person:samia ghali

  • La villa de la sénatrice Samia Ghali perquisitionnée
    https://www.mediapart.fr/journal/france/200917/la-villa-de-la-senatrice-samia-ghali-perquisitionnee

    Samia Ghali, en 2013, avec des habitants de sa mairie des 15e et 16e arrondissements. © LF La villa de la sénatrice marseillaise a été perquisitionnée mercredi 20 septembre dans le cadre d’une enquête ouverte en mai 2016 par le Parquet national financier. Nous republions notre article sur les conditions d’achat de cette villa et la régularisation de sa piscine.

    #France #Justice #Marseille #politique #PS #urbanisme

  • Public Pools in Southern France Become a Measure of Inequality
    https://www.nytimes.com/2017/09/05/world/europe/public-pools-in-southern-france-become-a-measure-of-inequality.html

    “You live in a tower, with drug dealers downstairs, with no public transport; the sea is far away, and so are pools and good schools,” said Samia Ghali, the mayor of Marseille’s eighth sector, which includes parts of the Quartiers Nords.

    Of the five public pools in the Quartiers Nords, an area where 250,000 live, one operated about half the time, and the others closed frequently, often without notice.

    For years, the young talents like Yanis Fatnassi on the Marseille Nord swimming team trained at the Piscine Nord, a sprawling six-lane pool in the Quartiers Nord. It was shut down for renovations in 2010, and has not reopened.

  • Comment la sénatrice Samia Ghali a fait « régulariser » sa piscine
    https://www.mediapart.fr/journal/france/061216/comment-la-senatrice-samia-ghali-fait-regulariser-sa-piscine

    Le parquet national financier a ouvert en mai 2016 une enquête préliminaire concernant la sénatrice #PS de #Marseille. Il s’intéresse notamment aux conditions d’achat de sa villa marseillaise. Ce mardi 6 décembre 2016, la cour d’appel d’Aix-en-Provence, qui avait ordonné la démolition de la piscine, se penche à nouveau sur ce dossier.

    #France #Justice #politique #urbanisme

  • Documentaire : Les gangsters et la Republique - Planetes360
    https://planetes360.fr/documentaire-gangsters-republique

    ← ← ← LE LIVRE EN VENTE ICI

    Les voyous traqués par la République, c’est la version officielle. Les gangsters connaissent la face cachée de cette Histoire de France. Une suite de services rendus et de compromissions. De 1945 à nos jours, les liaisons dangereuses qui unissent caïds, police et politiques ont marqué l’histoire nationale et continuent de façonner le banditisme français. William Le Grand, Tony l’Anguille, Michel Le Gros, Dodo La Saumure, Sakho, … Ils sont braqueurs de banque, as du chalumeau, proxénètes, dealers, inventeurs du go-fast ou banquiers de cercle de jeu,… Si dans le Milieu la parole est rare, ces témoins privilégiés ont décidé de se lâcher. Ils livrent la version officieuse depuis l’âge d’or de la voyoucratie pendant la Seconde Guerre mondiale, en passant par le SAC, la guerre d’Algérie, les années Defferre à Marseille jusqu’à l’arrivée de la drogue et la prise du pouvoir des caïds dans les banlieues. Face à eux, les témoignages exclusifs de politiques : l’ancien directeur du SAC, Charles Pasqua, la sénatrice de Marseille Samia Ghali, l’adjoint au maire marseillais Renaud Muselier ; de policiers et procureurs, Lucien Aimé Blanc, ancien de la Mondaine, Bernard Squarcini, ex patron des RG, Jacques Dallest, procureur de la République ; mais aussi d’historiens, Jean-Marc Berlière, Charles Diaz, et de professeur de criminologie, Alain Bauer.

    Episode 1 : AU NOM DU DRAPEAU
    La France a toujours eu besoin des voyous pour effectuer les basses besognes, mais jusqu’à quel point les politiques sont-ils prêts à aller pour l’amour de la patrie ? Joe Attia, Georges Boucheseiche, Henri Lafont, comment les grands noms de la Carlingue reprendront-ils du service pendant les années De Gaulle pour jouer les barbouzes pour l’Etat ? De l’affaire Ben Barka pendant la guerre d’Algérie, aux affaires des indépendantistes corses de Bastelica et l’assassinat d’Orsoni, à chaque fois que l’intégrité de la nation s’est trouvée menacée les politiques ont eu recours aux caïds. Les voyous racontent ces liaisons dangereuses solidement tissées pendant le Seconde Guerre mondiale, ses risques, ses réussites et ses dérapages. Petits arrangements entre amis

    Episode 2 : PETITS ARRANGEMENTS ENTRE AMIS
    Proxénétisme, braquage et jeux : les trois grands secteurs de la voyoucratie française. De la grande époque des maisons closes, quand la Mondaine fermait les yeux en échange de précieux renseignements, à celle des cercles de jeu parisiens, généreusement octroyées au Milieu corse par l’Etat au lendemain de la Libération, en passant par le Marseille Defferre-Guérini, comment flics, voyous et politiques se croisent, se servent, sans jamais oublier de se renvoyer l’ascenseur ? Par le menu, les caïds décryptent l’organisation de la société du crime, ses règles, son code de l’honneur, son aristocratie.

    Episode 3 : LA LOI DE LA DROGUE
    Cannabis, cocaïne, héroïne : la drogue a inondé le marché imposant sa loi et ses méthodes. De l’ancienne garde des barons de la French Connection, à la nouvelle génération des dealers de cités, en passant par l’inventeur des go-fast entre Marbella et Paris, ils racontent. Comment le trafic s’est-il épanoui aux Etats-Unis avant de s’emparer de l’Espagne sous couvert des autorités espagnoles, à l’époque de l’ETA ? Aujourd’hui, avec plus d’un milliard de bénéfice par an rien qu’en Seine-Saint-Denis, comment cette machine à cash est devenu un contre-pouvoir, quand les caïds de quartiers échangent la paix sociale contre la mainmise sur leurs territoires ?

  • Blog Libre | Clowns institutionnels
    http://blog-libre.org/post/2014/11/05/clowns-institutionnels

    ❞Petit matin dans la salle de bains, radio allumée. J’écoute les invités parler d’un futur programme de téléréalité inventé par une chaîne dont j’ai oublié le nom. Le concept : travestir des femmes et des hommes politiques pour les confronter aux problèmes des vrais gens. Premiers acteurs grimés immergés, Samia Ghali, sénatrice-maire, et Thierry Mariani, député. Petite parenthèse toute personnelle et méchante concernant ces deux-là, ont-ils vraiment besoin de se grimer pour passer pour des #clowns ?

    Je ne participerai pas du bashing général sur nos #politiques et le dis tout de go, non je ne les crois pas tous pourris, tous corrompus, tous nuls. Dans le lot il y en a des compétents de tous bords, essayant de faire pour le mieux dans des circonstances bien difficiles. Barrer dans le mauvais temps est un art difficile.

    Mais revenons au concept de l’émission. Bien grimés pour ne pouvoir être reconnus nos élites de la nation . . . ❞

  • Municipales : ces grands candidats PS qui inquiètent l’Elysée - Europe1.fr - Politique
    http://www.europe1.fr/Politique/Municipales-ces-grands-candidats-PS-qui-inquietent-l-Elysee-1677475

    Collomb, Hidalgo and co… Si Samia Ghali crispe autant à l’Elysée, c’est que l’analyse de l’exécutif dépasse le seul cadre marseillais. A Paris, il y a Anne Hidalgo qui ne veut surtout pas voir le moindre ministre se mêler à sa campagne et a déjà dit le mal qu’elle pensait des choix fiscaux de l’équipe Ayrault. A Lyon, on ne peut pas franchement dire que Gérard Collomb, notamment sur le cumul des mandats, soit le plus puissant soutien à la politique de François Hollande.

    Alors si l’on ajoute à cela Samia Ghali à Marseille, les quatre plus grandes villes de France seront donc autant d’épines dans le pied de l’Elysée lors des municipales de mars prochain. Car tous ces candidats socialistes, au mieux, se désolidariseront régulièrement de la politique gouvernementale, au pire taperont gaiement sur l’équipe de Jean-Marc Ayrault.

    Left washing : mais puisqu’on vous dit que les socialistes sont contre la politique gouvernementale...

  • Visiblement #xénophobie et #sécuritarisme se portent bien au Parti Socialiste...

    http://www.liberation.fr/societe/2012/09/28/j-ai-fait-mon-travail-de-maire_849638

    La sénatrice socialiste Samia #Ghali, maire des 15e et 16e arrondissements de Marseille, revient sur l’évacuation contrainte par les riverains d’un camp de #Roms installé dans son secteur, jeudi soir.

    Comment qualifiez-vous ce qui s’est passé dans la cité des Créneaux jeudi soir ?

    Pour moi, c’est un déménagement, pas une #expulsion. Le départ des Roms s’est passé plutôt calmement, même si ce n’était pas aux habitants de le provoquer.

    [...]

    Mais en refusant de condamner des événements comme celui d’hier soir, ne risquez-vous pas d’encourager des initiatives de ce genre, où les gens se font justice eux-mêmes ?

    Ce n’est pas parce que je ne condamne que je cautionne. Mais à un moment, je ne peux pas aller au-delà des procédures judiciaires existantes. Le ministre de l’Intérieur Manuel #Valls est conscient des lourdeurs des procédures. Mais il ne pourra réussir que s’il a l’aide des communes. Je comprends que les habitants touchés par ces installations sauvages se sentent excédés, énervés. Et ça m’inquiète pour ma ville. C’est pour cela que j’ai réagi dès lundi en prévenant la police. J’ai fait mon travail de maire.

    Dans une lettre, vous interpellez le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin dans ce dossier. Que lui reprochez-vous ?

    Je lui demande depuis longtemps d’organiser une table-ronde avec les maires de secteurs de la ville, afin de trouver des terrains viables, sur lesquels on pourrait travailler à plus long terme avec les populations roms, en scolarisant les enfants par exemple. Je n’ai eu aucun retour. Je reconnais qu’il y a eu une baisse du nombre de campements à Marseille. Mais nombre d’entre eux, démantelés dans le centre-ville, sont arrivés dans le 15e arrondissement. Il y a même eu un campement dans les jardins de la mairie. On ne peut pas continuer à laisser perdurer de telles installations sauvages, dans des zones de précarité. Cela n’aide ni les Roms, ni les habitants des lieux. Ces derniers ont l’impression d’être tirés vers le bas.

    Samia Ghali était déjà à l’origine de propos étonnants pour une personne éthiqueté à gauche :

    http://www.bakchich.info/france/2012/08/31/samia-ghali-revolutionnaire-61631

    « Aujourd’hui, face aux engins de guerre utilisés par les réseaux, il n’y a que l’armée qui puisse intervenir. Pour désarmer les dealers d’abord. Et puis pour bloquer l’accès des quartiers aux clients, comme en temps de guerre, avec des barrages. Même si cela doit durer un an ou deux, il faut tenir »

    et elle ne manque pas d’ambition :

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/08/31/le-cri-de-samia-ghali-bouscule-le-paysage-municipal-a-gauche_1754030_3224.ht

    « Personne ne s’intéresse à cette ville à part pour dire qu’il est candidat. Quand je vois les prétendants socialistes à la mairie, je me considère comme quelqu’un qui peut l’être. »
    « Ça peut être l’un de mes rêves, reconnaît-elle. Au PS, on ne voit pas Samia Ghali maire de Marseille, comme on ne voyait pas Samia Ghali sénatrice, comme on ne voyait pas Samia Ghali première adjointe au maire en cas de victoire socialiste aux municipales. »

  • Un camp de Roms abandonné et des riverains excédés sèment le trouble à Marseille

    #Valls peut être content, il n’y a plus besoin de la police pour expulser les romps...

    dépêche de l’AFP :

    Des familles roms ont abandonné un campement face à l’hostilité de riverains jeudi soir dans le nord de Marseille, sans violences et en présence de la police, qui a constaté ensuite les traces d’un petit incendie sur les lieux, a indiqué vendredi la préfecture.
    L’affaire, révélée par le quotidien La Provence, a suscité l’inquiétude des associations et l’indignation d’une élue PS de la ville, dénonçant un pourrissement de la situation des Roms à Marseille, tandis que plusieurs sources officielles minimisaient l’événement.
    « Il n’y a pas eu de chasse aux Roms », a souligné une source policière, précisant que dimanche des Roms s’étaient installés sur le terrain d’un chantier en construction de la cité des Créneaux (15e arrondissement), « installation constatée par les forces de l’ordre ».
    Vers 19H00 selon la préfecture, la police est appelée sur les lieux par un riverain et un membre de la communauté rom, pour un différend opposant une trentaine de riverains aux occupants du campement, dont le nombre atteint une quarantaine d’adultes et une quinzaine d’enfants.

    Quand la police arrive, il n’y a pas d’affrontements, seulement des invectives des jeunes du quartier et les Roms demandent spontanément à quitter les lieux avec leurs huit caravanes et 13 véhicules, « ce qui se passe sans incident jusqu’à 19H50 » selon la police, qui juge la situation normale et repart.
    Vers 22H00, le poste de commandement de la Sûreté départementale est prévenu, « par un journaliste » selon une source policière, d’un incendie dans le 15e arrondissement. Un équipage se rend sur place et constate qu’une surface « d’environ 5 m2 » sur le terrain abandonné « présente les traces d’un incendie » avec une carcasse de réfrigérateur et divers encombrants brûlés, selon la préfecture.

    L’origine du feu fait l’objet d’une enquête judiciaire, selon le parquet. Les marins-pompiers de Marseille ne sont pas intervenus, d’après un porte-parole du bataillon.
    Une source policière interrogée dans la nuit avait précisé à l’AFP qu’aucune interpellation n’avait eu lieu en l’absence de violences physiques.
    Vendredi matin, les éléments calcinés étaient visibles à l’entrée du terrain vague, au pied d’immeubles promis à la démolition dans le cadre d’un programme de réhabilitation du quartier.
    Samia Ghali, sénatrice-maire PS des 15e et 16e arrondissements qui avait créé la polémique fin août en prônant un recours à l’armée dans les cités de Marseille pour lutter contre la criminalité, a indiqué à l’AFP qu’elle avait reçu, jeudi matin, la visite d’habitantes du quartier « excédées » par la présence des Roms, qu’elles accusaient de cambriolages et de « tout salir ».

    On notera la réaction de l’adjointe socialiste, celle qui avait appelé à l’intervention de l’armée à Marseille :

    Interrogée sur le geste prêté aux riverains, Mme Ghali a répondu : « Je ne le condamne pas, je ne le cautionne pas, mais je le comprends, quand les pouvoirs publics n’interviennent plus ».
    « A chaque fois que des Roms s’installent, on note une augmentation des vols et des cambriolages. Récemment, en une nuit, une quinzaine de voitures ont été détroussées », a renchéri Thierry Miceli, un responsable associatif de la cité interrogé par l’AFP sur les lieux.
    Le propriétaire du terrain occupé —le bailleur social de la cité— avait porté plainte pour des dégradations jeudi.
    « Cette affaire fait suite à des faits récurrents d’agression ou d’opposition entre les riverains et les occupants de campements illicites depuis cet été », a souligné la préfecture.
    Interrogé sur l’affaire, le président de la Ligue des droits de l’Homme des Bouches-du-Rhône, Bernard Eynaud, a estimé qu’"on peut craindre le pire" dans l’attitude de la population envers les Roms, réclamant « une vraie mise en oeuvre » de la circulaire interministérielle du 26 août. Celle-ci prévoit, au-delà d’un délai de flagrance de 48 heures, un dispositif de contrôle et de concertation destiné à « accompagner » les Roms dans l’attente d’une décision judiciaire sur leurs campements.

    Décidément, on n’a pas besoin de #Guéant
    http://blog.mondediplo.net/2012-05-16-Vous-avez-aime-Claude-Gueant-Vous-adorerez-Manuel

    • Ce matin aussi sur France info on était plutôt compréhensif vis-à-vis des riverains "excédés" qui se faisaient "justice" eux-même (justice ? où ça où ça justice ?). D’ailleurs, c’est simple, c’étaient eux les victimes. Je n’ai pas entendu un seul témoignage de Rom, ni lu. Par ailleurs, quand cette Mme Ghali répond : « Je ne le condamne pas, je ne le cautionne pas, mais je le comprends, quand les pouvoirs publics n’interviennent plus », je veux pas dire mais les pouvoirs publics en question, c’est elle !

  • Valls récupère les 1800 caméras de #vidéosurveillance de #Marseille | BUG BROTHER
    http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2012/08/31/valls-recupere-les-1800-cameras-de-videosurveillance-de-mars

    En réponse à Samia Ghali, la sénatrice-maire PS de Marseille qui réclame l’installation de barrages militaires, « comme en temps de guerre, même si cela doit durer un an ou deux », Manuel Valls ne s’est pas contenté de déclarer, lors d’un point presse organisé Place Beauvau, qu’"il est hors de question que l’armée puisse répondre à ces drames et à ces crimes. Il n’y a pas d’ennemi intérieur", propos confirmés par François Hollande, pour qui « l’armée n’a pas sa place pour contrôler les quartiers ».

    Le ministre de l’Intérieur a en effet, et aussi, préconisé « la mise en oeuvre de la vidéo-protection qui doit être étendue à l’ensemble de la ville », parce que « les quartiers nord se sentaient oubliés », et que « Marseille est une ville dont les habitants ont l’impression que l’Etat les a abandonnés »

    « vidéo-protection » j’adore, comme si la vidéo pouvait protéger de quoi que se soit, d’ailleurs

    Un rapport de la Cour des comptes avait ainsi sévèrement critiqué l’inefficacité de la vidéosurveillance, et déploré l’absence d’étude d’impact, au vu du coût de ces systèmes.