person:van rompuy

  • Après la reconversion de Barroso dans la finance, Van Rompuy se met… au slam (VIDEO)
    http://www.brujitafr.fr/2016/11/apres-la-reconversion-de-barroso-dans-la-finance-van-rompuy-se-met-au-slam

    Une vocation est-elle en train de naître ? L’ancien président du Conseil européen Herman Van Rompuy a fait étalage de capacités vocales insoupçonnées à l’occasion d’un clip enregistré en duo avec une chanteuse flamande. A l’image de José Manuel Barroso...

  • Le fou qui se prend pour le Président de l’Europe exige un Coup d’Etat en Belgique Par Le concierge du Musée le dimanche 23 octobre 2016, Quatrième nuit de Walpurgis
    http://blog.europa-museum.org/post/2016/10/23/Le-fou-qui-se-prend-pour-le-president-de-l-europe-exige-que-la-b

    La différence entre le fou qui se prend pour Napoléon et le Président de la République, c’est que le Président de la République, tout le monde croit qu’il est le Président de la République Pierre Bourdieu

    Après des mois et des années de protestations populaires contre les accords de libre-échange, sur lesquelles les représentations nationales ou régionales, soumises à leurs exécutifs et à toutes les maladies du parlementarisme de cooptation, se sont magnifiquement assises, deux des 7 Parlements compétents en Belgique, celui de la Wallonie et de la Communauté Française ont mis leur véto à l’accord de libre-échange entre le Canada et l’UE (comme toujours négocié sous la pression des lobbies et hors de tout contrôle démocratique) qui ouvre en outre la voie à la perte de compétences des juridictions nationales dans le domaine des "investissements", privatisation de la justice au profit de Cours d’arbitrages privées, consacrant l’irresponsabilité du big business devant la souveraineté nationale (un projet soutenu également par François Hollande dans le cadre du commerce transfrontalier.)

    On ne peut que s’en féliciter, même s’il y a fort à penser qu’un PS menacé de disparition en Belgique comme ailleurs joue d’abord sa propre survie. Et que porter au pinacle une élite politique de remplacement, incarnée par Paul Magnette, sortie directement du sérail (il y a d’autres exemples dans d’autres pays !), c’est se préparer des lendemains qui déchantent, lorsque les politiciens professionnels lâcheront tout ce qu’il reste encore à lâcher en prétendant faire le contraire (l’exemple de la Grèce est sous nos yeux) après avoir relégitimé d’anciens appareils en pleine décadence. Tout simplement parce qu’on les aura crus...

    Mais pour l’heure, c’est la réaction du fou qui se prend pour le Président de l’Europe (successeur de Van Rompuy, lire La boule à neige de l’Europe qui doit retenir l’attention. En adressant un "ultimatum" à la Belgique, celui-ci lui demande tout simplement de violer sa Constitution et de mater le Parlement Wallon, ce qui ne serait rien d’autre qu’un coup d’État. Or les coups d’État se succèdent en Europe. Les derniers ont eu lieu en Grèce, un pays transformé en protectorat des "Institutions" qui n’a même plus de parlementarisme formel, violant systématiquement sa Constitution et même son propre règlement parlementaire. A Chypre, il en va de même.

    En France, les politiciens les plus arrivistes veulent en finir avec l’État de droit, dont on se demande si les Parlementaires comprennent seulement ce que c’est (il faut dire que la zone de non-droit du travail que constitue le Parlement fournit une première indication...). Et Le Premier Ministre, Valls, a lui-même fait l’éloge du nouveau système politique grec (abolition des droits du Parlement).

    Dans un éclair tardif de lucidité (débouchant sur des préconisations tout à l’inverse de ses analyses, ce qui semble être sa marque de fabrique) Alain Lipietz y voyait l’ombre de la pensée juridique de Karl Schmidt. Et il est très clairement avancé que les Constitutions, pour ne pas être violées, doivent tout simplement être adaptées aux exigences des investisseurs. Ce que Noam Chomsky résumait en ces termes, un présent déjà là qui ne demande qu’à être gravé dans le marbre : Un « parlement virtuel » d’investisseurs et de bailleurs, qui « organise en permanence des référendums ».

    L’ultimatum de Donald Tusk, les propos de Valls et des autres, sont des déclarations de purs factieux. La destruction du peu de souveraineté d’un petit État européen comme la Grèce et le sociocide en résultant sont des actes de guerre. Des actes de guerre qui nous rapprochent de guerres internes à nos sociétés (basées sur la solidarité "nationale" territorialisée QUI EST la sécurité sociale) mais aussi de guerres entre sociétés. Car théoriquement les Parlements décident aussi de la guerre et pourraient s’y opposer, particulièrement assiégés par la population, par exemple la guerre qui se déroule entre l’OTAN et la Russie, en Syrie et en Ukraine, en attendant de s’étendre.
    Ces factieux doivent quitter la scène immédiatement car ils violent la souveraineté populaire de façon extraordinaire et non pas, comme on le vit tous les jours hélas !, ordinaire.
    Le Concierge

    _ NDR : Voir l’article original, afin de pouvoir accéder aux liens des références _
    #Donald_Tusk #CETA #valls #hollande #union_européenne #Démocratie #Belgique #Canada #UE #France #UEF #UEF_France #AECG #TTIP

  • Incorrigibles…
    http://www.uef.fr/incorrigibles

    Il y a une vingtaine de jours, Mr Van Rompuy, président du Conseil Européen, a cru malin de déclarer que : « Les citoyens comprennent très clairement la différence entre le Parlement européen et ceux qui prennent les vraies décisions » et que, par conséquent, le Conseil Européen n’en ferait qu’à sa guise quant au choix du Président de la Commission. En faisant cela, il allait non seulement contre une résolution du Parlement européen de juillet 2013, mais aussi, semble-t-il, contre l’avis d’un certain (...)

    #Tribunes

    / #Élections_européennes_2014

    https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/f7/Herman_Van_Rompuy.jpg

  • Carton rouge à M. Van Rompuy : l’Europe a besoin d’une vision
    http://www.taurillon.org/Carton-rouge-a-M-Van-Rompuy-l-Europe-a-besoin-d-une-vision,06061

    Le président du #Conseil_européen, qui réunit les chefs d’Etats et de gouvernement plusieurs fois par an pour décider des grandes orientations de l’UE, a récemment déclaré lors d’une conférence à Bruxelles ne pas soutenir l’élection directe du prochain président de la Commission. Il s’agit d’une déclaration qui s’inscrit dans un débat dont doivent s’emparer les citoyens européens ; d’une déclaration qui s’inscrit dans la lignée de l’action de M. Van Rompuy depuis qu’il est en poste ; d’une déclaration dont (...)

    #Cartons_Rouges