person:shinzō abe

  • South Korea region seeks to tag Japanese firms as ’war criminals’ - Nikkei Asian Review
    https://asia.nikkei.com/Politics/International-relations/South-Korea-region-seeks-to-tag-Japanese-firms-as-war-criminals


    Il faut apprendre le coréen si on veut appendre des choses sur la participation des entreprises japonaises aux crimes de guerre. Le web de langue anglaise ne contient guère de documents, on a l’impression qu’un énorme balai nippon soit passé pour mettre à la poubelle chaque information nuisible à l’image de marque de son propriétaire.

    SEOUL — South Korea’s largest province is considering whether to stigmatize nearly 300 Japanese companies over their purported actions during World War II, by imposing an ordinance that requires schools to put alert labels on these firms’ products in their schools.

    Twenty-seven members of the Gyeonggi Province council submitted the bill last week in an attempt to give students the “right understanding on history.” If passed, schools will have to place on the items stickers that say: “This product is made by a Japanese war criminal company.”

    The move is likely further deepen a diplomatic spat between Seoul and Tokyo, which are at loggerheads over territorial issues and the legacy of Japan’s 35-year colonization of the Korean Peninsula (1910-1945).

    The list of 299 companies includes Nikon, Panasonic and Yamaha. The rule would apply to items such as projectors, camcorders, cameras and copy machines with a price tag of 200,000 won ($190) or more. Most of the companies on the list do not commonly supply products to schools — they include Tokyo Gas, Kawasaki Heavy Industries and Mitsubishi Heavy Industries.

    Both Nikon and Panasonic declined to comment for this story.
    The proposed sticker says: “This product is made by a Japanese war criminal company.” The image was captured from the Gyeonggi Provincial Council website. © Kyodo

    “Consumers have a responsibility to remember Japanese companies committed war crimes, and that they have not apologized [for their past wrongdoings],” Council member Hwang Dae-ho said in a statement. “It is a part of history education to help students remember clearly about war-crime companies who do not take social responsibility.”

    The sensitive historical issues were reopened last October when the South Korean Supreme Court ordered Nippon Steel & Sumitomo Metal to pay reparations to Koreans who were forced to work in Japan during the period of Japanese colonial rule. This was a reversal of a long-standing diplomatic understanding that reparations issues were settled in a 1965 accord establishing diplomatic relations between the two countries.

    The neighbors have also clashed over Seoul’s decision to disband a fund for wartime “comfort women,” which Japanese Prime Minister Shinzo Abe and former South Korean President Park Geun-hye set up in 2016. The countries also dispute the sovereignty of islands in the Sea of Japan, and in December a South Korean warship locked fire-control radar onto a Japanese patrol plane.

    Earlier this month, Japanese Finance Minister Taro Aso said tariffs were among measures Japan could take against South Korea should the dispute worsen. He also said steps such as halting remittances or stopping visa issuance could be taken.

    But the head of Gyeonggi Province’s education office said he was concerned about the negative impact the ordinance could have on relations between Seoul and Tokyo.

    “The [central] government should make a decision first because it can hugely affect diplomacy between South Korea and Japan,” Lee Jae-jung said in a news conference. “I think it is natural that students study on this by themselves rather than making it a rule.”

    Gyeonggi province is located in the northwest of the country, and surrounds the capital, Seoul. It has a population of more than 12 million. The council is dominated by President Moon Jae-in’s ruling Democratic Party, with its members accounting for 135 members of the 142 seats.

    #Japon #Corée #censure

  • Shinzo Abe a nommé Trump pour le Nobel de la paix à la demande des USA - Page 1 | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/international/170219/shinzo-abe-nomme-trump-pour-le-nobel-de-la-paix-la-demande-des-usa?onglet=

    Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a nommé Donald Trump pour le prix Nobel de la paix à l’automne dernier sur demande de l’administration américaine, rapporte dimanche la presse japonaise.

    Japan’s PM nominated Trump for Nobel Peace Prize on U.S. request - Asahi | Reuters
    https://uk.reuters.com/article/uk-northkorea-usa-trump-japan-idUKKCN1Q603Z

    #déliquescence #décadence #etats-unis #larbins

  • Îles Kouriles : rencontre entre Poutine et Abe pour des négociations difficiles - Asie-Pacifique - RFI

    http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20190122-japon-russie-rencontre-poutine-abe-negociations-iles-kouriles

    Où l’on reparle du #différend_frontalier et du conflit sur la #souveraineté territoriale des #iles_kouriles entre le #japon et la #russie

    Le président russe Vladimir Poutine reçoit mardi 22 janvier à Moscou le Premier ministre japonais Shinzo Abe pour des négociations sur les îles disputées de l’archipel des Kouriles. Des discussions qualifiées d’emblée de « pas faciles » par les deux parties.

    Ces quatre îles volcaniques, appelées Kouriles du Sud par la Russie et Territoires du Nord par le Japon, ont été annexées par l’URSS à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, mais sont revendiquées par Tokyo depuis.

  • SK to dissolve sex slave foundation | World news | The Guardian

    https://www.theguardian.com/world/2018/nov/21/anger-in-japan-as-south-korea-dissolves-comfort-women-foundation

    South Korea has announced it will dissolve a Japanese-funded foundation to support former victims of wartime sexual slavery, sparking outrage in Tokyo and marking the latest deterioration between the two countries.

    #corée #japon #viols #viols_de_guerre
    Japan’s prime minister, Shinzo Abe, said the move risked damaging relations and foreign minister Taro Kono called the decision “unacceptable”.

  • Derrière la déroute d’Airbnb, les déboires de l’économie du partage au Japon AFP - 27 Juin 2018 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_derriere-la-deroute-d-airbnb-les-deboires-de-l-economie-du-partage-au-ja

    Des milliers de réservations Airbnb rayées de la carte, Uber réduit à livrer des repas : entre législation très stricte et réticences des habitants, le Japon mène la vie dure aux géants de l’économie collaborative qui prospèrent ailleurs dans le monde.

    Le 15 juin, une nouvelle loi est entrée en vigueur pour encadrer les locations de courte durée par des particuliers (« minpaku"). Pour l’occasion, l’un des fondateurs d’Airbnb, Nathan Blecharczyk, s’est déplacé au Japon et a salué "ces nouvelles règles qui clarifient" les choses.


    Soucieux sans doute de ménager le gouvernement, il n’a alors pas dit un mot des nombreuses annulations de séjours auxquelles sa compagnie a dû procéder, car les propriétaires des biens n’avaient pas obtenu à temps leur immatriculation pour proposer un logement en mode saisonnier.

    Airbnb est coutumier des frictions avec de nombreuses villes dans le monde, mais là, la déconvenue est brutale.

    "Nous sommes terriblement désolés. C’est nul - et c’est un euphémisme", lançait la compagnie en annonçant devoir retirer de son site l’écrasante majorité de ses quelque 60.000 annonces.

    Intérêts particuliers
    Procédure bureaucratique très lourde, nombreuses restrictions (durée de location, condition de surface) et possibilité pour les autorités locales de durcir encore les règles font que la loi bride de facto le développement des "minpaku", estime Hiro Kishi, professeur à l’université Keio de Tokyo.

    Au Japon, les intérêts des secteurs établis de longue date priment, souligne-t-il, déplorant l’adoption d’un tel texte "à seulement deux ans des jeux Olympiques".

    Là, il s’agit de protéger les hôtels et ryokan (auberges traditionnelles), dans un autre cas le but est de préserver les taxis en empêchant la plateforme de réservation de voiture avec chauffeur (VTC) Uber de s’implanter.

    "Pour promouvoir l’économie du partage, il faut assouplir la régulation", afin de faciliter l’émergence de nouveaux entrants, explique-t-il.

    Or les technocrates et le Premier ministre Shinzo Abe, malgré ses promesses de réformes via sa stratégie de relance "abenomics", "n’ont aucune intention" de le faire, souligne l’économiste, "par peur d’un tollé dans les secteurs qui ont profité jusqu’à présent d’un monopole de fait".

    Résultat, l’économie collaborative n’a pesé que 50 milliards de yens en 2016 (384 millions d’euros), en forte hausse certes sur un an (+26%), selon les chiffres de l’institut de recherche Yano, mais sa taille est encore toute petite comparée aux marchés européen, américain ou encore chinois où on parle de dizaines, voire centaines de milliards d’euros.

    Et seulement "2,7% des Japonais savent exactement ce qu’est l’économie du partage", quand "80,1% ignorent totalement ce dont il s’agit", d’après une étude du cabinet d’audit PwC réalisée en mai 2017 auprès de 2.000 personnes.

    * Pression touristique
    Qui plus est, l’image de cette nouvelle forme de services est négative, selon Takashi Sabetto, de l’Association japonaise de la
    "Sharing Economy" , fondée il y a trois ans pour sensibiliser la classe politique et les citoyens au sujet.

    "L’opinion publique est très remontée contre les prestataires de type Airbnb et Uber. Nous avons essayé de changer cette mentalité mais c’est très difficile, cela prend du temps", dit-il.

    "Les Japonais sont très soucieux de leur sphère privée", s’inquiétent pour leur sécurité et se méfient des étrangers parfois bruyants et peu respectueux des règles, décrypte M. Sabetto.

    Il note néanmoins "un plus grand intérêt" des jeunes générations. Parmi les segments en vogue : l’autopartage, le vélopartage (avec l’arrivée de deux acteurs chinois en 2017, Ofo et Mobike), la location d’articles de mode ou encore la livraison de plats avec UberEATS. Le géant américain est arrivé en 2016 à Tokyo où il compte désormais 10.000 coursiers, avant de s’étendre à d’autres villes (Osaka notamment et bientôt Kobe et Kyoto).

    Pour les start-up locales en revanche, il reste difficile de trouver des financements, regrette le responsable de l’association, dans un pays qui privilégie "l’efficacité dans la fabrication des choses à l’innovation" dans les services.

    C’est que les Japonais ne voient pas la nécessité de changer les choses dans un pays où les prestations proposées sont "de bonne qualité, ce qui freine le développement de nouvelles offres". _

    La solution : s’implanter dans les zones rurales qui se dépeuplent pour combler les besoins des personnes âgées, à l’instar d’Uber qui, faute de pouvoir conquérir les grandes villes japonaises, teste un programme de VTC dans des localités reculées.

    A plus longue échéance, tous misent sur l’influence extérieure, grâce au nombre croissant de touristes : près de 29 millions de visiteurs en 2017, 40 millions attendus en 2020.

    #Japon #airbnb #UBER

  • La visite du Premier ministre #japonais Shinzo Abe et Barack #Obama à #Pearl #Harbor : nouveaux enjeux et approches variées.

    https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/visite-du-premier-ministre-japonais-a-pearl-harbor-on-n-est-pas-dans-un
    Publié le 26/12/2016
    Vu le 03/06/2018

    Ce premier article nous donne le point de vue d’André Kaspi, professeur émérite à la Sorbonne et spécialiste des États-Unis. Ce que l’on peut en retenir d’abord, c’est qu’il voit en cette visite, l’importance accordée à la question des enjeux #géographiques.

    Aujourd’hui, le grand danger qui menace le Japon, c’est la Chine. Et la grande préoccupation des États-Unis, aussi bien sur le plan commercial que militaire, c’est aussi la Chine

    D’autre part, l’historien considère que la stratégie d’intimidation japonaise n’était pas dénuée de sens.

    Les Japonais se sont lourdement trompés, mais en 1941, la #puissance a de quoi faire peur non seulement aux #États-Unis mais aussi à la France, à l’Angleterre c’est-à-dire à bon nombre de pays qui ont participé ou participent encore à la #guerre mondiale.

    https://www.francetvinfo.fr/monde/japon/aux-yeux-de-nos-dirigeants-nous-etions-juste-bons-a-jeter-un-veteran-ja
    Publié le 26/12/2016
    Vu le 03/06/2018

    Pourtant, cette analyse se heurte au #témoignage audio d’un #vétéran japonais pour qui la décision était suicidaire.

    « À l’époque, je me suis demandé comment un petit pays pauvre et sans ressources pourrait s’en sortir face à une aussi grande puissance » - Kuniyoshi Takimoto, vétéran, habitant d’Osaka

    Nous pouvons donc constater qu’un événement historique et ses répercussions sont autant liés à la temporalité qu’à la #spatialité et qu’une approche plurielle et sur le terrain permet toujours plus de nuance, notamment par le biais des #mémoires.

  • Western leaders back in Russia as tensions appear to ease
    East-West relations seem to have changed over past 10 days, as major three western leaders attend St Petersburg forum
    By M.K. Bhadrakumar May 28, 2018
    http://www.atimes.com/article/western-leaders-back-in-russia-as-tensions-appear-to-ease

    East-West relations have transformed over the past 10-day period. Russia’s isolation from the West after the Maidan coup in Kiev appears to have warmed as abruptly as it began.

    Three major western leaders – German Chancellor Angela Merkel, French President Emmanuel Macron and Japanese Prime Minister Shinzo Abe – visited Russia during the period since May 18, mainly to attend the St Petersburg Economic Forum. But they had one mantra to chant: Russia is an indispensable partner – and one offer to make – despite sanctions, economic and political ties with Russia are possible and necessary. (...)

  • Japan, China and South Korea hold talks on North Korea and trade - World Socialist Web Site

    https://www.wsws.org/en/articles/2018/05/11/asia-m11.html

    Leaders of Japan, China and South Korea met in Tokyo on Wednesday in their first trilateral summit for two-and-half years. Japanese Prime Minister Shinzo Abe, Chinese Premier Li Keqiang and South Korean President Moon Jae-in held talks on North Korea, as well as trade in the region. The three leaders each held one-on-one meetings with their counterparts on the sidelines.

    The summit was portrayed as a renewal of relations between the three countries. Li is the first Chinese leader to visit Japan in seven years, while Moon is the first South Korean president to do so in six-and-a-half years.

    #corée_du_nord #japon #chine #corée_du_sud
    In a joint statement, the three said they “strongly hope that, building on the results of the Inter-Korean summit, further efforts by relevant parties, in particular through the upcoming US-DPRK (North Korea) Summit, will contribute to comprehensive resolution of concerns of the parties for peace and stability in the region.”

  • Les Japonaises privées de #MeToo

    http://www.elle.fr/Societe/News/Les-Japonaises-privees-de-MeToo-3665834

    Le hashtag des victimes de violences sexuelles s’est diffusé partout dans le monde. Sauf au Japon, où celles qui brisent la loi du silence risquent menaces et exclusion sociale.

    Non, elle ne souhaite pas changer son nom ou être photographiée de dos : « Oui, j’ai peur mais il faut voir la réalité en face. Depuis que j’ai proclamé #MeToo, en décembre dernier, ma carrière d’actrice est fichue, alors autant parler. » Yumi Ishikawa, 31 ans, est l’une des rares femmes au Japon à avoir osé utiliser ce hashtag. Pourtant, dit-elle, son histoire est celle de centaines d’actrices. « Mon manager m’a poussée dans les bras de deux réalisateurs et d’un producteur, une dizaine de fois. Dans le monde du cinéma, il y a un accord tacite : il faut coucher pour avoir un rôle, surtout celles qui débutent. Je me disais qu’en tant que femme c’était normal d’y passer. Ce n’est qu’avec #MeToo que j’ai pris conscience du problème. » Yumi a d’abord ressenti une libération qui a très vite laissé place à la honte, sous le coup des critiques et des insultes : « Tu es moche », « Tu es une traînée », « C’est honteux pour une Japonaise d’évoquer un tel sujet ».

    Shiori Ito aurait pu lancer le mouvement #MeToo au Japon. Dans son livre « Black Box » (non traduit) publié en octobre dernier, elle dénonce le viol dont elle a été victime par un proche de l’actuel Premier ministre Shinzo Abe. Au moment des faits, il y a trois ans, la police l’a dissuadée de porter plainte, son agresseur présumé n’a pas été inquiété par la justice et elle a même dû s’exiler. De passage à Tokyo, cette journaliste nous explique être la cible de menaces de mort : « Je me sens en danger dans mon propre pays. Après la publication de mon livre, j’ai reçu des dizaines de mails haineux, venant d’hommes mais aussi de femmes, des coups de fil menaçants, jour et nuit, me disant que je devrais mourir. Je me suis d’abord réfugiée chez une amie pendant deux mois et demi. Puis une représentante d’une ONG qui lutte pour les droits des femmes m’a conseillé d’aller à Londres. Le pire, c’est que ma sœur aujourd’hui n’arrive pas à trouver de travail à cause de moi. J’ai coupé les ponts avec ma famille. »

    • #Japon #femmes #viol #mentalité #harcèlement #patriarcat #
      #discriminations #maternité #consentement

      Sur les encarts publicitaires comme sur les plateaux télévisés défilent tous les stéréotypes : mère parfaite ou jeune fille au corps hyper-sexualisé. « On vit encore dans une société dirigée par des hommes, qui s’adresse à eux seuls », résume la professeure féministe d’Osaka. Troisième puissance économique mondiale, l’archipel figure parmi les pays les plus conservateurs et discriminants au monde, avec moins de 10 % de députés et de cadres femmes. Après le premier enfant, la majorité des mères quittent leur travail pour rester à la maison. Selon le dernier rapport du Forum économique mondial sur la parité entre les femmes et les hommes, publié en novembre dernier, le Japon se retrouve 114e sur 144 pays.

      […] Au Japon persiste l’idée que si une fille accepte d’aller boire un verre avec un homme, elle est responsable de son agression ; elle doit savoir se protéger. La loi sur les violences sexuelles rédigée il y a cent dix ans va dans ce sens. « Pour qu’un viol soit qualifié de crime, la victime doit le prouver par des blessures physiques !, s’insurge l’avocate Akiko Mochizuki. On imagine encore qu’une victime est forcé-ment agressée la nuit, par un inconnu surgi de nulle part ! » Elle a créé à Tokyo l’association Tsubomi, l’une des rares structures nationales à s’occuper de victimes de viol. Elle en aide quelque 1 500. Elle salue le combat de la journaliste Shiori Ito grâce à laquelle la loi a été modifiée en juillet dernier : la peine est passée de trois à cinq ans en cas de viol, et les hommes sont aussi considérés comme des victimes de violences sexuelles. Mais pour l’avocate, la lutte est perdue d’avance : dans 99 % des cas, le violeur n’est pas condamné

  • Le Premier ministre du Japon contre un tranfert d’ambassade à Jérusalem
    AFP | 01/05/2018
    https://www.lorientlejour.com/article/1113315/le-premier-ministre-du-japon-contre-un-tranfert-dambassade-a-jerusale

    Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a rejeté mardi un transfert de l’ambassade de son pays à Jérusalem, comme l’ont annoncé les Etats-Unis, lors d’une rencontre avec le président palestinien Mahmoud Abbas à Ramallah en Cisjordanie occupée, a indiqué l’agence palestinienne Wafa.

    M. Abe, qui effectue une tournée au Moyen Orient, a assuré au président Abbas que son pays n’avait pas l’intention de suivre l’exemple des Etats-Unis, qui ont décidé de transférer le 14 mai leur ambassade de Tel Aviv à Jérusalem, ce qui a provoqué la colère des Palestiniens, a ajouté Wafa. M. Abe a réaffirmé le soutien de son pays à la création d’un Etat palestinien indépendant dans le cadre d’une solution de deux Etats, a également indiqué Wafa.

  • Dans la série : retitrons la #presse mainstream pour la rendre plus explicite, il y a le fameux « Retraite : les fonctionnaires japonais pourront travailler jusqu’à 80 ans » qui peut être avantageusement remplacé par « La #retraite des fonctionnaires japonais en voie de suppression complète ».

    • La situation n’était déjà pas joyeuse.
      Comme exemple d’emploi.QQ fait tomber du café sur le sol d’un grand magasin, une personne agée surgit de nulle part lave la tache et repart dans les profondeurs.
      Un chantier dans la rue, un ancetre est stationné devant le chantier et balance une « matraque » lumineuse pour signifier le début de celui-ci. Une équipe fait un travail de nettoyage des berges, mauvaises herbes. un homme tient un filet entre l’equipe et les passants pour les protéger des projections.
      Mon impression est que les retraités occupent des non emplois juste pour les tenirs eveillés.

  • L’âge de la retraite des fonctionnaires repoussé à 80 ans au Japon
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_l-age-de-la-retraite-des-fonctionnaires-repousse-a-80-ans-au-japon?id=98

    Au Japon, les fonctionnaires vont pouvoir travailler jusqu’à... 80 ans !

    Le gouvernement du Premier ministre Shinzo Abe a en effet décidé de repousser de 70 à 80 ans l’âge limite jusque lequel les fonctionnaires sont autorisés à travailler.

    Précisons toutefois que la mesure ne s’appliquera qu’aux fonctionnaires volontaires. Les autres pourront continuer à prendre leur retraite quand ils le souhaitent entre 60 et 70 ans.

  • Climat : « On ne mesure pas l’ampleur du danger »

    http://www.lemonde.fr/climat/article/2017/12/18/climat-on-ne-mesure-pas-l-ampleur-du-danger_5231300_1652612.html

    Pour Jerry Brown, gouverneur de l’Etat de Californie et responsable politique emblématique de la lutte contre le réchauffement, le risque que pose le dérèglement climatique est « existentiel ».

    Dans la foulée du One Planet Summit organisé par la France, le gouverneur de Californie Edmund G. Brown – mieux connu sous le nom de Jerry Brown – a été fait, mercredi 13 décembre, docteur honoris causa de l’Ecole normale supérieure. L’institution de la rue d’Ulm saluait ainsi l’un des responsables politiques américains les plus emblématiques de la lutte contre le changement climatique et qui, depuis quarante ans, a mis la préservation de l’environnement au cœur de son action et de sa réflexion. A l’occasion de son passage à Paris, il a répondu aux questions du Monde.

    Que retenez-vous du One Planet Summit, organisé le 12 décembre par la France, pour les deux ans de l’accord de Paris ?

    Ce qui m’a le plus frappé, c’est la prise de parole du président Macron et des autres chefs d’Etat sur le danger existentiel que représente le réchauffement. Je viens des Etats-Unis, je n’ai pas l’habitude d’entendre cela de la part du président Trump.

    J’étais récemment à un forum à Vladivostok en Russie, où se sont exprimés le président Poutine, le président sud-coréen [Moon Jae-in], le premier ministre japonais [Shinzo Abe] et le président de Mongolie [Khaltmaagiyn Battulga]. Tous ont parlé des activités économiques de leurs pays sans dire un mot du changement climatique ou des émissions de CO2. Au sommet de Paris, au moins, j’ai entendu des dirigeants concernés par le sujet, même si cette prise de conscience est insuffisante face à la réalité du danger décrit par les scientifiques.

    Au Sommet de la Terre, à Rio de Janeiro en 1992, des propos forts avaient été tenus, les grands traités environnementaux ont été adoptés, mais rien n’a jusqu’à présent entravé le réchauffement. Croyez-vous dans l’efficacité de la gouvernance climatique ?

    J’étais à Rio, j’ai assisté à ces discours. Mais depuis, les preuves scientifiques se sont accumulées sur les effets du dérèglement climatique : l’acidification des océans, l’élévation des températures, la sécheresse, les feux de forêts… Au moment où je vous parle, la Californie est en proie à des incendies. La compréhension des mécanismes du changement climatique s’est largement répandue, mais les responsables politiques, les patrons d’entreprises sont-ils à la hauteur pour répondre à cette urgence ? Non.

    Les acteurs non étatiques mènent des politiques climatiques souvent volontaristes. Est-ce eux qui vont « sauver la planète », laissant les gouvernements à la traîne ?

    Une chose est sûre, la Terre sera sauvée. Mais l’espèce humaine, elle, ne mesure pas clairement l’ampleur du danger. Aujourd’hui, 204 acteurs non étatiques, représentant plus d’un milliard d’habitants et 40 % du PIB mondial, réunis dans le collectif Under2 Coalition, se sont engagés à maintenir la température sous le seuil des 2 °C. Mais l’un de ces acteurs vient d’approuver un projet de centrale pour l’exportation de charbon. On ne peut pas à la fois parler de décarbonation et prendre une telle décision !

    L’effort que nous avons à faire pour réduire notre empreinte carbone est immense : on approche du camp de base mais on n’a pas encore débuté l’ascension du mont Everest. Une transformation de notre regard et de nos comportements s’impose. Le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie indique que le monde consomme 96 millions de barils de pétrole par jour et que l’on en consommera 80 millions dans les prochaines années. Quitter la civilisation basée sur une économie carbonée pour un monde totalement décarboné revient à parcourir le chemin qui sépare la Rome païenne de l’Europe chrétienne, à cette différence près qu’on dispose seulement de quelques décennies pour y arriver !

    En pointe dans les renouvelables, l’Etat de Californie est aussi le troisième plus gros producteur de pétrole et de gaz des Etats-Unis… N’est-ce pas un paradoxe ?

    La Californie produit en effet du gaz, mais importe 77 % de ses besoins en énergie fossile pour faire tourner les moteurs des voitures. La contradiction la plus notable, c’est que la Californie a 32 millions de véhicules, à essence pour la plupart. Ces véhicules parcourent 345 milliards de miles [555 milliards de kilomètres] par an. Notre objectif est de réduire la consommation de pétrole de 50 % d’ici 2030, en privilégiant les véhicules et les bus électriques, car si nous nous contentons de baisser notre production de pétrole, nous devrons en importer, par bateau ou par train.

    Nous essayons de nous extraire de cette dépendance pétrolière, mais cela prend du temps. Pendant plus de 20 000 ans, la Californie n’a compté que 300 000 habitants, elle n’avait pas de centrale au charbon et pas de voiture. Mais comment fait-on avec 40 millions d’habitants, la population actuelle de notre Etat ? C’est une vraie question. Nous n’avons pas d’autre choix que de faire évoluer nos technologies et la manière d’organiser nos vies.

    Comment expliquez-vous que les Etats-Unis ont la plus forte proportion de climatosceptiques au monde, jusqu’au sommet du pouvoir ?

    Peut-être est-ce la tradition de l’Ouest américain, où prévaut un profond scepticisme sur l’action de l’Etat, voire sur l’existence même de l’Etat fédéral. Les républicains et les intérêts économiques conservateurs sont si profondément attachés à la libre entreprise que l’idée d’une régulation gouvernementale pour infléchir les émissions de dioxyde de carbone représente une menace qu’ils combattent par le déni. Je ne sais pas si l’on peut expliquer cela autrement : la plupart des membres du Parti républicain assurent qu’il n’y a pas de changement climatique anthropique.

    Le monde politique est totalement contaminé par le court terme et l’émotion du moment. Le changement climatique n’est une préoccupation que pour un petit nombre de personnes, alors que tout le monde a un avis sur le système de santé, sur la violence de certains faits divers, sur l’immigration mexicaine.

    Les Californiens sont-ils conscients que les épisodes de sécheresse et les incendies en série qu’ils subissent sont liés au dérèglement du climat ?

    La moitié de la population en est consciente. Mais cette prise de conscience pousse-t-elle à agir, à opérer les changements nécessaires ? Je mentionnerai un signe positif, le programme de reconduction des quotas de carbone pour 2020-2030, qui devrait permettre de réduire entre 20 % à 25 % de nos émissions de gaz à effet de serre. Nous avons obtenu le vote favorable de 8 représentants républicains à la Chambre. C’est sans précédent, mais c’est un pas modeste… Même chez les démocrates, la volonté de réaliser ces changements reste faible !

    Estimez-vous, comme Michael Bloomberg, que le choix de Donald Trump de sortir de l’accord de Paris permet d’encourager le reste de l’Amérique à remplir les engagements de la COP21 ?

    Je suis d’accord. Trump produit des dégâts réels sur la politique de réduction des émissions engagée par Barack Obama et renvoie une image épouvantable du déni climatique. C’est particulièrement effrayant lorsqu’il explique que le changement climatique est un canular chinois. Dans la culture qui est la nôtre – la culture du shopping, du sport, de la fragmentation du pouvoir –, ce qui est diffus et lointain est difficile à prendre en compte. Il y a tant de choses qui nous mobilisent qu’un danger cataclysmique mais apparemment lointain nous semble moins important. Moi j’y réfléchis depuis longtemps, mais ce n’est pas le pain quotidien du monde politique.

    Quel pays pourrait compenser ce retrait américain et s’affirmer comme le nouveau leader de la lutte contre le réchauffement ?

    La France, ou l’Allemagne peut-être. Mais c’est très difficile de trouver un pays leader, car aucun pays n’est seul responsable du réchauffement de la planète. Le climat n’a pas de patron. C’est à chacun d’entre nous de se restreindre. Nous allons organiser, en septembre 2018, à San Francisco, un sommet de la Under2 Coalition, où seront invités tous les acteurs non étatiques, patrons, gouverneurs, maires de grandes villes. Comme à Paris le 12 décembre, cette réunion internationale permettra encore aux gens de se rencontrer, de se parler et, j’espère, d’avancer.

    Hors du climat, quelle décision, prise par l’administration Trump, a le plus nui à la protection de l’environnement aux Etats-Unis ?

    Trump réduit la taille des parcs nationaux, il réduit les capacités de l’Agence de protection de l’environnement à faire respecter les réglementations environnementales en vigueur, il réduit les taxes destinées à subventionner l’achat de voitures électriques, pour les éoliennes, il cherche à réduire l’effort de recherche qui nous est vital… Il fait beaucoup de dégâts. Le changement climatique est loin d’être le seul problème auquel nous devons faire face.

    La prolifération nucléaire est une menace majeure, les ventes d’armes aussi. L’espèce humaine développe des technologies toujours plus puissantes mais ne s’améliore pas en termes de sagesse et de tempérance. La courbe des capacités de destruction s’élève rapidement, tandis que la courbe de notre sagesse et de notre tempérance reste plate. Il y a là un inquiétant hiatus.

  • Le premier ministre japonais place Pyongyang au cœur de sa campagne électorale
    https://www.mediapart.fr/journal/international/201017/le-premier-ministre-japonais-place-pyongyang-au-coeur-de-sa-campagne-elect

    Le premier ministre japonais, #Shinzo_Abe, en campagne le 10 octobre 2017. © Reuters Shinzo Abe a convoqué des élections anticipées le 22 octobre, profitant d’un regain de popularité, notamment lié à ses prises de position très fermes sur la Corée du Nord. Ses opposants l’accusent d’exagérer et d’instrumentaliser la menace nord-coréenne.

    #International #Japon #Okinawa

  • Retour du #jukendo à l’école japonaise (Le Monde, 11/05/2017)
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/05/11/japon-virage-a-droite-dans-l-education_5126256_3232.html

    Le Japon célèbre sa Constitution avec un jour férié, le 3 mai. Une Constitution pacifiste que le premier ministre, Shinzo Abe, entend réviser d’ici à 2020, afin de rendre au pays toute sa souveraineté en matière militaire. En attendant, une droitisation s’opère de manière plus sournoise par ­la résurgence d’un héritage banni depuis la défaite de 1945.

    Les #arts_martiaux que l’on enseigne à l’école secondaire se sont ainsi enrichis d’une nouvelle discipline : le jukendo. Proche du kendo, la « voie de la baïonnette » est une technique de combat développée par l’armée impériale. Associé au militarisme des années 1930-1940, son retour dans les écoles suscite des controverses. D’autant que le gouvernement vient aussi de réintroduire dans le cursus scolaire l’étude du « Rescrit sur l’éducation », document de 1890 par lequel l’empereur Meiji (1852-1912) appelait ses sujets à « se ­sacrifier à l’Etat si les circonstances l’exigent ».

    Basé sur l’« art du combat à la lance » ­(sojutsu) et le maniement de la baïonnette enseigné par les missions militaires françaises au Japon entre 1870 et 1890, le jukendo (appelé alors jukenjutsu) fut interdit, comme d’autres arts martiaux, par l’occupant américain. Rétabli dès que le Japon eut recouvré son indépendance en 1952, il est aujourd’hui pratiqué par 30 000 amateurs (en majorité des militaires) avec la réplique en bois d’un fusil à l’extrémité émoussée. Selon le ­vice-président de la fédération de jukendo, Takeshi Suzuki, « les objectifs de cet art de combat sont complètement différents » de ce qu’ils étaient avant-guerre.

    via @opironet

  • Le Japon adopte une loi controversée renforçant les pouvoirs de la police
    https://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/030386383491-le-japon-adopte-une-loi-controversee-renforcant-les-pouvoirs-d

    Le nouveau texte critiqué par l’ONU va permettre de surveiller et d’arrêter des personnes se livrant à des activités potentiellement liées à la préparation d’attentats ou d’actes criminels. La réunion, tout au long de la nuit, de milliers de manifestants près des bâtiments de la Diète, le Parlement japonais, aux cris de « Non à l’autocratie ! » n’a pas fait fléchir le gouvernement conservateur du Premier ministre Shinzo Abe. Tôt dans la matinée de jeudi, l’exécutif a réussi à faire adopter sa loi très (...)

    #écoutes #législation #surveillance #anti-terrorisme

  • Au #Japon, #Abe veut toujours en finir avec la #Constitution pacifique | L’Humanité
    http://www.humanite.fr/au-japon-abe-veut-toujours-en-finir-avec-la-constitution-pacifique-635735

    Les tensions avec la Corée du Nord permettent à Shinzo Abe d’avancer son agenda militariste. Le premier ministre japonais a annoncé vouloir parvenir à la révision de la Constitution pacifique, adoptée après-guerre après la capitulation du pays, à l’horizon 2020. Cette déclaration intervient au moment de la célébration nationale des soixante-dix ans de la loi fondamentale. Samedi dernier, le chef du gouvernement nationaliste avait procédé à l’envoi de son plus gros navire militaire, le porte-hélicoptères Izumo, en soutien au porte-avions américain à propulsion nucléaire américain Carl-Vinson au large de la péninsule coréenne. La première opération de ce type depuis l’adoption, en 2015, de la loi de sécurité permettant aux troupes nippones de combattre à l’étranger en soutien à ses alliés. Cette législation avait créé des débats houleux et des manifestations inédites depuis des décennies au sein de l’archipel.

  • What’s New in Japan-Russia Relations? | The Diplomat
    http://thediplomat.com/2017/05/whats-new-in-japan-russia-relations

    During a bilateral summit meeting in Moscow on April 27, Japanese Prime Minister Shinzo Abe and Russian President Vladimir Putin sought to make concrete progress toward deepening trust, resolving the issue of the disputed Northern Territories (also know as the Kuril Islands), and concluding a peace treaty. As no peace treaty was signed between Japan and Russia in the aftermath of World War II, the two countries are still technically at war.

    The question of sovereignty over four disputed islands was set aside (as expected), but several tangible steps were taken. Notably, Japan and Russia agreed that a joint public-private survey mission would be sent to the Northern Territories as early as May to research how the two countries can pursue economic cooperation. Areas of research for potential cooperation include fish and sea urchin farming and ecotourism. This step is in line with Abe and Putin’s December agreement to launch talks on joint activities on the islands.

    #japon #russie #asie

  • Conférence en podcast : la nouvelle géopolitique du Japon - Asialyst
    https://asialyst.com/fr/2017/03/28/conference-en-podcast-nouvelle-geopolitique-japon

    Comment comprendre la nouvelle politique militaire du Japon de Shinzo Abe ? Quelle est sa vision géostratégique en Asie-Pacifique, notamment face à la Chine ? C’était l’objet de la conférence organisé par Asialyst en partenariat et à l’initiative de l’IHEST (l’Institut des Hautes Études pour la Science et la Technologie) le 6 décembre 2016 au Centre culturel irlandais à Paris. Soit le premier volet d’un cycle entièrement consacré au Japon d’aujourd’hui. Avec des interventions de Mathieu Duchâtel, chercheur à l’ECFR et Marianne Péron-Doise, chercheure à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire. Un podcast en trois parties pour vous donner accès in extenso à cette conférence.

    #japon #géopolitique

  • Japanese imperialism rearms - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2017/03/24/japa-m24.html

    Japanese imperialism rearms
    24 March 2017

    Japan’s ruling Liberal Democratic Party (LDP) is exploiting the extremely tense situation on the Korean Peninsula to push for its military to be able to carry out “pre-emptive” strikes on an enemy such as North Korea. The acquisition of offensive weapons, such as cruise missiles, for the first time since the end of World War II would be another major step by Prime Minister Shinzo Abe’s government to rearm Japan, heightening the danger of war.

    Commenting on North Korean missile tests, Defence Minister Tomomi Inada suggested on March 9 that Japan could acquire the capacity for “pre-emptive” attacks. “I do not rule out any method and we consider various options, consistent of course with international law and the constitution of our country,” she said.

    #japon #armement #impérialisme

  • Entretien téléphonique samedi 18h entre Poutine et Trump
    https://www.crashdebug.fr/international/13112-entretien-telephonique-samedi-18h-entre-poutine-et-trump

    Washington compte que les négociations téléphoniques entre Donald Trump et Vladimir Poutine auront lieu aujourd’hui à 18H00 (heure de Paris).

    D’après son agenda, le président américain Donald Trump envisage de mener des négociations téléphoniques avec le président russe Vladimir Poutine ce samedi à midi heure de Washington (18h00 heure de Paris) depuis le Bureau ovale, a annoncé une source au sein de la Maison Blanche.

    Il a également indiqué qu’avant cela, le président comptait joindre le premier ministre japonais Shinzō Abe et la chancelière allemande Angela Merkel. Après avoir passé un coup de fil à Vladimir Poutine, poursuit la source, M. Trump envisage de téléphoner au président français François Hollande et au premier ministre australien Malcolm Turnbull.

    Rappelons que vendredi dernier, le (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Trump sur Hollande : « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois » - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/preview
    http://www.croa.fr/uploads/media/default/0001/03/donald_trump_je_ne_vais_pas_perdre_mon_temps_a_rencontrer_un_president_qui_ne_l

    Trump sur Hollande : « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois »
    13 Novembre 2016, 16:17pm | Publié par S. Sellami

    « Je ne vais pas perdre mon temps à rencontrer un président qui ne le sera plus dans 6 mois ! »

    Au delà du titre putalikes assumé de cet article, telle serait la phrase que pourrait prononcer Donald Trump à celui qui avait parlé « d’excès » à son sujet et de « sentiment de haut-le-cœur », et qui avait annoncé avec certitude la victoire d’Hillary Clinton en expliquant que « dans quelques jours, une présidente sera élue ».

    Il est a noté que dans les faits et comme en atteste l’article d’Europe 1 ci dessous, Trump n’est pas pressé du tout de rencontrer François Hollande. Il a tout de même pris 5 minutes pour lui parler au téléphone et c’est sans doute la seule considération que recevra notre invertébré de la part de son nouveau maître fraichement élu.

    Le nouveau président américain s’est entretenu avec François Hollande par téléphone mais ne l’a pas convié à Washington, contrairement à d’autres chefs d’États.
    Deux jours après l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, le nouveau président des États-Unis s’est entretenu avec François Hollande vendredi, par téléphone. Le communiqué de l’Élysée se veut positif : "7 à 8 minutes" d’échange entre les deux chefs d’États "dans de bonnes conditions". Un coup de fil "direct mais courtois", "très professionnel" et "sérieux". Objectif : "clarifier les positions" sur la lutte anti-terroriste, la Syrie, ou l’accord de Paris sur le climat.

    Le regard tourné vers l’Asie
    Aux États-Unis, ce coup de téléphone est loin de faire la Une des médias. Là-bas, François Hollande est un dirigeant parmi les dizaines d’autres que Donald Trump a eu en ligne depuis son élection mardi. Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a été un des premiers à avoir le nouveau président américain au téléphone. Il a d’ailleurs été invité à Washington, de même que Theresa May et le Premier ministre sud-coréen Hwang Kyo-ahn. Mais le premier à rencontrer officiellement Donald Trump sera le Premier ministre japonais Shinzo Abe, jeudi 17 novembre à New York.

  • Japan slides to 111th in WEF gender equality rankings | The Japan Times

    http://www.japantimes.co.jp/news/2016/10/26/national/social-issues/japan-slips-10-notches-111th-wef-gender-equality-rankings

    Japan’s efforts to bridge the gender divide have failed to translate into substantial change, with the nation sliding to 111th in a global inequality ranking report released Wednesday.

    The Global Gender Gap Report 2016, an annual benchmarking exercise by the World Economic Forum (WEF), found that despite Prime Minister Shinzo Abe’s push for women to play a greater role in society, the nation had done little to make more use of its female talent since its ranking at 101st last year.

    #égalité #gender_divide

  • Au #Japon, les femmes sur la pointe des pieds en #politique - Libération
    http://www.liberation.fr/planete/2016/09/16/au-japon-les-femmes-sur-la-pointe-des-pieds-en-politique_1498963

    Le grand soir féministe n’est vraisemblablement pas pour demain au Japon. Mais l’élection jeudi d’une #femme à la tête du #Parti_démocrate n’est pas non plus qu’une simple anecdote dans un Archipel où si les « femmes brillent », selon l’expression fétiche du Premier ministre Shinzo Abe, c’est souvent par leur absence dans les sphères politiques et économiques. #Renho_Murata, une sénatrice de 48 ans d’origine taïwanaise, sera la première élue à diriger la principale force d’opposition du pays.