person:simone wapler

  • Sans le cash, il suffira d’un « clic » pour que votre argent soit bloqué ! - Politique Economique - Trends-Tendances.be
    http://trends.levif.be/economie/politique-economique/sans-le-cash-il-suffira-d-un-clic-pour-que-votre-argent-soit-bloque/article-opinion-400573.html

    En fait, comme nos gouvernements sont surendettés, aucune transaction, même la plus petite, ne doit leur échapper. Or, quoi de plus simple que de lever des impôts supplémentaires quand il n’y a plus de cash ? Le jour où tous vos avoirs seront bancarisés sous forme de livrets ou comptes d’épargne, que vos déclarations d’impôts, vos facturations, vos numéros de compte, vos allocations, vos salaires et bientôt vos dépenses de santé seront en ligne, et comme tout cela est connecté, il suffirait en gros d’un « clic » pour que votre argent, votre propriété soit... bloquée !

    Quant aux banques, leur pire cauchemar, c’est qu’en cas de manque de confiance, les épargnants sortent leur argent de la banque - c’est ce qu’on appelle le « bank run ». Mais là encore, s’il n’y a plus de cash, il n’est plus possible de quitter sa banque, comme l’indique Simone Wapler. Priver les déposants de la faculté de retirer des billets permet de les garder captifs !

    Sans compter que s’il n’y a plus de cash, les autorités monétaires peuvent nous imposer un taux d’intérêt négatif sur nos comptes bancaires, car comme il n’y a plus de cash, nous ne pouvons pas retirer nos avoirs. Or, comme l’a fait remarquer un économiste de la banque américaine Citibank, si la Banque centrale américaine avait pu imposer un taux d’intérêt négatif de 6%, elle aurait pu limiter la crise de 2008 !

    En résumé, je ne dis pas que ce scénario envisagé par des personnes sérieuses, et notamment par le journal suisse Le Temps, va se produire, mais c’est vrai qu’il faut bien reconnaître que l’existence du cash dans nos sociétés permet d’échapper aux taux négatifs, à l’impôt arbitraire et à la faillite d’une banque.

    #argent #banque #dématerialisation

  • FRANCE : une star de Wall Street parie sur l’effondrement de la France + article Simone Wapler sur l’assurance vie
    http://www.brujitafr.fr/article-france-une-star-de-wall-street-parie-sur-l-effondrement-de-la-fran

    Le buzz des Etats-Unis : une star de Wall Street parie sur l’effondrement de la France Sources via Maître Confucius = confirme mon analyse si les bourses et dettes tombent, l’assurance-vie aussi, il faudra que quelqu’un prenne la perte Des marchés actions à l’assurance-vie, les banques centrales truquent le casino

    #Crise_de_l'Euro

  • La vérité sur la création monétaire par les banques commerciales - Eco(dé)mystificateur
    http://ecodemystificateur.blog.free.fr/index.php?post/La-v%C3%A9rit%C3%A9-sur-la-cr%C3%A9ation-mon%C3%A9taire

    Rien de fondamentalement nouveau dans le remarquable article de Simone Wapler intitulé « Une vérité désagréable : vous payez des intérêts sur de l’argent qui n’existe pas » publié sur La Chronique Agora, si ce n’est la formulation qui a le mérite d’être d’une limpidité éblouissante. On peut difficilement faire plus clair et simple à comprendre.

    C’est très désagréable de savoir qu’on se fait rouler. Cependant, le statut d’une vérité désagréable évolue dans le temps. Au début, c’est une idée rejetée, assimilée à une théorie du complot, de la conspiration. Ensuite, c’est une idée dont on va entraver la propagation car elle est trop dérangeante, trop désagréable. Mais l’idée résiste. N’oubliez pas, c’est une vérité. Elle a donc la peau dure et persiste à cheminer. Au bout de son chemin, cette idée devient un fait accepté comme une évidence. Après, il ne reste plus qu’à agir.

    Le monde croule sous les dettes dont la plupart ne correspond à aucune épargne ; ce n’est l’argent de personne. Il s’agit simplement d’argent créé à partir de rien par des banques commerciales qui ont le privilège d’avoir une licence bancaire. Avec un euro de fonds propres, elles peuvent prêter 20 euros, 30 euros, 40 euros selon les réglementations auxquelles on les soumet et leurs propres calculs. Le vocabulaire est distordu pour vous faire croire qu’on parle de vrai argent, mais il n’en est rien. L’accès au crédit est confondu avec le capital adossé à de l’épargne, les crises de solvabilité sont appelées crises de liquidité, etc. Les banques prêtent donc et demandent des intérêts proportionnels au risque de l’emprunteur ; mais cela n’a rien à voir avec leur propre risque qui est nul puisqu’elles prêtent ce qu’elles fabriquent sans aucun mal. Après la crise de 2008, l’endettement public a explosé. Pour sauver le système financier (c’est-à-dire ceux auxquels des gouvernements avaient accordé une licence de création monétaire) les Etats se sont endettés. Ils ont choisi la dette car sinon il aurait fallu lever l’impôt en quantité tellement extraordinaire que les gens se seraient révoltés. La plupart des contribuables auraient refusé d’être taxés à seule fin de conserver leurs rentes à ceux qui touchent des intérêts sur de l’argent qui n’existe pas. Le recours à la dette publique permet d’esquiver le débat démocratique sur l’emploi de l’impôt et donc sa justification.

    Aujourd’hui, le cumul de la dette publique montre à l’évidence qu’elle ne pourra jamais être remboursée. Les contribuables n’en ont pas la capacité.Cette dette publique correspond majoritairement à de l’argent qui n’existe pas car une partie est dans les banques et les banques centrales. Je dis majoritairement car il y a malgré tout de l’épargne là-dedans, notamment en France. Ce sont vos livrets A, vos assurances vie en euros et vos dépôts bancaires. Ce cas particulier de la France explique pourquoi notre pays emprunte à un tarif si peu élevé comparé à celui des Etats-Unis. Cependant, les épargnants français étant minoritaires en nombre, il ne sera politiquement pas trop risqué de les dépouiller pour tenter de prolonger le système. C’est d’ailleurs ce que prévoit de faire le FMI avec la taxe Lagarde. Pour le monde politico-financier, l’important n’est plus le remboursement du principal des dettes puisque c’est impossible ; l’essentiel est de garantir le flux des intérêts, sa rente, pour maintenir la fiction que le système est viable. Ce qui nous ramène à notre question initiale : pourquoi payer des intérêts pour maintenir cette fiction ?......

    #économie
    #banques
    #banksters
    #création_monétaire
    #banques_commerciales
    #intérêts