person:saoud al-fayçal

  • Apparemment, les politiciens libanais pleurent la mort d’un homme qui a dirigé le Liban pendant 40 ans :
    http://www.lorientlejour.com/article/933977/siniora-regrette-un-symbole-de-moderation-geagea-un-frere-pour-le-lib

    Suite au décès de l’ancien ministre saoudien des Affaires étrangères Saoud al-Fayçal, survenu jeudi, l’ambassadeur d’Arabie saoudite, Ali Aouad Assiri, recevra les condoléances au siège de l’ambassade les dimanche 12, lundi 13 et mardi 14 juillet. Par ailleurs, l’ambassade a annoncé dans un communiqué que l’iftar prévu pour lundi est annulé en raison des circonstances.

    Les réactions des personnalités libanaises au décès de Saoud al-Fayçal se sont multipliées hier. Parmi elles, celle du chef du bloc du Futur, Fouad Siniora, qui a qualifié le disparu de « prince de la diplomatie arabe et des positions solides ». « Il était un des symboles de l’ouverture et de la modération, s’opposant fermement à l’extrémisme, la violence et au terrorisme », a-t-il poursuivi.

    Pour Samir Geagea, chef des Forces libanaises, le Liban « a perdu un frère qui lui était cher ». « Comment oublier ses efforts pour mettre fin à la guerre civile libanaise ? » a-t-il dit.

    L’ancien président de la République Amine Gemayel a envoyé un message de condoléances au roi Salmane ben Abdel Aziz. Il a considéré que « la disparition, en des circonstances si difficiles, du prince qui a dirigé la diplomatie saoudienne pendant si longtemps est une perte pour les deux pays ».

    Le ministre des Affaires étrangères Gebran Bassil, dans un message au roi d’Arabie saoudite, a affirmé que « le monde a perdu, avec le décès du prince Saoud al-Fayçal, une grande personnalité, une valeur diplomatique exceptionnelle, qui a laissé son empreinte indélébile sur l’histoire contemporaine des mondes arabe et islamique, voire du monde entier ».

    Samy Gemayel, nouveau président du parti Kataëb, a contacté l’ambassadeur d’Arabie saoudite pour lui présenter ses condoléances. Il a estimé que le prince disparu « occupe une place essentielle dans la mémoire du Liban et des Libanais, notamment par les initiatives de paix qu’il a lancées ».

    Les hommes religieux ont également adressé à l’Arabie saoudite des messages de condoléances pour le décès de Saoud al-Fayçal. Le mufti de la République Abdellatif Deriane a regretté un homme « qui aimait le Liban et les Libanais, apportant toujours son concours pour régler leurs crises ». Il a rendu hommage « à ses prises de position courageuses » et estimé qu’« il s’était consacré au service des causes arabes ».

    Pour le cheikh Akl druze Naïm Hassan, Saoud al-Fayçal « était un grand ami de la communauté druze, soucieux de ses intérêts, l’ayant soutenue à maintes étapes de son histoire ».

  • L’Iran doit retirer ses forces de Syrie, dit l’Arabie Saoudite
    http://www.rtbf.be/info/monde/detail_l-iran-doit-retirer-ses-forces-de-syrie-dit-l-arabie-saoudite?id=8377207

    L’Iran doit retirer ses forces d’"occupation" de la Syrie afin de contribuer à régler le conflit dans ce pays, a affirmé lundi le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal. « Nous avons des réserves sur la politique iranienne dans la région, et non sur l’Iran en tant que pays et peuple », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse conjointe avec le chef de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier.

    #moi_j'y_crois

  • Zarif rencontre John Kerry, Saoud al-Fayçal et Nabil al-Arabi, à New York
    http://french.irib.ir/info/iran-actualite/item/341626-zarif-rencontre-john-kerry,-saoud-al-fay%C3%A7al-et-nabil-al-arab

    RIB- Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad-Javad Zarif, et le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, se sont entretenus, dimanche soir, à New York, pendant une heure et demi.

    A l’issue de cette rencontre, le Département d’Etat américain a prétendu, dans un communiqué, que les deux responsables avaient, aussi, discuté de la menace du groupe terroriste Daesh.

    Par ailleurs, le chef de la diplomatie iranienne a, également, rencontré, dimanche, son homologue saoudien, Saoud al-Fayçal. A l’issue de cette entrevue d’une heure, Mohammad-Javad Zarif l’a considérée comme l’ouverture d’un nouveau chapitre, dans les relations irano-saoudiennes, allant dans le sens de l’instauration de la paix et de la sécurité internationales et garantissant les intérêts de l’Ummah musulmane. De son côté, le chef de la diplomatie saoudienne, Saoud al-Fayçal, a déclaré : « L’Iran et l’Arabie saoudite sont deux pays de poids, au Moyen-Orient. Par conséquent, toute coopération bilatérale entre ces deux pays aura des impacts indéniables sur le rétablissement de la paix et de la sécurité, dans la région, voire, dans le monde ».

    A sa résidence, à New York, Mohammad-Javad Zarif s’est, de même, entretenu avec le secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil al-Arabi. Les deux hommes se sont penchés sur les dernières évolutions régionales, les agissements des terroristes et des extrémistes, ainsi que sur la formation de la Coalition internationale anti-Daesh.

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    François Hollande va rencontrer son homologue iranien Hassan Rohani mardi à New York
    http://www.romandie.com/news/Francois-Hollande-va-rencontrer-son-homologue-iranien-Hassan-Rohani/520073.rom

    New York - Le président français François Hollande va rencontrer son homologue iranien Hassan Rohani mardi à New York, en marge de l’assemblée générale de l’ONU, a-t-on appris auprès de l’Elysée.

    Les deux hommes vont notamment évoquer le dossier irakien, alors que la France vient d’opérer ses premières frappes aériennes contre le groupe Etat islamique dans ce pays, où Téhéran exerce une forte influence.

    Ils évoqueront les crises régionales, notamment la situation en Irak et en Syrie, ainsi que les négociations sur le dossier nucléaire iranien, a précisé l’Elysée, interrogé par l’AFP.

    Le président français rencontrera également son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi, mardi après-midi, tout comme le vice-Premier ministre de la République populaire de Chine, Zhang Gaoli, la présidente chilienne Michelle Bachelet, le président équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema et le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon.

    Mercredi, François Hollande poursuivra ses rencontres bilatérales —traditionnelles pendant l’assemblée générale des Nations unies qui attire de nombreux chefs d’Etat et de gouvernement— avec en particulier le Premier ministre japonais Shinzo Abe, le Premier ministre australien Tony Abbott ou encore le Premier ministre libanais Tammam Salam et le président bolivien Evo Morales.