person:thierry lepaon

  • Thierry Lepaon va être nommé délégué interministériel à la langue française 13 février 2107

    Deux ans après avoir été obligé de démissionner, le 7 janvier 2015, de son poste de secrétaire général de la CGT, à la suite d’affaires mettant en cause son train de vie, Thierry Lepaon va pouvoir entamer une nouvelle vie. Mardi 14 février, il devrait être nommé président de l’Agence nationale de lutte contre l’illettrisme (ANLCI), en remplacement de Marie-Thérèse Geoffroy, qui la présidait depuis 2012.

    A cette fonction (bénévole), la République, bonne fille, ajoute une cerise sur le gâteau : mercredi 15 février, M. Lepaon sera nommé, en conseil des ministres, délégué interministériel à la langue française pour la cohésion sociale auprès du premier ministre. Une nomination qui intervient plus tard que prévu car elle n’a pas fait l’unanimité au sein du gouvernement, certains ministres ne le jugeant pas politiquement opportune.

    Depuis son départ forcé de la direction de la CGT – à la suite de travaux d’aménagement de son logement de fonction à Vincennes (Val-de-Marne), pour lesquels la centrale l’a ensuite « blanchi » en reprenant sa ligne de défense, et dans son bureau au siège de la confédération à Montreuil (Seine-Saint-Denis) –, M. Lepaon rêvait de s’investir dans la lutte contre l’illettrisme, « une question de civilisation et de citoyenneté », selon sa formule.
    . . . . . . . .
    Depuis huit mois, M. Lepaon n’est plus salarié de la CGT (4 000 euros par mois avec un treizième mois) et se trouve donc rémunéré par les services du premier ministre. Compte tenu de la proximité de l’élection présidentielle, son nouveau poste va ressembler à un contrat à durée déterminée pouvant être remis en cause en mai par le futur gouvernement. Mais l’ancien secrétaire général de la CGT se montre serein : « Le projet gardera sa pertinence quel que soit le premier ministre demain ».

    https://seenthis.net/messages/480914
    #Corruption #pantouflage #prébende #Thierry_Lepaon #Syndicat #délégué_interministériel #langue_française #illettrisme

  • La succession hasardeuse, à la tête de la CGT, bute sur les défauts du leader !
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2373

    Un tel dommage, corrodant les caisses de la CGT, n’a pas droit de cité dans une organisation sociale. Plusieurs réunions, déclarations et réactions n’ont pas contraint Thierry Lepaon à la démission. Ces manœuvres retardent le dénouement disciplinaire, comme si la principale centrale syndicale des salariés de France a perdu un certain pragmatisme, depuis qu’elle est autonome du PCF. Un secrétaire général sur la sellette, mais cramponné dans la tornade de révélations sur des dépenses injustifiées et des (...)

    #associations,_mouvement,_vie_associative,_initiatives_citoyennes,_intérêt_commun,_communauté,_Etat,_institution

    / #crise,_capitalisme,_économie,_justice,_Bourse, #économie,_politique,_arts,_corruption,_opposition,_démocratie, chômeurs, emploi, social, syndicat, revendication, jeunesse, travailleurs, (...)

    #chômeurs,_emploi,_social,_syndicat,_revendication,_jeunesse,_travailleurs,_chômage #France_Sarkozy_justice_politique_scandale_UMP_PS_PCF

  • Suivre le modèle allemand, Bruno Amable
    http://www.liberation.fr/economie/2014/11/17/suivre-le-modele-allemand_1144805

    « Vous me dites : "On ne peut pas embaucher car ensuite il est impossible de licencier !" C’est faux, il est parfaitement possible à un chef d’entreprise en difficulté de licencier. » Cette citation ne provient ni du blog de Gérard Filoche (1) ni d’un discours de Thierry Lepaon. C’est François Ceyrac, le « patron des patrons », président du #CNPF, le #Medef d’avant 1998, qui faisait cette déclaration en 1977.
    En comparant avec les revendications actuelles de l’organisation patronale, on mesure à quel point les choses ont changé. Le Medef n’est pas plus monolithique que le CNPF de 1977, mais il est assez uni sur l’objectif de « #flexibilisation » du #marché_du_travail ; sa ligne la plus dure étant de l’avis de profiter de la faiblesse du gouvernement Valls pour pousser dans le sens d’une transformation radicale du #contrat_de_travail. Une des dernières revendications était de supprimer l’obligation de donner un motif de licenciement, ce qui nécessiterait de dénoncer la convention 158 de l’Organisation internationale du travail signée en 1982.

     
    L’objectif, envisagé par l’actuel gouvernement, semblerait être de faciliter la mise en place d’un « #contrat_unique » qui remplacerait les actuels #CDI et #CDD et serait caractérisé par une faible protection augmentant éventuellement avec la durée d’#emploi. Cette mesure figurait dans le programme électoral de Sarkozy en 2007 et dans celui de Bayrou en 2012 ; pas étonnant que Manuel Valls soit tenté de reprendre l’idée.

    Le « modèle » à suivre en matière de « réformes indispensables » se trouvant, comme chacun est tenu de le savoir, de l’autre côté du Rhin, il n’est pas inutile de revenir sur le rôle que le patronat a joué chez nos voisins allemands.

    Die Initiative Neue Soziale Marktwirtschaft, initiative (pour une) nouvelle économie sociale de marché (INSM) a été fondée et financée (160 millions d’euros d’ici à la fin 2018 tout de même) par le #patronat allemand de la métallurgie en 2000, avec pour objectif d’agir en vue d’une transformation du modèle allemand en une économie libérale à l’anglo-saxonne. Plus concrètement, son activité de propagande et lobbying visait à définir un agenda de #réformes #néolibérales à l’usage des partis politiques de gouvernement, et de tenter de retourner une opinion publique majoritairement hostile et inquiète face aux tentatives de libéralisation.

    Wolfgang Clement, le ministre, à l’époque social-démocrate, de l’Economie et du Travail du gouvernement #Schröder qui allait mettre en œuvre les réformes du marché du travail et de la protection sociale du début des années 2000 (réformes #Hartz, Agenda 2010), était partie prenante de l’INSM dès le début. Il a d’ailleurs fini par remplacer Hans Tietmeyer, ancien président de la Bundesbank, à la tête du conseil d’administration de l’INSM en 2012.

    Selon Daniel Kindermann, de l’université du Delaware, on peut distinguer deux périodes dans l’action de l’INSM : de 2000 à 2006, elle a préparé, puis soutenu les réformes Hartz, trouvant même le slogan principal de l’Agenda 2010 du chancelier Schröder : « Est social ce qui crée des emplois » . Pour le patronat allemand, cet Agenda 2010 n’était que la première étape vers des changements plus substantiels.

    #salariat #précarisation

  • La #cgt paye les 130.000€ de travaux de son secrétaire général Thierry Lepaon
    https://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/10/30/la-cgt-paye-les-130-000e-de-travaux-de-son-secretaire-ge

    Selon le Canard Enchaîné à paraître demain, les travaux de rénovation de l’appartement de fonction de Thierry Lepaon, numéro un de la CGT, ont coûté 130 000 euros au #syndicat. « On n’a pas osé le loger à Clichy ou à … Continue reading →

    #SOCIAL_TRAITRISE #abus_de_pouvoir #chef #hiérarchie #jaune #social_traitre

  • La #cgt paye les 130.000€ de travaux de son secrétaire général Thierry Lepaon
    http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/10/30/la-cgt-paye-les-130-000e-de-travaux-de-son-secretaire-ge

    Selon le Canard Enchaîné à paraître demain, les travaux de rénovation de l’appartement de fonction de Thierry Lepaon, numéro un de la CGT, ont coûté 130 000 euros au #syndicat. « On n’a pas osé le loger à Clichy ou à … Continue reading →

    #SOCIAL_TRAITRISE #abus_de_pouvoir #chef #hiérarchie #jaune #social_traitre

  • En Alsace, la CGT Equipement demande la fermeture de la centrale de Fessenheim - Reporterre
    http://www.reporterre.net/spip.php?article6205

    La CGT n’est plus monolithique sur l’énergie nucléaire. Dans une lettre adressée à son secrétaire général, Thierry Lepaon, et que Reporterre publie aujourd’hui en primeur, la section CGT Equipement Environnement d’Alsace prend position sans ambiguïté pour la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim.

    #CGT #nucléaire

  • La CGT condamne le BDS (via @alaingresh)
    http://www.crif.org/fr/lecrifenaction/la-cgt-condamne-le-bds/48957

    Au cours de l’entretien avec le Président du CRIF, les responsables de la CGT Thierry Lepaon, Secrétaire Général et Éric Laffont, secrétaire confédéral, ont démenti tout soutien au BDS (Boycott Désinvestissement Sanction), contre Israël ; ils ont affirmé que si des militants de la CGT ont pu, ici ou là, afficher un tel soutien, ils n’avaient aucun mandat pour le faire.

  • "Dans un entretien aux Echos, vendredi 25 octobre, Thierry Lepaon estime qu’il n’est « pas normal que la représentativité des syndicats ait été négociée avec les employeurs et pas l’inverse ». « C’est de l’anti-démocratie sociale », affirme-t-il. Sur le fond, le secrétaire général de la CGT souligne que « la solution préconisée ne nous convient pas. Dans un pays démocratique, c’est l’élection qui conditionne la légitimité ». Et Thierry Lepaon appuie là où cela peut faire mal : « Qui va contrôler la réalité des adhésions ? ». Il n’y a, en effet, aucun consensus entre les trois organisations patronales sur le nombre d’adhérents que chacune revendique. De beaux débats en perspective..."
    http://social.blog.lemonde.fr/2013/10/25/les-deux-poids-et-deux-mesures-de-la-representativite