person:tim geithner

  • Democrats can’t win until they recognize how bad Obama’s financial policies were - The Washington Post
    https://www.washingtonpost.com/posteverything/wp/2017/01/12/democrats-cant-win-until-they-recognize-how-bad-obamas-financial-pol

    Two key elements characterized the kind of domestic political economy the administration pursued: The first was the foreclosure crisis and the subsequent bank bailouts. The resulting policy framework of Tim Geithner’s Treasury Department was, in effect, a wholesale attack on the American home (the main store of middle-class wealth) in favor of concentrated financial power. The second was the administration’s pro-monopoly policies, which crushed the rural areas that in 2016 lost voter turnout and swung to Donald Trump.

    #Obama didn’t cause the financial panic, and he is only partially responsible for the bailouts, as most of them were passed before he was elected. But financial collapses, while bad for the country, are opportunities for elected leaders to reorganize our culture. Franklin Roosevelt took a frozen banking system and created the New Deal. Ronald Reagan used the sharp recession of the early 1980s to seriously damage unions. In January 2009, Obama had overwhelming Democratic majorities in Congress, $350 billion of no-strings-attached bailout money and enormous legal latitude. What did he do to reshape a country on its back?

    #finance

  • Noyau rationnel, mouvement réel : Badiou et Théorie Communiste à l’âge des émeutes
    http://dndf.org/?p=12747

    Mais le marxisme n’est pas l’économie politique du genre pratiqué par Tim Geithner ou Milton Friedman, mais une critique de l’économie politique, qui relie l’analyse historique du capitalisme comme mode de production et le système de relations sociales à la théorie et la pratique de la lutte de classe au sein de et contre elle. Comprise comme une critique partisane de l’économie politique et comme une analyse rationnelle de la lutte de classe, les véritables porteurs contemporaines de la tradition marxiste ne sont pas Antonio Negri ou Christian Marazzi, ni marxologues académiques enregistrement des cours sur le capital, mais des groupes comme Notes (au Royaume-Uni et aux États-Unis), Blaumachen (en Grèce), Riff Raff (en Suède), Kosmoprolet (en Allemagne), et, plus important encore, Théorie Communiste (en France). En ce qui concerne la relation entre le marxisme et le communisme, c’est le travail de ce dernier groupe que je veux étudier aux côtés de l’analyse de Badiou sur le moment présent, ce qu’il appelle l’âge des émeutes.

    #communisme #communisation #théorie

    • Je viens de parcourir la traduction automatique de cet article de Nathan Brown édité par le journal Lana Turner et je suis encore tout remué, ahuri même, par ce discours abscons qui épuise le lecteur et cloue au pilori son auteur même.
      Cela mérite certes d’être examiné pour comprendre comment des esprits peuvent se perdre dans une imbécillité théorique sans limite, pathos qui fournit une preuve du risque de déraison de l’intelligence.
      ("L’âge des émeutes" annonce pompeusement A. Badiou, âge qu’il divise en sous-concepts, etc. Le même qui encore récemment appelait à la mobilisation contre les « réactionnaires » accusés de vouloir « criminaliser à coup d’anecdotes » des figures telle celle de Mao Zedong. )
      On n’en finira donc jamais avec ces momies sanglantes et leurs perroquets occidentaux ?

    • C’est pas pour Badiou que j’ai mis ce texte, mais parce que ça nous arrive de lire TC. T’es juste « ahuri » parce que tu n’aimes pas Badiou et les maoïstes ? Le contenu théorique de l’article est pourtant assez loin du maoïsme, en quoi exactement consisterait l’"imbécilité théorique sans limite" de celui-ci ?

    • J’ai aperçu effectivement qu’il n’était pas question de Badiou au centre de ce texte.
      Ce n’est pas que je n’aime pas ce gus, c’est que je l’ai lu. Différence.
      ( Et je l’ai même entendu parler d’amour, amour non pas du prolétariat, mais de sa femme, ça ne manquait d’ailleurs pas de sincérité, ni de fadeur.)

      En fait, pour le reste, il était bon d’exposer ce texte car il est l’exemple quasi-parfait de la sottise intellectuelle lorsqu’on s’avise de raisonner au moyen d’un jargon confidentiel.
      Puisque tu parais avoir compris de quoi il est question, pourrais-tu le résumer ? Ce serait - je l’avoue-un fier coup de main pour ce qui me concerne.

  • Sommet UE-US : les mensonges et omissions - Great America
    http://washington.blogs.liberation.fr/great_america/2011/11/sommet-ue-us-les-mensonges-et-omissions.html

    En réalité, Barack Obama est très inquiet de la crise de l’euro et l’a fait savoir ce lundi encore, en invitant aussi son secrétaire au Trésor, Tim Geithner à se joindre aux entretiens avec les dirigeants européens. Dans ses discours aux Etats-Unis, Obama a pris l’habitude de citer la crise de l’euro, avec le tsunami japonais, comme explication des difficultés actuelles de l’économie américaine. Pour le cas où le président américain en ferait trop sur ce thème, ses invités européens avaient d’ailleurs préparé tout un contre-argumentaire sur la dette américaine et le récent échec du « super-comité » washingtonien censé réduire les déficits… Selon un diplomate qui a participé aux entretiens à la Maison Blanche, les Européens n’ont finalement pas eu besoin lundi de sortir leur couplet sur les dérives budgétaires et la paralysie politique de ce côté de l’Altantique. Mais dans sa déclaration publique, José Manuel Barroso a tout de même rappelé que les problèmes européens actuels proviennent de la « crise financière de 2008 », c’est-à-dire de la crise américaine… Sur le fond, les dirigeants américains ont encore une fois assuré qu’ils sont prêts à aider l’Europe... mais sans débourser l’argent du contribuable bien sûr (au dernier G20 de Cannes, Obama a déjà bloqué l’idée d’un renflouement de l’Europe avec l’aide du FMI).