person:valérie pécresse

  • Régionales en Île de France : En cas de victoire, Pécresse emporterait la courte tête de Bartolone - La Pravda
    http://lapravda.fr/regionales-en-ile-de-france-en-cas-de-victoire-pecresse-emporterait-la-cour

    Selon un sondage Ifop pour le JDD, la liste de droite oligarchique conservatrice emmenée par Valérie Pécresse devancerait d’un point celle de la gauche ploutocratique conservatrice de Claude Bartolone au second tour des régionales en Ile-de-France.

  • Le passe Navigo à tarif unique dès mardi, une révolution pour 3,8 millions de Franciliens - Lagazette.fr
    http://www.lagazettedescommunes.com/388924/le-passe-navigo-a-tarif-unique-des-mardi-une-revolution-pour-3

    Mais pour ses opposants, il s’agit d’une décision onéreuse, à l’heure où les transports publics peinent à se financer et où la rénovation des réseaux est nécessaire. A commencer par la tête de liste Les Républicains pour les régionales en Ile-de-France, Valérie Pécresse. Mais aussi les professionnels du transport public, qui alertent depuis plusieurs années sur une crise du modèle économique, qui risque de faire reculer l’offre de transports en commun.

    Quelle mauvaise foi, quand on sait la faible part de la billetterie sur le budget global.
    Par contre, c’est bien de cesser de punir eux qui ne sont pas assez riches pour vivre près du centre.
    #transports

    • Tant que la politique immobilière n’est pas changée, je ne vois pas pourquoi les exclus du centre-ville devraient en plus se cogner des surtaxes. Tous les banlieusards ne vivent pas dans un « samsuffit ». Et encore mieux que de pousser tout le monde à s’entasser au même endroit (l’éthologie nous apprend que les fortes densités de population ne sont pas souhaitables du tout), il faudrait cesser de faire du centre de Paris le seul endroit où il est possible d’exercer beaucoup de professions.

    • double tranchant. A court terme Agnès a raison, à moyen terme Aude a sans doute raison. Mais le vrai problème est de considérer Paris comme le centre, et ne pas avoir une IDF poly-centré, avec des emplois et des logements proches. Mais malheureusemnt les compétences du CR régional en matière d’aménagement du territoire sont limités (voir les difficultés qu’à posé le SDRIF, que l’État tente de rejeter à chaque fois car pas assez « compétitif »).

    • Oh ben moi, je suis pour le démontage, @aude_v, parce que je me pose pas la question en terme de gouvernement raisonnable (y crois pas), juste parce que les RSA ont fini par obtenir de l’IDF (dernière de ttes les régions en la matière) une gratuité pour toutes zones, et que ça m’a permis de quitter Paris en stop, aller en foret, voir des potes en zone 5, prendre un avion low cost sans me faire taxer le transport vers l’aéroport, ou aller chercher des amis à l’aéroport sans que ça coute un (petit) bras. Et que je le lis aussi comme un pas possible vers une gratuité sans condition. À partir de laquelle aussi peut-être diverses mise en cause pratiques de la mégapole pourraient apparaître.

      Oui, ça va aussi favoriser l’étalement urbain, améliorer (rendre plus productive) sans doute la chasse aux fraudeurs (et en particulier la traque des "sans papiers"), et fluidifier le marché de l’emploi, donc la concurrence (non sans effets bénéfiques - ?- pour les population reléguées dans l’absence de salaires dans des zones de relégation urbaine...) ; quant à l’argument des plus riches qui en profitent, sauf luttes égalitaires qui marquent des points (comme ce fut le cas sur les salaires durant les 60’ et 70’) c’est le cas de toutes les formes de socialisation de l’économie et des besoins : école, santé, alloc logement ou chômage.

      Sinon, désolé, je me souviens pas des toi qui a dit une fois me connaître, ni de Bastien.

      Et par ailleurs, je continue à me demander à quel point seenthis est pas pris dans les travers du réseau social, tel qu’unartile récent les exprime à sa façon : « Les réseaux sociaux sont devenus pour bon nombre d’entre nous un journal intime exposé à la vue de tous . Ces plateformes ont su créer chez certains une dépendance en s’installant dans nos vies du réveil au coucher, jusqu’à s’imposer comme le premier réflexe pour y exposer les peines les plus personnelles »
      http://www.liberation.fr/apps/2015/08/facebook/#chapitre-1

      Autant voire plus que la chronophagie de la chose, par laquelle je ne suis pas épargnée, m’inquiète une manière d’exhibition de l’intime que je ressens comme un renouveau de la force de l’aveu, déplacé, "librement consenti". On a beaucoup pensé "le personnel est politique", sans doute pas n’importe où et pas n’importe comment. On a beaucoup récusé les discours théoriques abstraits, voire la fascination pour la théorie, les discours généraux et tablé sur la prise de parole à la première personne mais là aussi c’était, c’est une forme d’égalisation des rapports, et elle passe par la disqualification des experts, supposés sachants, etc. Or ici, je suis souvent gêné des lire des bouts de récits trop personnels à mon goût, me trouve démuni devant tel ou tel drame exposé ici, telle ou telle souffrance, expérience, et parfois un peu envahi (aucune accusation dans ce que je dis là).

      On est pas ici dans un groupe de pairs (précaires, femmes, alcooliques, ...), c’est pas un mécanisme comme le coming out (je suis fier d’être ce qui est supposé méprisable, bas), c’est pas les espaces dédiés du type confession ou cure mais bien une sorte d’espace public. Du coup, ici je tiens à un (relatif) anonymat, à une forme d"impersonnel. J’aurais pas envie de raconter du lourdement traumatique, par exemple. Tout en sachant qu’une suite de post fait bien fonction de ’forme de journal intime"

  • http://www.francetvinfo.fr/economie/transports/trains-intercites-les-reactions-se-multiplient_922439.html

    J’adore l’UMP... Taire le fait que depuis 40 ans on a construit des autoroute flambants neuves le long de voies ferrées aujourd’hui désuètes, et pointer du doigt de devinez-qui ?

    Cibler les fraudes
    Valérie Pécresse, la députée UMP des Yvelines préconise de son côté une meilleure surveillance des fraudes. « Ma priorité, c’est d’abord d’augmenter les recettes de la SNCF. Si certaines lignes sont déficitaires, c’est peut-être parce que la SNCF n’a pas les moyens d’aller lutter efficacement contre la fraude qui aujourd’hui prospère de manière incroyable et qui est de moins en moins supporté par les Français », commente Valérie Pécresse avant d’ajouter « quand il y a trop de fraudes, ce sont les contribuables et les voyageurs qui payent à la place des fraudeurs ».

    #niveau_zero_de_la_politique
    #fraudeurs
    #transport

  • Réforme du #RSA : la désinformation de Valérie Pécresse
    http://alternatives-economiques.fr/blogs/abherve/2015/03/08/reforme-du-rsa-la-desinformation-de-valerie-pecresse

    Alors qu’en touchant la #PPE la personne était un contribuable accédant à un #droit automatique, elle doit maintenant, pour obtenir le RSA-activité, remplir une déclaration trimestrielle de l’ensemble des ressources – d’activité et autres – dont elle-même et les membres de son foyer disposent. Elle se trouve ainsi transformée en #demandeur d’aide sociale, ce que la plupart ne souhaitent pas…

    #non-recours comme source d’#économies

  • Déroger aux Droits de l’homme ? Voici comment ça peut être légal
    http://www.brujitafr.fr/2015/01/deroger-aux-droits-de-l-homme-voici-comment-ca-peut-etre-legal.html

    Ce lundi matin sur RTL, Valérie Pécresse a appelé le gouvernement à déroger à certains des droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Juridiquement, de telles dérogations sont possibles, notamment s’agissant de la liberté d’expression, de la vie privée, ou de la liberté de réunion. Mais pas sans conditions.

    La phrase a fait bondir sur les réseaux sociaux, mais elle est juridiquement exacte. Interrogée ce lundi matin sur RTL, l’ancienne ministre Valérie Pécresse, qui avait été la première à parler de la nécessité d’un "Patriot Act à la française" après les attentats de janvier 2015, a prévenu qu’il était possible de déroger à des droits prévus par la Convention Européenne des droits de l’homme (CEDH). C’est tout à fait vrai. Sur le (...)

  • Fillon-Lagarde, nouveau couple : Les participants au Bilderberg de 2013 se préparent-ils pour les présidentielles de 2017 ?
    http://www.brujitafr.fr/article-fillon-lagarde-nouveau-couple-les-participants-au-bilderberg-de-20

    (article du 11/06/2013 ) Après François Baroin, Christine Lagarde est l’autre cible favorite de l’ancien Premier ministre. Paru dans leJDD François Fillon et Christine Lagarde ont été invités par la Fondation Bilderberg. (Reuters) Deux jours à Londres avec Christine Lagarde et Valérie Pécresse. Après son émission sur France 2 jeudi, François Fillon a rejoint ses deux anciennes ministres invitées, comme lui, par la Fondation Bilderberg qui regroupe le gotha du capitalisme mondial. Si sa proximité avec Pécresse n’est pas nouvelle, l’ancien chef de gouvernement ne rate pas une occasion de faire savoir ses rencontres avec la patronne du FMI. Ils s’étaient déjà vus courant mai, juste avant que l’ex-ministre ne (...)

    #Nouvel_Ordre_Mondial

  • Hollande, Pécresse, Valls et Mélenchon au pot de départ d’une journaliste : « Mal à l’aise »
    http://www.brujitafr.fr/article-hollande-pecresse-valls-et-melenchon-au-pot-de-depart-d-une-journa

    Le pot de départ d’une journaliste de l’AFP, qui a réuni tout le gratin politique, de François Hollande à Christian Jacob, suscite des commentaires acerbes sur Twitter. Certains y voient un « mélange des genres ». Florilège. Un pot de départ d’une journaliste AFP a réuni un certain nombre d’hommes politiques, de droite comme de gauche. Capture Twitter Bruno Jeudy Manuel Valls et Valérie Pécresse au même apéro ? La scène est atypique et pourtant elle a eu lieu jeudi soir dans les locaux de l’Agence France Presse (AFP) pour le pot de départ de Sylvie Maligorne, la chef du service politique. Outre le nouveau Premier ministre et l’ex-ministre UMP figuraient nombre d’invités politiques de premier plan et de tous bords : (...)

    #ACTUALITES

  • Excellent coup politique du gouvernement :
    « L’écotaxe, suspendue la semaine dernière par le gouvernement Ayrault, était censée rapporter 1,15 milliard d’euros par an, dont 20 %, soit 250 millions d’euros, pour Ecomouv’, société appartenant à 70 % au groupe italien Autostrade per l’Italia.

    Le contrat a été signé par François Fillon, premier ministre à l’époque, Nathalie Kosciusko-Morizet et Valérie Pécresse, alors ministre chargée du budget. Ecomouv’ appartient à 70 % à la compagnie italienne Autostrade per l’Italia. Le reste de son capital est partagé entre le groupe français d’électronique et de défense Thales, Geodis (filiale de la SNCF), l’opérateur de télécommunications SFR et Steria, société d’ingénierie informatique. »

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/11/05/contrat-ecomouv-aberrant-pour-cope-transparent-pour-nkm_3508138_823448.html

  • L’Etat-Providence selon l’UMP, c’est un Etat protecteur pour les possédants... Si si, il doit protéger les épargnants de l’impôt et les rassurer de l’incertitude anxiogène qui pèse sur leur placements...
    Du coup à l’UMP, ils jouent les métallurgistes pour leur faire des bouclier fiscaux : de l’or, du platine... Mais jusqu’où iront-ils ?

    En faisant des contre-propositions
    Certains, comme Valérie Pécresse, ont la critique constructive et font des propositions. Dans une interview accordée à L’Expansion, l’ancienne ministre du Budget estime que le recul du gouvernement illustre « un grand cafouillage ». « Un gouvernement qui change de pied tous les jours en matière fiscale, c’est extrêmement anxiogène. » Elle propose donc « une règle d’or fiscale » pour protéger et rassurer les épargnants. Valérie Pécresse devrait déposer une proposition de loi constitutionnelle lundi « pour dire qu’un impôt ne doit pas changer plus d’une fois tous les cinq ans et surtout qu’on ne peut pas l’augmenter de manière rétroactive », explique-t-elle.

    Autre suggestion, autre métal avec Frédéric Lefebvre. Le député UMP des Français de l’étranger lance lui une pétition en faveur d’une « règle de platine », qui interdirait des prélèvements fiscaux supérieurs à la moyenne européenne. « De la même façon que la ’règle d’or’ empêche dorénavant un gouvernement de présenter durablement en déficit les dépenses de fonctionnement, il est urgent que ce même gouvernement ne puisse dépasser un certain niveau de pression fiscale sur les citoyens. C’est ce que nous appellerons une ’règle de platine’ », détaille-t-il.

    http://www.francetvinfo.fr/economie/impots/impots/fiscalite-comment-l-ump-profite-des-cafouillages-du-gouvernement_445508
    Les ténors de l’opposition multiplient les offensives dans les médias et font des propositions

    non mais #lol, quoi !!

  • Crédit d’impôt recherche: la gabegie
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/09/cr%C3%A9dit-dimp%C3%B4t-recherche-la-gabegie.html

    Le rapport de la Cour des Comptes sur le crédit d’impôt recherche confirme amplement les critiques de sa réforme par Nicolas Sarkozy et Valérie Pécresse. Il pose surtout de graves questions sur la véracité des élements donnés par le gouvernement aux Députés et Sénateurs qui ont voté cette réforme. Au delà de ce rapport, une enquête parlementaire s’impose.

    Tout d’abord, la Cour établit la facture - en termes de non-rentrées fiscales. La réforme sarkozyste du CIR créé en 1983 a fait exploser le compteur. Son effet continue d’augmenter car l’entreprise bénéficie de ce CIR jusqu’à quatre ans après l’année de déclaration. Du coup, explique la Cour : « du fait des mécanismes qui permettent aux entreprises de reporter durant quatre exercices leur droit à crédit d’impôt et de la mise en oeuvre du plan de relance
    Le CIR fait effet durant 4 ans après déclaration
    (2009-2010), le niveau de la dépense fiscale incluse dans la première partie des lois de finances est bien plus faible. En 2013, un ressaut de 1,05 Md€ a été intégré dans le budget de l’État. En 2014, un ajustement d’une ampleur plus importante sera nécessaire : il devra être d’au moins 2 Md€, correspondant à une dépense fiscale d’au moins 5,3 Md€. La dynamique du CIR devrait se poursuivre par la suite pour converger rapidement vers 6 Md€, puis 7 Md€. »

    #Crédit_d'_impôt
    #Recherche
    #Gabegie

  • Jean GADREY » Blog Archive » Retraites : quand on veut noyer ses vieux…
    http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2013/09/03/retraites-quand-on-veut-noyer-ses-vieux%E2%80%A6/#

    Retraites : quand on veut noyer ses vieux…

    les derniers articles | imprimer | envoyer a un ami

    La première des questions relatives aux retraites n’est pas de savoir ce que seront en 2050 ou 2060 le rapport retraités/cotisants et le PIB par habitant. Elle est de délibérer de la vie après (et donc pendant) celle du travail « à but économique », tout autant que du sens du travail et des autres activités et moments qui font que la vie vaut d’être vécue. Derrière toute politique publique des retraites, on trouve des représentations conflictuelles de la « valeur » (non économique) de la vie des personnes ayant quitté la sphère du travail économique et des rapports qu’elles entretiennent avec leurs concitoyens de tous âges.

    Pour les grands acteurs du capitalisme financier, c’est simple : les retraites sont une charge et les vieux un fardeau. C’est leur vision de toute la protection sociale – ne parlent-ils pas des charges des entreprises ? – mais aussi des impôts et des taxes, y compris environnementales. Ils abhorrent ces « charges », associées à des biens communs, qui sont pour eux des maux privés et autant d’obstacles à la « libre » exploitation des humains et de la nature. À l’exception des vieux encore rentables selon leurs critères, ou de ceux qui fréquentent leurs conseils d’administration et les institutions politiques plus ou moins sous leur coupe, ils entendent bien faire payer la crise, dont la réforme en cours des retraites, aux retraités AUSSI. En fait, tout le monde va payer, à l’exception des entreprises, qui verront leurs petites hausses de cotisations intégralement compensées par divers cadeaux - religion de la compétitivité oblige - l’essentiel restant de baisser les pensions (le « fardeau ») par divers moyens. Mais tout un travail de propagande s’impose pour y parvenir.

    DES VIEUX TROP NOMBREUX ET TROP COÛTEUX

    Première technique : quand on veut « noyer ses vieux », on en rajoute sur leur nombre à venir (c’est l’aspect démographique) et sur ce qu’ils vont coûter (c’est l’économie de la chose). Pour commencer, démographie fantaisiste à l’appui, on invoque le « péril vieux » devant une opinion qui manifeste souvent une coupable tendresse pour des parents, grands-parents et autres vieux schnoks jugés « improductifs » mais en réalité producteurs de multiples richesses constitutives du bien vivre, à la fois pour les autres et pour eux-mêmes.

    D’où des slogans mensongers sur le plan démographique, mais que les politiques et les affairistes reprennent en boucle. C’est le « fléau du vieillissement » de Valérie Pécresse, c’est Le Monde assurant que « les vieux sont en passe de devenir majoritaires ». Autant de fantasmes politiquement orientés : même en 2060, où l’on devrait atteindre la proportion maximale de plus de 60 ans, il y aurait selon l’Insee un tiers de moins de 30 ans, un tiers de 30-60, et un tiers de plus de 60 ans.

    La cause est-elle entendue ? Non, car nous disent les prêtres de LA réforme, ce qui compte c’est le « fardeau » financier que les « actifs » vont devoir supporter pour entretenir ces incorrigibles retraités s’obstinant à vivre aux crochets des premiers. Et c’est là qu’ils vous sortent avec gourmandise l’implacable ratio retraités/actifs, ou son cousin, dont l’appellation est tout un programme d’enfumage symbolique, le « ratio de dépendance vieillesse », défini comme le rapport entre le nombre de personnes âgées de plus de 65 ans et la population en emploi.

    #retraites
    #paupérisation ( organisée )
    #ratio
    #PIB

    • En réponse à votre hastag #jeunisme, il me semble que vous avez occulté les gains de productivité qui sont passés de la productivité ( gains de production) -> vers le capital.
      Une petite vidéo en brosse les contours http://sco.lt/7Prv2P .

      Quand passe-t-on de jeune à vieux ?

      ce petit texte de Cavanna ( Esquisses )
      « Vous saviez çà, vous ? Quand un type est ramassé, sur la voie publique ou ailleurs, à la suite d’un malaise, les flics ou les pompiers l’emportent dare-dare vers l’Hôpital le plus proche. Eh bien, de deux choses l’une. Ce type a atteint ou n’a pas atteint l’âge de soixante-cinq ans. S’il ne l’a pas atteint, on va l’aiguiller vers le service adéquat : traumatologie, poumons, coeur, ou il faut, quoi. Bien. Maintenant, si le type a dépassé les soixante-cinq printemps, il est automatiquement viré en gérontologie ( ou gériatrie, je laisse le choix).
      Autrement dit, au-delà d’un certain âge, il n’existe plus qu’une maladie ; la #vieillesse. ) » ... la suite de ce texte « exquis » dans Charlie Hebdo du 4 septembre n°1107

      je vous propose un autre hastag #Âgisme ? .

    • Agisme me convient bien, c’est ce que je voulais dire avec le terme jeunisme, c’était l’idée de l’âge comme critère de discrimination.
      Je ne vois pas le lien avec les gains de productivité en revanche.

      Mais je suis d’accord. Ça fait 6 mois que j’essaie de mettre en forme un article dans lequel je milite pour qu’on arrête d’essayer de défendre ce système de retraite par répartition individualisée, dont l’assiette de financement repose sur la masse salariale des entreprises (c’est à dire que les boites qui réduisent leur masse salariale (licenciements, précarisations, délocalisations..) sont favorisées par rapport à celles qui au contraire privilégient l’emploi). Je milite pour que les « charges sociales » des entreprises soient calculées désormais non plus sur la masse salariale, mais sur leur excédent brut d’exploitation (un peu comme l’impôt sur les sociétés en fait, mais moins en bout de chaine quand même). Ainsi on retrouverait la philosophie de la fiscalité présentée dans la constitution, où les contributeurs participent aux efforts de solidarité nationale (allocations retraites, maladie ou chômage) à hauteur de leurs capacités financières, et non selon une approche individualiste où chaque travailleur est sensé cotiser pour sa pomme façon chaine de Ponzi et dans laquelle on taxe son salaire pour financer les besoins du moment, et qui fait que les boites ont tout intérêt à réduire leurs dépenses salariales pour s’en foutre plein les fouilles...)

  • Censure : un air de Second Empire
    http://blogs.mediapart.fr/blog/francois-bonnet/190713/censure-un-air-de-second-empire

    Est-il par exemple question de vie privée quand Patrice de Maistre rencontre Liliane Bettencourt dans sa fonction de gestionnaire de fortune et lui dresse l’état des lieux des comptes cachés en Suisse, lui fait signer des chèques à Nicolas Sarkozy, Éric Woerth et Valérie Pécresse, lui résume les conversations en cours avec le procureur de Nanterre Philippe Courroye, alors saisi d’une plainte pour abus de faiblesse ? Est-il question encore d’intimité de la vie privée quand une bande d’aigrefins dévalisent par centaines de millions d’euros une vieille femme qui n’est plus en possession de ses moyens ?

    #affaire #censure au nom de la #vieprivée contre le #whistleblowing

    « Descente dans les ateliers de la liberté de la presse ». On y reconnaît sur la gauche Louis-Philippe qui plaque sa main sur la bouche d’une ouvrière symbolisant la liberté de la presse. Derrière lui se tient le député et magistrat Jean-Charles Persil, avec son nez en forme de bec de perroquet et, à la main, une grande paire de ciseaux. Lithographie de Grandville (1832).

  • Valérie Pécresse opposée au congé parental du gouvernement : « Pensez-vous que le plus grand nombre de pères ont envie de changer des couches ? » - Lelab Europe1
    http://lelab.europe1.fr/t/valerie-pecresse-opposee-au-conge-parental-du-gouvernement-pensez-vous

    Pour quelle raison ? Valérie Pécresse y répond d’abord par une question :

    Pensez-vous que le plus grand nombre sont les pères qui ont envie de changer des couches ?

    Aux hommes incomberaient donc des tâches plus sérieuses. Mais les pères de famille auront beau vouloir changer les couches de leur enfant, cela serait mal vu, selon Valérie Pécresse :

    Il faut certes inciter les pères à prendre un congé mais ils le prendront d’autant plus volontiers avec un enfant un peu plus âgé, et cela sera socialement mieux vécu par les entreprises de voir les pères s’impliquer dans des problèmes un peu plus compliqués.

    Et c’est une femme qui dit ça...

    • Exact Agnès, je suis fasciné comment Mme Pécresse (une femme) cherche à se mettre à la place d’un homme. Les pauvres ne doivent pas être forcés à faire ce que font les femmes... Dans cet article, rien sur les femmes défavorisées professionnellement par le « risque » de maternité et de congé mat’ uh ?

    • Mais la question de savoir ce dont les femmes ont envie n’a pas l’air de se poser du tout... Pas plus que de ce qu’elles ont besoin. Le fait que la majorité des pauvres, se sont des femmes qui se font plaquées toutes seules avec les moutards dont les mecs n’ont pas envie de l’encombrer, tout le monde s’en fout aussi.
      Plutôt que d’ergoter sur le mariage, on aurait pu parler de la parentalité hors mariage, qui est tout de même très répandue, non ?

    • Désolé, ça me fait chier de sembler prendre la défense de Pécresse, mais pour le coup, ça sent la petite phrase isolée sortie de son contexte pour fabriquer du buzz moraliste sur le Web. (Oh, et dis-donc, c’est « Le Lab », qui est justement un spécialiste du genre.) D’ailleurs Pécresse a rédigé un rapport en 2007 sur le sujet ; malgré tout ce que je pense de cette dame, je suppose qu’elle est capable de dire autre chose sur la question que trois petites phrases qu’on peut retourner dans le sens qu’on veut.

      Pécresse, sa petite-phrase-sortie-de-son-contexte, tu peux parfaitement le lire exactement dans l’autre sens : certes il faut que les enfants participent plus à l’élevage des mouflets, mais quand la tâche principale consiste à se lever plusieurs fois par nuit, à torcher le niard, à nettoyer les vomis, à attendre le rot qui ne vient pas à 3 heures du mat et à être dans un état semi-permanent de zombification parce que tu ne peux jamais dormir complètement, ouvrir la possibilité aux pères de se charger de cette joyeuseté, elle pense que c’est pas du tout efficace.

      En gros, que c’est un peu comme si sa gracieuse majesté interdisait aux riches et aux pauvres de dormir sous les ponts.

      Je ne vois d’ailleurs pas que soudain la gauche voudrait obliger les hommes à l’égalité des tâches ménagères à la maison.

    • @arno : oui, je suis d’accord ; cela dit, on peut admettre, tout problème de contextualisation mis à part, qu’elle a été un peu maladroite.

      Concernant le projet de loi, je ne sais pas trop de quoi il retourne. J’ai lu briévement une histoire de congé paternité de 6 mois, et, c’est vrai, j’ai pensé : « c’est beaucoup trop » ! Est-ce l’affreux macho qui sommeille en moi qui a pensé ça ? Ou, plus prosaïquement, est-ce que j’ai fugacement pensé que c’était inadapté ?

      Cela dit, la question du qui-doit-faire-quoi, ça se règle au sein du couple, en fonction des envies et des aspirations de chacun. Pour ma part, je me suis levé 3 fois par nuit à l’époque où c’était nécessaire, pour « assister » mon épouse, même lorsqu’elle donnait le sein... Et si j’avais la tête dans le cul le lendemain matin, je m’en foutais : un gosse, on le fait à deux, on s’en occupe à deux :)

    • Question bête : quelqu’un a lu l’interview d’où LeLab a extrait la citation ?
      Il commence comme ceci (le lien est fourni par LeLab) :

      Valérie Pécresse : le congé parental proposé ne correspond pas à la réalité des familles - Journal des Femmes Maman
      http://www.journaldesfemmes.com/maman/magazine/valerie-pecresse-le-conge-parental-propose-ne-correspond-pas-a-la-

      Que pensez-vous du projet de loi du 3 juillet ?
      Je pense que la vision donnée du congé parental est essentiellement idéologique et loin de tout pragmatisme et réalisme quand on parle de politique familiale. Un congé parental dure trois ans car c’est l’âge de l’entrée à l’école. En décidant de le restreindre à deux ans et demi pour les mères et en donnant un complément de 6 mois pour les pères, on crée une usine à gaz qui ne correspond pas à la réalité de la vie des familles. Si le père refuse de prendre les 6 mois restants, le couple se trouvera dans une situation difficile, sans solution de garde. La seule solution pour la mère sera de prendre 6 mois non rémunérés et sans statut vis-à-vis de son employeur qui ne sera plus obligé de la reprendre car elle ne sera plus en congé parental. Avec de bonnes intentions mais une logique idéaliste, on risque de plonger les familles dans de grands problèmes.

      Question pragmatisme, dans la réponse à la question suivante…

      Je soupçonne le gouvernement de vouloir faire des économies, car un congé parental de deux ans et demi est moins cher qu’un congé de trois ans...

      Rhôô, il faut vraiment être de droite pour trouver que sur ce coup-là, la « gauche » est faux-cul…

      Ça commence vraiment à ressembler au « scandale Twitter » classique : on monte une phrase en épingle, le buzz démarre, on se fritte tranquille et personne ne remarque que le projet est vraiment un projet à la c…

    • L’idée, c’est un peu de forcer la main des pères parce que si on attend gentiment que la parité se fasse sur leur bonne volonté, on en serait encore à se faire tirer par le scalp au fond de la caverne...
      Donc, le gars qui préfère sabrer un salaire plutôt que de prendre 6 mois de sa vie pour élever un lardon (alors que tout le monde trouve ça très naturel que les femmes y laissent des années en oubliant tout le reste !)... ben, fallait pas se reproduire avec.

      Le libre choix, la non contrainte, l’incitation, c’est typiquement ce que réclame le MEDEF par rapport au salarié et on voit bien le résultat : un grand bond en arrière pour le salariat.

    • @monolecte, parce que la parentalité et le partage de l’éducation (en particulier au « premier âge ») sont des sujets qui en valent la peine.

      Tout à fait d’accord avec toi, il faut de la coercition. Et vu les pratiques actuelles, la « vision pragmatique » de VP a malheureusement de bonnes chances de se révéler juste et le choix qui sera effectué sera celui qu’elle anticipe.

      Et donc, sous couvert de « parité » et de progrès vers l’égalité, on renvoie encore plus la femme à son foyer…

      #socialistes !

    • Il suffirait de mettre un avenant qui imposerait aux pères de prendre ces 6 mois la première année ou un truc comme ça… (j’aurais tant aimé : p)

    • Franchement, le tire-lait et la logistique de merde qui va avec...

      Je suis pour un décloisonnement de l’entreprise qui a exclu gentiment les progénitures de ses salariés vers un extérieur totalement virtuel et impossible à gérer.
      En gros, jusqu’au capitaliste soiffard de productivité, les prolos se traînaient les jeunes gosses au boulot : champ, arrière-boutique, etc. D’ailleurs, les Mama Benz faisaient du business avec le mouflet collé dans le dos sans que ça gêne personne. Je suppose que la globalisation aidant, elles aussi ont fini par passer au biberon et à la nourrice.

      Mais il y a une déconstruction de la cohabitation intergénérationnelle que je ne trouve pas super saine, d’autant que ça réduit les solidarités familiales au moment même où les systèmes sociaux ne compensent plus l’explosion des tissus familiaux. Chaque âge a son thème parc dédié et cloisonné : la crèche, l’école, le bahut, le turbin, le mouroir et plus personne ne fréquente vraiment les espaces des autres.
      Quand j’étais gosse, mon père me gardait le mercredi après-midi au magasin et personne ne trouvait ça bizarre, la dépendance des vieux s’accommodait des plus petits, trouvait sa place dans la famille et c’était donc plus une étape de la vie qu’un drame social.

      Bien sûr, j’ai conscience que le gros des solidarités familiales se faisaient sur le dos exclusifs des femmes. Mais bon...

    • Avec des enfants emmaillotés et dont les pleurs ne dérangent personne, ok, mais sinon, les enfants au taf, ça marche pas. Enfin, pas les nourrissons quoi : au magasin quand t’as l’âge de bouquiner, c’est une chose, mais avant c’est quand même chaud, en tout cas selon ma (maigre) expérience. Et puis faut voir qu’y’a plein de gens que ça gonfle les enfants : moi je kiffe mais j’ai pas envie d’imposer mon chiard dans des contextes ou il est pas bienvenu (je parle pas d’espace public of course).

    • Ne pas perdre l’argument économique. En moyenne, les femmes gagnent un demi-smic de moins que les hommes. Dans ces conditions, le choix dans un couple de qui s’arrête de travailler est assez vite vu.

    • OK, mais le sujet de départ, c’est la petite phrase-sortie-de-son-contexte de Pécresse. Elle dit par exemple que les choses étant ce qu’elles sont, se contenter d’ouvrir un droit aux hommes à faire un truc qu’ils ne veulent pas faire (sans coercition), ça n’aura aucun effet pratique.

      J’ai l’impression qu’on arrive au même point, malgré le joli buzz moraliste initial.

    • Je crains que ce soit un peu plus compliqué que ça. L’évolution des sociétés européennes vers de plus en plus de néolibéralisme et de pression (vers le bas) sur les salaires, voire l’ultra-rigueur quand grosse crise, ça conduit systématiquement à fragiliser les familles. Et quand on fragilise les gens, ce sont toujours les femmes qui servent de variable d’ajustement (et pas que par mauvaise volonté individuelle des bonhommes).

      En fait, deux inquiétudes :
      – qu’une mesure qui ne coûte rien serve d’alibi sociétale (ce qui fait que ce gouvernement serait de gauche, genre mariage gay et compagnie), alors que fondamentalement toute sa politique économique va provoquer exactement le contraire de ce qu’il prétend faire (fragiliser la société, donc les femmes, donc les minorités…) ;
      – que vouloir aligner les salaires/répartition du temps se fasse sur le cas des femmes plutôt que celui des hommes (par la coercition ?). Un peu comme on alignera évidemment les calculs des retraites sur le moins-disant social que sur le mieux-disant.

    • vouloir aligner les salaires/répartition du temps se fasse sur le cas des femmes plutôt que celui des hommes (par la coercition ?). Un peu comme on alignera évidemment les calculs des retraites sur le moins-disant social que sur le mieux-disant.

      Il est question de baisser les salaires des hommes dans la loi ? En tout cas, imaginer une partie éventuellement coercitive pour que les hommes prennent davantage en charge les enfants ne me paraît pas relever d’un nivellement par le bas néolibéral.

  • Valérie Pecresse crache (presque) le morceau

    Bouillaud’s Weblog - bloc-notes d’un politiste
    http://bouillaud.wordpress.com

    L’entretien de Valérie Pécresse sur France-Inter ce matin mercredi 12 juin 2013 n’a l’air de rien, mais, à l’écouter attentivement, c’est une vraie merveille. Tout le passage sur les réformes successives des retraites est une illustration presque sans appel du fait que la volonté populaire n’existe actuellement que sous forme de droit (temporaire) de veto à la volonté des élites étatiques. (C’est moins voisin de bureau qui va être content.) Elle y affirme en effet que les trois réformes des retraites, faites par son camp, ne sont pas parfaites, car elles ont tenu à chaque fois à aller le plus loin possible sans toutefois provoquer un blocage du pays. V. Pécresse n’hésite pas à utiliser la « métaphore de l’élastique » – il faut le tendre au maximum sans qu’il ne rompe -, d’où le caractère à chaque fois inabouti des réformes qui sont à reprendre ensuite. Elle fait explicitement la comparaison avec ce qu’elle appelle la « réforme-cathédrale », qui reprend tout d’un coup et qui a échoué, le Traité constitutionnel européen, en 2005. Bref, comme dirait le brave Staline, V. Pécresse nous ressort un beau matin de juin 2013 rien moins que la bonne vieille « théorie du salami ». Il faut couper dans le vif tranche par tranche pour atteindre son grand objectif final. Les peuples de l’Europe de l’Est ne voulaient pas du communisme en 1945, ils ont pourtant fini par l’avoir au fil de deux-trois ans d’évolution vers ce dernier. Il ne faisait d’ailleurs aucun doute à écouter les propos de V. Pécresse qu’elle était convaincue que ce grand objectif final, sur les retraites, était défini sans équivoque par les experts en la matière, et qu’aucune discussion n’avait lieu d’être sur cet objectif.

  • Chiens de garde d’hier et d’aujourd’hui
    http://ragemag.fr/chiens-de-garde-dhier-et-daujourdhui

    Un article qui mélange tout

    [Ci-gît une vidéo de C. Ockrent interrogée sur sa participation à Bilderberg sur France 2 le 2 février 2013] C’est ainsi que le Collège international de philosophie ou l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, à l’instar des #revues @Vacarme ou Multitudes, sont littéralement trustés par les disciples enamourés de l’auteur de Surveiller et punir. Sous les dehors de la subversion, ces nouveaux chiens de garde relaient les principales thématiques agitées par les bourgeoisies européennes, de l’éloge d’une liberté abstraite à celui du nomadisme (aujourd’hui rebaptisé « mobilité ») quand ils ne se livrent pas, tout simplement, à la célébration du #néolibéralisme le plus chimiquement pur.

    ... #cax #journalisme #entre_soi #bilderberg #critique_médias (pseudo)#philosophie #nizan #foucault etc.

    Sur Ockrent : http://seenthis.net/messages/113868
    http://seenthis.net/messages/126153

  • Les papas maltraités par la justice ? C’est du n’importe quoi !, par Gilles Devers
    http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2013/02/18/les-papas-maltraites-par-la-justice-c-est-du-n-

    Je suis en revanche consterné de voir comment les politiques se saisissent de cette affaire, comme si elle mettait en lumière un problème de maltraitance des petits papas…

    Le premier ministre a dit se « saisir du dossier des droits des pères », alors que les questions posées sont la #violence faite aux mères, aux #enfants, et l’irrespect pour la #justice.

    La sous-ministre déléguée à la Famille, Dominique Bertinotti se lamente qu’il faut « entendre les revendications des pères ». Elle ajoute puissamment : « On ne peut pas vouloir à la fois l’égalité femme-homme, et en même temps, ne pas entendre les revendications des pères qui entendent assumer à part égales leurs responsabilités de parents ». Mais en quoi cette question est-elle posée par cette affaire ? Et qu’est que ce vocabulaire de « revendications des pères » ? Quelle représentativité de ces associations ? En quoi ces associations parlent-elles en mon nom ? C’est une maladie : vingt personnes se regroupent en asso, et ça devient une cause… 

    A droite, Valérie Pécresse, patauge dans la même semoule : « Il faut que la garde alternée devienne le principe et qu’il y ait des exceptions, mais que l’on puisse avoir un droit, un accès des parents, des pères, davantage à leurs enfants ». J’ai relu trois fois… mais j’ai pas tout pigé. Et je voudrais dire à Valérie que dans le grande majorité des cas il y a consensus des parents, et que les appels restent minoritaires. Alors, une belle usine à gaz ?

    Donner ce crédit à une affaire qui est celle de la violence et de l’irrespect pour la justice me sidère.

    • D’un cas particulier, éviter de faire une généralité mais ça, les pisse-copies de la presse-spectacle ont toujours eu du mal.
      Néanmoins, hormis le problème de la garde des enfants, les pères ou les maris sont souvent mis à contribution financière exagérée pour leurs soit-disant fautes. Je parle d’expérience : je me suis trouvé dans l’impossibilité de me loger vu les montants des pensions auxquelles le tribunal m’avait « condamné ». Hé oui, c’est le mot employé par le tribunal, mon « délit » étant d’avoir rompu les liens du mariage pour une autre compagne.

    • Ces pères d’enfants non voulu peuvent aussi s’occuper de se réunir pour militer pour une contraception masculine digne de ce nom. Je n’en voie pas beaucoup se préoccupé de ce problème (à part en cas de pension alimentaire) et encore moins se mobilisé pour faire changer ce fait. Comme si la contraception ne les concernait pas. Pourtant les hommes aussi ont droit à la maitrise de leur fécondité, mais c’est à eux de se mobiliser pour cela. Pour ceux qui ne veulent pas du tout d’enfant il y a aussi la vasectomie qui ne rend pas impuissant contrairement à ce qu semble croire beaucoup d’hommes.

  • «Elémentaire, mon cher Wauquiez ...»
    http://classes.blogs.liberation.fr/soule/2012/04/elementaire-mon-cher-wauquiez-.html

    On se demandait si Laurent Wauquiez allait laisser une marque de son passage à la tête du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche où il a succédé en juillet 2011 à Valérie Pécresse. On a maintenant la réponse : il restera comme celui qui a introduit la criminologie à l’université française, dans la précipitation, en dépit du tollé suscité chez les universitaires et à un mois d’une présidentielle-clé.

  • French government prepares to deploy security forces to break airport strike
    http://www.wsws.org/articles/2011/dec2011/fren-d22.shtml

    Yesterday, President Nicolas Sarkozy held a cabinet meeting to discuss the necessary measures to end the strike. According to government spokeswoman Valérie Pécresse, “the head of State told ministers to be extremely attentive to the development of this situation, and to take all the necessary and opportune measures given its evolution.” She did not give specifics, but it is widely suspected the state will use police to smash the strikes. Yesterday, Sarkozy’s special advisor Henri Guaino warned that, “starting today, and in particular tonight, it will no longer be possible for the State not to act in accordance with its responsibilities” in the airports. He added, “I do not see why it would be shocking to replace private security agents for a limited time with agents of the public forces.”

  • Les Universités dénoncent le financement de l’#ANR - {sciences²}
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2011/11/les-universit%C3%A9s-d%C3%A9noncent-le-financement-de-lanr

    Réunie avec la Conférence des Présidents d’Universités (CPU) le 16 novembre, la CURIF vient de pondre un communiqué qui sape le principe de base du financement de la #recherche par l’ANR tel qu’il est promu par le gouvernement, et mis en oeuvre par Valérie Pécresse puis par Laurent Wauquiez. Leur argument final vaut son pesant d’or, tant il reprend quasi mot pour mot l’argumentaire des protestataires : « L’université ne peut plus faire de recherche en dehors des contrats et ne remplit plus sa mission d’exploration de domaines scientifiques qui n’intéressent pas un financeur extérieur. L’expérience montre pourtant que bien souvent ce sont dans ces domaines qu’émergent les résultats de recherche les plus avancés ».

    #université

  • DESOBEISSANCE CIVILE : Taxation des plus riches : Une aimable plaisanterie ... communicante ?
    http://libertesconquises.blogspot.com/2011/08/taxation-des-plus-riches-une-aimable.html

    Alors, vers quoi s’achemine t-on ?

    Sachant que : Valérie Pécresse, souhaite une : « (...) contribution sur les rémunérations exorbitantes au-dessus d’un million d’euros (...) » et que la piste la plus fréquemment évoquée serait celle d’un : « prélèvement de 1% à 2% sur ces revenus, qui pourrait être acquitté soit par les contribuables, soit ... par leur employeur » Ce qui signifierait, au passage, que les salaires des plus grands patrons pourraient dans certains cas, passer au travers de la taxation, en la faisant payer sur les bénéfices de l’entreprise.

    Le montant de cette contribution devrait être du domaine symbolique, comme l’indiquait Gilles Carez, rapporteur UMP du budget, à l’Assemblée Nationale : « (...) un prélèvement de 2% au-dessus d’un million d’euros de revenu fiscal toucherait 30.000 ménages pour rapporter 300 millions d’euros (...) » c’est à dire trois fois rien à côté des revenus des 500 plus grandes fortunes françaises, qui se feront un plaisir de faire cette obole à la nation, histoire de faire oublier les formidables gains, obtenus durant les « années bonheur », de la présidence Sarkozy.

    Il faudra attendre mercredi pour connaître les détails de ce qui s’annonce déjà comme : Une aimable plaisanterie ... communicante !