person:stephen kerckhove

  • Glyphosate : pour Macron, « la transition agricole est conditionnée au bon vouloir des lobbies de l’agro-chimie »
    https://www.bastamag.net/Glyphosate-pour-Macron-la-transition-agricole-est-conditionnee-au-bon-voul

    Emmanuel Macron vient de déclarer ce 24 janvier que la France ne parviendrait pas à se passer « à 100% » du glyphosate dans les trois ans, contrairement à son engagement. « Gageons que d’ici 2020, Emmanuel Macron aura encore l’occasion de clarifier son propos ; comprenez : amender, reculer, préserver les intérêts des lobbies qui restent à la manœuvre », ceux de l’agro-chimie en l’occurrence, dénonce Stéphen Kerckhove, délégué général d’Agir pour l’Environnement. Les récents propos du président de la (...)

    #Débattre

    / #Agriculture, #Pesticides, #Politique

  • #Notre_Dame_des_Landes, symbole des projets controversés - Transports - Environnement - écologie et environnement
    http://www.novethic.fr/novethic/ecologie,environnement,transports,notre_dame_landes_symbole_projets_controv

    La « brutalité des expulsions » a refait monter au créneau 11 associations, dont Greenpeace ou la Confédération paysanne. « Si le Premier ministre cherche à prouver qu’il sait être ferme et autoritaire, il a bien mal choisi son sujet et son moment. A la veille du débat sur l’énergie, cela augure mal des discussions à venir (voir article lié) », déclare ainsi Greenpeace. « Nous ne voulons pas participer à ces assises en partant sur un double langage assumé de la part du gouvernement », affirme de son côté Stephen Kerckhove, d’Agir pour l’environnement. Le sujet a même fait sortir de sa réserve la ministre du Logement EELV, Cécile Duflot. « Je ne crois pas que sur des projets aussi compliqués, la répression et le manque de dialogue, ce qui est le cas, soient la bonne méthode », déclarait-elle le 31 octobre. Le ministère des Transports, lui reste muet sur le sujet.

    Plus généralement, depuis 15-20 ans, les aéroports semblent cristalliser une forte et très structurée mobilisation des populations. A l’origine, focalisée sur le bruit, « la question climatique a ravivé le rejet des projets aéroportuaires », précise encore Daniel Boy. Et pas seulement en France. « On voit bien que les aéroports régionaux n’ont jamais vraiment décollé. Ceci s’est aggravé dans un contexte de crise », souligne ainsi Charlotte Halpern, politiste et spécialiste du transport aérien. L’Espagne compte actuellement 17 aéroports et 2 héliports « fantômes », c’est à dire avec moins de 100.000 voyageurs par an. D’autres exemples de ce type sont également observés en Grande Bretagne et en Allemagne...

    #NDDL