person:ted malloch

  • L’“homme de Davos” a rejoint l’homme de Néandertal
    http://www.dedefensa.org/article/lhomme-de-davos-a-rejoint-lhomme-de-neandertal

    L’“homme de Davos” a rejoint l’homme de Néandertal

    Il est (ou était) extrêmement rare, par les temps qui courent (ou coururent) au rythme des anathèmes contre Moscou et sa terrible machine de propagande dont RT est l’arme et l’âme principales, de voir et d’entendre un officiel US du rang d’ambassadeur US auprès de l’UE répondre à une interview de dix minutes. (“Rare” et même sans précédent à notre connaissance pour la période rappelée ci-dessous...) Ted Malloch, qui attend sa nomination dès que le secrétaire d’État Tillerson se mettra effectivement au travail après le processus de sa confirmation du Congrès qui vient de se terminer, répondait donc ce 4 février aux questions de Afshin Rattansi qui le recevait dans son émission Underground, sur RT. Depuis l’interview qu’il a donnée à la BBC, Malloch a acquis une (...)

  • La procédure pour l’accréditation du nouvel ambassadeur-désigné des États-Unis auprès de l’Union européenne - M. Ted Malloch - pose un sérieux problème aux Institutions européennes.

    Au delà du caractère fort peu diplomatique - voire carrément désobligeant - des remarques publiques faites par M. Malloch sur l’UE et ses dirigeants, sa déclaration sur l’Euro parait en effet inacceptable

    https://www.uef.fr/suspendre-l-accreditation-de-m-malloch

  • Suspendre l’accréditation de M. Malloch
    http://www.uef.fr/suspendre-l-accreditation-de-m-malloch

    La procédure pour l’accréditation du nouvel ambassadeur-désigné des États-Unis auprès de l’Union européenne - M. Ted Malloch - pose un sérieux problème aux Institutions européennes. Au delà du caractère fort peu diplomatique - voire carrément désobligeant - des remarques publiques faites par M. Malloch sur l’UE et ses dirigeants, sa déclaration sur l’Euro parait en effet inacceptable (voir ci-dessus). Dans un domaine aussi sensible et névralgique que celui de la valeur et de la solidité d’une devise sur (...)

    #Tribunes

    / #États-Unis_d'Amérique

    « http://actualites.nouvelobs.com/monde/l-amerique-selon-trump/20170127.OBS4479/pourquoi-l-ue-doit-refuser-la-nomination-du-nouvel-ambassadeur »
    « http://www.bbc.com/news/business-38749884 »
    « http://bruxelles.blogs.liberation.fr/2017/01/27/ted-malloch-ambassadeur-pressenti-bruxelles-lue-cest-lurs »

  • Made in Trump : mais quel intérêt les Etats Unis auraient-ils à voir l’euro « exploser » d’ici 12 à 18 mois comme le prévoit le (probable) futur ambassadeur américain auprès de l’Union européenne ?
    https://www.crashdebug.fr/international/13121-made-in-trump-mais-quel-interet-les-etats-unis-auraient-ils-a-voir-

    Ted Malloch le probable futur ambassadeur américain pour l’Union Européenne est persuadé que l’euro va s’effondrer dans le 18 mois à venir. Si cette affirmation est relativement excessive, il est vrai que l’euro connait des difficultés contrairement à ce que Pierre Moscovici assène. Les Etats-Unis ont certainement un intérêt à voir une zone euro faible.

    Atlantico : ”L’euro peut s’effondrer d’ici 12 à 18 mois” a affirmé Ted Malloch probable futur ambassadeur des Etats-Unis à Bruxelles pour l’administration Trump. Pierre Moscovici a quand à lui répondu que si la zone euro avait besoin d’être plus unifiée la monnaie est solide. Quel est l’intérêt concret pour Donald Trump de déstabiliser la zone euro ?

    Edouard Husson : Ce qui est frappant, c’est que M. Moscovici tombe dans le piège (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

    • Ce n’est pas que les USA ont intérêt.
      L’euro est une calamité pour les pays de l’union_européenne, sauf l’Allemagne.

      La Tribune de Genéve - 18 Janvier 2017
      « Le problème de l’Europe c’est l’euro »
      . . . .
      Le ministre italien des Finances, Pier Carlo Padoan, s’en est pris vertement à l’UE, et plus particulièrement à la monnaie unique. Il a affirmé mercredi à Davos que le problème de l’Europe « c’est l’euro » et l’appelant à « prendre au sérieux le populisme ».
      . . . . . .

      http://www.tdg.ch/economie/probleme-europe-cest-leuro/story/31327016

  • Made in Trump : mais quel intérêt les Etats Unis auraient-ils à voir l’euro « exploser » d’ici 12 à 18 mois comme le prévoit le (probable) futur ambassadeur américain auprès de l’Union européenne ?
    https://www.crashdebug.fr/international/13120-made-in-trump-mais-quel-interet-les-etats-unis-auraient-ils-a-voir-

    Ted Malloch le probable futur ambassadeur américain pour l’Union Européenne est persuadé que l’euro va s’effondrer dans le 18 mois à venir. Si cette affirmation est relativement excessive, il est vrai que l’euro connait des difficultés contrairement à ce que Pierre Moscovici assène. Les Etats-Unis ont certainement un intérêt à voir une zone euro faible.

    Atlantico : ”L’euro peut s’effondrer d’ici 12 à 18 mois” a affirmé Ted Malloch probable futur ambassadeur des Etats-Unis à Bruxelles pour l’administration Trump. Pierre Moscovici a quand à lui répondu que si la zone euro avait besoin d’être plus unifiée la monnaie est solide. Quel est l’intérêt concret pour Donald Trump de déstabiliser la zone euro ?

    Edouard Husson : Ce qui est frappant, c’est que M. Moscovici tombe dans le piège (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • L’Europe menacée d’effondrement

    http://www.lemonde.fr/idees/article/2017/01/28/la-nuit-europeenne_5070492_3232.html

    Inquiets, les Allemands surveillent la scène politique française. Si la France bascule dans le populisme en mai, l’Allemagne sera terriblement fragilisée. Tout le projet européen en payera le prix.

    La scène se passe, jeudi 26 janvier, sous les lambris du Quai d’Orsay. Le ministre allemand des affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, qui va devenir « le président Steinmeier » en succédant à Joachim Gauck à la tête de l’Etat en février, fait ses adieux à la diplomatie française.

    Officiellement, M. Steinmeier est là pour le lancement de la Nuit des idées, rafraîchissante initiative de la culture française pour beau temps. Ce qui devrait être un moment léger, purement formel, prend soudain un tour grave. En fait de Nuit des idées, M. Steinmeier a visiblement des idées noires.
    En allemand, il évoque les élections françaises à venir, souligne qu’elles seront déterminantes non seulement pour la France, mais aussi pour l’Allemagne – et pour l’Europe. Puis il passe au français pour implorer son auditoire : « S’il vous plaît, ne cédez pas aux sirènes du populisme. »

    Un peu plus tôt, à la Sorbonne, le président Gauck est lui aussi venu faire ses adieux. Il y prononce un discours émouvant ; il y est question d’amour, de littérature et puis d’Europe bien sûr, l’Europe dont il rappelle qu’elle a « engendré beaucoup d’horreurs ». « Il n’y a nullement lieu de glorifier l’Europe, poursuit-il. Elle n’a jamais connu d’âge d’or et n’en connaîtra jamais. Elle est uniquement le théâtre d’une incessante lutte pour l’humanité, la liberté et le droit, la justice et la démocratie. »

    Peu d’alliés

    Cela ressemble à un tir groupé : le même jour à Berlin, le successeur de M. Steinmeier au ministère des affaires étrangères, Sigmar Gabriel, qui vient de renoncer à diriger le Parti social-démocrate (SPD), tire la sonnette d’alarme au Bundestag. « Après le Brexit, lance-t-il, si les ennemis de l’Europe marquent encore des points aux Pays-Bas et en France, alors le plus grand projet civilisationnel du XXe siècle, l’Union européenne, risque de s’effondrer. »

    En ce début 2017, l’Europe est assiégée. Nulle part la menace n’est ressentie de manière aussi aiguë qu’à Berlin. A l’ouest, Trump. A l’est, Poutine. Au sud, Erdogan.
    Ces hommes forts ont une culture politique à l’opposé de la nôtre, clament leur hostilité au projet européen qu’ils voudraient voir dépecé, célèbrent le Brexit, encouragent ceux qui seraient tentés de suivre le Royaume-Uni.

    Jeudi, l’homme qui se présente comme le prochain ambassadeur américain auprès de l’UE, Ted Malloch, a expliqué à la BBC que dans un poste précédent, il avait contribué à l’effondrement de l’Union soviétique, ajoutant : « Il semble qu’il y ait une autre Union qui ait besoin d’être un peu neutralisée. » Quant au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a dit M. Malloch, « il paraît qu’il a été un bon maire d’une petite ville du Luxembourg : il devrait y retourner ».
    Avec des amis pareils, qui a besoin d’ennemis ? Au-delà, hormis l’exception canadienne et le lointain Japon, l’Europe compte peu d’alliés.

    Panique à Berlin

    Si la Chine de Xi Jinping s’intéresse beaucoup à elle, c’est clairement plus pour ses entreprises que pour le « projet civilisationnel » qu’elle représente. L’Inde de Narendra Modi, politiquement plus proche, reste un abîme de complexité. Le Moyen-Orient est un volcan dont l’éruption touche maintenant directement l’Europe. L’Afrique, continent de toutes les promesses, est aussi celui d’où partent les flux migratoires, qui, incontrôlés, déstabilisent le Vieux Continent.
    Malgré elle, l’Europe se retrouve dépositaire de l’héritage des Lumières, cible de toutes les attaques. Elle-même n’est pas vaccinée contre ce virus, dont elle n’est que trop familière et qui se manifeste déjà sur son flanc oriental.

    C’est précisément ce qui sème la panique à Berlin en ce début 2017 ; l’année écoulée a été éprouvante pour les dirigeants allemands, tout particulièrement pour la chancelière Angela Merkel, soudain sacrée porte-étendard des valeurs européennes. Et cet étendard, elle ne veut pas le porter seule, encerclée par l’incendie, au moment où elle affronte une nouvelle campagne électorale, à l’automne, en vue d’un quatrième mandat.

    Tout naturellement, Berlin se tourne donc vers Paris. Mais le spectacle français inquiète les dirigeants allemands ; à trois mois du premier tour de la présidentielle, la présidente du Front national, Marine Le Pen, reste en tête des sondages avec un bon quart des intentions de vote, et les deux grands partis de gouvernement, à droite et à gauche, sont au bord de l’implosion.

    Scénario noir, scénario rose

    Imprudemment – après avoir commis la même erreur en 2012 avec Nicolas Sarkozy –, Angela Merkel s’est affichée avec François Fillon, aujourd’hui mis en difficulté par le « Penelope Gate ». Voilà pourquoi MM. Steinmeier, Gauck et Gabriel sonnent le tocsin.

    Si la France bascule dans le populisme en mai, l’Allemagne sera terriblement fragilisée. Et si l’Allemagne bascule à l’automne, c’est l’Europe qui s’effondre. « Ne sous-estimez surtout pas l’impact que vos élections ont de l’autre côté du Rhin, nous a confié un haut responsable de l’UE. Tout le monde vous regarde. Cette élection française est capitale, pour toute l’Europe. »

    C’est le scénario noir. Le scénario rose, le voici : le 7 mai, les Français élisent un président démocrate, européen, et donnent, après les Autrichiens en décembre 2016, un coup d’arrêt à la vague des scrutins insurrectionnels. Elu sur un programme novateur, ce président a pris la mesure de la révolte des laissés-pour-compte.

    Les Allemands ont, eux aussi, senti le vent du boulet ; cessant de s’arc-bouter sur la doctrine Schaüble, ils assouplissent leur politique économique. Le social-démocrate Martin Schulz et/ou Angela Merkel (démocratie chrétienne, CDU) forment un gouvernement.

    Ensemble, Paris et Berlin relancent le moteur franco-allemand et font repartir une Europe refondée, resserrée, renforcée. La seule capable de tenir tête aux délires de Donald Trump, s’il ne s’est pas calmé d’ici là, et de servir de boussole à ceux qui résistent.

  • Trump, Brexit et la guerre contre l’UE
    http://www.dedefensa.org/article/trump-brexit-et-la-guerre-contrelue

    Trump, Brexit et la guerre contre l’UE

    Plus les jours passent, et plus les actes de Trump suivis de certains de ceux qu’il met en place dans le gouvernement montrent d’extraordinaires évolutions de la politique des USA avec cette nouvelle administration, dans un sens antiSystème ouvert et proclamé, notamment et essentiellement grâce à la puissance du système de la communication. Ainsi de cette interview de l’ambassadeur pressenti des USA auprès de l’UE, dont les propos au cours d’une interview de la BBC sont totalement destructeurs et déstructurants.

    C’est James Delingpole, de BreitbartNews, qui nous présente cette interview de l’ambassadeur-pressenti Ted Malloch. Son discours est du type de celui que tiendrait un Farage dans cette position, – Farage qui va aller à FoxNews mais qui tiendra aussi un (...)

  • Diplomate américain : « L’euro pourrait s’effondrer d’ici 18 mois »
    https://www.crashdebug.fr/international/13111-diplomate-americain-l-euro-pourrait-s-effondrer-d-ici-18-mois

    Le candidat au poste d’ambassadeur des États-Unis à l’Union européenne, Ted Malloch, prédit l’effondrement imminent de la monnaie unique européenne.

    Dans une interview accordée à la BBC, le diplomate Ted Malloch, que le président Donald Trump pourrait désigner au poste d’ambassadeur américain à l’UE, prédit que la monnaie unique « pourrait s’effondrer » dans les 18 prochains mois.

    « Je pense que c’est une monnaie qui non seulement est en difficulté, mais qui a aussi un vrai problème et qui pourrait s’effondrer d’ici un an, un an et demie », estime-t-il.

    Homme d’affaires américain et ardent partisan du Brexit, M. Malloch ajoute que Washington et Londres pourraient conclure un accord de libre-échange dans les 90 jours après la sortie officielle du Royaume-Uni de (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales