Homeland : Irak, année zéro, au cinéma le 10 février à Paris au MK2 Beaubourg
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PREMIÈRE PARISIENNE
JOURNÉE SPÉCIALE IRAK
VENDREDI 12 FÉVRIER
Au cinéma MK2 Beaubourg
50, rue Rambuteau, 75003 Paris
13h : Présentation + Partie 1
15h45 : entracte
16h : Partie 2 + Débat
en présence de
Abbas Fahdel, Réalisateur
de Kadhim Jihad Hassan, écrivain, professeur des universités à l’inalco
de Vanessa Van Renterghem, maître de conférences en histoire du Proche-Orient médiéval à l’inalco
et de Chantal Verdeil, maître de conférence en histoire du monde arabe contemporain à l’inalco
Tarif : 5€ par séance
10€ les deux parties
Evénement organisé par Nour Films
en partenariat avec l’Institut national des langues et civilisations orientales
Un Home movie à résonance universelle :
HOMELAND : Irak année zéro du cinéaste irakien Abbas Fahdel est une fresque puissante qui nous plonge pendant deux ans dans le quotidien de sa famille peu avant la chute de Saddam Hussein, puis au lendemain de l’invasion américaine de 2003.
Ce documentaire est découpé en deux parties – l’avant et l’après.
I – Avant la chute
La première partie décrit les instants de vie d’une famille qui se prépare à la guerre. Elle va être terrible, mais il y a quand même l’espoir de voir une démocratie s’installer après la chute de la dictature. Que peut-il leur arriver de pire ?
II – Après la bataille
La seconde partie, après la chute du régime, est davantage tournée en extérieur. Les langues se délient et on découvre un peuple anéanti, un pays mis à feu et à sang où dans les rues, les incidents éclatent, les bandes rivales s’affrontent.
Pendant 334’, nous partageons les joies et les craintes de cette famille irakienne qui nous montre à quel point toutes les familles du monde ont les mêmes aspirations : travailler, éduquer leurs enfants, rire, aimer, s’impliquer dans leur société…
Abbas Fahdel nous montre également qu’au coeur de la guerre il existe des hommes, des femmes et des enfants exceptionnels, des héros du quotidien, « des gens qui sont nos frères humains et que l’on quitte le coeur brisé quand le film prend brutalement fin ».