person:rudolf steiner

  • Critique des enseignements raciaux de Rudolf Steiner (anthroposophie - biodynamie - pédagogie Steiner )
    https://nantes.indymedia.org/articles/44880

    https://veritesteiner.wordpress.com/2018/08/28/les-enseignements-raciaux-de-rudolf-steiner-par-swen-ove-ha Cela fait longtemps que les anthroposophes rejettent les accusations de #Racisme concernant l’anthroposophie. À les entendre, il n’y aurait tout simplement aucun squelette raciste dans le placard. (1) (2) Cet article va simplement examiner ce que le fondateur de l’anthroposophie a réellement dit à propos des soit disantes « races humaines ». En effet, si vous examinez sérieusement les œuvres de Steiner (3), il vous sera bien vite évident que la question des "races humaines" n’y était pas quelque chose de négligeable. Steiner revient très fréquemment – et souvent de manière très détaillée – sur les origines et les caractéristiques des races humaines. C’est une partie importante (...)

    #Education #Ecologie #/ #antifascisme #lutte #étudiant-e-s #lycéen-ne-s #mouvement #Education,Ecologie,Racisme,/,antifascisme,lutte,étudiant-e-s,lycéen-ne-s,mouvement

  • Deuxième « Nuit debout » à Bruxelles : plus de 200 personnes ont participé


    A la suite des « Nuits debout » tenues dans plusieurs villes françaises contre la loi El Khomri sur la réforme du Code du travail, plus de 200 personnes, majoritairement des jeunes, se sont rassemblées pour une seconde assemblée consécutive à Bruxelles, jeudi soir à partir de 19H00, au Mont des Arts. Environ 500 spectateurs ont regardé le livestream via @NuitDeboutBXL sur Twitter.

    L’événement sera réitéré vendredi soir. Une des raisons évoquées pour la naissance de ce mouvement est le manque d’aisance financière de la population. Sans loi El Khomri pour canaliser une opposition citoyenne comme en France, la jeunesse belge a rappelé les mesures plus diffuses qui ont mené à des pressions sur les salariés, à l’exclusion de chômeurs, ainsi qu’à des mesures restrictives à l’égard des allocataires sociaux.

    Une ’Chambre’ des citoyens

    Les personnes qui ont pris la parole se sont largement attardées sur l’allocation universelle, un revenu de base qui pourrait selon eux être financé en réformant le système monétaire. La préservation de la sécurité sociale a été posée comme condition. La réduction du temps de travail a été avancée afin de permettre une meilleure répartition de celui-ci et de laisser aux travailleurs la possibilité de penser et d’inventer. L’idée de travailler mieux s’est aussi fait entendre dans la perspective de sortir d’un système d’exploitation.

    Pour d’autres, le modèle économique de la croissance dans un monde limité doit aujourd’hui prendre fin. A côté du capitalisme et du socialisme, présentés comme des outils qui laissent respectivement à l’individu ou à l’Etat le soin de répartir les richesses, le concept d’économie associative évoqué par le penseur Rudolf Steiner est apparu comme une troisième voie qui pourrait être largement développée dans le monde interconnecté actuel.

    Le processus décisionnel a également été critiqué. Le cumul des mandats a été perçu comme une atteinte à la qualité du travail politique. Il a entre autres été proposé de créer une chambre de citoyens pour influencer les élus.

    Source : http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_plus-de-200-personnes-ont-passe-une-seconde-nuit-debout-a-bruxelles?id=9
    #Nuits_debout

  • Ecole : le boom des projets alternatifs (LeVif.be)
    http://www.levif.be/actualite/belgique/ecole-le-boom-des-projets-alternatifs/article-normal-413145.html

    C’est dès la maternelle que des modèles atypiques tentent de capter leurs demandes. Ces écoles se bâtissent sur les lacunes du système scolaire.[…] L’établissement, qui ouvrira dès la rentrée un niveau primaire, veut répondre à une demande parentale de plus en plus importante […]. Coût : 360 euros mensuels, auxquels il faut ajouter 250 euros de frais d’inscription. Pour l’instant, l’école accueille une dizaine d’enfants. D’autres établissements proposent une immersion totale en anglais, à l’exemple de l’école Victoria, à Woluwe-Saint-Lambert. A partir de la rentrée, dès l’âge de 3 ans, les élèves s’immergeront dans l’anglais, avec des institutrices britanniques. La scolarité coûte de 700 à 865 euros le mois, plus les frais d’inscription de 350 euros.

    Mais le plus gros atout de ces écoles est qu’elles affirment assurer un suivi personnalisé de l’enfant grâce à des petites classes. A The Little Academy, école maternelle privée au coeur de Mons, pas plus de 14 écoliers par classe. "Ce serait impossible d’avoir un si petit nombre d’élèves dans le public. C’est la seule vraie plus-value par rapport aux écoles « traditionnelles », estime le professeur de l’UMons, Marc Demeuse. Les contributions des familles s’élèvent à 290 euros mensuels.

    Les parents plébiscitent également les pédagogies différentes. Inspirées de Maria Montessori, Célestin Freinet ou Rudolf Steiner, elles ont le vent en poupe. […] Tous ces établissements font autrement l’école, mais chacun à sa manière. Ainsi plutôt que de noter l’élève, on lui apprend à évaluer son travail. De même l’élève avance à son rythme, décide des apprentissages sur lesquels il veut mettre l’accent. Ses rapports avec les adultes sont individualisés. Enfin, quelques projets attirent des parents à la recherche d’un encadrement philosophique ou spirituel différent. Il s’agit par exemple d’écoles évangéliques ou musulmanes.

    Ces établissements représentent sans aucun doute un capital d’expériences, dont d’autres pourraient s’inspirer.

    #éducation #écoles_différentes #pédagogies_alternatives #marchandisation #droits_d'inscription

    Cf. le débat pour qui sont faites les “écoles différentes” ? lancé ici : http://seenthis.net/messages/464093

    • Comme la médecine, l’école est en passe de passer à la version « à-deux-vitesses » : gratuite pour les pauvres (donc de qualité de plus en plus médiocre confinant plus à la garderie dont l’objectif sera le formatage et la rétention sociale) et payantes pour les riches qui pourront se gausser d’avoir choisi des pédagogues « alternatifs ». Entre nous confier des enfants à des sympathisants des anthroposophes ... Mmmouais ...

      Ceci dit, la méfiance institutionnelle vis à vis des pédagogies alternatives a la vie dure.

  • Céline Alvarez, une institutrice révolutionnaire (LeMonde.fr)
    http://www.lemonde.fr/festival/article/2014/09/04/celine-alvarez-une-instit-revolutionnaire_4481540_4415198.html

    L’ancienne enseignante a démissionné de l’éducation nationale, mais n’a pas renoncé à diffuser les outils de l’école de demain

    […]

    Et pourtant, c’est bien « l’effet d’une bombe » que l’on a pu ressentir en entrant, ce printemps, dans la classe multiniveau – mêlant petite, moyenne et grande sections – de Céline Alvarez. Pas seulement parce que les enfants savaient lire à 5 ans (parfois avant), maîtrisaient le sens des quatre opérations, comptaient jusqu’à 1 000 et même au-delà…

    Pas seulement parce que la salle colorée regorgeait d’un matériel en libre accès (« lettres rugueuses », « cabinet de géographie »…) inconnu de la plupart des écoles, vers lequel les enfants pouvaient se tourner au moment précis où ils en éprouvaient l’envie, « pour ne jamais rater la fenêtre de tir permettant d’entrer dans les savoirs », expliquait la jeune femme lors de notre première rencontre. Non, c’est surtout l’entraide, l’empathie, la joie, la curiosité que manifestaient ces tout-petits qui retenaient l’attention.

    […]

    « Tous ces jeunes que je trouvais intelligents mais qui n’arrivaient pas à se fondre dans le moule et qui décrochaient, ça m’indignait ! », se souvient-elle. Dans son cercle familial, aussi, cette fille d’une employée de banque et d’un ouvrier tourneur-fraiseur se forge la conviction que « l’être humain possède un potentiel inné pour penser, créer, partager… et que le système scolaire l’empêche d’émerger ».

    #éducation #école #Montessori #innovation_pédagogique #système_scolaire #neurosciences

    • Même si dans un sens, ça l’est, c’est toujours aussi fou qu’on continue d’appeler « révolutionnaire » ou « pédagogie nouvelle » des méthodes inventées il y a plus d’un siècle et qui ont fait leur preuve (tout du moins avec l’effectif humain qu’il faut et le matériel qu’il faut). Si un truc de 100 ans est nouveau, c’est dire à quel point les pédagogies courantes sont VIEILLES.

    • À noter :

      Les résultats obtenus à Gennevilliers dépendent directement de cette recherche. Ils ne sont en aucun cas garants des résultats d’écoles dites « Montessori », dont le cadre théorique et pédagogique diffère.

      Car ça s’inspire de plein plein de choses de Montessori (et d’autres) mais l’école continue la recherche scientifique, des tests réguliers de là où ça en est, etc. D’après ce que je comprends, ils sont partis d’une pédagogie précise (très nettement Montessori) mais ensuite ils ne font pas que suivre un truc tout prêt, ils continuent d’améliorer en testant ce qui marche ou pas. C’est cool !

      Bon, quand même, d’après toutes les vidéos, c’est immensément Montessori. Je reconnais tout le matériel ! :)

      et cc @sloumpy

    • Notons aussi que l’expérience se fait dans une école publique, avec à priori tout le matos payé par le service public, et pas dans un quartier de bourges avec des parents qui ont un gros capital temps/culture.

      Mais évidemment, on en a déjà parlé, l’EN paye et aide à mettre en place ce genre d’expérience qu’en tant… qu’expérience. Un îlot. Un truc à part qui n’est jamais reproduit massivement et encouragé partout.

    • Ce qui semble la distinguer des autres pédagogues et qui semble lui ouvrir les portes de l’illustre journal Le Monde c’est ses liens avec Stanislas Dehaene (neuroscientifique) et Manuela Piazza (cognitiviste et neuroscientifique).

      Il y a tout juste une semaine c’est à l’université d’été du Medef qu’on (en particulier Martine Daoust) espérait faire entrer les neurosciences dans les écoles.

      Est-ce lié ?

      http://www.medef.com/medef-universites-dete/videos/detail-videos/medeftv/lecole-de-la-reussite.html

      Conférence-débat le mercredi 27 août de 15h30 à 17h15.

      – Nouvelles expertises, nouvelles compétences, nouveaux métiers
      – Méritocratie vs égalitarisme
      – Enseignants et chefs d’entreprise partagent-ils les mêmes valeurs ?
      – Chaque année 150 000 jeunes sans qualification. Comment mettre en adéquation besoins des entreprises et offres de formation ?
      – Up to date, all life long !
      – Les ruptures technologiques au service de la formation
      – La Finlande, un exemple à suivre
      – Pourquoi le décrochage français dans les classements internationaux ?
      – Redorer le blason des ingénieurs et techniciens

      Animateur : Jean-Luc Placet, président d’IDRH

      Intervenants :

      Laurent Bigorgne, directeur de l’Institut Montaigne
      Martine Daoust, professeure à la faculté de pharmacie de l’Université de Picardie Jules Verne,ancienne rectrice des académies de Limoges et Poitiers
      Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
      Pr. Eric Fouache, vice-chancelier de l’Université Paris-Sorbonne Abu Dhabi
      Gérald Karsenti, PDG de Hewlett-Packard France
      Jorma Kauppinen, directeur à la Direction générale de l’enseignement de Finlande
      Denis Olivennes, président du directoire de Lagardère Active

    • Merci @gastlag pour ce complément d’informations. Dans la vidéo à la fin, elle dit d’ailleurs :

      Le cerveau humain est doté d’algorithmes puissants d’apprentissage. Comme dit Stanislas Dehaene, c’est un super ordinateur programmé pour apprendre.

      ARG. Ça donne tout de suite moins envie de la suivre. Le cerveau n’est pas « comme un ordi » mais en plus puissant. C’est un réductionnisme de certains neuro-merdes ça (pas tous heureusement).

      Moi ce qui m’intéresse c’est plutôt ça :

      Non, c’est surtout l’entraide, l’empathie, la joie, la curiosité que manifestaient ces tout-petits qui retenaient l’attention.

      Pour ce qui est du fonctionnement du cerveau, je n’arrive pas encore à ne pas être mitigé (oui ma phrase est tordue).
      Il reste encore dans cette discipline quelques gens qui tentent uniquement de comprendre ce qui se passe, et non de vouloir le changer (exemple : Catherine Vidal versus Clinatec).

    • C’est compliqué, ces histoires de neurosciences (quand je pense que j’ai fait un DEA dans un labo de sciences cognitives dans une vie précédente…).
      C’est compliqué, cette articulation entre neurosciences (parfois orientées très « dressage ») et les pédagogies « actives ».
      C’est compliqué Stanislas Dehaene et l’apprentissage de la lecture, on finirait par croire qu’il ne faut entraîner que les zones que SD voit s’allumer quand quelqu’un lit avec des électrodes sur la tête :)
      C’est compliqué de manière générale, les gens qui pensent avoir tout compris au cerveau humain, en oubliant qu’à une époque on ne jurait que par la bosse des maths.
      Même Catherine Vidal, c’est compliqué (cf. http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1218933-sexe-et-cerveau-la-neurobiologiste-catherine-vidal-a-tort-).
      Bref, j’ai acheté ça :
      http://www.educavox.fr/editorial/article/les-neurosciences-au-coeur-de-la
      Faudrait que je le lise… :)

    • Haha, Peggy Sastre… hum… J’avoue immensément préférer la rigueur, la précision, et l’exhaustivité des arguments d’Odile Fillod. L’article sur Vidal se base intégralement sur Nicolas Gauvrit, dont Fillod a (re)parlé récemment :
      http://allodoxia.blog.lemonde.fr/2014/07/23/camion-poupee-jeux-singes/#part5L

      Le pseudo-scepticisme a été décrit par le sociologue Marcello Truzzi, l’un des fondateurs de la première société savante de scepticisme scientifique (ou zététique) dans les années 1970 et de sa première revue, dont il s’est ensuite démarqué en raison de qu’il percevait comme un dévoiement de la démarche sceptique. Dans un éditorial de Zetetic Scholar publié en 1987, il définit le pseudo-scepticisme comme une attitude consistant, plutôt que d’en rester à la formulation de doutes concernant la force des éléments de preuve avancés à l’appui d’une théorie (caractérisant le scepticisme véritable), à affirmer que cette théorie est fausse. Alors que le sceptique se contente d’arguer que la validité d’une théorie n’est pas démontrée par les données avancées à son crédit, le pseudo-sceptique prétend trancher le débat scientifique. Le pseudo-scepticisme de Nicolas Gauvrit a été plusieurs fois dénoncé sur http://pseudo-scepticisme.com/spip.php?page=recherche&recherche=gauvrit, et j’en donne ici un nouvel exemple. Nicolas Gauvrit tient également un blog sur la plateforme Scilogs de Pour la science hébergeant celui de Sébastien Bohler.

      (Bohler dont elle a démontré plusieurs fois qu’il était soit peu rigoureux, soit qu’il racontait carrément n’importe quoi.)

      Sinon pour l’article de Pierre Frackowiak :

      Ce n’est pas parce que nos aïeux s’éclairaient à la bougie que nous refusons l’électricité.

      et

      Dans ce livre, il n’est donc pas question de prôner le retour ou le maintien de la bougie et de la diligence.

      Quand je lis ou entends des phrases comme ça, j’ai juste envie d’éteindre l’écran, de courir dans la montagne planter ma tente, et d’allumer une bougie en écoutant les oiseaux. :D

    • À propos des neurosciences, un article révélateur sur le Monde Diplo papier de ce mois : « Le cerveau ne pense pas tout seul »
      Un aperçu :
      http://www.monde-diplomatique.fr/2014/09/CLEMENT/50779

      Les progrès de l’imagerie cérébrale ont réactivé un vieux fantasme : celui de pouvoir tout expliquer par l’observation du cerveau — la pauvreté, la délinquance, l’échec scolaire… Lourde de dérives potentielles, cette illusion repose sur de fausses évidences.

    • Il y a pas mal de problématiques soulevées dans les derniers messages. Quelques pistes, rapidement :
      – Historiquement, ce qu’on appelle l’éducation nouvelle rassemble des courants très diverses voire philosophiquement incompatibles (à la racine on trouve aussi bien des rationalistes qui se réclament de la philosophie des Lumières que des héritiers d’un Romantisme nourri de spiritualité : leur seul point commun est que tout le monde se réfère à un moment ou un autre à Rousseau :) ).
      – Philosophiquement, pour prendre les 3 figures les plus connues, c’est assez contrasté. Rudolf Steiner était un philosophe spiritualiste, occultiste et penseur social qui a fondé l’anthroposophie (je vous laisse regarder). Maria Montessori était médecin, a collaboré avec la Société théosophique (je vous laisse regarder) et est partie vivre des aventures mystiques en Inde. Célestin Freinet est un instituteur nourri de laïcité, de principes émancipateurs, libertaires et autogestionnaires, qui fraya avec le PCF.
      – L’Éducation nouvelle a toujours dû faire les preuves de son efficacité (alors que l’éducation traditionnelle jamais), et ses lieux d’expérimentations ont toujours été aux deux extrêmes : l’élite (voire même sous la forme de préceptorat cf. Rousseau) ou les laisser-pour-compte dont tout le monde se fout et sur qui on peut bien expérimenter (handicapés, orphelins, délinquants, pauvres, etc.).

      Du coup, on retrouve une certaine logique historique dans le fait que les écoles Steiner/Montessori soient des établissements privés souvent chers et que des écoles Freinet ont revendiqué leur place dans l’école publique. Néanmoins, il y a aussi des établissements privés qui se réclament de la pédagogie Freinet, et les méthodes Montessori ont nourri les pratiques de nombreux enseignants de l’enseignement public en maternelle notamment.

      Par ailleurs, il me semble que les classes supérieures ne sont pas spécialement friandes de pédagogies nouvelles, au contraire on les retrouvera massivement dans des établissements très sélectifs, très traditionnels, très transmissifs, très reproducteurs (ceux qui préparent aux très grandes écoles dès la maternelle), la classe dominante reste conservatrice et réactionnaire. C’est la sous-classe supérieure des bobos qui revient en vélo de la calandreta Montessori avant de passer à l’Amap :)

      Par ailleurs, il me semble que plus qu’à un problème de démocratisation, l’enseignante s’est heurtée à la culture de l’EN incapable historiquement et structurellement de laisser vivre en son sein (i) l’expérimentation et (ii) le partage horizontal des pratiques.

    • Faute de pouvoir élargir l’expérimentation, elle a pris la lourde décision de donner sa démission. Ensuite parce que ce n’est pas pour « professer », comme elle dit, que cette jolie trentenaire a passé en candidat libre, il y a cinq ans, le concours de l’enseignement. Et elle le justifie sans s’embarrasser de fausse modestie : « C’était pour infiltrer le système et parvenir à le changer, pas pour enseigner. Je me laissais trois ans pour proposer un environnement de classe faisant l’effet d’une bombe pédagogique, explique-t-elle, trouver les bons outils permettant de révéler spontanément tout le potentiel des enfants, et réussir à les diffuser auprès des enseignants. »

      #jolie_trentenaire #sexisme