person:stéphane troussel

  • La « gauche non mélenchoniste » se réunit autour de Raphaël Glucksmann
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/11/15/la-gauche-non-melenchoniste-se-reunit-autour-de-raphael-glucksmann_5384134_8

    Beaucoup de gens n’ont pas pu rentrer dans la salle de La Marbrerie, louée pour l’occasion. Les organisateurs voulaient montrer leur capacité à rassembler autour de quelques idées fortes : « Europe, démocratie, justice sociale et écologie ».

    Où l’on voudrait te faire comprendre que la FI, c’est l’ancien monde, et que la vague dégagiste va l’emporter.

    Je ne sais pas si le Monde a une seule fois fait mention des réunions FI où il n’était pas possible d’accueillir tout le monde.

    Ceci dit, pour dégager l’ancien monde, faudra revenir une autre fois :

    Dans l’assistance, on pouvait croiser Guillaume Balas (eurodéputé Génération. s, le mouvement de Benoît Hamon), l’ancien maire communiste de Saint-Denis Patrick Braouezec, Stéphane Troussel, président (PS) du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, Philippe Martin, l’ancien ministre socialiste de l’écologie, Julien Bayou, candidat déclaré d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) à la mairie de Paris… Mais aucun membre connu de La France insoumise.

  • Huit départements candidats pour expérimenter un « revenu de base »
    http://www.lemonde.fr/emploi/article/2017/11/26/huit-departements-candidats-pour-experimenter-un-revenu-de-base_5220475_1698

    Certains maires ont pris au mot Emmanuel Macron, qui a exprimé son « intention » de « réformer la Constitution pour assouplir le droit à l’expérimentation » au congrès des maires. Huit présidents socialistes de départements ambitionnent de tester le revenu de base pour éventuellement le généraliser. Ils veulent porter un « projet d’expérimentation au Parlement », et le défendent dans une tribune publiée dans le Journal du dimanche, le 26 novembre.

    « Le revenu de base renouvelle une ambition universelle, celle qui a fondé la création du revenu minimum d’insertion [RMI] en 1988 : garantir un revenu socle pour tous », estiment les huit signataires PS de la tribune Jean-Luc Gleyze, président du département de la Gironde, André Viola (Aude), Henri Nayrou (Ariège), Philippe Martin (Gers), Mathieu Klein (Meurthe-et-Moselle), Georges Méric (Haute-Garonne), Jean-Luc Chenut (Ille-et-Vilaine), Stéphane Troussel (Seine-Saint-Denis). S’appuyant sur leur implantation locale, ils demandent à expérimenter ce concept qui divise et resurgit régulièrement dans le débat.

    Les présidents de département visent ainsi l’élaboration d’« un modèle robuste, crédible scientifiquement, audacieux socialement et soutenable financièrement grâce à des micro-simulations » partant des « réalités sociales ». L’expérimentation de terrain permettra d’évaluer le revenu de base « pour l’ajuster, avant peut-être de le généraliser », font-ils valoir sans en préciser les contours exacts.

    Des expérimentations dans d’autres pays

    Le revenu de base n’est pas le « fossoyeur de la valeur travail » mais représente au contraire « pour celles et ceux qui passent à travers les mailles du filet de toutes les politiques publiques une opportunité de reprendre le chemin de l’emploi », assurent-ils.

    Le revenu de base est inefficace, selon l’OCDE
    http://www.lemonde.fr/economie-francaise/article/2017/05/24/le-revenu-de-base-est-inefficace-selon-l-ocde_5132824_1656968.html#PZbBTyEXO

    La Finlande commence à expérimenter le revenu universel
    http://www.lemonde.fr/europe/article/2017/01/01/la-finlande-commence-a-experimenter-le-revenu-universel_5056148_3214.html#df

    Une campagne de financement participatif pour expérimenter le revenu de base
    http://www.lemonde.fr/emploi/article/2017/11/03/eelv-lance-un-crowdfunding-pour-experimenter-le-revenu-de-base_5209631_16986

    #RdB #financement_participatif

  • Pourquoi la Seine-Saint-Denis refuse de verser le RSA de décembre
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2017/11/10/20002-20171110ARTFIG00242-pourquoi-la-seine-saint-denis-refuse-de-verser-le

    Depuis plusieurs années, le président socialiste de l’un des départements les plus pauvres de France dénonce l’asphyxie financière générée par la hausse des dépenses sociales. En Seine-Saint-Denis, les dépenses sociales ont en effet augmenté de 46% depuis 2010 sans compensation par l’État. « La crise économique continue et nous avons de plus en plus de travailleurs pauvres », explique Stéphane Troussel. Avant de poursuivre : « Ça suffit. J’en ai assez qu’on soit suspendu chaque année à différents fonds d’urgence. J’en appelle à la responsabilité de l’État ». En 2016, un fonds d’urgence avait octroyé 24 millions d’euros à la Seine-Saint-Denis.
    « Je propose un vrai contrat au président de la République »

    Le président du conseil général de la Seine-Saint-Denis dénonce également une « série de décisions qui pénalisent les quartiers populaires depuis plusieurs mois ». Il cite notamment la fin des contrats aidés et la baisse des crédits alloués à la politique de la ville. Au cours des dernières semaines, plusieurs mesures mises en oeuvre par le gouvernement ont suscité la colère des élus locaux partout en France.

    « Je propose un vrai contrat au président de la République. Il rembourse ce qu’il doit et on passe un vrai contrat en faveur des quartiers, sur le logement, les transports et la transition écologique », conclut Stéphane Troussel.

    Pour rappel, la question du RSA était au coeur du Congrès des départements, qui s’est tenu à Marseille en octobre. L’Assemblée des départements de France avait alors demandé que l’État compense le reste à charge du coût du RSA, qui s’est élevé à 4,3 milliards d’euros en 2016 pour les départements. En réponse, Édouard Philippe avait annoncé la création d’un fonds d’urgence pour les départements en difficulté.

    #guerre_aux_pauvres #rsa

  • #RSA : les négociations Etat-départements sont rompues - Localtis.info - Caisse des Dépôts
    http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250270170305&cid=1250270138593

    Depuis son congrès d’octobre, l’ADF fait valoir que la réforme devra impérativement intervenir - par une loi de finances rectificative - avant fin mars, date à laquelle toutes les assemblées départementales devront avoir voté leur budget. La très grande majorité des départements ont d’ailleurs de ce fait renoncé à voter leur budget fin 2015. Parmi les autres, des parades ont été élaborées, comme le fait d’inscrire au budget 2016 le même volume de crédits pour le RSA qu’en 2015, sans tenir compte de la hausse prévisible. C’est par exemple ce qu’a fait Dominique Bussereau pour son département de Charente-Maritime, tout comme l’a décidé Stéphane Troussel en Seine-Saint-Denis (voir encadré ci-dessous).
    Mais aujourd’hui, les représentants du gouvernement parlent d’inscrire la réforme… dans la loi de finances initiale pour 2017. Ce qui signifie que rien ne se passerait en 2016. « C’est inacceptable », a commenté ce 20 janvier Dominique Bussereau.
    Tout aussi « inacceptable » : à l’ADF, il était apparu juste de choisir l’exercice 2014 comme année de référence (année sur la base de laquelle serait déterminé le volume des ressources concernées), 2014 étant « la dernière année où tous les départements avaient pu assumer le financement » du RSA. Lors de son assemblée générale extraordinaire de décembre dernier (lire notre article du 21 décembre), l’association en avait même fait un « prérequis ». Or les représentants du gouvernement font aujourd’hui savoir que l’année de référence serait non pas 2014… mais 2016.

  • Faute de financements, le #dépistage de la #tuberculose et des #MST menacé en Seine-Saint-Denis - Libération
    http://www.liberation.fr/societe/2014/08/26/faute-de-financements-le-depistage-de-la-tuberculose-et-des-mst-menace-en

    La Seine-Saint-Denis n’a plus les moyens de dépister efficacement la tuberculose et les maladies sexuellement transmissibles (MST) après que l’État a supprimé des financements « indispensables », a affirmé mardi le président du conseil général, Stéphane Troussel.

    Alors même que « tous les indicateurs de santé sont au rouge » dans l’un des départements les plus pauvres de France, avec des taux d’infection supérieurs et une espérance de vie plus courte, « on est dans la recherche d’économies forcenée », a lancé le patron PS du département, lors d’une visite dans un centre de Médecins du Monde à Saint-Denis.

    Une remise en cause du réseau de dépistage, mis sur pied en Seine-Saint-Denis pour des patients qui ne parlent pas français et n’ont pas accès aux soins, des mal-logés ou des sans-domicile ou encore des précaires sans couverture maladie « poserait un problème de santé publique avec un développement des formes multirésistantes » de tuberculose, a ajouté le Dr Jeanine Rocherfort, déléguée générale de Médecins du monde.

    #pauvreté #inégalités #santé