Alerte : l’or de la Banque de France n’est plus sanctuarisé !
▻https://www.crashdebug.fr/actualites-france/15483-alerte-l-or-de-la-banque-de-france-n-est-plus-sanctuarise
Il sert de garantie ultime (au cas où l’euro exploserait…)
Et donc Sylvie Goulard ; minustre des armées 1 mois ; talkeuse dans les médias Allemand ; Ex. Council for the Future of Europe, un comité Théodule US qui pense pour notre bien ; est now N° 2 de la Banque de France et à mis la réserve d’Or en garantie pour des banques étrangères !
By Goldbroker.fr, www.goldbroker.fr janvier 10, 2019 Publié par Philippe Herlin
Au mois de novembre, la presse, et GoldBroker, ont annoncé la création d’un marché de l’or à Paris, qui associe la Banque de France et la banque américaine JP Morgan. La nouvelle n’a pas fait beaucoup de bruit ni l’objet de commentaires, mais il est temps d’y revenir en y apportant un nouvel éclairage, et des révélations.
Commençons par préciser qu’il ne s’agit pas d’un marché de l’or au (...)
]]>#Banque_de_France : la stupéfiante promotion de #Sylvie_Goulard
▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/170118/banque-de-france-la-stupefiante-promotion-de-sylvie-goulard
Emmanuel Macron a décidé de promouvoir Sylvie Goulard au poste de sous-gouverneure de la Banque de France. Pourtant, une cascade d’objections, de nature judiciaire, politique ou éthique, aurait dû disqualifier l’éphémère ministre des armées pour ce poste à la tête d’une institution réputée indépendante.
]]>Pourquoi Sylvie Goulard a-t-elle démissionné du gouvernement ? - Le blog de Bernard Gensane
▻http://bernard-gensane.over-blog.com/2017/07/pourquoi-sylvie-goulard-a-t-elle-demissionne-du-gouvernem
Un article du Journal du Dimanche du 25 juin reprenait une information vieille de trois ans selon laquelle l’éphémère ministre avait touché 10 000 euros par mois d’octobre 2013 à janvier 2016 du groupe de réflexion de Berggruen (260 000 euros en tout). De fait, cette information était parue en octobre 2014 sur le site Euractiv.fr. On pouvait y lire que les députés européens français se distinguaient des autres députés par leurs revenus parallèles particulièrement élevés (les élus du Front National étant champions d’Europe avec une moyenne de 1361 euros mensuels). S’appuyant sur une enquête de l’ONG Transparency, il mentionnait Renaud Muselier (12 000 à 35 000 euros par mois), Rachida Dati (10 000 euros), Michèle Alliot-Marie (15 000 euros) et Sylvie Goulard, stipendiée par le philanthrope Berggruen. Cette information ne figure plus sur son site officiel “ européen ”, où l’on trouve la précision suivante : « NB : merci de tenir compte de cette biographie, à jour, plutôt que des différentes versions linguistiques disponibles sur Wikipedia. »
]]>Qui est Nicolas Berggruen, le milliardaire « philanthrope » qui a financé Sylvie Goulard ? Investigaction - Laurent Daure - 29 Jun 2017
Prise dans l’affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen, Sylvie Goulard a quitté le gouvernement Macron. L’éphémère ministre des Armées a dit vouloir être en mesure de « démontrer librement sa bonne foi ». Et voilà que le Journal du Dimanche dévoile que l’ancienne eurodéputée a été rémunérée à hauteur de 10.000 euros par mois par l’Institut Berggruen. Ruptures s’est penché sur le profil de Nicolas Berggruen, l’homme à la tête du think tank particulièrement généreux à l’égard de Sylvie Goulard. (IGA)
L’information était disponible depuis 2014, mais Le Journal du dimanche l’a actualisée et mise sur le devant de la scène le 25 juin dernier : Sylvie Goulard a reçu de l’Institut Berggruen plus de 10 000 euros par mois d’octobre 2013 à janvier 2016, période au cours de laquelle elle était députée européenne (voir notre article). Dans la rubrique « Mon parcours » de son site personnel, l’éphémère ministre des Armées présente ainsi son activité au service du think tank américain : « Conseillère spéciale du Council for the Future of Europe [Conseil pour l’avenir de l’Europe] », un groupe de réflexion qui dépend du « Nicolas Berggruen Institute for Governance [Institut pour la gouvernance] ».Sylvie Goulard précise ensuite qu’il s’agit d’une « association à but non lucratif visant à promouvoir une meilleure gouvernance mondiale et européenne. » Elle ajoute que le Conseil pour l’avenir de l’Europe « est présidé par Mario Monti » et qu’il « comporte des personnalités de sensibilités politiques diverses telles que, notamment, Jacques Delors, Guy Verhofstadt, Pascal Lamy, Romano Prodi ou Jean Pisani-Ferry. » On imagine les débats enflammés entre ces anticonformistes que tout oppose…
Un milliardaire « philanthrope » de plus
Basé en Californie, l’Institut Berggruen a été fondé en 2010 par le milliardaire américano-allemand – qui a grandi en France – Nicolas Berggruen, fils du richissime collectionneur et marchand d’art Heinz Berggruen (décédé en 2007). Le magazine Forbes évalue la fortune personnelle du golden boy à 1,81 milliard de dollars. Mais, à 55 ans, cet ancien jet-setter est quelque peu blasé, il a l’argent triste et veut désormais être reconnu en tant qu’intellectuel.
Nicolas Berggruen aspire même à une vie d’ascète : « Je ne suis pas si attaché aux biens matériels […]. Je possède très peu de choses. […] quelques papiers, deux ou trois livres et quelques chemises, vestes et pulls », déclare-t-il en 2012 au Daily Mirror. La preuve de son détachement des biens de ce monde : il a longtemps vécu « sans domicile fixe », c’est-à-dire dans des hôtels cinq étoiles, ce qui fascine les médias. Le Figaro est tombé sous le charme de ce bourlingueur de luxe qui « sillonne le monde dans son jet privé Gulfstream IV. Ce nomade richissime peut ainsi résider dans 14 villes différentes en un mois. » Sans doute en phosphorant durant les vols sur les moyens de réduire l’empreinte carbone des gueux.
Financier à la réputation d’excentrique se piquant de « philanthropie » et d’ « idées », Nicolas Berggruen reste avant tout un homme d’affaires. Avec sa holding personnelle, qui fait des investissements immobiliers et financiers dans le monde entier, il est l’actionnaire majoritaire du premier groupe de médias espagnol Prisa (qui possède notamment le quotidien El País ). Ce géant des médias présent dans 23 pays détient 15 % du groupe Le Monde. D’après Mediapart, M. Berggruen « siège au conseil d’administration du Monde » . On peine à comprendre la discrétion du « journal de référence » sur un si prestigieux compagnonnage.
L’amicale de la « mondialisation heureuse »
Quand L’Obs – alors encore Le Nouvel Observateur – publie un portrait du « loup de Wall Street repenti en berger philanthrope », qui est sollicité pour faire l’éloge du « milliardaire qui voulait sauver le monde » ?… L’indispensable Alain Minc bien sûr ! Le chantre de la « mondialisation heureuse » semble parler de lui-même lorsqu’il plaide en faveur de Nicolas Berggruen : « Un businessman arpentant le domaine des concepts ne fait-il pas œuvre plus utile qu’un intellectuel se lançant dans les affaires ? » Pur hasard : Alain Minc est lui aussi membre du Conseil pour l’avenir de l’Europe, ainsi que du 21st Century Council (Conseil du XXIe siècle), un autre groupe de réflexion issu de l’Institut Berggruen, dont la description et la composition valent le détour.
Ancien président du conseil de surveillance du Monde, il se trouve qu’Alain Minc a représenté Prisa et… Nicolas Berggruen lorsque le groupe espagnol voulait racheter le quotidien vespéral en 2010, une offre concurrente de celle portée par le trio finalement victorieux Bergé-Niel-Pigasse (cf. le livre Un si petit Monde d’Odile Benyahia-Kouider, Fayard, 2011). Un banquier de chez Rothschild épaulait alors secrètement M. Minc dans cette opération tout en prétendant par ailleurs travailler gratis pour la Société des rédacteurs du Monde . C’était Emmanuel Macron. Le futur président était même allé jusqu’à se cacher au dernier étage d’un immeuble pour éviter – en vain – que son double jeu ne soit découvert.
Le portrait au cirage de Nicolas Berggruen brossé par L’Obs serait incomplet si l’irremplaçable Jacques Attali n’y avait pas apporté sa touche : « C’est un garçon étrange, extrêmement gentil, extrêmement cultivé et extrêmement curieux, dans tous les sens du terme » . Et le grand mage médiatique surenchérit : « C’est un honnête homme au sens du XVIIIe siècle. Quelqu’un qui a décidé de mettre son argent au service de l’intérêt général. Je le crois sincère dans sa démarche. » Même si elle a touché 300 000 euros d’émoluments, Sylvie Goulard devrait être décorée pour avoir servi un si précieux personnage.
Le financier qui voulait être philosophe
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Macron pour les Nuls
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▻http://www.investigaction.net/fr/qui-est-nicolas-berggruen-le-milliardaire-philanthrope-qui-a-finance
Ruptures : ▻https://ruptures-presse.fr/actu/nicolas-berggruen-institut-milliardaire-philanthrope-sylvie-goulard
#Sylvie_Goulard #Nicolas_Berggruen #MoDem #gouvernement_Macron #eurodéputée #Institut Berggruen #Prisa #El_País #Le_Monde #Alain_Minc #21st_Century_Council #Rothschild #Emmanuel_Macron #mécène #Huffington_Post #WorldPost #philanthrope #mondialisation #Europe_de_la_Défense
]]>Sylvie Goulard a été rémunérée à hauteur de 10.000 euros par mois par un think tank américain
▻http://www.lejdd.fr/politique/lenigme-sylvie-goulard-pourquoi-a-t-elle-quitte-le-gouvernement-3371579
Créé et financé par Nicolas Berggruen, fils du richissime marchand d’art Heinz Berggruen, l’institut Berggruen, dont le siège est en Californie, est une organisation à but non lucratif chargée de « réfléchir aux systèmes de gouvernance ». Sylvie Goulard, qui se destinait au Quai d’Orsay, a-t-elle été bien inspirée d’être appointée par cet organisme pendant plus de deux ans, pour près de 300.000 dollars ? « Le Berggruen fait la promotion de l’Union européenne et contribue au débat d’idées », jure-t-elle, parlant « d’un non-sujet »… à plus de 10.000 dollars par mois.
]]>#Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce mercredi 21 juin 2017 (Maj)
▻https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/13700-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna
►https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png
Bonjour, mercredi 20 juin 2017, une journée de plus de passé, et comme vous avez pus le constater, une vague de chaleur assez conséquente, nous avons du investir dans des ventillateurs, celui que j’avais étant monopolisé par notre aquarium, et cela a permit à mes enfants d’en avoir chacun un dans leur chambre.
De bonne nouvelles aussi du coté de Chalouette, elle a pris hier le même médecin référent que nous, qui l’a gentiment prise en charge, et elle vas avoir un bilan complet.
Sur ce une actualité encore assez conséquente ce matin, aussi je vous souhaite une bonne lecture. ; )))
Amicalement,
f.
Actualités françaises :
21.06.2017
Etienne Chouard sur le chômage (Agoravox.fr)
Sylvie Goulard démissionne son poste de ministre des Armées (France Tv Info.fr)
CSG : sept Français sur dix ne sont (...)
]]>#Revue_de_Presse du jour comprenant l’actualité nationale et internationale de ce samedi 20 mai 2017
▻https://www.crashdebug.fr/revue-de-presse/13616-revue-de-presse-du-jour-comprenant-l-actualite-nationale-et-interna
►https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2015/decembre/revue_de_presse_02_12_2015.png
Bonjour, samedi 20 mai 2017, enfin en week end, on vas pouvoir faire tout ce qu’il était impossible de faire durant la semaine, je suppose que pour vous s’est pareil, ce matin une actualité morne, enfin comme je vous le disait dès fois ça vaux mieux....
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture et une agréable journée.
f.
Actualités françaises :
20.05.2017
La main d’Erdogan dans les urnes de France : 68 candidats du PEJ aux législatives (Marianne.net)
Avec les « Malta Files », Mediapart révèle les dessous des pratiques fiscales de Malte (Le Monde.fr)
Comment le FN rétropédale sur l’euro (Les Echos.fr)
Sylvie Goulard (Bilderberg), nouvelle ministre des armées, ne se sent pas française et méprise le "petit peuple français" (Fawkes.fr)
19.05.2017
Affaire Crédit Lyonnais : (...)
]]>A propos du gouvernement Macron et de ses multiples conflits d’intérêts :
(désolé @nicolasm, encore une #recension, je n’y peux rien, c’est mon cerveau qui est comme ça, si je ne regroupe pas, je ne retrouve pas !)
#gouvernement_macron
#Conflit_d'Intérêt #pantouflage #collusion #connivence #corruption #favoritisme #détournement_de_fonds_publics
#EnMarcheVersLeFN
Des articles qui abordent un peu tout ça :
De Trump à Macron : une collusion de plus en plus manifeste entre pouvoirs publics et grands intérêts privés
Aurélie Trouvé, Frédéric Lemaire, Basta, le 30 mai 2017
►https://seenthis.net/messages/602498
Ces sept affaires qui minent le projet de moralisation promis par Emmanuel Macron
Didier Kottelat, RTS, le 1 Juin 2017
►https://seenthis.net/messages/603276
UNE SOCIÉTÉ CIVILE TRÈS PRIVÉE
La Brique, le 9 juin 2017
►https://seenthis.net/messages/605649
Être banquier et haut fonctionnaire : peut-on éviter les conflits d’intérêts au sommet de l’État ?
Agnès Rousseaux, Basta, le 27 juin 2017
►https://seenthis.net/messages/610411
Augmentation des rémunérations en cabinets ministériels : « Choquant », selon Dosière
Le Point, le 31 octobre 2017
►https://seenthis.net/messages/641709
La privatisation de postes clefs de la République
Laurent Mauduit, Médiapart, le 23 novembre 2017
►https://seenthis.net/messages/646910
L’accession d’ #Éric_Lombard à la tête de la Caisse des dépôts, de #François_Villeroy_de_Galhau à la Banque de France ou de #Catherine_Guillouard à la RATP
#rétro-pantouflage
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#Les_amis_de_Macron lui même :
A Rundinara, Bunifaziu. Villas Ferracci : pas de démolition !
U Levante, le 6 juillet 2017
►https://seenthis.net/messages/613485
Une intrigante nomination à la présidence de l’Autorité des marchés financiers
Laurent Mauduit, Médiapart, le 12 juillet 2017
►https://seenthis.net/messages/614397
#Autorité_des_marchés_financiers #Robert_Ophèle #Julien_Denormandie
Un rapport accablant – et enterré- plombe Jean-Paul Delevoye, l’ex-président du CESE devenu lieutenant d’Emmanuel Macron
Cédrik Viala, LPLD.fr, le 3 mai 2017
►https://seenthis.net/messages/628316
#haut-commissaire_chargé_de_la_réforme_des_retraites
#Jean-Paul_Delevoye
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#Patrick_Strzoda, directeur de cabinet :
►https://seenthis.net/messages/598275
#Edouard_Philippe, premier ministre, le #Nucléaire, #Areva, #Young_Leaders entre autres :
►https://seenthis.net/messages/598581
►https://seenthis.net/messages/598846
►https://seenthis.net/messages/598990
►https://seenthis.net/messages/599276
▻https://seenthis.net/messages/599703
►https://seenthis.net/messages/653663
#Marlène_Schiappa, secrétariat d’État chargée de l’#Égalité entre les femmes et les hommes :
▻https://seenthis.net/messages/599251
▻https://seenthis.net/messages/599390
▻https://seenthis.net/messages/600020
Et un gros travail de recension ici aussi :
►https://seenthis.net/messages/600951
#Nicolas_Hulot, ministère de l’#Ecologie :
▻https://seenthis.net/messages/599284
►https://seenthis.net/messages/599398
▻https://seenthis.net/messages/599424
▻https://seenthis.net/messages/599604
#Gérard_Collomb, ministère de l’#Intérieur :
▻https://seenthis.net/messages/599311
▻https://seenthis.net/messages/599386
▻https://seenthis.net/messages/599821
►https://seenthis.net/messages/658783
#Muriel_Pénicaud, ministère du #Travail :
▻https://seenthis.net/messages/599535
▻https://seenthis.net/messages/599809
▻https://seenthis.net/messages/600026
►https://seenthis.net/messages/608526
►https://seenthis.net/messages/618211
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#Sylvie_Goulard, puir #Florence_Parly, ministère de la #Défense :
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#François_Lecointre, chef d’état-major des #armées :
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#Jean-Michel_Blanquer, ministère de l’#Education_nationale :
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#Agnès_Buzyn, ministère de la #Santé :
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#Richard_Ferrand ministre de la #cohésion_des_territoires
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#Jacques_Mézard, puis #Stéphane_Travert, ministre de l’#Agriculture
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#Gérald_Darmanin, ministre de l’action et des #comptes_publics
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#Christophe_Castaner, secrétaire d’Etat chargé des #relations_avec_le_Parlement et #porte-parole_du_gouvernement
►https://seenthis.net/messages/619218
« Emmanuel Macron incarne la réunification de la bourgeoisie » | L’Humanité
▻http://www.humanite.fr/emmanuel-macron-incarne-la-reunification-de-la-bourgeoisie-636080
Soulignons d’abord que le premier tour a révélé un vote de classe d’une puissance inédite, du moins depuis les années 1970. C’est aujourd’hui une réalité aveuglante. On n’avait pas vu cela depuis le référendum de 2005.
On a, d’un côté, les catégories populaires, qui représentent la majorité du salariat, dont le vote s’est divisé entre Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. De l’autre, François Fillon et Emmanuel Macron ont rassemblé le bloc élitaire – les chefs d’entreprise, les cadres en général, les détenteurs de patrimoine, donc beaucoup de retraités, et aussi, parmi les jeunes, certaines catégories d’étudiants. Ces deux blocs rassemblent chacun entre 40 et 45 % des suffrages exprimés. Le voile d’illusion idéologique que représentait le clivage gauche-droite est en train de se déchirer.
À cette occasion, la réunification de la bourgeoisie est éclatante. Globalement, le bloc élitaire, c’est la France qui a voté oui en 2005. Cela lui donne un avantage pour gouverner puisqu’il domine sans partage l’appareil de l’État et la direction des grandes entreprises. Plus durablement, toutes les structures institutionnelles convergent, y compris les instances de contrôle. La division partisane de la bourgeoisie, notamment dans la haute fonction publique et dans la direction des médias, constituait un garde-fou que ce processus d’unification idéologique pourrait supprimer.
Ce qui est plus embêtant pour elle, d’un point de vue politique, c’est que cela devient visible. Une domination s’affaiblit quand elle avance sans masque. Par exemple, l’alternance sans véritable alternative est la solution optimale pour maintenir l’ordre social. La clarification actuelle, pour reprendre le mot de Manuel Valls, pourrait s’avérer une mauvaise idée. La disparition de médiation entre le monde des affaires et le milieu politique, avec un président de la République directement issu du premier, constitue une transparence redoutable pour un système en crise.
]]>Le #gouvernement Philippe, une « petite coalition »
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/170517/le-gouvernement-philippe-une-petite-coalition
Jean-Yves Le Drian, désormais #ministre de l’Europe et des affaires étrangères, et Sylvie Goulard, ministre des armées venue du Modem. À un mois des législatives, l’arc politique du gouvernement Philippe, premier de l’ère Macron, reste étroit. Parcours, société civile, parité, diversité : le « renouvellement » promis est en demi-teinte.
]]>Sylvie Goulard SylvieGoulard nommée ministre des armées.
Le Monde · Il y a 4 heure
Et voilà, on y est : à 20h01 sur France Inter, Sylvie Goulard remercie les 65% de français qui ont soutenu le projet de Macron !
Moins d’une minute pour afficher le #foutage_de_gueule !
« Les vieux habits de l’homme neuf » | Emmanuel Macron, la finance et le pouvoir
par François Denord & Paul Lagneau-Ymonet
Étroitement associé à la politique économique du président François Hollande, le candidat du mouvement En marche ! se présente pourtant comme un homme « hors système », loin des partis et des coteries. Cautionnée par la presse, la métamorphose de M. Emmanuel Macron en évangéliste politique masque mal la trajectoire banale d’un technocrate dont l’entregent lui a permis de brûler les étapes.
Ce 17 mars 2015, l’agenda de M. Emmanuel Macron s’annonce chargé. À 7 h 45, la revue Politique internationale attend le ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique pour un petit déjeuner-débat. Au menu : exposé face à un aréopage de patrons, de diplomates et de responsables politiques. Une heure plus tard, direction Bercy. Le ministre participe à l’ouverture d’une conférence sur les dispositifs publics de soutien à l’exportation, où se mêlent hauts fonctionnaires et dirigeants du privé, avant de s’entretenir avec les sénateurs socialistes au sujet de la loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques.
Vers 13 h 15, il retrouve les convives du Cercle Turgot pour un déjeuner-débat. Le président en exercice de ce think tank, M. François Pérol, patron du groupe Banque populaire - Caisse d’épargne (BPCE), l’accueille : « Bienvenue, Emmanuel. Tu arrives juste du Sénat. Y a-t-il trop d’articles à ton projet de loi ? Comme on disait en d’autres temps, trop de notes s’agissant de la musique de Mozart ? » Pareil hommage tient en partie de l’autocélébration, tant la carrière de M. Macron ressemble à celle de M. Pérol : fils de médecin, énarque, passé par l’inspection des finances, par la banque Rothschild et par les services de l’Élysée. Le ministre a vite fait d’emballer financiers, journalistes et autres cadres, qui l’intronisent membre d’honneur de leur cercle. Après les questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, M. Macron s’attarde pour un long entretien avec M. Pierre Gattaz, président du Mouvement des entreprises de France (Medef). Puis, Saint-Patrick oblige, il reçoit M. Richard Bruton, son homologue irlandais.
Une succession d’apparitions brèves dans les sphères du pouvoir, avec la volonté de faire forte impression à défaut de laisser une empreinte profonde : ce 17 mars 2015 résume à bien des égards la trajectoire du candidat à l’élection présidentielle française.
Il se rêvait normalien, il atterrit à Sciences Po. Là, l’historien François Dosse le présente en 1999 au philosophe Paul Ricœur, qui cherche une petite main pour achever le manuscrit de La Mémoire, l’Histoire, l’Oubli (1). Cette collaboration ouvre à l’étudiant les portes d’Esprit, revue intellectuelle française proche de la « deuxième gauche » qui soutint par exemple le plan de réforme de la Sécurité sociale du premier ministre Alain Juppé en 1995. Il y théorise sa conception de l’exercice du pouvoir : « Le discours comme l’action politique ne peuvent plus s’inscrire dans un programme qu’on proposerait au vote et qu’on appliquerait durant les cinq années du mandat (2). » Au politique, il faudrait, selon lui, un horizon plutôt qu’un catalogue de mesures. C’est auprès de piliers de la « deuxième gauche » qu’il trouve l’idéologie donnant sens à son engagement.
Sous le fouet de la sainte concurrence
Énarque stagiaire dans l’Oise à l’automne 2002, M. Macron se lie d’amitié avec Henry Hermand. Enrichi dans l’immobilier commercial, l’homme d’affaires (décédé en 2016) a été l’une des figures tutélaires et nourricières d’une gauche chrétienne et « anti » : anticommuniste, anticolonialiste et antijacobine (3). Puis, en 2007, le chef de l’inspection des finances, M. Jean-Pierre Jouyet, débauché par M. Nicolas Sarkozy pour le secrétariat d’État chargé des affaires européennes, présente ce jeune homme prometteur à M. Jacques Attali.
L’ancien conseiller de François Mitterrand, qui préside la commission pour la libération de la croissance, le nomme rapporteur général adjoint. On discerne en sourdine dans le document final cette volonté de dépasser des clivages ordinaires que le candidat vocifère désormais sur toutes les estrades. « Ceci n’est ni un rapport, ni une étude, mais un mode d’emploi pour des réformes urgentes et fondatrices. Il n’est ni partisan ni bipartisan : il est non partisan. » Les « non-partisans » de la commission pourfendent « la rente (...) triomphante : dans les fortunes foncières, dans la collusion des privilégiés, dans le recrutement des élites » (4) et défendent un projet de société fondé sur la concurrence et la déréglementation.
Ces esprits inspirés ne se contentent pas de recommander la réorientation massive de l’épargne des Français vers les marchés d’actions six mois avant l’effondrement financier de 2008. La mise en concurrence généralisée revient à opposer entre elles des fractions des classes populaires : fonctionnaires et salariés du privé, artisans taxis contre chauffeurs Uber. Une telle vision du monde sied bien à un fringant inspecteur des finances qui, outre le comité de rédaction d’Esprit, qu’il intègre, fréquente des cénacles sociaux-libéraux et partisans de la construction européenne telle qu’elle se fait, comme En temps réel ou les Gracques. Le premier se présente comme un « lieu de rencontre entre acteurs publics et privés soucieux de confronter leurs expériences et analyses, (…) dédié à la construction de puissantes bases intellectuelles d’un agenda réformiste ». Le second proclame que le marché « est le moyen de remettre en cause les situations acquises, les privilèges et les rentes ».
La rente sociale de M. Macron, elle, reste à l’abri des grands vents de la « modernité ». En 2008, M. Xavier Fontanet, alors président d’Essilor, M. Serge Weinberg, ancien conseiller de M. Laurent Fabius, président du fonds Weinberg Capital Partners, M. Jean-Michel Darrois, avocat d’affaires, et M. Alain Minc — le seul à ne pas avoir été membre de la commission Attali — le recommandent auprès de la banque Rothschild. Son ascension y sera fulgurante, grâce à un marché conclu en 2012 pour le compte de Nestlé, dont le président, M. Peter Brabeck-Letmathe, avait participé à ladite commission.
M. Attali a présenté M. Macron à M. François Hollande en 2010, lorsque celui-ci ne dirigeait plus le Parti socialiste (PS) et que M. Dominique Strauss-Kahn ou Mme Martine Aubry semblaient assurés de jouer les premiers rôles aux primaires de 2011. Le jeune trentenaire coordonne pour le futur président le travail d’économistes comme Philippe Aghion (encore un membre de la commission Attali). Après la victoire de 2012, M. Attali et M. Jouyet — revenu de son aventure sarkozyste et à nouveau intime de M. Hollande — appuient sa candidature au poste de secrétaire général adjoint de l’Élysée, chargé des questions économiques.
En 2014, c’est encore M. Jouyet qui, en sa qualité de secrétaire général de l’Élysée, annonce la nomination de son protégé au ministère de l’économie. « C’est quand même exaltant, à cet âge-là, d’avoir en charge l’économie, les entreprises, l’industrie, tout ça, lui explique-t-il au téléphone juste après l’annonce du remaniement. Tu te rends compte, le numérique, tout ce que j’aurais aimé faire ! Je pensais, quand même, à l’inspection des finances, être le maître, maintenant, c’est toi qui vas être le maître (5). » Le nom du jeune prodige sera vite associé à une loi qui promeut le bus plutôt que le train, à l’ouverture dominicale des commerces et au travail de nuit. Il assouplit les règles des licenciements collectifs et hâte la privatisation de la gestion d’aéroports régionaux.
À ce stade d’une trajectoire de météore, on distingue déjà l’épure d’un style : être introduit dans une institution de pouvoir par un influent pygmalion, n’y passer que le temps nécessaire à la constitution d’un dense réseau de relations, puis recommencer à un poste d’un prestige supérieur. M. Macron ne restera pas plus longtemps à Bercy qu’à l’inspection des finances, chez Rothschild ou au secrétariat de la présidence : moins de trois ans. Quand il lance à 38 ans, en avril 2016, son mouvement En marche !, il mobilise les contacts accumulés à chaque étape de sa carrière.
À Sciences Po, où il enseigna à sa sortie de l’École nationale d’administration (ENA), M. Macron se lie d’amitié avec M. Laurent Bigorgne. C’est à l’adresse privée de ce dernier qu’il domiciliera En marche ! Fin 2010, M. Bigorgne devient directeur général de l’Institut Montaigne. Du très libéral institut, le candidat débauchera Mme Françoise Holder, codirectrice du groupe du même nom (boulangeries Paul et pâtisseries Ladurée), et recourra un temps aux services de l’agence de communication, Little Wing. Il ne boude pas pour autant les think tanks de l’autre bord politique : il est proche de M. Thierry Pech, ancien cadre de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) et directeur général de la fondation Terra Nova, proche du Parti socialiste.
D’anciens membres de la commission Attali se mettent aussi « en marche ». L’essayiste Erik Orsenna était au premier rang pour le lancement du mouvement à la Mutualité (La Tribune, 31 août 2016). La rapporteuse de la commission, Mme Josseline de Clausade, passée du Conseil d’État à la direction du groupe Casino, M. Jean Kaspar, ancien secrétaire général de la CFDT désormais consultant en stratégies sociales, M. Darrois ainsi que M. Stéphane Boujnah, président d’Euronext, la société qui gère les Bourses d’Amsterdam, Bruxelles, Lisbonne et Paris, ont fait le déplacement pour le premier grand meeting de campagne, le 10 décembre 2016, à la porte de Versailles. C’est d’ailleurs M. Boujnah, ancien « DSK boy », vice-président d’En temps réel, qui aurait présenté à M. Macron l’homme qui désormais lève des fonds pour sa campagne présidentielle : M. Christian Dargnat. Cet ancien patron de la gestion d’actifs de BNP Paribas et du Crédit agricole a également présidé le comité « Monnaies et système monétaire international » du Medef de 2010 à 2013. Le patron du cabinet de conseil Accenture, M. Pierre Nanterme, autre ancien de la commission Attali et de la direction du Medef — sous la présidence de Mme Laurence Parisot —, a déclaré avoir versé 7 500 euros (le plafond autorisé) à En marche ! (Les Échos, 27 janvier 2017).
Côté syndical, outre M. Kaspar, la connexion macronienne se nomme Pierre Ferracci. L’homme a transformé le cabinet d’expertise Secafi, proche de la Confédération générale du travail (CGT), en un groupe spécialisé dans le conseil aux syndicats, aux représentants du personnel et aux directions d’entreprise, le groupe Alpha. Son fils Marc et sa belle-fille Sophie occupent une place importante dans la garde rapprochée du candidat. Témoin de mariage du couple Macron, le premier est professeur d’économie, chercheur associé à la chaire « Sécurisation des parcours professionnels » que cofinancent à Sciences Po le groupe Alpha, la société de travail intérimaire Randstad, Pôle emploi et le ministère du travail. Avocate d’affaires, la seconde fut cheffe de cabinet du ministre à Bercy avant d’intégrer son équipe de campagne.
D’autres anciens membres du cabinet ministériel ont rallié En marche ! Son directeur (6), M. Alexis Kohler, qui a rejoint la direction financière du deuxième armateur mondial, MSC, continue de conseiller M. Macron, quand son adjoint, M. Julien Denormandie, se consacre à temps plein à la campagne. Tous deux sont passés par le cabinet de M. Pierre Moscovici, aujourd’hui commissaire européen.
Le conseiller chargé de la communication et des affaires stratégiques de M. Macron à Bercy, M. Ismaël Emelien, fait appel à des entreprises spécialisées dans la collecte et l’analyse de données de masse afin de caler l’« offre » politique sur les desiderata des électeurs (Le Monde, 19 décembre 2016). Le porte-parole d’En marche !, M. Benjamin Griveaux, ne faisait pas partie de son cabinet ministériel, mais il cumule les propriétés de ses jeunes membres : surdiplômé — École des hautes études commerciales (HEC) de Paris, Sciences Po —, formé au sein de la droite du PS (auprès de MM. Strauss-Kahn et Moscovici), passé par un cabinet ministériel (celui de Mme Marisol Touraine). En outre, il a exercé des mandats électoraux (à Chalon-sur-Saône et dans le département de Saône-et-Loire), tout comme le secrétaire général d’En marche !, le député et conseiller régional du Finistère Richard Ferrand, ancien directeur général des Mutuelles de Bretagne.
Héritier de la noblesse d’État
Ainsi l’homme qui se présente comme neuf, sans passé et sans attache incarne-t-il, tant personnellement que par son entourage, l’héritage cumulé de la noblesse d’État (Bercy), de l’expertise et de la haute finance : le noyau du « système », en somme, que sanctionne son appartenance au club Le Siècle.
Trente ans après que M. Hollande, M. Jouyet et quelques autres caciques socialistes ont proclamé que « la gauche bouge (7) », la vieille garde et les Jeunes-Turcs de M. Macron rejouent l’éternelle histoire du modernisme : un homme situé au-dessus des partis qui agrège les bonnes volontés, les compétences techniques et les méthodes dernier cri pour piloter le pays. Dès lors, l’essentiel n’est pas d’avoir un programme. C’est de rassembler, de la droite de la gauche (par exemple M. Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon, connu pour sa sollicitude envers la hiérarchie catholique) à la gauche de la droite (comme la députée européenne Sylvie Goulard, auteure de l’inénarrable L’Europe pour les nuls).
C’est surtout de pouvoir compter sur l’appui d’individus influents, tel M. Jean Pisani-Ferry, ancien commissaire général à la stratégie et à la prospective, et sur les nombreux experts qu’il draine dans son sillage. Cet ancien conseiller de M. Strauss-Kahn et de M. Jouyet sait pourtant l’inconvénient d’un tel positionnement. Peu après le « Brexit », il constatait : « Nous sommes les experts, ceux que 52 % des Britanniques détestent » (Le Figaro, 4 juillet 2016). Il faudra à M. Macron beaucoup de charisme pour maintenir l’illusion qu’il appartient à l’autre camp. Lui suffira-t-il de croiser le mythe pompidolien du banquier lettré sachant conduire les affaires avec le fantasme giscardien du jeune homme progressiste ?
François Denord & Paul Lagneau-Ymonet
Sociologues. Auteurs de l’ouvrage Le Concert des puissants, Raisons d’agir, Paris, 2016.
Le Monde diplomatique Mars 2017
]]>« Ne laissez pas vos aînés vous piquer l’Europe »
▻http://www.taurillon.org/ne-laissez-pas-vos-aines-vous-piquer-l-europe
Sylvie Goulard, eurodéputée membre de l’ADLE et ancienne présidente du Mouvement Européen - France, fait le point avec nous sur le #Brexit et livre ses solutions pour refonder l’Europe.
/ #Sylvie_Goulard, #Nations_et_nationalismes, Brexit, #Fédéralisme
]]>De Brexit en Perestroïka
▻http://www.dedefensa.org/article/de-brexit-en-perestroika
De Brexit en Perestroïka
Le 23 avril 1972, la France approuva par référendum l’adhésion du Royaume-Uni à la Communauté Européenne. Georges Pompidou plaidait alors que nous voulions nous unir « à un peuple qui a, peut-être plus que tout autre dans le monde, le souci de garder son identité nationale », et avec qui nous avons « en commun une même tradition chrétienne et rationaliste » (1). Autant de qualités aujourd’hui peu valorisées par nos élites. « Pour régler une question de politique intérieure, David Cameron a pris le risque de désintégrer son pays autant que l’Union Européenne. C’est peu responsable […] », nous expliquait la députée européenne Sylvie Goulard (2) avant le référendum du 22 juin sur le Brexit. En clair, l’Union oriente de plus en plus les politiques intérieures mais devrait toujours rester (...)
]]>« Transcender les intérêts nationaux pour dégager l’intérêt commun »
▻http://www.taurillon.org/transcender-les-interets-nationaux-pour-degager-l-interet-commun
La rédaction du Taurillon revient sur les dossiers européens de l’été et de la rentrée du Parlement européen en compagnie de Sylvie Goulard. Interview.
Actualités
/ #Grèce, #Groupe_Spinelli, #Eurozone, #Immigration
]]>#Sylvie_Goulard : « Ne pas céder à la nostalgie souverainiste »
▻http://www.taurillon.org/sylvie-goulard-ne-pas-ceder-a-la-nostalgie-souverainiste
« Pour peser dans la politique internationale, pour défendre nos valeurs, il nous faut nous organiser autrement et ne pas céder à la nostalgie souverainiste ». Ce sont les mots de Sylvie Goulard qui a accordé une interview à notre comité de rédaction local d’Aix-en-Provence.
Actualité
/ #Commission_européenne, Sylvie Goulard, #ALDE
]]>Lyon 4 décembre : À la rencontre de vos députés européens
▻http://www.uef.fr/lyon-4-decembre-a-la-rencontre-de-vos-deputes-europeens
Jeudi 4 décembre 19h À la rencontre de vos députés européens. Avec : Sylvie Goulard Sylvie Guillaume Michèle Rivasi INSA de Lyon 19h Amphithéatre Gaston Berger
/ #Rhône-Alpes
]]>Kant et les autruches ?
▻http://www.taurillon.org/kant-et-les-autruches
Alors que les Etats membres proposent des candidats à la #Commission_européenne, l’eurodéputée Sylvie Goulard (ADLE) revient sur l’enjeu de la parité dans la composition du futur exécutif européen. Peut-on se dire favorable à un objectif et ne rien faire pour qu’il soit atteint ? Ce n’est pas le dernier sujet de philosophie au baccalauréat mais l’une des questions clés pour l’avenir de l’Europe, que nos dirigeants affrontaient lors du Conseil européen. Comme cela semble naturel en 2014, Jean-Claude (...)
#Opinions / Commission européenne, Égalité
]]> » [Média] BFM 03/01 : débat avec Sylvie Goulard, “ointe du Seigneur”
▻http://www.les-crises.fr/bfm-03-01-2014
Nicolas Doze m’a invité à son émission sur BFM Business.
Avec Alexandre Saubot, directeur général délégué de Haulotte Group et surtout Sylvie Goulard, députée européenne Modem (au delà des désaccords politiques, je précise par honnêteté intellectuelle que c’est une bonne députée, très bosseuse, ce qui est rare dans la délégation française…). C’est une intéressante représentante de la pensée démocrate-chrétienne sur l’Europe… Et qui a été présidente du Mouvement Européen France.
C’est aussi une excellente représentante de ce que le libéral Charles Gave appelle “les oints du Seigneurs”, dont vous allez avoir une formidable illustration…
]]> » [Édifiant] Les propositions des évêques pour les Européennes
▻http://www.les-crises.fr/les-propositions-des-eveques
Les évêques proclament l’état d’urgence en faveur de l’Europe
Source : La Croix
Les évêques de France, réunis à Lourdes jusqu’à dimanche, ont consacré mercredi 6 novembre une séance entière à l’Europe.
N’attendons pas pour venir au secours de l’Europe ! {OB : l’Europe va bien merci, comme l’Australie. On parle bien ici de “L’Organisation néolibérale de Bruxelles” – ça change la tonalité de mettre le bon nom, non ?} C’est en substance le message qu’ont délivré plusieurs évêques, mercredi après-midi, dans l’hémicycle Sainte-Bernadette à Lourdes alors qu’ils venaient d’entendre l’exposé enthousiaste de la {OB : eh oui, un débat à 1, c’est mieux… Et ça aide à prendre les bonnes décisions…} députée européenne (MoDem), Sylvie Goulard, en faveur du « grand projet européen » {OB : il n’y a bien entendu qu’un, puisqu’il n’y a pas d’alternative}. L’Europe a occupé pendant plus de trois heures les travaux de cette Assemblée plénière d’automne, signe de l’importance que les évêques accordent au sujet {OB : c’était ça ou les pauvres ?}. Or, aucun d’eux n’ignore que les prochaines élections européennes du 25 mai 2014 risquent d’être marquées par l’expression d’un puissant euroscepticisme {OB : non, d’un “rejet de l’Organisation néolibérale de Bruxelles”, svp}.
Quoi qu’il en soit, la teneur de l’intervention des Églises se devine déjà très clairement. Elle peut se résumer par une expression : il y a urgence à défendre l’Europe et à inviter les candidats à « prendre la mesure des enjeux pour sortir de la cour de la récréation franco-française » {OB : sans haine svp, moi j’aime bien mon pays…}, selon l’expression de Mgr Jean-Luc Brunin, évêque du Havre.
« Il nous faut réfléchir dès maintenant à la manière d’apporter notre soutien à l’idéal européen {OB : quel rapport avec un idéal catholique et l’Organisation néolibérale de Bruxelles ?}. Lors de notre assemblée, en avril, ce sera beaucoup trop tard et même en janvier, aussi, je le crains », a affirmé le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, avant de préciser qu’il convenait d’expliquer aux électeurs que « les progrès de l’Europe sont un combat à mener et non un bénéfice à attendre ». {OB : euh, c’est un combat pour les Catho ça ?}
« Nos sociétés occidentales sont en pleine crise d’adolescence, elles manifestent à l’égard de l’Europe une ingratitude totalement irresponsable {OB : MERCI POUR CETTE BELLE AUSTERITÉ M. BARROSO !!!!}. Les gouvernements la chargent de tous les maux quand la situation est mauvaise et s’attribuent tous les bénéfices quand tout va bien », martelait encore hier Mgr Jean-Pierre Grallet, qui ne cache pas « l’embarras » des épiscopats européens face à la montée prévisible des votes accordés aux extrêmes de tous bords {OB : ATTENTION, je vous rappelle qu’être contre l’Organisation néolibérale de Bruxelles, c’est être extrémiste. Ce que ne sont JAMAIS les tenants de la liberté absolue de circulation des capitaux ou du libre échange total quel que soit le pays}. Rappelant que « l’Europe fait partie du bagage pastoral de tout évêque français » {OB : !!!!!}, l’archevêque de Strasbourg estime qu’il faut affirmer sans relâche qu’elle est « un élément essentiel de notre vivre-ensemble » {OB : !!!!!}. « L’Europe est un cadre qu’on ne peut remettre en cause {OB : PAS D’ALTERNATIVE !!!}, car il nous permet de coexister pacifiquement et dans le respect de nos différences {OB : il n’y a qu’à voir comme on parle des Allemands oud es Grecs dans la presse, en effet}. Cette armature est à distinguer des politiques européennes, parfois trop tatillonnes et pas assez respectueuses des particularismes culturels de chaque pays », précise-t-il.
Est-ce parce qu’elle n’a « ni identité ni visage comme sur les billets de notre monnaie commune », comme l’a indiqué Mgr Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers, lors du débat dans l’hémicycle, que l’Europe souffre du désamour croissant des populations ? {OB : non, je pense que ce n’est pas à cause des billets, mais c’est simplement que les gens ont tendance à protester quand on les sacrifie pour aider les plus riches…} Sûrement, tout comme l’absence de symboles communs ou de fêtes de l’Europe n’aide pas à souder les peuples autour de cet idéal aujourd’hui écorné, ont rappelé les évêques. {OB : oui, c’est le principal problème, je crois que c’est clair. C’est quoi l’âge moyen chez les évêques ?}
Tous ont été sensibles aux élans volontaristes de l’intervention de Sylvie Goulard, en forme de plaidoyer pour la construction européenne. « Nous nous comportons en consommateurs : “Cette Europe ne me plaît pas ? Je la jette !” Or, nous avons oublié l’ambition des pères fondateurs, marqués par le christianisme – Schumann, Adenauer, De Gasperi : dépasser le cadre national. » {OB : ben c’est juste que les peuples ne le veulent pas et n’ont rien demandé, non ? En revanche, il me semble me rappeler que ça n’a pas plu quand les peuples ont demandé à dépasser le cadre de la religion…} Pour la députée européenne, qui craint que les élections du 25 mai ne tournent au « jeu de massacre », il est indispensable de rappeler aux jeunes générations « le chemin parcouru ». Elle l’a illustré en évoquant la prière de saint François : « Là où il y avait la haine, nous avons mis l’amour ; là où était l’offense, nous avons mis le pardon. » {OB : surtout, ne prend pas la route dans cet état, amie eurodéputée !}
Source : La Croix
]]>Europe : amour ou chambre à part ? Sylvie Goulard - 2013
▻http://www.taurillon.org/Europe-amour-ou-chambre-a-part-Sylvie-Goulard-2013,05985
Un appel à dénoncer la tyrannie et l’hypocrisie de la construction européenne dévoyée et sortir de la servitude volontaire, tel est l’objet de l’ouvrage de Sylvie Goulard, Europe : amour ou chambre à part ? publié chez Flammarion en septembre 2013. Il s’agit d’un cri du cœur de la part d’une députée européenne qui ne souhaite pas ajouter une nouvelle couche aux critiques dont l’UE fait régulièrement l’objet, mais bien secouer celles et ceux qui, inconsciemment ou à dessein, contribuent à la dérive (...)
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