moi de servir l’État”, sourit-il. “Chaque fois que je rentrais de reportage, je briefais les diplomates ou l’Élysée sur ce que j’avais vu.” » Journalistes et honorables correspondants, même combat, même métier…

    Cette franchise est méritoire : elle éclaire de manière enjouée une branche méconnue de la profession qualifiée— dans L’Almanach critique des médias de « journalisme patriote et plénipotentiaire ». Cette discipline, qui consiste à calquer la carte de presse sur celle de la DGSE, fait l’objet d’une des neuf parties du livre, ainsi que d’un « Quiz » dont nous sommes certains que Renaud Girard y aurait accompli un sans faute.

    […]

    Chez Renaud Girard et ses congénères, le journalisme se pratique comme un art de la guerre. Chargé, pendant l’année universitaire 2004-2005, de former les élèves de Sciences-Po au « rôle de l’information, du renseignement aux médias, dans la gestion des conflits du XXIe siècle », Renaud Girard s’est ainsi entouré de deux « experts » de haute tenue : Alain Juillet, ancien directeur du renseignement à la DGSE devenu Haut Responsable chargé de l’intelligence économique auprès du Premier ministre, et Jean-Louis Gergorin, ancien directeur du Centre d’analyse et de prévision du Quai d’Orsay, désormais vice-président exécutif du géant de l’armement EADS. Une troïka aussi rebelle qu’iconoclaste, on en conviendra.

    • Exclusif. Bernard Squarcini : « On s’est beaucoup trompé en Syrie » (novembre 2013 - et, oui, c’est Valeurs actuelles.)
      http://www.valeursactuelles.com/bernard-squarcini-%E2%80%9C-s%E2%80%99-beaucoup-tromp%C3%A9-syrie%

      Renseignement français : nouveaux enjeux, de Bernard Squarcini et Étienne Pellot — à paraître le 26 novembre —, offre un éclairage très instructif sur les arcanes de quelques grands dossiers, tout en révélant les réflexions roboratives de l’ancien patron de la DCRI (Direction centrale du renseignement intérieur) sur la façon dont le pouvoir gère certains dossiers. La preuve par quelques extraits sur la Syrie, « un fiasco politico-médiatique de nature à affaiblir durablement la position diplomatique de la France », écrit Squarcini.

    • Oui, tu te demandes pourquoi je rapproche ces deux référencements ?

      Parce que j’essaie de documenter (si tu veux aider : moi je n’ai pas beaucoup de billes pour l’instant) une idée que j’ai depuis le début de la crise syrienne : une très importante partie des « services » français (le renseignement, mais aussi l’armée) est totalement opposée à la position officielle du Quai d’Orsay.

    • Pas exactement « les services », mais pas loin : L’arrestation d’un proche d’Assad plombe l’offensive de Sarkozy contre Hollande (août 2012)
      http://www.marianne.net/L-arrestation-d-un-proche-d-Assad-plombe-l-offensive-de-Sarkozy-contre-Hol

      Ancien patron des services des forces libanaises, Samaha est surtout un affairiste libanais, largement utilisé par Claude Guéant pour reconstituer des liens étroits avec la Syrie. C’est lui qui fait les allers et retours entre Paris et Damas quand il faut préparer le sommet à Paris, en juillet 2008, qui fonde l’Union Pour la Méditerranée.
       
      Michel Samaha est également proche de Ziad Takieddine, un des facilitateurs du rapprochement de Sarkozy et de Guéant avec Damas après 2007. Lors du voyage qu’il organisait pour Jean François Copé à Beyrouth en 2003, l’ami Takieddine présentait à ce dernier Michel Samaha. Le site Mediapart a révélé la liste des prestigieuses personnalités présentées à Jean François Copé, dont Samaha.

    • Ah... Un peu d’eau pour votre moulin alors, cet article de @dedefensa de juillet 2012 pour commencer :

      http://www.dedefensa.org/article-lavrov_et_leur_chantage__17_07_2012.html

      Lorsque vous rencontrez, disons un ambassadeur ou un haut fonctionnaire du Quai dans un cocktail du genre, disons pour fêter le 14 juillet, que vous lui dites que la question de la Syrie mériterait tout de même d’être débattue, vous vous entendez répondre, sur un ton de comploteur impératif, que “la Syrie, c’est tabou” . La source qui nous a informé de cela poursuit en observant : « Moi, je croyais que le tabou, c’était réservé aux sectes, à certaines religions intolérantes, à cette sorte de chose, mais pas au débat sur la politique étrangère qu’on peut poursuivre dans la discrétion d’une réception bon chic bon genre… » Eh bien, non, ces temps-là de la tolérance dans l’échange des idées, ce temps-là est fini. Le temps presse, d’ailleurs, et il n’est plus temps de réfléchir, – “c’est tabou”... Cet épisode très anecdotique, renvoyant à de nombreuses situations de cette sorte dans le cadre de la crise syrienne, indique qu’on se trouve dans un territoire intellectuel quasiment paralysé et figé, où il n’est plus question de débattre. Il ne peut nullement être avancé pour autant que les certitudes et les résolutions sont à la mesure de cette fixation des choses. Il est avéré, au travers de diverses confidences, que la direction socialiste française n’avait absolument pas préparé ses dossiers de politique extérieure avant son arrivée au pouvoir, qu’elle s’est trouvée devant des situations inattendues pour elle, qui suscitent des incertitudes graves au plus haut niveau, mais cela n’apparaît nulle part, dans aucune position publique (“la Syrie, c’est tabou”). Une situation assez proche existe en Allemagne, où l’on ne cesse d’écarter en théorie l’idée d’une intervention extérieure en Syrie, et où l’on cosigne une proposition de résolution dont la logique, dans les circonstances qu’on sait, y mène tout droit…

      Et j’ajouterai pour ma part une anecdote personnelle, qui vaut ce qu’elle vaut. Au printemps 2013 alors que j’étais encore à Beyrouth, j’avais pu discuter brièvement avec un officier français de la Mission de défense. Il m’avait effectivement fait part de son malaise vis-à-vis de notre politique régionale, ainsi que de sa consternation suite à l’inscription du Hezb sur la liste terroriste ( "Bourgas, c’est pas eux ; quand ils font quelque chose, ils le revendiquent" ; "on n’a pas de problème avec eux, ce sont de vrais soldats ; les terroristes sont les tarés d’en face" ).

  • Leyla Dakhli s’insurge contre la publication par CNRS Editions d’un livre signé du reporter de guerre Renaud Girard consacré, entre autres, à la Syrie : Le Monde en marche (2014)
    Science sans conscience, etc. - Libération
    http://www.liberation.fr/chroniques/2014/02/21/science-sans-conscience-etc_982086
    #paywall (mais plus pour longtemps. Après il n’y aura plus de mur, et surtout plus rien derrière #Libération ou #feu_Libération)

    Nous sommes confrontés aujourd’hui à une défiance nouvelle, qui a pour effet de faire du discours sur ce pays une simple confrontation d’opinions. Je veux ici identifier quelques-uns des dispositifs qui sèment le doute.

    L’absence de frontière claire entre le travail des journalistes, la parole des chroniqueurs intellectuels et celle des chercheurs est certainement en cause pour une part. Mais cette indistinction n’est pas seulement entretenue par les pages des journaux qui accueillent un peu de tout, et c’est normal. Le sommet me semble atteint lorsqu’une maison d’édition universitaire (ici, CNRS Editions) labellise l’ouvrage qui, d’après la quatrième de couverture, « bien mieux qu’un journal télévisé, nous offre le film des secousses telluriques qui ont rythmé la vie internationale ». L’auteur de cet ouvrage, Renaud Girard, devenu expert du Moyen-Orient contemporain - et de la Syrie en particulier - par la grâce du label CNRS, est invité à commenter l’actualité, non comme journaliste, mais comme scientifique. C’est là que le bât blesse. Il déroule alors une vision exclusivement confessionnaliste de la région ; défend, au nom de la protection des chrétiens, le régime de Bachar al-Assad ; critique la vision des analystes incapables de prévoir la solidité du régime baasiste ; parle d’une « guerre de religions » globale que nul n’est censé ignorer ; déroule donc ce que l’on appelle communément une « grille de lecture », cohérente, carrée, facile à comprendre… bref, un vrai soulagement qui fait oublier à tous que cela signifie qu’il faut, in fine, défendre Bachar al-Assad (ou, en Egypte, l’armée).

    Ce que le reporter de guerre Renaud Girard écrit ne doit pas être censuré, mais on peut s’interroger, voire s’insurger de sa publication au CNRS. Celle-ci n’a été possible que parce que ces éditions ont renoncé, au nom des impératifs de rentabilité, de rapidité, de réactivité, aux processus de sélection, de vérification collégiale qui caractérise les éditions universitaires. Malgré ce changement majeur, être publié au CNRS continue, pour la plupart des gens, à signifier quelque chose. Cela permet à l’auteur dudit « journal télévisé » d’être qualifié d’expert par des journalistes eux aussi dépassés par la rapidité, le temps qu’il faudrait pour tout vérifier.

    Cette confusion des critères de distinction sociale et académique, mais aussi des moyens de vérification, des espaces de contradiction, porte gravement atteinte à la vérité, ou à ce qui tente de s’en approcher. Elle porte aussi atteinte à la notion d’engagement, qui s’énonce clairement et n’a pas besoin, pour s’affirmer, de porter atteinte à la vérité ou de tordre la réalité. Tout comme les sociologues, historiens, philosophes du genre peuvent s’engager pour l’égalité sans mettre en danger leur science, nous autres spécialistes du monde arabe contemporain pouvons considérer qu’il est de notre devoir d’aider les Syriens sans être soupçonnés en permanence d’être de « parti pris ». Car notre engagement ne nous fait pas renoncer à notre science, ses contradictions, ses difficultés et son aspiration à la vérité.

    Je n’ai pas lu l’ouvrage, mais on peut en effet s’interroger : pourquoi les Editions du CNRS ont elles besoin de publier un livre de Renaud Girard ? Inversement, que recherche Renaud Girard en publiant cet ouvrage chez cet éditeur (objectivement moins bien distribué) : n’a t il pas trouvé un éditeur plus grand public ?
    Autrement dit, c’est quoi un éditeur « académique » ? quels critères de sélection doit-il privilégier ?

    Par ailleurs, signalons que plusieurs livres de CNRS Editions, notamment sur le Proche-Orient, la Méditerranée ou le MOnde musulman, ont récemment été publiés en accès libre (mais pas tout du tout... dommage)
    Par exemple, l’excellent Briser la mosaïque de Géraldine Chatelard : http://books.openedition.org/editionscnrs/3634 ou encore Mohamed Kamel Dorai Les réfugiés palestiniens au Liban. Une géographie de l’exil http://books.openedition.org/editionscnrs/2418
    #Syrie #édition_SHS #édition_numérique

    • D’accord pour un questionnement sur la question de l’éditeur académique, et la caution « scientifique » d’opinions politiques.

      Mais en même temps, je ne peux m’empêcher de penser : ENFIN !

      Pourquoi donc a-t-il fallu attendre un bouquin de Renaud Girard pour que la communauté scientifique concernée pose enfin la question de l’enrobage et de la caution « scientifique » d’engagements politiques particulièrement discutables ?

      Surtout si c’est pour en revenir aux très habituelles (et fort peu scientifiques) accusations de haute-trahison du style : « bref, un vrai soulagement qui fait oublier à tous que cela signifie qu’il faut, in fine, défendre Bachar al-Assad (ou, en Egypte, l’armée). »

    • Excellente initiative que cet OpenEdition Books, mais je suis toujours abasourdi de voir (ici comme pour la plupart des bases de données en accès distant) la « différence de traitement » selon que je m’y connecte avec mes identifiants de gueux d’IEP de province (souvent quelques extraits d’ouvrages accessibles en ligne), ou avec des identifiants gracieusement prêtés par une camarade de Sciences Po Paris (et là, la caverne d’Ali Baba : la totalité des ouvrages, entièrement téléchargeables, en format PDF ou liseuse...).

    • @niss : certes. Mais le programme est tout nouveau et il faut signaler aux bibliothécaires les ouvrages à acheter : ce n’est pas une logique d’abonnement comme les revues. Et, oui, ScPo Paris a évidemment plus de ressources financières mais aussi une politique de documentation numérique très avancée.
      @nidal : pour moi la difficulté est de tenir, dans les médias, un discours audible (c’est à dire que les journalistes vont reproduire) tout en reconnaissant que l’essentiel des informations provient de contacts téléphoniques ou du recoupement de diverses vidéos - mis en résonance avec les grilles de lecture et les connaissances préalables du chercheur. Or, cette prudence méthodologique, elle, ne passe pas dans les médias. Du coup, les moins scrupuleux, qui rendent les avis les plus tranchés, sur la base des grilles de lecture les plus carrées, sont les plus audibles (et ce ne sont pas forcément les plus experts).
      Ensuite, les chercheurs sont pris dans une « dépendance au sentier » qui fait qu’ils centrent leurs discours sur des objets qu’ils connaissent, cad sur lesquels ils peuvent utiliser les mêmes sources / informateurs. Ainsi, un Balanche a des antennes en milieu alaouite et classe moyenne et aisée damascène, un Pierret en milieu Frères musulmans et plus largement milieux religieux sunnites. Il est clair que ces sources d’information différenciées ne peuvent les conduire ensuite à tenir un discours convergent.

  • Renaud Girard du Figaro dénonce les néoconservateurs français de l’Elysées et du Quai d’Orsay sur le dossier iranien

    Dans son article « La carte turque de la diplomatie américaine » du 23 avril, Renaud Girard écrit que sur le dossier iranien la France

    semble hélas marginalisée

    En mai 2007, Ali Larijani, alors numéro trois du régime iranien, en charge du Nucléaire avait, dans une entretien au Figaro, proposé que la France joue un rôle d’intermédiaire sincère entre Washington et Téhéran. Cette offre avait été torpillée par un petit cla de diplomates néoconservateurs sévissant au Quai d’Orsay et à l’Elysée. A Washington cela fait longtemps que les néoconservateurs ont perdu toute influence dans un Département d’Etat qui s’apprête à confier à la Turquie ce beau rôle d’honest broker en Orient...

    La question est aussi de savoir si, aujourd’hui, avec un gouvernement socialiste, les néoconservateurs français ont perdu de l’influence sur le dossier iranien...

    Le texte intégral n’est accessible sur Internet qu’aux abonnés
    http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/04/22/10001-20130422ARTFIG00569-la-carte-turque-de-la-diplomatie-americaine.php

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