person:salem

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      CI JOINT LA LISTE DES PERSONNALITÉS IRAKIENNES LIQUIDÉES, SELON LA LISTE ÉTABLIE PAR LE QUOTIDIEN EN LIGNE « AR RAI AL YOM »

      Dirigé par Abdel Bari Atwane, fondateur du journal trans-arabe Al Qods Al Arabi » : http://www.raialyoum.com/?p=454552

      Université de Bagdad (40 membres du corps enseignant asssassinés)

      1- Dr Mohamad Abdallah Al Rawi : Recteur de l’Université de Bagdad, Président de l’Ordre des Médecins iraien, assassiné à sa clinique sise quartier Al Mansour (Bagdad).
      2- Makki Habib Al Mou’men : diplomé de l’Université du Michigan (États-Unis), spécialiste de l’Histoire contemporaine, ancien professeur aux universités irakiennes (Bassorah, Bagdad, Irbil et Souleymaniyeh), ainsi qu’à l’Institut des Études Palestiniennes.
      3 – Mohamad Abdallah Moneim Al Azmiralli : Titulaire d’un doctorat en Chimie, scientifique distingué, en poste dans des centres de recherches spécialisés. Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad, Département de Chimie. Cet égyptien, titulaire de la nationalité irakienne, a été liquidé par les Américains dans le camp aménagé à proximité de l’aéroport de Bagdad, en 2003.
      4- Issam Charif Al Takriti : Ancien ambassadeur d’Irak en Tunisie. Titulaire de la chaire d’Histoire à l’Université de Bagdad, il a été liquidé en compagnie de 5 de ses collègues, le 22 octobre 2003, dans le secteur d’Amiryah (Bagdad) .
      5- Majed Hussein Ali : Savant atomique, spécialiste de la physique nucléaire (Université de Bagdad, Faculté des Sciences), éliminé début 2004.
      6- Imad Sarsour : Doyen de la Faculté de médecine de Bagdad, spécialiste de la chirurgie réparatrice.
      7- Soubeiry Moustapha Al Bayyat i : Chef du département de géographie de l’Université de Bagdad , tué en 2004.
      8- Ahmad Al Raw i : Professeur d’agronomie à l’Université de Bagdad, en charge du centre d’épidémiologie. Tué avec sa femme, en 2004, sur l’autoroute Bagdad-Al Ghazalyah.
      9- Housni Kamal : Physicien, Faculté des Sciences, Université de Bagdad.
      10- Marwane Mouzher Al Hayti : Ingénieur chimiste ; Professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Bagdad.
      11- Moustapha Al Machahandi : Professeur de civilisation islamique. Faculté des lettres, Université de Bagdad.
      12- Khaled Mohamad Al Janabi : Titulaire de la chaire Histoire de l’Islam- Faculté des Lettres – Université de Bagdad.
      13- Hassan Abd Ali Daoud Al Rabihi : Vice doyen de la Faculté de Médecine de l’Université de Bagdad.
      14- Marwane Rachid : Vice-doyen de la Faculté de Génie- Université de Bagdad
      15- Abdel Latif Ali Al Mayyah : Adjoint au Directeur du Département du Monde arabe-Université de Bagdad. Assassiné en 2004 au lendemain de son apparition sur une chaîne de télévision arabe pour réclamer la tenue d’élections législatives.
      16- Hicham Charif : Chef département Histoire – Université de Bagdad
      17- Raad Chalah : Chef du département de Biologie – Faculté des Sciences-Université de Bagdad.
      18 -Fouad Ibrahim Mohamad Al Bayyati : Chef du département de l’Allemand (langue et civilisation allemandes) -Faculté des Langues- Université de Bagdad. Assassiné devant sa maison, quartier de Ghazala (Bagdad), le 19 avril 2005.
      19- Mohammad Kard Al Jammali : Spécialiste de la langue anglaise-Université de Bagdad. Directeur général du ministère de l’Éducation nationale. Assassiné le 10 juin 2004 dans le secteur d’Al Amiryah (Bagdad).
      20- Haifa Alawane Al Helli : Physicienne- Faculté des Sciences-Section féminine- Université de Bagdad.
      21- Abdel Razzak Al Na’as : Faculté des Sciences de la communication- Université de Bagdad. Assassiné le 28 janvier 2004.
      22- Haykal Mohammad Al Moussawi : Faculté de Médecine- Université de Bagdad.

      23- Hazem Abdel Hadi : Faculté de Médecine-Université de Bagdad.
      24- Abbas Al Attar : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad
      25- Bassam Al Moudaress : Doctorat en Sciences Humaines-Université de Bagdad.
      26 – Bassel Al Kerkhi : Spécialiste Chimie. Faculté des Sciences – Université de Bagdad.
      27- Nasser Amir Al Obeidy : Université de Bagdad
      28- Nafeh Abboud : Spécialiste de la Littérature arabe- Université de Bagdad
      29- Marwane Al-Rawi : Génie civil – Université de Bagdad
      30- Rafi Sarkissian Vanagan : Magistère en Langue Anglaise – Professeur à la Faculté des Lettres- Université de Bagdad.
      31- Nafiha Hamad Khalaf : Professeur de Littérature arabe – Faculté des Lettres- Université de Bagdad
      32- Khalil Ismail Abd Ad Dahiry : Faculté de l’Éducation sportive – Université de Bagdad
      33- Ghaleb Al Hayti : Professeur de Chimie- Université de Bagdad. Assassiné en mars 2004.
      34- Hussein Ali Ibrahim Al Karbassy : Ingénieur géomètre- Spécialiste de la Topographie- Institut de Technologie Bagdad – Al Zaafaranyah. Assassiné le 16 avril 2006 dans le quartier Al Amiryah.
      35- Mohammad Al Douleimy : Faculté de Génie – Université de Bagdad. Assassiné en 2004.
      36- Hassan Al Rabihi : Faculté d’Art Dentaire – Université de Bagdad. Assassiné le 25 décembre 2004, alors qu’i roulait en voiture en compagnie de son épouse.
      39- Jassem Mohammad Al Issawi : Professeur de Sciences Politiques- Université de Bagdad. Membre du comité de rédaction du quotidien irakien « Al Syada » (La Souveraineté), un des négociateurs au sein du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assasiné le 22 juin 2005 dans le secteur Al Chaaba à Bagdad, à l’âge de 61 ans.
      40- Abdel Sattar Saber Al Khazarji : Faculté de Génie – Université de Bagdad – Assassiné le 4 juin 2005 dans la caserne « Madina Al Horra » (La Ville Libre) à Bagdad.

      Université de Bassorah – Sud de l’Irak (14)

      41 – Ala’a Daoud : Vice-Recteur de l’Université de Bassorah pour la division scientifique.
      42- Assad Salem Choureyda : Docteur en génie civil. Doyen de la Faculté de Génie- Université de Bass
      43- Omar Fakhry : Biologiste – Faculté des Sciences de l’Université de Bassorah.
      44- Khaled Chreyda : Titulaire d’un Doctorat en Génie civil -Faculté du Génie – Université de Bassorah.
      45- Abdel Latif Al Fadel : Spécialiste en Chimie. Faculté des Sciences- Université de Bassorah.
      46- Joumhour Karim Khamas Al Zarzani : Critique littéraire réputé. Chef du Département de Langue Arabe – Faculté de Lettres- Université de Bassorah. Enlevé le 7 juillet 2005, son cadavre a été retrouvé à Qiblah, à 3 kms de Bassorah.
      47- Ghadab Jaber Attar : Faculté de Génie – Université de Basssorah
      48- Kifaya Hussein Saleh : Faculté des Lettres – Université de Bassorah
      49- Ali Ghaleb Abed Ali : Faculté de Génie – Université de Bassorah
      50- Saad Al Rabihi : Biologiste- Faculté des Sciences. Université de Bassorah.
      51- Naoufal Ahmad : Faculté des Beaux-Arts-Université de Bassorah.
      52- Abdel Karim Hussein : Faculté d’Agronomie-Université de Bassorah. Assassiné le 11 avril 2006.
      53- Ala’a Abdel Hamid : Doyen Faculté de Médecine – Université de Bassorah.
      54- Haydar Al Ba’aj : Directeur du CHU de Bassorah.

      Université de Mossoul (Nord de l’Irak, capitale éphémère de L’Etat Islamique, dix ans après l’invasion américaine de l’Irak) : 12 membres

      55- Abdel Jabbar Moustapha : Doyen de l’Université de Mossoul ; Professeur de Sciences Politiques.
      56- Leila Abdallah Said : Doyenne de la Faculté de Droit de l’Université de Mossoul, assassinée en compagnie de son époux.
      57- Mounir Al Khaïrou : Professeur de Droit à l’Université de Mossoul, époux de la doyenne Leila Abdallah Said, tuée en sa compagnie.
      58- Imane Younes : Chef du département de l’Interprétariat – Université de Mossoul.
      59- Nouayl Boutros Mathew : Faculté de Médecine-Université de Mossoul.
      60- Mohammad Al-Douleimy : Génie mécanique. Faculté de Génie. Université de Mossoul.
      61- Khaled Faysal Hamad Cheikhou : Faculté de l’Éducation Sportive – Université de Mossoul.
      62- Mahmoud Younes Zannoune : Faculté des Lettres- Université de Mossou
      63- Imane Abdel Moneim Younés : Faculté des Lettres – Université de Mossoul
      64- Mahfouz Mohammad Hassan Al Kazzaz : Professeur de Lettres- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université de Mossoul. Tué lors d’une intervention des forces d’occupation américaines, le 25 Décembre 2004, à proximité de la Mosquée Dr Oussama Kachmoula- Province de Ninive.
      65- Inmar Al Ticq : L’un des plus célèbres ophtalmologistes irakiens. Professeur à la Faculté de Médecine – Université de Mossoul. Assassiné en Octobre 2004.
      66- Madame Falha Saleh Ahmad : Professeure de Sciences Politiques- Université de Mossoul. Assassinée en 2004

      Université Al Moustansariyah (15 membres)

      67- Sabah Mahmoud Al Rabihi : Doyen de la Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah
      68- Salem Abdel Hamid : Doyen de la Faculté de Médecine à l’Université d’Al Moustansariyah, spécialiste de la médecine préventive.
      69- Falah Ali Hussein : Doyen de la Faculté des Sciences- Université Al Moustansariyah.
      70- Ibrahim Talal Hussein : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation -Université Al Moustansariyah.
      71- Houba Eddine Ahmad Mahmoud : Chef du Département de l’Éducation- Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah.
      72- Moussa Salloum Amir Al Rabihi : Vice-Doyen Faculté des Sciences de l’Éducation – Université Al Moustansariyah. Assassiné le 28 Mai 2005-Quartier Al Bayyyah (Bagdad).
      73- Abdel Samih Al Janaby : Doyen de la Faculté des Sciences -Université Al Moustansariyah. Poignardé lorsqu’il a mis en application une décision du ministère de l’enseignement supérieur prohibant la transformation des enceintes universitaires en tribunes religieuses.
      74- Mohammad Fakhr Al Douleimy : Titulaire d’un doctorat en Physique. Vice-Doyen de la Faculté des Sciences – Université Al Moustansari
      75- Zaki Zaker Al Ani : Professeur de Langue Arabe. Faculté des Lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      76- Hadi Abdel Karim : Faculté des lettres- Université Al Moustansariyah. Tué devant la porte d’entrée de l’Université, le 26 Août 2005.
      77- Mohamad Najib Al Kaissy : Département de la recherche – Université Al Moustansariyah.

      78- Samir Yelda Gergis : Vice-Doyen de la Faculté de Gestion et d’Économie- Université Al Moustansariyah. Enlevé devant l ‘entrée de l’Université, en Août 2005, son cadavre a été retrouvé un mois plus tard, dans une ruelle le 25 septembre 2005.
      79- Kazem Talal Hussein : Vice-Doyen de la Faculté de l’Enseignement Fondamental. Université Al Moustansariyah. Assassiné le 25 Novembre 2005 dans le quartier Moussayleh en compagnie de trois des ses gardes de corps.
      80- Ali Mouhaych : Doyen de la Faculté de Génie. Université Al Moustanssariyah. Assassiné le 13 Novembre 2006.
      81- Kazem Battine Al Hayani : Professeur de Psychologie – Faculté des lettres- Université al Moustanssariyah. Enlevé par des membres d’une milice religieuse le 3 Mars 2006. Son cadavre, mutilé, a été retrouvé à l’Institut Médico-légal.
      82- Mohammad Abdel Rabih Al Ani : Professeur de Droit à l’Université Al Moustansaryah. Doctorant à la Faculté des Sciences Islamiques à l’Université de Bagdad. Assassiné le 27 avril 2006 devant la Mosquée « Imam Farouq », proche de la Rue Palestine, dans le centre de Bagdad. Son cadavre a été retrouvé cinq jours plus tard le 2 Mai 2006 à l’Institut Médico-légal de Bagdad.

      Université de technologie Bagdad (8 membres)

      83- Mohie Hussein : Génie mécanique-Université de Technologie
      84- Mohammad Abbas Khodeyr : Génie mécanique- Université de Technologie.
      85- Qahtane Kazem Hatem : Faculté des Sciences-Université de Technologie.
      86- Amir Mouzher Al Dayni : Ingénieur Télécommunications.
      87-Mohamad Abdel Hassan Wahed : Institut de Gestion Technologique- Bagdad.
      88- Amr Ibrahim Hamza : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      89- Issam Saad Abdel Karim : Géologue. Chercheur au Centre National des Recherches. Enlevé le 28 Septembre 2004, assassiné le 1 er Octobre 2005.
      90- Mohannad Saleh Mehdi : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.
      91- Saad Yassine Al Ansari : Centre de Recherches sur le Cancer – Institut de Gestion Technologique.

      Université Al Anbar (Ouest de l’Irak qui abrite les deux villes rebelles à la présence américaine Ramadi et Falloujah) : (7 membres)

      92- Raad Okhsen Al Binno : Faculté de Médecine-Université Al Anbar.
      93-Ahmad Abel Rahman Al Qobeissy : Professeur faculté de Médecine-Université Al Anbar
      94- Ahmad Abdel Hadi Al Rawi : Faculté d’Agronomie – Université Al Anbar.
      95- Chaker Mahmoud Jassem : Faculté d’Agronomie – Université d’Al Anbar.
      96- Abdel Karim Mokhallaf Saleh : Faculté des Lettres – Département de Langue Arabe – Université d’Al Anbar.
      97- Nasser Abdel Hamid Moukhlef Al Douleimy : Université Al Anbar

      98- Hamid Faysal Antar : Faculté de l’Éducation Sportive – Université Al Anbar.
      99- Abdel Majid Al Karbouly : Université Al Anbar

      Université Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate). 3 membres

      100- Akil Abdel Jabbar Al Bahadl y : Vice-Doyen Faculté de Médecine-Université d’Al Nahrayne (Université des deux fleuves ; le Tigre et l’Euphrate).
      101- Laith Abdel Aziz Abbas : Faculté des Sciences – Université d’Al Nahrayne.

      102- Mohammad Falah Houeidy Al Jazairy : Chirurgie réparatrice- Faculté de Médecine – Université d’Al Nahrayne. Assassiné le jour de son retour du pèlerinage de La Mecque début 2006. Médecin au CHU (Centre Hospitalier Universitaire) d’Al Kazmiyah (Bagdad).

      Université de Dyala : (Ouest de l’Irak, 6 membres)

      103- Abdel Sattar Al Assady : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      104- Salem Hussein Al Mahdawi : Faculté des Lettres – Université de Dyalla. Assassiné le 9 avril 2006.
      105- Mouchhen Hardane Mazloum Al Alawi : Université de Dyalla. Assassiné le 19 avril 2006.
      106- Mayss Ghanem : Membre du corps professoral du Département de langue et de civilisation anglaise – Université de Dyalla.
      107- Abdel Sattar Jabbar : Faculté de Médecine Vétérinaire- Université de Dyalla. Assassiné le 22 avril 2006.
      108- Taleb Ibrahim Al Zahar : Spécialiste de physique nucléaire – Professeur-à la Faculté des Sciences- Université de Diyala. Assassiné à Ba’aqouba en Mars 2005.

      Université de Tikrit (centre de l’Irak, Région natale de Saddam Hussein)

      109- Fadl Moussa Hussein : Faculté de l’Education Sportive – Université de Tikrit.
      110- Mahmoud Ibrahim Hussein : Faculté des Lettres – Université de Tikrit

      Université Al Ma’moun

      111- Mohsen Abbas Khodeir Al Salmane : Chef du département au ministère de l’irrigation. Professeur à l’Université Al Ma’moun, tué à Falloujah en 2004

      Divers

      112- Wajih Mahjoub Al Taï : Directeur général de l’enseignement supérieur au ministère de l’Éducation Nationale
      113-Chaker Al Khafaji : Directeur de l’Office Central de la Maîtrise de la Qualité.
      114- Moustapha Abel Hamid Al Hayti : Spécialiste des maladies infantiles.
      115-Wissam Al Hachimi : Président de l’Association des Géographes d’Irak.
      116- Raad Abdel Latif Al Saadi : Linguiste. Conseiller en langue arabe au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Assassiné le 28 mai 2005, quartier d’Al Bayyah (Bagdad).

      117- Hussein Nasser Khalaf : Chercheur à la Faculté d’Agronomie. Centre des études « Al Nakhil » (Palmiers-Dattiers) de Bassorah. Enlevé le 18 Mai 2005, son cadavre a été retrouvé, quatre jours plus tard, le 22 Mai 2005, dans le quatier Al Bayyah-Bagdad.
      118- Taqi Al Talqua’ay : Titulaire d’un doctorat en physique nucléaire.
      119- Khawla Mohammad Taqi : Faculté de Médecine-Université de Coufa
      120- Zaki Jaber Lafta Al Saadi : Faculté de médecine vétérinaire.
      121- Mohsen Souleimane Al Oujeily : Faculté d’Agronomie- Université de Babel.

      122- Dr Liwa Al Sannanne Abdel Jabbar Abou Halhal : Université Al Bakr pour les Hautes Études. Assassiné à la prison d’Abou Ghraib en 2004.
      123- Ali Mabak Al Malki : Expert comptable – Direction des impôts – Ministère des Finances.
      124- Achoura Awdat Al Rabihi : Titulaire d’un Magistère en Géographie Humaine de l’Université de Michigan. Directeur du Centre d’Études « Al Mansour ». Assassiné dans le quartier Al Amriyah (Bagdad) en 2004.
      125- Moujber Al Cheikh Issa al Jouboury : Juriste. Membre du « Comité de Rédaction de la Constitution.
      126- Damman Hussein Alaoui Al Obeidy : Doyen de la Faculté de Droit de l’Université de Salaheddine et membre du « Comité de Rédaction de la Constitution ». Assassiné le 12 juillet 2005 à Bagdad.
      127- Sabah Aziz Hachem : Institut de technologie – Province de Bassorah. Tué devant l’entrée de l’établissment le 11 Avril 2006.
      128 – Faydi Mohammad Al Faydi : Membre du Haut Comité des Théologiens de l’Islam. Titulaire d’un Doctorat de l’Université de Législation islamique (promotion 1990). Tué devant la Mosquée dans le secteur d’Al Mouthanna (district de Mossoul).
      129- Amid Mounzer Al Bayati : Médecin. Asssassiné le 16 juin 2005 devant sa maison située dans le quartier Al Sayyeh.
      130- Amid Sadeq Al Abadi : Medecin. Assassiné le 1 er septembre 2005 devant le complexe médical qu’iil avait édifié pour les soins aux nécessiteux.
      131- Amer Mohammad Falah : Chef du département de Chirurgie au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Républicain de Bagdad. Assassiné devant son domicile le 3 Octobre 2004.
      132- Reda Amine : Assistant technique – CHU de Kirkouk. Assassiné le 15 septembre 2004 à Kirkouk.
      133- Abdallah Saheb Younes : Hopital Naaman-Al A’Azamiyah-Bagdad. Assassiné le 18 Mai 2005.

      134- Ibrahim Ismail : Directeur général du Département de l’Éducation Nationale à Kirkouk. Assassiné le 30 Septembre 2004, alors qu’il était en route vers l’Institut de Technologie de Kirkouk.
      135- Rajeh Al Ramadani : Inspecteur au ministère de l’Éducation Nationale. Assassiné le 29 septembre 2004, alors qu’il sortait de la Mosquée Ziad Al Iraqi à Ninive.

      Source : Madaniya, René Naba, 21-09-2018

      #génocide

  •  » MOH : “Army Kills Eight Palestinians, Injures At Least 512 In Gaza” IMEMC News - May 14, 2018 2:00 PM
    http://imemc.org/article/moh-army-kills-eight-palestinians-injures-at-least-512-in-gaza

    The Palestinian Health Ministry has reported that Israeli soldiers killed, on Monday morning until 1 in the afternoon, seven Palestinians, including two children, with live fire, and injured at least 512, in several parts of the coastal region.

    Dr. Ashraf al-Qedra, spokesperson of the Health Ministry in Gaza said the soldiers injured 512 Palestinians, including at least 165 with live fire, near border areas in northern Gaza Strip, Gaza city, the Central District, Khan Younis and Rafah in the southern parts of the coastal region.

    He identified the slain Palestinians as:

    1 Anas Hamdan Qdeih , 12. East of Khan Younis)
    2 Mos’ab Yousef Abu Leila , 28. (East of Jabalia)
    3 Obeida Salem Farhan , 30.
    4 Mohammad Ashraf Abu Sitta , 26.
    5 Ezzeddin Mousa Sammak , 14.
    6 Ezzeddin Nahedh al-‘Oweiti , 23.
    7 Bilal Ahmad Abi Doqqa , 26.
    8 Jihad Mofeed al-Farra , 30. (live round in the chest, east of Khan Younis)

    In addition, the Palestinian Journalists’ Syndicate has reported that six of the wounded Palestinians are journalists.

    It is worth mentioning that, at the time of this report, the Health Ministry said that two more Palestinians were also killed, but there names have not been made public yet.

    #marcheduretour #Palestine_assassinée

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    Updated : “Israeli Soldiers Kill 18, Injure 918, In Gaza”
    May 14, 2018 2:44 PM IMEMC New
    So far, sixteen of the slain Palestinians have been officially identified as :
    9 Fadi Hasan Abu Salma , 30.
    10 Ahmad Awadallah , 24.
    11 Mo’tasem Fawzi Abu Louli , 20.
    12 Mohammad Mahmoud Abdul’al , 50.
    13 Fadi Hasan Abu Silmi , 30.
    14 Ahmad Fawzi at-Tatar,
    15 Ahmad Adel Mousa Sha’er , 16.
    16 Mohammad Abdul-Rahman Miqdad . (live round in the back)

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    MOH : “Army Kills 41 Palestinians In Gaza”
    May 14, 2018 4:22 PM - IMEMC News
    http://imemc.org/article/moh-army-kills-37-palestinians-in-gaza

    Updated: The Palestinian Health Ministry has confirmed that Israeli soldiers killed, Monday, 41 Palestinians, including children and four officers of the Ministry of Interior and National Security, in the Gaza Strip, and injured more than 1700.

    The Ministry of Interior and National Security said among the slain Palestinians are four of its officers, identified as:

    Mousa Jaber Abu Hassanein, 36 – medic, Civil Defense Department.
    Mo’taz Bassam an-Nuno, 30 – Internal Security Department.
    Mos’ab Yousef Abu Leila, 30 – Military Intelligence Department.
    Jihad Mohammad Mousa, 30 – Internal Security Department.

    It said the slain officers were performing their duties and national services when the soldiers shot them dead.

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    MOH : “Army Kills 52 Palestinians In Gaza”
    May 14, 2018 4:22 PM IMEMC News
    http://imemc.org/article/moh-army-kills-37-palestinians-in-gaza

    Updated: The Palestinian Health Ministry has confirmed that Israeli soldiers killed, Monday, 52 Palestinians, including children and four officers of the Ministry of Interior and National Security, in the Gaza Strip, and injured more than 2410.

  • » Health Ministry: “Army Kills one Palestinian, Injures 167, In Gaza”– May 11, 2018 5:59 PM IMEMC News
    http://imemc.org/article/health-ministry-army-kills-one-palestinian-injures-167-in-gaza

    The Palestinian Health Ministry has confirmed that Israeli soldiers killed, Friday, one Palestinian, and injured 167, including seven who suffered very serious wounds, in the Gaza Strip.

    The Health Ministry said the soldiers killed Jaber Salem Abu Mustafa , 40, after shooting him with a live round in the chest, east of Khan Younis, in the southern part of the Gaza Strip.

    It added that, among the 167 wounded Palestinians, 49 were shot with live fire, including seven in serious conditions, and four who were directly shot with gas bombs.

    #Palestine_assassinée #droitauretour

    • Gaza : un Palestinien tué par des tirs de soldats israéliens (Santé)
      https://www.romandie.com/news/Gaza-un-Palestinien-tue-par-des-tirs-de-soldats-israeliens-Sante/917053.rom
      AFP / 11 mai 2018 15h03
      Gaza (Territoires palestiniens) - Un Palestinien a été tué par des tirs de soldats israéliens lors du septième vendredi consécutif de manifestations à la frontière entre Israël et la bande de Gaza, a annoncé le ministère local de la Santé.

      L’homme de 40 ans a été atteint à la poitrine près de Khan Younès, dans le sud de l’enclave palestinienne, a précisé le ministère.

      Ce décès porte à 53 le nombre de Palestiniens tués depuis le début, le 30 mars, du mouvement de protestation revendiquant le droit des Palestiniens à retourner sur les terres dont ils ont été chassés ou qu’ils ont fuies à la création d’Israël en 1948.

  • Two Gaza Youth Killed by Israeli Airstrikes– IMEMC News
    http://imemc.org/article/two-gaza-youth-killed-by-israeli-airstrikes

    Two Palestinian youth, both aged 17, were killed by Israeli airstrikes in the city of Rafah, in the south of the Gaza Strip.

    According to the Palestinian Ministry of Health in Gaza, the two Palestinians, identified as Salim Sabbah and Abdullah abu-Sheikha , arrived to the hospital in serious condition.

    Both of the young teens received life-saving treatment, but neither of them survived, the ministry said in a statement, according to Days of Palestine.

    The two civilians, local sources said, were part of a group of six teens affected by an Israeli airstrike in an empty area in the city of Rafah.

    In the statement, the ministry said that the other four were lightly wounded.

    On Saturday, an explosive device detonated in an Israeli military jeep after crossing the Gaza borders in the southern Gaza city of Khan Younis, where four Israeli soldiers were wounded, including two who sustained serious injuries.

    Several Israeli officials, including PM Benjamin Netanyahu and Defense Minister Avigdor Lieberman vowed to take revenge for them.

    Therefore, the Israeli occupation army launched about 20 airstrikes in different areas, including police and border guard stations across the Gaza Strip, claiming they attacked “terror posts.”

    #Palestine_assassinée

    • Israeli Air Force Fires Missiles Into Palestinian Land In Rafah
      February 19, 2018
      http://imemc.org/article/israeli-air-force-fires-missiles-into-palestinian-land-in-rafah

      On Sunday, four Israeli soldiers were injured, including two who suffered serious wounds, when an explosive device detained near their vehicle close to the border fence in southern Gaza.

      The Israeli army then struck eighteen targets in the Gaza Strip, including six sites believed to be run by the al-Qassam Brigades of Hamas, one of them reportedly a tunnel extending from the Zeitoun neighborhood in Gaza towards Israeli areas across the fence.

      Also Sunday, two Palestinians, identified as Salem Mohammed Soliman Sabbah , 17, and ‘ Abdullah Ayman Salim Irmeilat , 15, were killed by Israeli airstrikes in the city of Rafah.

  • Le conflit s’intensifie entre le Hamas et les salafistes de Gaza | Chronique de Palestine
    Par Hamza Abu Eltarabesh, écrivain et journaliste indépendant à Gaza | 13 octobre 2017 – The Electronic Intifada – Traduction : Chronique de Palestine – Dominique Muselet
    http://chroniquepalestine.com/conflit-intensifie-entre-hamas-et-salafistes

    (...) Nidal, un membre des Brigades Qassam, la branche militaire du Hamas, a été tué le 17 août dans un attentat-suicide près de la frontière de Gaza avec l’Égypte.

    A l’époque, l’attentat a été attribué au groupe État islamique. C’était le dernier épisode de violence résultant de la rivalité meurtrière qui oppose, depuis une dizaine d’année, le parti islamiste qui contrôle les affaires intérieures de Gaza aux militants salafistes de l’enclave côtière et au-delà.

    On parlait aussi, à l’époque, de la mise en œuvre d’un accord entre le Hamas et l’Égypte pour améliorer les relations et alléger le blocus égyptien de la bande côtière. L’accord, qui porte sur les mesures que le Hamas doit prendre pour empêcher l’infiltration des Salafistes vers et hors du Sinaï – où le mécontentement contre la domination du Caire s’est transformé en une véritable insurrection au cours des quatre dernières années, – a été renforcé par l’accord d’unité préliminaire entre le Fatah et le Hamas, élaboré avec la médiation de l’Égypte et annoncé le 12 octobre.

    C’était précisément une de ces infiltrations que tentaient d’empêcher Nidal et son équipe, dont son neveu, Salem al- Jaafari, 26 ans. Ils ont attrapé l’un des deux hommes équipés d’armes légères à l’entrée d’un petit tunnel près de la frontière. L’homme a déclenché sa ceinture explosive et il a tué Nidal et lui-même. Salem a été blessé.

    L’autre infiltré avait été appréhendé et désarmé quelques instants plus tôt, comme l’a expliqué Salem à Riziq al-Jaafari, 36 ans, le frère aîné de Nidal, administrateur au Collège Dar al-Nahdah à Rafah.

    « J’espère que [le Hamas] frappera durement ces extrémistes et les chassera de Gaza », a déclaré Riziq, visiblement très en colère, à the Electronic Intifada.
    (...)
    La riposte du Hamas a été immédiate. Le lendemain de l’incident, les forces de sécurité du Hamas, aidées par les Brigades Qassam, ont lancé une opération de répression des groupes salafistes à Gaza, en se concentrant sur les villes méridionales de Rafah et Khan Younis.

    Les bureaux de deux groupes salafistes opérant à Gaza – l’État islamique de Gaza, considéré comme affilié à l’État islamique, et l’Armée de l’Islam, considérée comme proche d’Al-Qaïda – ont été fermés et plusieurs de leurs membres arrêtés.

    Ahmad Abu Naji, un officier du service de la sécurité intérieure de Gaza, a confirmé que l’opération comprenait également des raids sur des maisons et des camps d’entraînement affiliés à des militants salafistes. Il a dit que des dizaines de personnes avaient été arrêtées, en particulier dans le quartier de Tal al-Sultan à Rafah, où habitait Mustafa Kullab, le terroriste qui a commis l’attentat-suicide.

    « Tous ceux qui étaient proches de lui ou qui venaient chez lui ont été arrêtés », a déclaré Abu Naji à The Electronic Intifada.
    (...)
    Akram Attalla, analyste politique et chroniqueur au journal al-Ayyam, pense qu’Israël finance l’État islamique au Sinaï pour saper l’autorité du Hamas.

    « Israël est conscient que les Palestiniens se sont adaptés aux divisions qui les séparent et au siège de Gaza », a-t-il déclaré à The Electronic Intifada. « Par conséquent, Israël tente de créer des groupes qui peuvent nuire au Hamas ».

    Omar Jaara, expert pour les affaires israéliennes et conférencier à l’Université nationale An-Najah en Cisjordanie, est d’accord avec cette analyse. Pour lui aussi, l’État islamique est un « outil contrôlé par Israël pour maintenir l’instabilité » à la frontière avec l’Égypte. La menace croissante que l’EI fait peser sur l’Égypte, a-t-il ajouté, est un « joker » qu’Israël peut utiliser contre le Hamas.

    Ahmed Yousef, qui conseillait Ismail Haniyeh quand il était premier ministre à Gaza, a supplié Le Caire de comprendre que c’est l’isolement et le désespoir qui sont largement à l’origine de cet extrémisme à Gaza. Alléger le blocus de Gaza est essentiel si l’on veut stabiliser la situation et cela servirait les intérêts des Égyptiens comme des Palestiniens.

  • « J ai vu de près ce que peut être une société fondée exclusivement sur la charia »
    http://endehors.net/news/j-ai-vu-de-pres-ce-que-peut-etre-une-societe-fondee-exclusivement-sur-la-c

    Lemine O. M. Salem : « J ai vu de près ce que peut être une société fondée exclusivement sur la charia » https://t.co/Z2Pe6uK7Or Le Monde Afrique (@LeMonde_Afrique) 11 Décembre 2015 — Actualité

  • L’union des diplômés #chômeurs lance des mouvements de soutien aux 8 grévistes de la faim à Gabès | Directinfo
    http://directinfo.webmanagercenter.com/2015/03/31/lunion-des-diplomes-chomeurs-lance-des-mouvements-de-so

    Le secrétaire général de l’union des diplômés chômeurs (UDC), Salem Ayari a annoncé lors d’une conférence de presse tenue, mardi à #Tunis, le lancement d’un ensemble de mouvements de soutien aux 8 #grévistes_de_la_faim, depuis plus d’un mois à #Gabès, pour revendiquer le droit au travail.

    Il a, à cet égard, indiqué qu’un membre de l’union se déplacera à Gabès pour soutenir les protestataires et leurs familles qui ont entamé, aujourd’hui, un #sit-in ouvert devant le siège du gouvernorat.

    L’UDC appelle à régulariser la situation des grévistes le plus tôt possible et à démettre de ses fonctions le gouverneur de la région puisque les propositions qu’il a présentées ne sont pas sérieuses, selon Ayari.

  • Inscriptions religieuses à l’entrée de Tripoli : les regrets de Khaled Daher n’ont pas calmé le débat
    http://www.lorientlejour.com/article/910601/inscriptions-religieuses-a-lentree-de-tripoli-les-regrets-de-khaled-d

    Dans les colonnes d’al-Hayat, M. Machnouk propose de conserver le mot « Allah » mais de remplacer « Tripoli forteresse des musulmans » par « Entrez en paix ». Le ministre assure également, selon le quotidien panarabe, que cette demande a été saluée par les cheikhs el-Rafeï et Chaar.

    […]

    Entre-temps, le cheikh Salem el-Rafeï avait exprimé des réserves concernant la demande de M. Machnouk. Il a souhaité, selon des propos rapportés par la Voix du Liban (VDL, 100.5), que l’inscription « ne soit pas changée » et qu’on n’y « touche pas ».

    […]

    La polémique autour des inscriptions de la place al-Nour a pris de l’ampleur après les propos du député membre du Courant du Futur, Khaled Daher. « S’ils veulent retirer les symboles religieux, qu’ils commencent à Beyrouth, qu’ils commencent par la statue du Christ Roi, qu’ils commencent par les images de certains saints qui vous ouvrent les bras à Jounieh », avait lancé le député sur la place al-Nour, estimant que « le plan de sécurité s’est transformé en provocation contre les sunnites ».

  • « Le Comité des Ulémas, » médiateurs ou représentants d’#al-Nusra ?
    http://www.lorientlejour.com/article/899909/militaires-otages-mediation-le-comite-des-ulemas-exige-detre-officiel

    « Nous avons des conditions pour reprendre la médiation entre le gouvernement et les ravisseurs. Nous voulons être mandatés officiellement par le gouvernement pour qu’on ne nous accuse pas de travailler pour servir nos propres intérêts », a déclaré le chef du Comité des ulémas cheikh Salem el-Rafeï.

    « Le gouvernement doit être sérieux dans sa décision de libérer des islamistes de la prison de Roumieh », a-t-il ajouté, à l’issue d’un entretien avec le mufti de la République Abdellatif Deriane.

  • PHOTOS : Dans ce village de Cisjordanie, les agriculteurs palestiniens vont à l’encontre du règlement.
    By Activestills - Text and Photos : Ahmad al-Bazz
    |Published December 6, 2014
    http://972mag.com/photos-in-west-bank-village-palestinian-farmers-go-against-the-grain/99639

    Pour la première fois en 14 ans, les agriculteurs de Salem ont décidé d’aller sur leurs terres agricoles sans l’autorisation des autorités israéliennes. Mais il ne fallut pas longtemps avant que les colons et les soldats israéliens viennent perturber leur travail.

  • A propos du documentaire d’Arte, passé hier, intitulé « Liban, de fracture en fracture » déjà signalé par @kassem pour une photo trompeuse ici : http://seenthis.net/messages/317294
    Il est visionnable là : http://www.tv-replay.fr/redirection/02-12-14/liban-de-fracture-en-fracture-arte-10946400.html

    Tout le documentaire tourne autour d’une thèse simple et d’une lecture strictement confessionnelle : le Hezbollah chiite, bras armé de l’Iran, par ses armes et son implication en Syrie est le seul responsable des tensions au Liban car il humilie les sunnites et les radicalise, créant un climat dangereux pour les chrétiens en important la crise syrienne au Liban.

    Tous les « analystes » interrogés sont des anti-Hezbollah : Ziyad Majed, Ahmed Fatfat (Courant du Futur), Romain Caillet, un clerc chiite, voire l’imam salafiste Salem Rafei (présenté comme un « sunnite »). Seule exception deux ou trois courtes interventions d’un journaliste du Akhbar.

    Pas une fois la parole n’est donnée à un représentant politique du Hezbollah ou d’un de ses alliés. Pas un universitaire français ayant travaillé sur le Hezbollah n’est interrogé : ni Sabrina Mervin, ni Aurélie Daher, ni ....

    – Les blocages politiques d’avant l’accord de Doha ? La volonté du Hezbollah d’assoir sa domination sur l’Etat libanais.
    – Les affrontement de 2008 entre le Courant du Futur et le Hezbollah ? Une prise d’assaut par les chiites de quartiers sunnites.
    – Les combats à Tripoli ? L’exaspération des sunnites de Bab al Tebbaneh face à l’injustice de l’aide du Hezbollah à l’armée d’Assad. Et pas un mot sur le quartier de Jabal Mohsen.
    – Les attentats à sud Beyrouth et dans la Bekaa ? Des représailles contre les fiefs du Hezbollah qui tue des syriens.
    – Les puissances étrangères dans le conflit syrien ? La Russie et l’Iran, point barre !
    – L’implication de forces libanaises en Syrie ? Le seul fait du Hezbollah.
    – Le phénomène al-Assir ? La réaction des sunnites humiliés réprimés par l’armée libanaise appuyée par le Hezbollah. Pas un mot sur l’attaque de soldats de l’armée par les hommes d’al-Assir.
    – Les combats à Ersal ? Des groupes d’insurgés syriens du Qalamoun combattus injustement par le Hezbollah. Pas un mot sur les soldats libanais kidnappés dont 3 exécutés ! En prime petite interview de soldats de l’ASL disant qu’ils n’ont rien contre les chiites.
    – Le vote de réfugiés syriens en faveur d’Assad à la présidentielle ? Le seul effet de la « machine de propagande » du régime exploitant la peur de Da’ech et de l’encadrement du Hezbollah.

    Etc...

    • @kassem : c’était bien senti. Les partisans d’Aoun, on ne les a d’ailleurs pas entendus. Mais sincèrement - je dois être encore un peu naïf - j’ai été étonné du caractère véritablement grossier de ce parti pris. al-Arabiyya ou i24 n’auraient pas fait pire.

    • Sur « un clerc chiite », pas n’importe lequel évidemment.

      Le gars est mort récemment, d’ailleurs, et Angry Arab avait rappelé la constance morale (hum hum) du gugusse :
      Hani Fahs is dead : Shi‘ite Wahhabism
      http://angryarab.blogspot.fr/2014/09/hani-fahs-is-dead-shiite-wahhabism.html

      Lebanese Shi‘ite cleric, Hani Fahs, is dead. He is of course being praised in Hariri and Saudi media because he was an employee of those media. I have said before that there is no man who switched political positions in a lifetime than this man and ‘Adil-‘Abdul-Mahdi of Iraq (but I maintain that the latter genuinely changed positions from Fato to Maoist to Islamist etc). Hani Fahs was first a follower of the As‘ad reactionary family, and then became a supporter of Fath, and then became a supporter of Musa As-Sadr, and then became a follower of Khuymani and worked in Iran in the early years of the revolution, and then became close to Hizbullah, and then became close, again, to Amal Movement, and after 2005 became close to, or loyal to, Hariri family and Saudi regime. That in Lebanon is being praised because the ultimate destination was the House of Saud. I had written an article about him two years ago.
      http://www.al-akhbar.com/node/166689

    • Cette main mise (des Etats-Unis-CIA-néocons) sur les médias mainstream occidentaux est une part importante de ce qui mine gravement nos démocraties.
      Seuls ceux qui ont du temps peuvent aller chercher et recouper les informations sur les sites alternatifs et sur les médias étrangers.

    • Autre « expert » : Lokman Slim.

      Le gars a eu un portrait terrible (et terriblement drôle) dans le Akhbar lors des Wikileaks :
      http://www.al-akhbar.com/node/167155

      Un des câbles les plus émouvants, c’est de retour d’un voyage à Washington payé par le « International Republican Institute ».
      https://wikileaks.org/cable/2008/05/08BEIRUT750.html

      ¶1. (C) Shortly after returning from their protracted visit to Washington, three members of the independent Shia delegation organized by Lokman Slim told the Charge that the Doha agreement has serious, negative, and long-term consequences for the independent Shia movement. According to Slim, the Lebanese people need to ask some tough questions about Doha, but many are afraid to do so. Progressive Socialist Party (PSP) Vice President Duraid Yaghi, whose Bekaa Valley home was attacked with explosives and gunfire during his absence, told us the new electoral districting agreement “gave all 10 parliamentary seats in the Bekaa and Hermel to Hizballah.” In coordination with a MEPI-funded International Republican Institute (IRI) program, the independent Shia have begun to formulate a strategic plan for both domestic and regional programs, including possible outreach to Israeli contacts. Initial suggestions for USG partnership activities will be sent septel. End Summary.

      À un moment, le gars suggère le nom de quelqu’un qui « pourrait facilement succéder à Nasrallah ». (Les câbles sont remplis de ces Libanais qui vont se faire mousser chez les Ricains en imaginant que ce sont eux qui décident qui va diriger le Hezbollah, où les Israéliens vont bombarder, et qui les Américains vont financer.)

    • @nidal : je ne connaissais pas le bonhomme qui constitue la caution chiite du reportage. Dans le genre girouette, Joumblatt a manifestement là un sérieux concurrent.
      Sur Lokman Slim, sa fiche wikipedia en anglais le présente comme un « independent social and political activist », ce qui fait déjà un peu plus partisan qu’"expert", effectivement. Surtout la dernière partie de la fiche intitulée « Civic Education as Driver for Political Change » évoque son association créée en 2005, Hayya Bina, travaillant particulièrement au sein des communautés chiites dans diverses zones. Une des actions évoquée est un programme d’enseignement de l’anglais dans des zones rurales chiites pauvres, programme au sein duquel sont enseignés également « les droits humains et civiques ». Son association travaille avec le NDI américain (elle en reçoit donc des financements), et en 2008 Slim a travaillé comme partenaire avec le NDI.
      http://en.wikipedia.org/wiki/Lokman_Slim
      Or le NDI, dirigé par Madeleine Albright, est la fondation du parti démocrate américain. Avec l’IRI (dirigé par Mc Cain), le NDI est le principal récipiendaire de l’argent de l’agence gouvernementale NDE (National Endowment for Democracy) créée en 1983 par Reagan pour faire de la « promotion de la démocratie », telle qu’on l’entend au Département d’Etat, une arme dans la Guerre froide.
      http://fr.wikipedia.org/wiki/National_Endowment_for_Democracy

    • Le rôle prêté ici à Ahmad Assir, l’escroc salafiste de Saïda, est grotesque. Évidemment, quand on ouvre avec Fatfat et Caillet, on se doute bien qu’on ne va pas trop parler de l’heure de gloire de l’escroc : exhiber une mitraillette en plastique et expliquer qu’elle invite les chiites à « frapper Aïcha » (c’est un vieux gag des prédicateurs salafistes, connu de longue date, et évidemment largement documenté – la mitraillette dit en anglais « pull over, pull over, save the hostages »).

      Un des principes est de faire comme si Assir représenterait « les sunnites », dans le même sens que le Hezbollah représenterait les chiites. Ou, au minimum, que les sunnites se reconnaissent dans le « phénomène Assir ». C’est à cela que sert d’ailleurs Caillet. Mais cette prétention est juste risible. Au moment où son mouvement est éliminé à Saïda, il est déjà considéré comme une source d’embarras par le Futur (en dehors des trois-quatre extrémistes du Courant).

      « Pour le Hezbollah, il devient une menace ». Mais vous avez trouvé qui au Liban pour soutenir qu’Assir ne devenait pas une menace pour tout le pays ? Et en quoi, vraiment, ce pitre menaçait-il le Hezbollah ?

      « Le 23 juin, l’armée entre en force dans la ville pour arrêter le sheikh Assir et ses hommes. Le Hezbollah vient prêter main forte à l’armée. Les combats se solderont par la mort de 18 soldats, et la fuite du prédicateur en Syrie. » C’est du délire : l’armée serait intervenue au motif que le Hezbollah était « menacé » ? Avec le Hezbollah qui serait venu « prêter main forte » ?

      Comme par hasard, c’est une polémique justement lancée à l’époque par – notamment – le député Fatfat (premier intervenant du « documentaire »). Mais c’est une théorie qui s’est effondrée depuis longtemps :
      http://seenthis.net/messages/156520

      The army and the defense minister provided video footage. Faced with this irrefutable evidence, the Future Movement MPs ate their words. They had no other choice after they saw the footage of Assir, wearing military fatigues and bearing arms, ordering his group to “shred them to bits,” in reference to army soldiers, and how Assir, addressing the army checkpoint at the heart of the controversy, cried, “You animals, we will slaughter to you,” and ordered his fighters to execute the soldiers.

      The hearing did not end well, especially since it was chaired by Future MP Samir al-Jisr, who adjourned the session after a quarrel erupted between the MPs present. But the question remains: Will these MPs feel ashamed and back down on their reckless behavior?

      To be sure, anyone who rereads the statements made by Future MPs, from Muin Merehbi to Khalid Daher and Ahmad Fatfat, will see that their contentions that Hezbollah had fought with the army “against Sunnis” will only continue.

      Surtout, Arte, personne ne t’a prévenu que cette foutaise fait partie d’une très dégueulasse campagne d’excitation sectaire contre l’armée elle-même ? Et que c’est tellement dangereux que, après Ersal récemment, Saad Hariri est revenu exprès au Liban pour annoncer qu’au Futur, c’était désormais totalement interdit ? Que Daher et ses potes sont priés de fermer leur clapet ? Et Arte nous ressort ça maintenant, alors que pour le 14 Mars libanais, c’est interdit ?

      « À partir de là, le pays s’enflamme. » Ah bon.

      « … frappe les bastions du Hezbollah au Liban… en plein cœur de son fief, la banlieue sud de Beyrouth, une zone ultra-protégée… ». Cool.

    • On continue dans la narrative extraterrestre : Guerre de 2006. « La milice chiite a tenu bon face à à l’armée israélienne et déclare une victoire divine. Fort de cet exploit, le Hezbollah et ses alliés mobilisent leurs troupes contre le gouvernement anti-syrien. Le 7 mai 2008, ils prennent d’assaut les quartiers sunnites de Beyrouth. Après des jours d’affrontements et de siège, ils réussissent à renverser le pouvoir. »

  • Le livre qui raconte Mokhtar Belmokhtar - Actualité - El Watan
    http://www.elwatan.com/actualite/24-10-2014-

    Grâce à des documents exceptionnels —procès-verbaux d’enquêtes de police et d’auditions, témoignages inédits— le journaliste mauritanien Lemine Ould M. Salem signe le premier portrait de Mokhtar Belmokhtar, Le Ben Laden du Sahara *. Comment cet obscur combattant islamiste est-il devenu le plus célèbre chef djihadiste d’Afrique du Nord et de l’Ouest ? Comment a-t-il réussi à s’implanter au Sahara ? Quels sont les hommes qui ont croisé sa route ? El Watan Week-end en publie des extraits.

    De son implantation dans le Sud

    Le Sud dont il est originaire est encore épargné par les 40 troubles nés de l’insurrection islamiste. Pas d’attentats, ni de faux barrages ou d’affrontements, comme c’est le quotidien dans le reste du pays. Du moins jusqu’à ce que lui-même arrive dans sa ville natale vers juin 1993. Belmokhtar prend à peine le temps de retrouver sa famille et ses amis. Il est pressé d’ouvrir un foyer de guérilla dans la région. Avec une poignée de proches, il met sur pied un noyau dont il entend faire le fer de lance du djihad dans tout le sud du pays. Il crée un petit groupe armé dénommé la Katibat As Shahada, ou Brigade du martyre, affilié au Groupe islamique armé (GIA).

    La katibat de Belmokhtar n’a pas beaucoup de moyens, mais son chef est assez déterminé pour que très vite il parvienne à mener de petits coups d’éclat. Sa première action est sanglante. Elle a lieu en 1993, quelques mois seulement après son retour à Ghardaïa, sa ville natale. A la tête d’un petit commando, Belmokhtar attaque une patrouille de police à la lisière de la ville. Treize policiers sont tués dans cette opération et leurs armes récupérées par le commando. La Brigade du martyre installe aussi des faux barrages. Ce procédé, qui consiste à déguiser des djihadistes en gendarmes en faction sur une portion de route isolée pour opérer des braquages, va vite devenir une des marques de fabrique du groupe qui organise plusieurs attaques surprises sur les routes du Sud algérien...

  • The Untold Story of the Shejaiya Massacre in Gaza: A Former Israel Soldier Speaks Out | Democracy Now!
    http://www.democracynow.org/2014/9/12/the_untold_story_of_the_shejaiya

    On July 20, at least 90 Palestinians and 13 Israeli soldiers were killed in the Gaza City neighborhood of Shejaiya. Days later, former Israeli soldier Eran Efrati was arrested by Israel after he posted details about the massacre based on interviews he conducted with Israeli soldiers who were there. Today he speaks out about what he learned and talks about the killing of 23-year-old Salem Khaleel Shamaly. Activists with the International Solidarity Movement posted a video on YouTube showing the fatal shooting of an unarmed Palestinian civilian during the massacre. Family members later stumbled onto the video and identified the man as Shamaly. In the video, Shamaly is seen lying on the ground, apparently wounded by an unseen sniper. As Shamaly tries to get to his feet, two more shots ring out, and he stops moving. Efrati interviewed three of the Israeli soldiers who witnessed the killing of Salem Khaleel Shamaly. His sources within the Israeli Defense Forces reportedly informed him soldiers were deliberately targeting civilians as “punishment” and “retribution” for the deaths of fellow soldiers in their units. Efrati is a former Israeli combat soldier turned anti-occupation activist and investigative researcher.

    Eran Efrati , former Israeli combat soldier turned anti-occupation activist and investigative researcher. He recently interviewed several Israeli soldiers who participated in the Shejaiya massacre in Gaza. Later this month, Efrati will testify at the Russell Tribunal on Palestine in Brussels.

    Part 2: Former Israeli Soldier Eran Efrati Speaks Out About Documenting IDF Abuse in Gaza, West Bank
    http://www.democracynow.org./blog/2014/9/12/part_2_former_israeli_soldier_eran

    ERAN EFRATI: I’m a seventh-generation Jerusalemite, and very proud of it. My grandpa grew up in the old city of Jerusalem with other Palestinians. He knew Arabic before he knew Hebrew. He actually referred to himself as a Jewish Palestinian. He had Palestinian friends, and he fought with them against the colonial forces of Britain at the time. Of course, in some point, he became the colonial forces himself, because he had to choose if he’s more Arab or more Jewish. Of course, you can be American Jewish in Israel, or you can be European Jewish, but you cannot be Arab Jewish in Israel. Arab Jews in Israel, much like people of color here, like blacks in here in the United States, in Ferguson, is under the same kind of racism, systematic racism, as Palestinians. We are all really Palestinians. Here in the U.S., in Israel and in Palestine, we are under the same oppression.
    (...)
    ERAN EFRATI: Exactly. They’re doing it every day. The violence in Palestine is every day. The structural violence in Israel toward Palestinians, like here in the U.S., is more than just structural; it’s happening in a big masses. We’re hearing sometimes about massacres, like what happened in Gaza. But we don’t hear about the everyday situation of the occupation, the everyday beating, the everyday arrests. They administer the arrests of people without them knowing what they’re charged of, sometimes for months, sometimes for years, never going to a trial. That, of course, will not help them, because if they would go to a trial, it will be a military court with a military judge and a military lawyer. So, of course, they don’t have any chance, from the beginning with. Beating like this is happening every day in Israel, not only to Palestinians, also sometimes to Israeli activists, like the last summer showed us. The only difference was that this story came out to the news because he was an American citizen.

  • Jusqu’à quand Bouteflika pourra-t-il acheter la paix sociale et refuser toute réforme politique, s’interroge le FT, le quotidien de la City ?

    La « stabilité » est mise en avant pour éviter les réformes structurelles : L’avenir économique de l’Algérie n’est pas rose, selon le Financial Times
    http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5197354

    La « stabilité » est mise en avant pour éviter les réformes structurelles : L’avenir économique de l’Algérie n’est pas rose, selon le Financial Times
    par Salem Ferdi

    « L’Algérie met la stabilité avant la réforme économique », titre le journal économique et financier Financial Times dans une analyse très pessimiste de l’avenir économique du pays.

    L’Algérie est un pays riche où la paix sociale s’achète par des dépenses publiques, une option qui n’est pas soutenable, avertit le Financial Times. Le journal rappelle qu’après les émeutes de 2011 à la suite d’une hausse des prix de denrées alimentaires, le gouvernement a répondu par un accroissement des subventions et des dépenses publiques. Le but de ces largesses étant d’éviter la contagion de la Tunisie et de l’Egypte qui ont ébranlé des « dictatures établies depuis de longues années ». Abdelaziz Bouteflika, « président malade et âgé qui vient d’être élu pour un quatrième mandat », a fait des dépenses publiques en forme de subventions, de salaires du secteur public et du logement social les principaux leviers de sa politique intérieure dans le but « d’acheter la quiétude de la population ». Sauf que cette politique est une impasse, note le Financial Times. Alors que Bouteflika s’apprête « à entamer sa 16e année au pouvoir, observateurs nationaux et internationaux mettent en garde qu’une telle politique est « insoutenable » malgré la richesse pétrolière et gazière. Ces observateurs font valoir que ce pays de 37 millions d’habitants, la plupart des jeunes, « a besoin de réformer une économie très contrôlée pour réduire la dépendance aux exportations de gaz naturel et éviter de gaspiller les substantielles réserves en devises évaluées actuellement à 195 milliards de dollars ».

    UN REGIME SCLEROSE DOMINE PAR UN ESTABLISHMENT DE L’OMBRE

    Le journal londonien évoque le rapport daté de février dernier du Fonds monétaire international (FMI) qui avait « sonné l’alarme » en soulignant que l’Algérie pourrait devenir dans 20 ans et même avant en cas d’une baisse soutenue des prix des hydrocarbures, un « emprunteur net ». Même si le pays a accumulé des recettes substantielles à ce jour, notait le FMI, « l’horizon temporel pour la production hydrocarbures est relativement court, la politique budgétaire est sur une trajectoire insoutenable et l’excédent du compte courant se rétrécit ». L’institution financière internationale mettait aussi en corrélation la baisse de la production de gaz naturel et la hausse de la consommation domestique d’énergie qui ont pour effet de réduire les volumes exportés. Boostés par des revenus substantiels provenant des exportations de gaz et de pétrole, les dépenses ont augmenté de manière « spectaculaire » au cours des trois dernières années. Après avoir donné des chiffres sur les dépenses, le journal relève que les analystes considèrent que « le régime algérien sclérosé, dominé par un establishment de l’ombre enraciné dans les milieux militaire et du renseignement, tire sa légitimité de la distribution de la « rente » hydrocarbures à travers des dépenses sociales rampantes ». L’Algérie, observe l’auteure de l’article, Heba Saleh, basée au Caire, a l’un des plus difficiles « environnements des affaires au Moyen-Orient et Afrique du Nord ». Et cela est le « reflet de son opaque politique des clans et du désir de maintenir le contrôle sur la population en anticipant les défis qui pourraient être lancés par de nouvelles forces sociales ».

    LE DECLIN GAZIER, DEFI IMMEDIAT

    Le journal revient sur la règle du 51/49% et observe que le pays n’a reçu qu’un seul milliard de dollars d’investissements étrangers. L’économie reste largement aux mains de l’Etat et le « grand business privé est réputé d’être lié à des figures du régime ». Le journal note que le FMI a salué la maîtrise des dépenses en 2013 mais que les réformes restent nécessaires pour améliorer le climat des affaires et « l’intégration de l’Algérie à l’économie ». Dans l’immédiat, le pays doit faire face au déclin des exportations gazières aggravé par la très forte consommation interne. Jon Marks, directeur de la rédaction d’AfricaEnergy, cité par le Financial Times, estime que ceux qui s’intéressent au « profil de l’Algérie durant la prochaine décennie devraient s’inquiéter car le gaz nécessaire à la demande domestique fera pression sur les exportations ». Une situation aggravée par le fait que les scandales Sonatrach mis à jour en 2010 ont « perturbé la prise de décision » dans le secteur des hydrocarbures et a eu un effet dissuasif sur les investisseurs étrangers. Pire, l’attaque terroriste de Tiguentourine a créé une nouvelle inquiétude chez les investisseurs. Les responsables algériens espèrent que la nouvelle loi sera attractive pour les entreprises étrangères. Mais, tempère le journal, les analyses soulignent que plus l’Algérie reporte le moment de s’attaquer aux « défis économiques structurels en comptant sur sa richesse hydrocarbures et plus il sera difficile de réaliser le changement ».

  • Hamas MP says potential gas discovery offshore #Gaza
    http://english.al-akhbar.com/node/18781

    A Hamas MP said Tuesday that a natural gas field might have been discovered off the Gaza shore, prompting hopes for alternative fuel supplies for the blockaded Palestinian territory. Salem Salama, who heads an economic committee, told AFP “preliminary tests carried out by experts from the Islamic University suggest that there is a natural gas field near the coast” of the Gaza Strip. He said the tests were carried by Hamas coastguards in the last few weeks after fishermen noticed large bubbles emanating from the water some 300 meters offshore. read more

    #offshore_gas #Top_News

  • #Saudi beheads 10th convict this year
    http://english.al-akhbar.com/node/18748

    A Saudi citizen convicted of murder was beheaded on Sunday, the interior ministry announced, bringing the number of executions in the kingdom this year to 10. Salem al-Jahdali beat fellow tribesman Abdullah al-Jahdali to death following a dispute, the ministry said in a statement published by the official SPA news agency. The execution took place in the holy western city of Mecca. The ultra-conservative kingdom beheaded 78 people in 2013, according to an AFP count. read more

    #behadings #Top_News

  • Egypte : "Cette Constitution est si stupide que j’ai voté « oui » pour voir les personnes assumer les conséquences de leurs choix" Mahmoud Salem - Daily News Egypt

    Pour le célèbre blogueur, cette Constitution « est un champ de mines qui va exploser au visage de tous ceux qui sont impliqués ». Il analyse les enjeux du texte et les conséquences de son application pour les Egyptiens et pour l’armée.

    http://www.dailynewsegypt.com/2014/01/20/consequences

  • L’arme diplomatique des travailleurs étrangers : après avoir mis dehors bon nombre d’étrangers durant l’été, le Koweit accueille à bras ouverts des ouvriers égyptiens, faisant partie d’un vaste programme d’aide économiques à la nouvelle Egypte

    Kuwait takes measures to boost Egyptian economy - HispanicBusiness.com
    http://www.hispanicbusiness.com/2013/12/3/kuwait_takes_measures_to_boost_egyptian.htm

    Kuwaiti officials expressed their contentment regarding the involvement of Egyptian company Arab Contractors Co. in a number of projects in Kuwait , adding that the Gulf country will facilitate the employment of Egyptian workers in various projects there. “The Ministry of Housing is preparing to construct three new housing cities, and hopes that Arab Contractors would participate in implementing these cities,” Kuwaiti Minister of Housing Salem Al-Azina was quoted in the statement as saying. Kuwait , along with other Gulf countries, pledged loans to Egypt in the form of interest-free deposits, cash grants and petroleum products after the ouster of former President Mohamed Morsi on 3 July.

  • Israeli soldiers attack schoolchildren in Al-Khalil | Occupied Palestine | فلسطين
    http://occupiedpalestine.wordpress.com/2013/09/22/israeli-soldiers-attack-schoolchildren-in-al-khalil

    Israeli soldiers attack schoolchildren in Al-Khalil

    September 22, 2013 by occupiedpalestine 0 Comments

    [ PIC 22/09/2013 - 07:11 PM ]

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    AL-KHALIL, (PIC)– Violent confrontations were reported in the Old City of Al-Khalil after Israeli occupation forces (IOF) fired teargas at schoolchildren while on their way home from school at noon Sunday.

    Eyewitnesses told the PIC reporter that schoolchildren threw stones and empty bottles at the soldiers who responded by firing teargas at them. They added that a number of citizens suffered breathing problems as a result of the attack especially the elderly people and some of them were taken to the government hospital in the city.

    The witnesses said that IOF soldiers arrested four kids for taking part in throwing stones but women in the suburb succeeded in freeing them. They added, however, that two others were arrested and taken to an army barracks near the Ibrahimi mosque.

    Meanwhile, other IOF soldiers closed the southern entrance to Al-Khalil city and the main entrance to Fawar refugee camp.

    The soldiers also broke into the home of Salem Al-Salayma in Al-Khalil and forced him and his entire family out of it this afternoon.

    Salayma told the PIC reporter that the soldiers ordered him, his wife, and children out of the home and blocked them from approaching it. He said that the soldiers occupied the rooftop of his home and a nearby mosque, noting that they were near to the Kiryat Arba settlement.

    Recalling that it was not the first time, Salayma said that such “arbitrary measures target forcing us to abandon our home due to its proximity to Kiryat Arba settlement”.

  • L’édito de Médiarama hier:
    http://mediaramalb.files.wordpress.com/2013/06/mediarama-365.pdf

    Embarrassés par l’aventure sanglante d’Ahmad al-Assir, dont le discours correspondant à celui du Courant du futur, les politiciens et les médias proches du 14-Mars tentent depuis la fin des combats une opération de diversion, en mêlant le nom du Hezbollah aux combats. Le cheikh intégriste de Tripoli, Salem Raféï, le député Nouhad Machnouk, le journaliste Farès Khachan, et bien d’autres, ont affirmé que des combattants du Hezbollah et des « Brigades de la Résistance » (composées de partisans de la Résistance de toutes les communautés libanaises) ont participé aux combats aux côtés de l’armée. Une information démentie par les dizaines de journalistes qui couvraient en direct les affrontements sur le terrain. La député Bahia Hariri a également participé à cette manœuvre en réorientant le débat vers les appartements habités, depuis 25 ans, par des familles proches du Hezbollah, à Abra.

    Mais toutes ces tentatives ne feront pas oublier que l’origine du problème est le discours extrémiste d’Ahmad al-Assir contre l’armée, son commandant en chef et de nombreux officiers qu’il citait nommément, avant de passer à l’acte en « assassinant de sang froid », selon le communiqué de l’Armée libanaise, deux officiers et un soldat.

  • Un nouvel billet très important de Scarlett Haddad : Un front interne pour venger Qousseir ?
    http://www.lorientlejour.com/article/817923/un-front-interne-pour-venger-qousseir-.html

    Les sources sécuritaires précitées révèlent ainsi qu’une réunion a regroupé il y a deux jours les députés Mouïn Meraabi et Khaled Daher ainsi que Houssam Sabbagh, et les cheikhs Salem Raféi et Nabil Rohayem, tous proches de l’opposition syrienne et favorables à la mouvance islamiste, pour étudier les possibilités de riposte au cas où la ville de Qousseir tomberait entre les mains du régime. Ce qui était prévisible, selon toutes les estimations des chroniqueurs militaires.
     
    Les informations ayant filtré de cette réunion révèlent l’intention des participants de mener une vaste campagne contre l’armée libanaise qui, selon eux, n’a jamais été considérée, dans le langage confessionnel, comme une force alliée à la communauté sunnite. Avant Taëf, elle était accusée d’être contrôlée par les chrétiens et désormais, elle est accusée d’être aux mains des chiites. Les mêmes sources sécuritaires rappellent toutefois que ces accusations sont totalement injustifiées, l’armée libanaise étant encore la seule institution publique qui rassemble toutes les communautés et les pousse à travailler ensemble. Cette institution est aujourd’hui la cible d’une campagne de dénigrement sans précédent, des figures de Tripoli – et de Saïda – allant même jusqu’à monter les soldats les uns contre les autres, en les classant selon leurs confessions. Mais le plus significatif est que l’armée n’est plus seulement la cible de critiques verbales, à Tripoli ; ses soldats essuient désormais des tirs provenant de jeunes à visage découvert. Autrement dit, ces combattants se sentent tellement protégés qu’ils ne craignent plus de montrer leur visage.

    De même, toujours dans la capitale du Nord, les soldats de l’armée sont empêchés de construire des fortifications autour de leurs positions, alors que les miliciens ont érigé de véritables barricades des deux côtés « de la ligne de front »...
     
    Il est donc clair, estiment les mêmes sources sécuritaires, qu’il existe quelque part au Liban une main secrète qui veut détruire la cohésion de l’armée pour ouvrir la voie à une confrontation directe entre les communautés chiite et sunnite, dans le but d’affaiblir le Hezbollah et de l’entraîner dans les sables mouvants d’un affrontement interne destructeur pour lui et pour sa popularité auprès de la communauté chiite.

  • Mediarama donne traduit un extrait d’un article d’Antoine Hayek sur elnashra.com. Supputations, certainement, mais je note que ce genre d’analyses revient en ce moment.
    http://mediaramalb.files.wordpress.com/2013/04/mediarama-323.pdf

    Un diplomate arabe qui suit de près les dossiers de la crise syrienne -notamment les succès enregistrés par l’armée régulière à Qoussair, la démission de Moaz al-Khatib et les appels à la mobilisation sunnite pour défendre Qoussair lancés par les cheikhs Salem Raféï et Ahmad al-Assir- affirme que ces développements s’inscrivent dans le cadre d’une lutte d’influence entre le Qatar et l’Arabie saoudite, que le régime syrien exploite à merveille pour réaliser des succès qualitatifs sur le terrain. Le langage du silence et le retrait tactique opérés par Riyad sont interprétés par l’Etat syrien comme un feu vert pour anéantir les groupes salafistes appuyés par Qatar et qui n’ont jamais été en bon terme avec les groupes wahhabites soutenus par l’Arabie saoudite.

    En parallèle, le diplomate arabe ne dément pas la participation du Hezbollah aux combats de Qoussair. Il évoque même des informations sur la participation, depuis plusieurs mois, de combattants du parti à la protection des lieux saints chiites en Syrie. Mais selon lui, l’activisme sunnite qui est apparu ces dernières heures doit être inscrit dans le cadre des intérêts divergents entre le Qatar et l’Arabie saoudite. Le Qatar serait en effet le grand perdant si le régime syrien ne tombe pas. Non seulement parce qu’il ambitionne de se positionner en tant que leader politique du monde arabe, après avoir imposé sa mainmise sur la Ligue arabe. Le maintien du président Assad au pouvoir constitue en fait le coup de grâce au projet de gazoduc pour transporter le gaz qatari vers l’Europe via la Turquie et la Syrie. Cette perte serait stratégique et non pas tactique pour le Qatar, car l’émirat ne pourra pas se placer en concurrent du gaz russe. L’Arabie saoudite, quant à elle, serait la grande perdante en cas de chute du président Assad, car le régime syrien constitue pour elle la première ligne de défense pour se protéger de l’avancée des salafistes, des Frères musulmans et d’Al-Qaïda vers son territoire. De plus, la chute du régime placera le royaume wahhabite dans une situation de confrontation directe avec l’Iran.

    A la lumière de cette lecture particulière des événements, le diplomate arabe exprime sa crainte de voir le conflit sunnite-chiite itinérant se transformer en lutte sunnite-sunnite, notamment entre le wahhabisme et le salafisme.

  • Palestinian prisoners in Israel ’smuggling out sperm’

    « Fertility doctor claims wife of a prisoner serving 32 life sentences gave birth to a boy last August using smuggled sperm »

    http://www.guardian.co.uk/world/2013/feb/08/palestinian-prisoners-israel-smuggling-sperm

    Palestinian prisoners in Israeli jails are smuggling out sperm in order to impregnate their wives, a fertility doctor has said, claiming that the wife of a prisoner serving 32 life sentences gave birth to a boy last August and four other prisoners’ wives are pregnant after insemination.

    Salem Abu Khaizaran, who works at a fertility clinic in Nablus, said 22 women had undergone insemination using smuggled sperm, but the success rate was low because of the difficulties of keeping sperm fresh during transportation from prisons in Israel to the West Bank.

    Forty samples had been smuggled out of prisons, Abu Khaizaran claimed though he declined to explain how.

    #Palestine #Israël #prisonniers #fécondation_in_vitro

  • Could Egypt’s Pyramids Be Destroyed? « MasterAdrian’s Weblog
    http://masteradrian.com/2012/11/24/could-egypts-pyramids-be-destroyed

    Could Egypt’s Pyramids Be Destroyed?
    November 24, 2012

    Could Egypt’s Pyramids Be Destroyed?

    by Kristina Chew
    November 23, 2012
    11:00 am

    Destroy the Giza pyramids and the Sphinx? Murgan Salem al-Gohary, a leader of Egypt’s ultra-conservative Salafist party, recently called on Muslims to do just this on Egyptian Dream TV. According to Gohary, Egypt’s iconic cultural treasures must be eliminated as a “religiously mandated act of iconoclasm,” for the same reasons as Mullah Omar and the Afghan Taliban destroyed the Buddhas of Bamiyan in March of 2001.

    Claiming that he had indeed participated in blowing up the Buddhas, Gohary said:

    “The idols and statutes that fill Egypt must be destroyed. Muslims are tasked with applying the teachings of Islam and removing these idols, just like we did in Afghanistan when we smashed the Buddha statues.

    With the sight of the majestic Buddha statues being blasted with dynamite still fresh, the thought of a similar fate occurring to the pyramids is chilling. In Foreign Policy, Ian Straughn suggests that Gohary’s threat is certainly geared to grab media attention and all the more in today’s post-Arab Spring Egypt, where the Muslim Brotherhood and the Salafists are in power and while debates about the status of women and of minorities and about Egypt’s relations with the West are ongoing.

    The Pyramids Have Faced Threats To Their Existence For Centuries

    The pyramids have faced numerous threats since they were erected by the pharaohs. In the ancient world alone, Egypt was under the rule of the Persians and the Romans. In medieval times, the pyramids’ limestone casement was pillaged to build cities (including Cairo).

    Starting in the 19th century, amateur archaeologists helped to awaken the world to the artifacts hidden in tombs in Egypt. But they also oversaw the transporting (some would say pillaging) of numerous archaeological finds into foreign museums, many of which are now in awkward disputes with Egypt’s government over repatriating objects. Today, pollution of a sort the ancients could never have fathomed threatens numerous ancient sites.

    Many of us in the West were riveted by the image of Egyptians guarding the Egyptian Museum near Tahrir Square during the protests that would lead to the fall of Hosni Mubarak. Those archaeological treasures, and the Sphinx and the pyramids, are part of the world’s cultural heritage and must be protected not only by Egypt’s Supreme Council for Antiquities but also by international governments. This is common knowledge if not common sense to many of us.

    Reconciling the Pyramids and Muslim Beliefs

    As Straughn details, since the medieval age, Islamic scholars and others have sought to understand — to reconcile their religious beliefs to — the pyramids and other remains of Egypt’s long past. On seeing the destruction of antiquities, al-Masudi, a 10th century Muslim traveler in Egypt, argued that respecting these is “not incompatible with Islam.” Ancient structures and objects indeed “strengthen the Quranic injunction to search out and contemplate the lessons (‘ibar) which the divine has left for believers in the landscape.”

    Today, even while very much aware of “the role that these ruins play in the economy and various state efforts to represent Egypt as a modern-day heir to one of the world’s great civilizations,” Straughn notes that there is “a palpable discomfort with this promotion and glorification of a pre-Islamic past.” It could be said that, as in Italy, there is something of a “love-hate” push-and-pull with the country’s archaeological heritage, which engulfs tremendous amounts of resources “at the expense of the welfare of an Islamic past, present, and future.”

    Tourism accounts for more than 11 percent of Egypt’s economy, which has struggled in the post-Mubarak era; the importance of the pyramids and other ancient sites is certainly understood. The pyramids, in Straughn’s estimation, are not likely to suffer the fate of the Buddhas of Bamiyan; Gohary’s call to destroy the pyramids encapsulates “the broader debate within the religion [of Islam] over how to orient itself after the Arab Spring.”

    The recent collision of a schoolbus with a train — resulting in at least 50 dead, most young children — suggests that Egypt still falls short in addressing issues like safety on its roadways. The pyramids are likely to remain a point of debate and even contention so long as Egypt remains a place that many associate more with its past than the very real demands of its present.

    Read more: http://www.care2.com/causes/egypts-pyramids.html#ixzz2D8nCbNSn