person:stéphane lacroix

  • Affaire Jamal #Khashoggi : trois questions à Stéphane Lacroix

    https://orientxxi.info/magazine/affaire-jamal-khashoggi-trois-questions-a-stephane-lacroix,2696

    C’est très intéressant mais chez @orientxxi cc @alaingresh vous devriez peut-être demander quelques conseils éclairés à un éclairagiste :)

    https://orientxxi.info/local/cache-vignettes/L800xH399/2ac1efa15335ce7dd9ae72fee12615-c1688.jpg?1540153183

    Affaire Jamal Khashoggi : trois questions à Stéphane Lacroix

    #arabie_saoudite

  • #Egypte : le régime al-Sissi est-il encore fréquentable ?
    https://www.mediapart.fr/journal/international/040418/egypte-le-regime-al-sissi-est-il-encore-frequentable

    © Mediapart Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a été réélu lundi avec 97 % des voix. Depuis 2013, son régime exerce une répression féroce et les diplomaties occidentales, au premier rang desquelles la France, se taisent. Entretien avec Stéphane Lacroix, professeur à Sciences-Po, et Katia Roux, chargée de plaidoyer chez Amnesty.

    #International #Abdel_Fattah_al_Sissi #Jean-Yves_Le_Drian

  • Stéphane Lacroix : « L’attitude de Mohammed Ibn Salman tranche avec le style de l’#Arabie_saoudite
    http://www.jeuneafrique.com/320366/politique/stephane-lacroix-lattitude-de-mohammed-ibn-salman-tranche-style-de-lar

    Cette politique proactive est pour moi la marque de Mohammed Ibn Salman mais elle est aussi une manière pour lui de se faire connaître et d’apparaître en chef de guerre dans sa campagne de légitimation en Arabie saoudite. Il est aussi guidé par ce sentiment, partagé au sein du pouvoir saoudien, que la principale menace pour le pays aujourd’hui est l’#Iran et que Riyad ne peut plus rester passif face à ce qui est perçu comme une menace existentielle. Il incarne aujourd’hui cette ligne.

  • Gauches – Islamistes en Égypte |
    Stephane Lacroix Les carnets de l’IREMAM
    https://iremam.hypotheses.org/6195

    En mai 2015, le colloque « Gauches-Islamistes : pourquoi tant de haine ? Historicité et actualité, défis et réponses à la fracture idéologique des oppositions arabes » se tenait à Aix-en-Provence sous l’égide du programme WAFAW (When Authoritarianism Fails in the Arab World, European Research Council), de l’Institut américain des universités (IAU), de l’Institut de recherche et d’études sur le monde arabe et musulman (Iremam), et de la Fondation Camargo. Stéphane Lacroix, organisateur du panel Égypte, donne les clés de lecture permettant de contextualiser les discussions animées et les entretiens réalisés avec les deux participants égytiens Amr Ezzat, jeune activiste et blogueur, et Abdel Mawgoud al-Dardiri, cadre en exil des Frères musulmans…

  • « LE MONDE ARABE ENTRE RUPTURE ET RENAISSANCE ? » Colloque demain à Paris

    MERCREDI 3 FÉVRIER 2016

    9h30 – 19h

    Collège des Bernardins – 20 rue de Poissy – 75005 Paris

    LE PROGRAMME

    INTRODUCTION HISTORIQUE

    CREATION DES ETATS AU MOYEN ORIENT DANS LES ANNEES 1920

    Par Jean-Paul Chagnollaud, professeur des Universités et directeur de l’iReMMO.

    VERS UNE RECOMPOSITION DES ETATS ?

    Animée par Pierre-Jean Luizard, chercheur au CNRS, historien spécialiste du Moyen-Orient.

    Laurent Bonnefoy, chargé de recherche au CNRS, Ceri/Sciences Po Paris ;

    Virginie Collombier, chercheure au Centre Robert Schuman d’études avancées de l’Institut Universitaire Européen de Florence ;

    Xavier Guignard, doctorant associé à l’IFPO (Institut Français du Proche Orient) ;

    Bassma Kodmani, directrice de l’Arab Reform Initiative ;

    Ziad Majed, professeur à l’Université américaine de Paris.

    LES SOCIETES ARABES. COMMUNAUTARISATION ET CITOYENNETE

    Animée par Jacques Huntzinger, ancien ambassadeur de France, co-responsable du séminaire, Dialogue méditerranéen sur la

    modernité et le religieux, au Collège des Bernardins.

    Hamit Bozarslan, directeur d’études à l’EHESS (Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales) ;

    Mohamed Janjar, directeur adjoint de la Fondation du Roi Abdul Aziz au Maroc ;

    Stéphane Lacroix, professeur associé à l’Ecole des Affaires internationales de Sciences Po, (PSIA), chercheur au CERI (Centre de

    Recherches Internationales).

    LES MINORITES RELIGIEUSES DANS LE MONDE ARABE

    Animée par Monseigneur Pascal Gollnisch, directeur général de l’Oeuvre d’Orient.

    Avec : Pierre Blanc, enseignant chercheur à Bordeaux Sciences agro et à Sciences Po Bordeaux (LAM), consultant pour le Centre

    international des hautes études agronomiques méditerranéennes (CIHEAM) et rédacteur en chef de la revue Confluences

    Jean-François Colosimo, président du directoire des éditions du CERF ;

    Monseigneur Maroun Elias-Lahham*, archevêque, vicaire patriarcal en Jordanie.

    Jean-Paul Chagnollaud, Pierre-Jean Luizard, Jacques Huntzinger

  • Scholars in solidarity with Ismail Alexandrani

    Ismail Alexandrani was detained by Egyptian authorities on November 30th as he was coming back to his country to visit his sick mother. Alexandrani is one of Egypt’s brightest young researchers, who has spent the last few years doing ground-breaking work on the marginalized areas of Egypt – a blind spot in academic studies of the country – as well as on political Islam. His articles have featured in numerous publications and have been presented in international academic conferences, and they have earned him awards and fellowships. In his work, he has constantly demonstrated a genuine intellectual independence. He is a well respected member of the academic community, and someone we personally enjoyed working with. Alexandrani’s arrest is a repression of free speech and should be condemned. We hope that he will be released promptly and return to his friends and to the research community.

    First signatures
    Francois Burgat, Research Director, CNRS (Centre National pour la Recherche Scientifique). Vincent Geisser, Research Director, CNRS. Alain Gresh, Le Monde Diplomatique. Miriam Catusse, Director of Contemporary Studies, IFPO (Institut Français du Proche–Orient). Claire Beaugrand, Researcher, IFPO. Nicolas Dot-Pouillard, Researcher, IFPO. Laurent Bonnefoy, Researcher, CERI/Sciences Po. Matthieu Rey, Researcher, College de France. Stéphane Lacroix, Associate Professor, Sciences Po. Mounia Bennani-Chraïbi, Professor, Lausanne University.
    Ellen Lust, Professsor, Yale and Gottenberg. Gibert Achcar, SOAS. John Chalcraft, LSE. Asef Bayat, University of Illinois
    Khaled Fahmy Professor, AUC. Rabab al Mahdi, Professor, AUC.

    http://freealexandrani.wesign.it/ar

  • « WITH OR WITHOUT THE BROTHERS » un colloque à ne pas rater, aujourd’hui et demain à Sciences Po Paris.

    http://www.sciencespo.fr/ceri/evenements/#/?lang=fr&id=4225

    Organisé par Laurent Bonnefoy, François Burgat et Stéphane Lacroix, il réunit des chercheur-e-s français, arabes, etc dont les travaux sont des références.

    WITH OR WITHOUT THE BROTHERS. DOMESTIC, REGIONAL, AND INTERNATIONAL TRENDS IN ISLAMISM (2013-2015)
    du 29/10 | 09h30 au 30/10 | 18h00

    Dans le cadre du projet ERC When Authoritarianism Fails in the Arab World

    En partenariat avec l’IREMAM, l’IFPO, et l’Université d’Oslo


    Thursday 29th of October, 2015

    9:30-9:45 Opening address by Alain Dieckhoff, Sciences Po-CERI, CNRS

    9:45-10:30 Keynote address by François Burgat, WAFAW, IREMAM
    From Ghannouchi to al-Baghdadi: The ubiquitous diversity of the Islamic lexicon

    Panel 1: Linking political exclusion to violence?

    10:30-13:15

    Chair: Loulouwa Al-Rachid, WAFAW, Sciences Po-CERI

    Sari Hanafi, WAFAW, American University of Beirut
    Transnational movement of Islamic reform: New configurations

    Bjorn Olav Utvik, Oslo University
    Myths of Ikhwan disaster: Anatomy of the 2011-1013 power struggle in Egypt

    Amal-Fatiha Abbassi, IREMAM, Sciences Po Aix
    The Muslim Brotherhood and political disengagement. The consequences of an authoritarian situation

    11:45-12:00 Coffee break

    Monica Marks, WAFAW, Oxford University
    Survivalist club or dynamic movement? Generational politics in Ennahda today

    Joas Wagemakers, Utrecht University
    With or without the others: Consolidating divisions within the Jordanian Muslim Brotherhood (2013-2015)

    Amel Boubekeur, SWP, Berlin
    Algerian Islamists and Salafis after the Arab Spring: Eroding or reloading the regime?

    Panel 2: A Resilient Muslim Brotherhood?

    14:30-16:45

    Chair: Stéphane Lacroix, WAFAW, CERI-Sciences Po

    Rory McCarthy, Oxford University
    When Islamists lose an election

    Marc Lynch, George Washington University
    Evolving transnational networks and media strategies of the Muslim Brotherhood

    Marie Vannetzel, WAFAW, CURAPP
    #R4bia: The dynamics of the pro-Mursi mobilizations in Turkey

    Dilek Yankaya, WAFAW, IREMAM
    A “transnational Islamic business network”? Rethinking the connections between Turkish, Egyptian and Tunisian “Islamic businessmen” after the Arab Springs

    16:45-17:00 Coffee break

    17:00-17:45 Open discussion on contemporary Muslim Brotherhood dynamics

    *

    Friday 30th of October, 2015

    Panel 3: The Iraqi/Syrian matrix of violence

    9:30-11:30

    Chair: Bjorn Olav Utvik, Oslo University

    Loulouwa Al-Rachid, WAFAW, CERI-Sciences Po
    The Disarray of Iraqi Sunnis

    Truls Tonnesen, FFI, Oslo
    The Iraqi origins of the “Islamic State”

    Yahya Michot, Hartford Seminary
    Ibn Taymiyya in ’Dabiq’

    Thomas Pierret, Edinburgh University
    Farewell to the vanguard: Syria’s Ahrar al-Sham Islamic movement and wartime de-radicalisation

    Tine Gade, Oslo University
    Sunnism in Lebanon after the Syrian war

    11:30-11:45 Coffee break

    Panel 4: Al-Qaeda vs. the Islamic State

    11:45-13:30
    Chair: François Burgat, WAFAW, IREMAM

    Hasan Abu Hanieh, Independent researcher
    New Jihadism: From harassment to empowerment (In Arabic)

    Brynjar Lia, Oslo University
    The jihadi movement and rebel governance: A reassertion of a patriarchal order?

    Stéphane Lacroix, WAFAW, CERI-Sciences Po
    Saudi Arabia, the Brothers and the others: the ambiguities of a complex relationship

    Abdulsalam al-Rubaidi, Al-Baidha University
    Ansar al-Sharia in South Yemen: configuration, expansion and discourse (In Arabic)

    Ismail Alexandrani, Independent researcher
    Sinai with and without the Brothers: did it matter?

    Panel 5: Muslim Brothers and their Islamist competitors

    14:30-16:45
    Chair: Sari Hanafi, WAFAW, American University of Beirut

    Muhammad Abu Rumman, Jordanian University
    Dilemmas in Salafi dynamics in the wake of the Arab democratic revolutions (In Arabic)

    Stéphane Lacroix, WAFAW, CERI-Sciences Po
    Being Salafi under Sisi: Examining the post-coup strategy of the al-Nour party

    Ahmed Zaghlul, CEDEJ, Cairo
    The nationalization of the religious sphere in Egypt (In Arabic)

    Myriam Benraad, IREMAM
    Iraqi Muslim Brothers: Between the Islamic State and a hard place

    Nicolas Dot-Pouillard, WAFAW, IFPO
    Hizbullah and Muslims Brothers: A political rupture or a contract renegotiation?

    Laurent Bonnefoy, WAFAW, Sciences Po-CERI, CNRS)
    Islahis, Salafis, Huthis: reconfigurations of the Islamist field in war torn Yemen


    16:45-17:00 Coffee break

    17:00-18:00 Concluding remarks and discussion with François Burgat (WAFAW, IREMAM) and Bernard Rougier (Paris III University).

    Conference in English and Arabic (with translation)

    Responsables scientifiques: Laurent Bonnefoy (Sciences Po-CERI, CNRS), Stéphane Lacroix (Sciences Po-CERI),François Burgat (IREMAM), Bjorn Olav Utvik (Oslo University)

    Sciences Po-CERI: 56, rue Jacob 75006 Paris (salle de conférences)

    INSCRIPTION OBLIGATOIRE auprès de nathalie.tenenbaum@sciencespo.fr

    langueAnglaislieuSalle des conférences, Bâtiment SorganisateurCERI

  • Egypte : Impossible réconciliation entre la Gauche et les Islamistes ?

    avec Ramadan Hani, Stéphane Lacroix et Tewfik Aclimandos

    "Cela semble difficile dans le contexte actuel. La gauche traditionnelle est aujourd’hui divisée : une partie – les Nassériens notamment – soutient Sissi ; l’autre partie est sur une ligne ni-Sissi ni-Morsi, mais continue de renvoyer dos à dos Frères et militaires. C’est la force du régime actuel : il a face à lui des opposants qui ne sont pas peu nombreux, mais ceux-ci sont profondément divisés, et se détestent autant qu’ils détestent le régime. Il faudra du temps avant qu’un nouveau « moment Tahrir », qui réunirait toutes les composantes du champ politique, puisse advenir."

    https://liliamarsali.wordpress.com/2015/06/17/egypte-impossible-reconciliation-entre-la-gauche-et-les-isla

  • Arabie Saoudite : une transition sous haute tension

    Par Stéphane Lacroix

    http://www.sciencespo.fr/newsletter/archive-b923309cd7838d94d0046adb772b978e.html

    Le 23 janvier 2015, Salman bin Abdulaziz Al Saoud, 79 ans, est monté sur le trône d’Arabie Saoudite, succédant à son demi-frère Abdallah. Muqrin, 69 ans, vice-prince héritier nommé par Abdallah dont il était proche, est désormais le prince héritier. En apparence, la succession s’est faite sans accrocs. La réalité est cependant plus complexe. La famille royale saoudienne est déchirée depuis des décennies par des rivalités profondes entre factions princières dont l’enjeu est, entre autres, le contrôle de la manne pétrolière. Ces rivalités se sont exacerbées depuis plusieurs années, à mesure qu’approchait l’échéance redoutée de la transmission du pouvoir à la génération suivante. Depuis 1953, en effet, tous les rois saoudiens appartiennent à une même fratrie, issue du père fondateur de l’Arabie Saoudite moderne, le roi Abdulaziz. Or celle-ci ne compte plus aujourd’hui que quelques membres, ce qui nourrit les ambitions des petits-fils d’Abdulaziz. Surtout, ces derniers se comptant par centaines, le système actuel de partage horizontal du pouvoir ne pourra se perpétuer en l’état. Il n’est pas impossible que la faction dominante décide, le moment venu, d’exclure les factions concurrentes. D’où la nature existentielle de l’enjeu.

    Le roi Salman appartient à la faction des Sudayris, descendants du roi Abdulaziz par l’une de ses épouses préférées, Hussa al-Sudayri. Sous le règne du roi Fahd (1982-2005), lui-même membre de cette faction, les Sudayris s’étaient vus confortés au sommet de l’Etat saoudien. Son successeur le roi Abdallah (2005-2015), prince périphérique dénué de frères de sang, avait, au cours de son règne, constitué une alliance ad hoc au sein de la famille royale pour déloger ses rivaux. Il avait en outre nommé plusieurs de ses fils à des positions de pouvoir. Dès son entrée en fonction, Salman s’est appliqué à défaire les choix d’Abdallah : à l’exception de Mit‘ab, inamovible chef de la garde nationale, tous les fils d’Abdallah ont été remerciés, ainsi que ses fidèles qui oeuvraient au sein des ministères et des gouvernorats. En retour, Salman a choisi de concentrer le pouvoir entre les mains de deux princes Sudayris de la génération suivante : son propre fils Muhammad bin Salman, âgé de seulement 34 ans, qui est désormais chef du cabinet royal, ministre de la Défense et président du Conseil économique et social ; et l’incontournable Muhammad bin Nayef, 55 ans, ministre de l’Intérieur, président du Conseil pour les affaires politiques et sécuritaires, qui s’est illustré à la tête de l’anti-terrorisme saoudien et bénéficie du soutien de Washington. Enfin, last but not least, ce dernier s’est vu décerner le titre de vice-prince héritier, ce qui fait de lui un monarque en puissance.

    La manœuvre est subtile, mais on peut déjà en anticiper les conséquences : après la mort de Salman, le prince héritier Muqrin serait un roi faible car dépourvu d’alliés. Viendrait alors Muhammad bin Nayef, beaucoup plus influent, mais qui souffre d’un handicap sérieux : il n’a pas de fils. Un boulevard s’ouvrirait alors pour Muhammad bin Salman qui, à son âge, a encore la vie devant lui. On voit ainsi se dessiner les contours d’un pouvoir Sudayri, au sein duquel les descendants de Salman occuperaient une place privilégiée.

    Un tel scénario ne se réalisera néanmoins pas sans résistances, et ces dernières pourraient avoir un effet déstabilisateur dans une Arabie Saoudite vouée à voir sa situation se précariser dans les années à venir. Sur le plan socioéconomique, la baisse des prix du pétrole alliée à une démographie galopante pourraient à terme menacer le pacte social, même si le royaume dispose encore d’importantes réserves financières. Sur le plan sécuritaire, le pays n’a jamais été aussi menacé par son environnement proche : au Nord, l’Etat islamique l’a nommément désigné comme la cible première de son expansionnisme ; au Sud, le Yémen est aujourd’hui partagé entre milices houthistes soutenues directement ou indirectement par l’Iran, et combattants d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique. Au-delà les apparences, c’est donc une transition sous haute tension qui se déroule aujourd’hui à Riyad.

    #arabie_saoudite

  • Mon dernier article : interviews avec Tewfik Aclimandos et Stéphane Lacroix sur les mouvements islamistes en Egypte.

    Al Nour et les Frères Musulmans : deux vies politiques, deux destins.
    “Pour al-Sissi, Al Nour devait en quelque sorte servir de « caution islamiste » au coup d’Etat – avec également pour objectif de montrer combien les Frères étaient isolés, y compris au sein de leur propre camp”http://liliamarsali.wordpress.com/2013/09/28/al-nour-et-les-freres-musulmans-deux-vies-politiques-deux-de

  • L’Egypte au bord du chaos - Centre Tricontinental - CETRI

    http://www.cetri.be/spip.php?article3143&lang=en

    L’Egypte au bord du chaos
    by François Burgat , Stéphane Lacroix , Alaa El Aswany

    20 August 2013

    Les hésitations de vocabulaire traduisent bien l’embarras général. Que se passe-t-il en Egypte depuis que l’armée a destitué le 1er président démocratiquement élu : s’agit-il d’un coup d’Etat, d’un putsch, d’un soulèvement populaire, d’une nouvelle révolution ? Le plus grand et le plus peuplé des pays arabes est-il aujourd’hui au bord du chaos, de la guerre civile après les tueries commises par l’armée dans les rangs islamistes ou le pays est-il sur la voie hésitante d’un redressement qu’on n’ose appeler démocratique ? En tous les cas, ce coup d’arrêt à l’Islam politique complique un peu plus encore la carte des convulsions et des fractures au Moyen Orient, modifie les rapports de force dans cet immense espace qui va de l’Iran à la Libye et embarrasse les Etats-Unis qui ont longtemps voulu faire de l’Egypte le pilier de leur politique arabe.

    #égypte

  • TV5MONDE : Egypte : qui veut la peau de Bassem Youssef ?
    http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/Les-dossiers-de-la-redaction/egypte-2013/p-24645-Egypte-qui-veut-la-peau-de-Bassem-Youssef-.htm

    Difficile à faire taire

    Le satiriste a franchi le pas entre humour et politique. Il plait aux déçus du régime et de l’opposition. « On a l’impression qu’il y a un vide politique comblé par cette présence médiatique de Bassem Youssef », analyse Stéphane Lacroix. « Il s’est retrouvé malgré lui investi d’un pouvoir politique. C’est aussi pour ça que les Frères musulmans ne le considèrent plus seulement comme un critique journalistique mais comme un opposant politique. »
     
    De là à vouloir le faire taire ou arrêter son émission…le pas est trop important à franchir pour ses détracteurs. « En termes d’image, ce serait une catastrophe même pour les Frères, et surtout pour ceux qui sont au pouvoir », considère Stéphane Lacroix. « Avec sa notoriété à l’intérieur et à l’extérieur du pays, il s’est acheté une sorte d’assurance contre ce genre d’attaque. Il faudrait vraiment qu’il y ait une dégradation de la situation et que l’on passe à une forme d’autoritarisme. Les Frères musulmans ne peuvent pas faire taire Bassem Youssef sans être accusés par tous d’une vraie dérive autoritaire. Il est un peu le baromètre de la démocratie égyptienne. »

  • De l’Arabie saoudite au #Liban | Stéphane Lacroix
    http://www.monde-diplomatique.fr/2012/03/LACROIX/47500

    Il a longtemps été reproché aux chercheurs travaillant sur le #Proche-Orient une posture exagérément empirique les condamnant à ne participer que de manière marginale aux grands débats académiques en sciences sociales. La tendance s’est néanmoins inversée ces dernières années, ce que devrait accélérer le (...) / Arabie saoudite, #Golfe, #Iran, Liban, Proche-Orient, #Femmes, #Islam, #Religion, #Fondamentalisme, Droits des femmes - 2012/03

    #Arabie_saoudite #Droits_des_femmes #2012/03