person:s. president barack obama

  • Le président Obama et ses principaux conseillers de politique étrangère devraient se réunir aujourd’hui pour examiner les options concernant la Syrie : la "dernière réunion"...
    http://www.brujitafr.fr/2016/10/le-president-obama-et-ses-principaux-conseillers-de-politique-etrangere-de

    U.S. President Barack Obama arrives aboard the Marine One helicopter to depart O’Hare International Airport in Chicago, Illinois, U.S. October 9, 2016. REUTERS/Jonathan Ernst - RTSRI2S * Je ne crois pas que le président des États-Unis puisse décider,...

  • L’Europe impose la paix à Porochenko | La Russie d’Aujourd’hui

    http://fr.rbth.com/international/2015/08/25/leurope-impose-la-paix-a-porochenko_392393

    a conférence de presse, organisée à l’issue des négociations des trois dirigeants à Berlin, était très réservée et, globalement, pro-ukrainienne. Le président français et la chancelière allemande ont affiché leur soutien à Kiev et critiqué la Russie et les insurgés. Toutefois, les analystes estiment que les négociations n’avaient pas été si agréables pour Porochenko.

    Au jour d’aujourd’hui, les avis de l’Europe et de Kiev concernant la situation dans le Donbass divergent considérablement. « L’Europe est prête à se contenter d’une large autonomie (du Donbass, ndlr) et d’une figure de compromis à la tête de cette autonomie », explique Alexandre Gouchtchine, professeur agrégé de l’université d’État des sciences humaines de Russie, à RBTH. « Les Européens consentent que la Russie participe, ouvertement ou non, à ce processus ».

    #russie #europe #ukraine

    • le paragraphe suivant…

      Pourtant, cette option ne convient pas à Kiev. « Porochenko indique que la version actuelle des amendements (à la Constitution ukrainienne, ndlr) représente déjà une concession importante, et que c’est le maximum qu’il peut accepter et faire accepter à la Rada (parlement ukrainien, ndlr) », explique M. Gouchtchine. « Les accords de Minsk lui imposent plus, mais pour Porochenko, ces accords ne sont pas une feuille de route, mais un moyen de gagner du temps ».

      C’est la lecture russe. Pour l’instant la France et l’Allemagne ont l’air de faire semblant de croire que le processus de « décentralisation » concédé par Kiev — et encore, Porochenko qui n’a rien négocié du tout, fait passer le message que même ça, ça risque d’être trop pour le parlement (qui vote le 31/08) et fait semblant de mobiliser pour obtenir un vote favorable — répond, à la lettre des accords et satisfera les « séparatistes ».

      … en échange des réprimandes faites à Petro Porochenko à Berlin…

      En attendant, le « réprimandé » a l’air plutôt content de lui et les « réprimandeurs » modérément convaincus de l’efficacité de la « réprimande »…


      German Chancellor Angela Merkel, French President Francois Hollande and Ukrainian President Petro Poroshenko leave after a press conference following talks at the chancellery in Berlin on August 24, 2015.
      ©AFP PHOTO / JOHN MACDOUGALL

    • Ah, l’inspecteur d’académie Obama tient à faire savoir que lui est satisfait des efforts de l’élève Porochenko.

      Obama, Merkel Discuss Upsurge In Ukraine Violence, Migrant Crisis
      http://www.rferl.org/content/obama-merkel-discuss-upsurge-ukraine-violence-migrant-crisis/27211268.html

      U.S. President Barack Obama spoke by phone with German Chancellor Angela Merkel about the recent upsurge in violence in eastern Ukraine, the White House said on August 26.

      Obama noted Ukraine’s progress in implementing its obligations under the Minsk agreements, and reiterated that Russia must do the same, according to a White House statement.

  • Voici comment Obama téléphone à Erdogan quand il lui parle de la Syrie :

    Cette photo rendue publique par la Maison Blanche - tout à fait délibérément - a causé un petit scandale en Turquie, comme nous l’explique une dépêche Reuters :
    http://www.msnbc.msn.com/id/48495750/ns/world_news-mideast_n_africa/t/some-turks-call-foul-over-obama-erdogan-bat-photo/
    Deux questions se posent.
    La première : est-ce un humoriste qui écrit les discours de la porte-parole de la Maison blanche qui nous explique en gros qu’avoir à une batte à la main quand l’on discute avec quelqu’un est le signe d’une grande proximité avec son interlocuteur ?

    A photograph of U.S. President Barack Obama holding a baseball bat while talking on the phone to Turkish Prime Minister Tayyip Erdogan was intended to show their close relationship, a White House spokeswoman said, after the photo caused a stir in Turkey.

    La deuxième : en dehors du comique plus ou moins volontaire des justifications a posteriori à destination d’une opinion turque heurtée par ces manières, quel est le sérieux dans le message initial et à qui s’adressait-il ?
    Veut-on faire savoir au public américain qu’Obama fait du « lead from behind » et que c’est lui, le chef militaire qui a « the big stick », qui se trouve derrière l’appui d’Erdogan aux insurgés syriens - ce qui semble être un aspect important de la communication de Washington ces derniers temps, alors que les présidentielles se rapprochent ?
    Ou bien veut-on envoyer un signe supplémentaire à Assad qu’on commande aux Turcs des réactions musclées après l’échec insurgé de la bataille de Damas et les difficultés des rebelles à se dégager de l’encerclement à Alep ? Faire entendre un peu plus fort aux oreilles de Bachar les bruits de botte à la frontière nord est peut-être une manière de le dissuader de dégarnir celle-ci pour envoyer des renforts à Alep...

    En tout cas s’il est difficile de dire comment se terminera la crise syrienne, on peut-être sûr que la campagne présidentielle américaine sera d’un haut niveau...