person:vladimir poutine

  • La Russie vote la dépénalisation des violences domestiques

    http://www.huffingtonpost.fr/2017/01/12/la-russie-vote-la-depenalisation-des-violences-domestiques

    INTERNATIONAL - En Russie, 36 000 femmes subissent quotidiennement des violences physiques conjugales. 26 000 enfants sont agressées par leurs parents et 40% des crimes graves sont commis dans un contexte familial. Pourtant, ce jeudi 12 janvier, les parlementaires russes ont adopté - à la quasi unanimité - un texte de loi visant à dépénaliser les violences domestiques.

    Motifs invoqués par les députés : « préserver la tradition de l’autorité parentale », explique le site Terrafemina.

    A l’origine de cette proposition, Yelena Mizulina, une figure montante de la scène politique russe, députée ultra-conservatrice et présidente du comité sur la famille et les affaires féminines. « Vous ne voulez pas que les gens soient emprisonnés pendant deux ans et étiquetés comme des criminels pour le reste de leur vie pour une gifle », a-t-elle notamment lancé pour défendre son projet.

    Les lois doivent soutenir cette tradition familiale."
    Yelena Mizulina
    Des arguments qui ont fait mouche puisque, sous son impulsion, 368 parlementaires sur 370 ont validé, en première lecture, la suppression des charges de violences domestiques du code pénal russe.

    « Dans la culture de la famille traditionnelle, les relations parents-enfants russes sont construites sur l’autorité de la puissance des parents (..) Les lois doivent soutenir cette tradition familiale », a également déclaré Yelena Mizulina, toujours selon Terrafemina.

    En Juillet 2016, Vladimir Poutine avait déjà dépénalisé les violences domestiques lorsqu’aucune blessure corporelle n’est constatée. Ou la légalisation de la logique « pas vu, pas pris. »

    #patriarcat #violence_masculine #backlash

  • La Folie de fin de règne à Washington - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/01/la-folie-de-fin-de-regne-a-washington.html

    « Jamais à Washington n’a-t-on vu un parti au pouvoir si incapable d’accepter l’alternance, si vindicatif, si avide de trouver des boucs émissaires » - la journaliste Diana Johnstone fait le point sur les derniers jours des démocrates au pouvoir.

    En 2016, le Parti de guerre étatsunien était sûr de pouvoir poursuivre sa politique habituelle d’hégémonie mondiale avec l’élection à la Présidence de sa candidate, Hillary Clinton. Face à sa défaite inattendue, déchirante, inacceptable, le Parti de guerre dans son désarroi s’est mis à mimer sa propre caricature de « l’ennemi », la Russie – grande nation qu’Obama qualifie bizarrement de « petite ». Son dépit est sans limites.

    Pour Hillary Clinton, l’élimination du « dictateur » Khadafi fut son plus grand succès et devait la qualifier pour la présidence grâce au succès de sa « stratégie de changement de régime ». Ses emails révélés par le FBI sont la preuve de cette attente. Hillary avait adopté avec enthousiasme la politique des néoconservateurs et des interventionnistes libéraux prônant le renversement de gouvernements qui manquaient de respect pour la seule superpuissance, nation exceptionnelle, indispensable et unique leader du monde. L’impertinence de Vladimir Poutine, ouvertement en faveur d’un « monde multipolaire », l’a hissé à la première place dans la liste des méchants. Il est promu « dictateur » et « menace existentielle » aux yeux de la nation exceptionnelle, cible numéro un du changement de régime.

    Mais dans un drôle de renversement, Hillary Clinton et ses partisans politiques et médiatiques s’accordent pour attribuer sa défaite à un complot mené par Vladimir Poutine visant à changer le régime aux Etats-Unis. On dirait un cas classique de projection psychologique, poursuivie au niveau institutionnel. Ce que Hillary rêvait de faire à Poutine, Poutine l’aurait fait à Hillary.

    " On n’a ni les preuves convaincantes de l’implication russe dans ce supposé espionnage, ni les preuves que c’est cela qui a causé la défaite de Mme Clinton "
    En conformité avec cette projection, l’essentiel de ce qui s’appelle « la gauche » aux Etats-Unis se comporte comme Hillary espérait voir se comporter les Russes, en allant dans les rues pour montrer leur « résistance au dictateur » - sauf que le dictateur est le président élu des Etats-Unis, Donald Trump.

    Cette prétendue gauche est trop absorbée à proclamer sa résistance héroïque à la prochaine dictature pour remarquer les mesures dictatoriales en train d’être mises en place par le régime sortant. A commencer par la stigmatisation des opinions contraires, accusées d’être propagande de l’ennemi.

    Les multiples efforts, souvent réussis, du gouvernement américain pour renverser les gouvernements d’autres pays sont notoires et bien documentés. Les moyens des Etats-Unis sont connus et visibles, contrairement aux moyens que Poutine aurait employés pour faire élire Trump. Ceux-ci seraient invisibles, flottant quelque part dans le cyberspace. Il s’agirait du piratage de communications électroniques, pratiqué à grande échelle par les agences du gouvernement américain, ainsi que révéla Edward Snowden. 

    On accuse le perfide Poutine d’avoir fait pirater les conversations internes du comité national du parti démocrate montrant que les dirigeants du parti avaient trompé l’opinion afin de faire perdre la nomination à Bernie Sanders, grand rival de Hillary Clinton. En tant que « secret d’état », ce bavardage politicien n’est pas exactement l’équivalent des plans du prochain super-missile du Pentagone. Et l’on n’a ni les preuves convaincantes de l’implication russe dans ce supposé espionnage, ni les preuves que c’est cela qui aurait causé la défaite de Mme Clinton. Mais le soupçon répété en continu par les grands médias et les autorités de l’Etat suffit pour motiver Obama à imposer de nouvelles sanctions contre la Russie et à expulser une trentaine de diplomates et leurs familles.

    Pour divertir l’attention du contenu des emails incriminés, les organes de presse du régime, The Washington Post et The New York Times, ont diffusé avec zèle l’accusation selon laquelle la débâcle électorale fût causée par des « fausses nouvelles » répandues par Internet, le grand rival montant de la presse écrite, en déclin accéléré. Ainsi on annonça la chasse aux « fausses nouvelles », les sorcières de l’âge informatique.

    Dans ce but, le 23 décembre, le Président Obama a signé une loi de programmation qui inclut une provision stipulant la création d’un véritable ministère de la Vérité, appelé « Global Engagement Center » — nom légèrement totalitaire par ses connotations. Attribuant ainsi au Pentagone l’autorité de décider entre le « vrai » et le « faux », la loi précise que le but du nouveau Centre serait de « synchroniser les efforts gouvernementaux pour reconnaître, comprendre, exposer et agir contre les efforts de propagande et de désinformation, menés par des Etats étrangers ou des entités non-étatiques, visant à saper les intérêts de la sécurité nationale des Etats-Unis. »

    L’origine de cette mesure se trouve dans l’affirmation largement diffusée sans preuve que Vladimir Poutine aurait réussi à détourner le fonctionnement de l’élection présidentielle américaine en employant des « fausses nouvelles » non-identifiées

    " On a toute raison de souhaiter que la folie de l’année 2016 cédera la place à un peu de bon sens en 2017 "
    Ayant bombardé, envahi et ruiné l’Irak dans le but d’éliminer des « armes de destruction massive » inexistantes, le Pentagone est particulièrement qualifié pour ce rôle de traquer les inexactitudes. La loi autorise des subventions destinées aux « médias locaux indépendants » qui « réfutent la désinformation et la manipulation étrangère ». Il s’agit là d’une invitation ouverte à qui veut se faire rémunérer en propageant la ligne officielle de créer un « media local indépendant » suffisamment orthodoxe pour mériter une subvention. Evidemment, avec cette pratique, le mot « indépendant » rejoindra le vocabulaire orwellien des contresens.

    C’est un drôle d’aveu d’impuissance que de considérer que la libre circulation de l’information, qui forcément comporte des erreurs et des mensonges, soit une menace pour la « sécurité nationale » du pays le plus armé de toute l’histoire.

    C’est étrange aussi d’introduire une telle loi à la veille de la prise du pouvoir par le candidat accusé d’avoir été élu précisément grâce aux « fausses informations » d’origine russe que la loi est censée combattre. C’est donc une loi adoptée par le Président sortant contre son successeur, surtout si celui-ci travaille pour améliorer les relations avec la Russie. Mais le nouveau Président, une fois au pouvoir, qu’en fera-t-il ?

    Jamais à Washington n’a-t-on vu un parti au pouvoir si incapable d’accepter l’alternance, si vindicatif, si avide de trouver des boucs émissaires, si prêt à violer toutes les bienséances démocratiques et diplomatiques, si prêt à pratiquer la politique de la terre brûlée, même aux dépens de ces « valeurs » dont il se proclame le défenseur indispensable, à commencer par la liberté d’expression ?

    On a toute raison de souhaiter que la folie de l’année 2016 cède la place à un peu de bon sens en 2017.

    https://francais.rt.com

  • Comment l’occident zombie survit à sa mort
    http://www.dedefensa.org/article/comment-loccident-zombie-survit-a-sa-mort

    Comment l’occident zombie survit à sa mort

    « Pour être tué, il faut vivre. »

    Vladimir Poutine et la Russie dominent, mais l’occident se maintient avec sa dette, son hypocrisie, ses casseroles coloniales. Dix techno-lords US sont plus riches que tous les africains. Bruxelles agonise en nous volant argent et liberté.

    Jean Baudrillard parla d’hystérésis (1) pour décrire ce monde. Il évoquait même je crois cette barbe qui continue de pousser au poil de menton du cadavre.

    Qu’est-ce qui n’est pas mort en Occident ? Qu’est-ce qui ne relève pas encore du phénomène zombi ? Les économies hallucinées (James Kunstler), les cent mille milliards de dettes qui ne terrorisent que les naïfs (on ira tous à un million de milliards de $, imprimez !), les nations abolies, fusionnées, les peuples remplacés ou stérilisés, (...)

  • U.S. military aid is fueling big ambitions for Syria’s leftist Kurdish militia
    https://www.washingtonpost.com/world/middle_east/us-military-aid-is-fueling-big-ambitions-for-syrias-leftist-kurdish-militia/2017/01/07/6e457866-c79f-11e6-acda-59924caa2450_story.html

    Toujours aussi fantastiques les #MSM étasuniens : pour calmer les craintes et des Turcs et des Arabes quant aux gains territoriaux des Kurdes (qui vont au-delà des zones traditionnellement kurdes), les Étasuniens arment des forces comprenant des Arabes dit l’article, mais en même temps les Etasuniens reconnaissent que lesdites forces sont largement dominées par les Kurdes....

    To assuage Turkish concerns and avert tensions between Arabs and Kurds, the U.S. military is channeling weapons and ammunition to an umbrella organization called the Syrian Democratic Forces (SDF), which includes Arab fighters as well as the Kurds. The goal, the U.S. military says, is to build an Arab force capable of taking and holding Arab cities such as Raqqa, thereby diluting the influence of the Kurdish fighters.

    [...]

    U.S. officials acknowledge, however, that the Kurds constitute more than three-quarters of the SDF coalition and are leading the fight on the front lines, making them the biggest beneficiary of U.S. military assistance.

    • L’entente turco-russe compromet les desseins autonomistes des Kurdes de Syrie
      http://www.france24.com/fr/20170108-kurdes-syrie-turquie-russie-erdogan-autonomie-manbij-al-bab-ypg-r

      Après Al-Bab, c’est à 50 km à l’Est de là, dans la ville de Manbij, ancien bastion de l’EI désormais contrôlé par les milices kurdes, qu’est établi le prochain objectif de l’offensive turque « Bouclier de l’Euphrate ». Le président turc Recep Tayyip Erdogan, nouvel allié de Vladimir Poutine, a fait le serment de la reprendre aux Kurdes et de les repousser vers le Sud, loin de la frontière, de l’autre côté de l’Euphrate. Avec un nouveau feu vert russe ?

      « En #Syrie, la #Turquie s’est enlisée dans la tourbière d’al-Bab »
      https://fr.sputniknews.com/international/201701091029504957-syrie-turquie-al-bab

      Les projets d’Ankara de lancer une offensive à Manbidj sont irréalistes. Dans une interview à Sputnik, un responsable du Parti de l’union démocratique kurde a commenté l’opération turque en Syrie et a évoqué entre autres l’opération de libération de Raqqa.

      [...]

      Et de pointer de bonnes relations du PYD et de la Russie, pays qui accueille un bureau de représentation des Kurdes syriens.

    • Trois articles publiés dans le même journal de référence montrent que les histoires de « piratages » se suivent et se ressemblent chaque fois qu’une grande puissance décide qu’un pays ou un autre est devenu son « ennemi ».

      1. D’Erich Lichtblau, journaliste du New York Times : L’augmentation des attaques électroniques met en danger la sécurité des États-Unis.
      Publié le 17 janvier 2003, le pays était l’Irak et le leader était Saddam Hussein.
      . . . . . .
      2. De Nicole Perlroth, journaliste du NYT : Attaques de cyberespionnage liées à des pirates
      Publié le 29 mai 2014, le pays était l’Iran.
      . . . . . .
      3. D’Erich Lichtblau, journaliste du NYT : Les systèmes informatiques de la Campagne de Clinton seraient piratés par .
      Publié le 29 juillet 2016, le pays était la Russie et le leader était Vladimir Poutine.

      . . . . . .
      Source : https://www.legrandsoir.info/l-ennemi-du-jour-se-rend-toujours-coupable-de-piratage.html

    • @kassem merci de l’info le conflit n’est pas près de se tarir hélas cette immense et belle région va encore souffrir comme leurs peuples...Algérie tentative du Mak dr provoquer des troubles ; http://www.afrique-asie.fr/menu/maghreb/10704-les-internautes-font-echec-aux-tentatives-d-importer-le-printemps BHL avait lancé aux algériens qu’eux aussi auraient droit à un « printemps arabe » (un hiver nucléaire quand on voit le Lybie et Syrie) et par facebook les algériens ont bloqué ces troubles ..Du jamais vu ..

    • @bce_106_6 tout a fait cousu de fil blanc, et les Usa avaient aussi accusé la Chine, et la Corée du Nord avant de se rétracter..Ils osent tout ils ont tant perdu la face avec la chute de Clinton face a Trump qui ne pensait pas être élu Les médias mainstream ont perdu la bataille sinon la guerre .

    • The Battle for al-Bab Is Bringing U.S.-Turkish Tensions to a Head
      Fabrice Balanche | January 9, 2017
      http://www.washingtoninstitute.org/policy-analysis/view/the-battle-for-al-bab-is-bringing-u.s.-turkish-tensions-to-a-he

      Helping Erdogan take the city could greatly decrease the civilian death toll and preserve U.S.-Turkish cooperation in Syria, but Washington will still need to decide what to do with the Kurds, its other key ally against the Islamic State.

      On January 5, Turkish president Recep Tayyip Erdogan threatened to close Incirlik Air Base to the international coalition against the Islamic State, citing the lack of U.S. support for his efforts to take the IS-held Syrian city of al-Bab. That battle will likely force Washington to make some hard choices about which ally is most important in the anti-IS campaign — Turkey or the Kurds.
      AL-BAB PROVING MORE DIFFICULT THAN JARABULUS

      Since November 14, the Turkish army and allied Syrian rebel forces have been advancing on al-Bab. By December 10, they had entered the city’s western suburbs, seizing Sheikh Aqil hill on December 20. Turkish forces likely assumed that this position would allow them to put IS under fire and compel the group to flee, much like it did during the battle for Jarabulus.

  • Poutine : À l’Ouest, le « nouvel ordre mondial » normalise la délinquance pédophile
    http://www.brujitafr.fr/2017/01/poutine-a-l-ouest-le-nouvel-ordre-mondial-normalise-la-delinquance-pedophi

    Vladimir Poutine a profité de sa conférence de presse annuelle de Noël pour reprocher aux zélites libérales occidentales d’abandonner les valeurs traditionnelles qui ont fait la grandeur de leurs pays. Au lieu de construire un avenir basé sur les solides...

  • Pour Poutine, le Japon c’est pas encore ça…
    Par M. K. Bhadrakumar – Le 22 décembre 2016 – Source Russia Insider
    http://lesakerfrancophone.fr/pour-poutine-le-japon-cest-pas-encore-ca

    À Tokyo, il y a une ombre de tristesse, à propos des résultats de la visite tant attendue au Japon du président russe Vladimir Poutine la semaine dernière (15-16 décembre). L’amère déception est en fait auto-infligée, dans la mesure où le battage publicitaire à l’approche de la visite – comme si Poutine venait avec une formule magique pour régler le différend territorial sur les îles Kouriles – était complètement irréaliste. (...)

    #Russie_Japon

  • Poutine tourne en dérision les sanctions d’Obama
    https://www.crashdebug.fr/international/12928-poutine-tourne-en-derision-les-sanctions-d-obama

    VIDÉO - Le président russe a refusé d’appliquer la réciprocité habituelle et d’expulser à son tour des diplomates américains. Il a au contraire invité leurs enfants au Noël du Kremlin.

    Correspondant à Moscou

    Amateur de réponses « asymétriques », Vladimir Poutine a rejeté vendredi la proposition de son ministre des Affaires étrangères d’appliquer la réciprocité habituelle en matière d’expulsion de diplomates. Mêlant sérieux et dérision, le président russe a qualifié sur le site du Kremlin l’expulsion de 35 diplomates russes de « nouveau geste inamical de l’Administration américaine sortante » et une « provocation pour déstabiliser plus encore les relations russo-américaines ».

    Plus loin, il ajoute, méprisant, refuser de « descendre au niveau des cuisines », et préfère « orienter (sa) politique sur (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • Comment l’établissement anglo-américain créa Hitler
    http://www.dedefensa.org/article/comment-letablissement-anglo-americain-crea-hitler

    Comment l’établissement anglo-américain créa Hitler

    Si pour reprendre la vulgate imbécile Vladimir Poutine a fait élire Donald Trump (pourquoi ne pas désigner le changement climatique ?), on va rendre la politesse, mais avec des preuves. Les élites anglo-américaines ont fabriqué le nazisme.

    Guido Giacomo Preparata dans son passionnant Conjuring Hitler explique comment les élites anglo-saxonnes (l’establishment anglo-américain de Carroll Quigley) ont utilisé le nazisme pour détruire la vieille Europe et empêcher l’unification eurasiatique. L’obsession de la diplomatie anglo-américaine est le contrôle de l’île-monde de McKinder ; on manipule l’hostilité germano-russe du Kaiser à Merkel et on maintient sa suprématie.

    On le lit dans un anglais simple qui attend un traducteur.

    “A detailed analysis of the (...)

  • Conférence de presse annuelle de Vladimir Poutine (extraits)
    https://www.crashdebug.fr/international/12898-conference-de-presse-annuelle-de-vladimir-poutine-extraits

    Vladimir Poutine tenait le 23 décembre sa 12e conférence de presse annuelle. Devant un parterre de 1 437 journalistes venus du monde entier, le président russe a abordé les nombreux sujets qui font l’actualité en cette fin d’année 2016.

    Source : Olivierdemeulenaere

    Informations complémentaires :

    Crashdebug.fr : Poutine lance l’appel du désespoir : « Comment pouvez-vous ne pas comprendre que le monde est en train d’être poussé dans une direction irréversible ? »

    Crashdebug.fr : La réconciliation entre les États-Unis et la Russie en bonne voie ?

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • La réconciliation entre les États-Unis et la Russie en bonne voie ?
    https://www.crashdebug.fr/international/12893-la-reconciliation-entre-les-etats-unis-et-la-russie-en-bonne-voie

    Le président élu des États-Unis Donald Trump a publié vendredi une lettre de Vladimir Poutine, qui souhaite restaurer une bonne coopération russo-américaine.

    Alors que les autorités américaines suspectent une intervention de la Russie lors de l’élection présidentielle américaine, Donald Trump a publié une lettre que lui a adressée Vladimir Poutine. Le dirigeant russe souhaite restaurer une bonne coopération russo-américaine.

    Stabilité et sécurité du monde

    Donald Trump a qualifié cette lettre de « très aimable », dans un communiqué publié par son équipe. Le président russe y appelle, selon une traduction non officielle, « à prendre de véritables mesures pour restaurer le cadre de la coopération bilatérale dans différents domaines et porter notre collaboration sur la scène internationale à un nouveau niveau (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • Alep : le droit à l’analyse
    http://arretsurinfo.ch/alep-le-droit-a-lanalyse

    Face aux critiques qui l’accusent de soutenir la Russie et le régime syrien, Djordje Kuzmanovic refuse que la France ait la mémoire courte sur le déroulé de cette guerre abominable. Pour lui, les coupables directs sont bien les pays du golfe persique et la Turquie, qui soutiennent les djihadistes de tous bords. Et la France devrait revoir ses alliances.
    Ces derniers jours, j’ai été la cible d’attaques me présentant comme un soutien de Bachar al-Assad et de Vladimir Poutine et m’accusant d’insensibilité face à la tragédie d’Alep. À travers moi, il s’agit de viser Jean-Luc Mélenchon, candidat à l’élection présidentielle, attaqué au même moment sur ses positions dans le dossier syrien....

    La tragédie de la diplomatie française tient à son inféodation aux États-Unis et aux relations douteuses qu’elle entretient avec les monarchies théocratiques du Golfe. Les contrats d’armement qui la lient à ces pays et les accointances politiques de nos dirigeants empêchent la France d’adopter une ligne d’action autonome. Il est temps que nos responsables expliquent qui notre pays a armé dans le conflit syrien, avec quelles armes et avec quel suivi, et qu’ils justifient le choix des alliances dans lesquelles la France a été engagée. L’Arabie Saoudite, le Qatar, la Turquie, les États-Unis ont des intérêts qui pour beaucoup ne sont pas les nôtres. Ils ont hautement contribué à la déstabilisation du Proche-Orient, avec pour résultat l’explosion des actions terroristes, notamment sur notre sol, la crise migratoire et l’escalade militaire qui a conduit aux tragédies telles que celle d’Alep-Est.

    La France doit cesser de s’enfermer dans des postures dogmatiques et retrouver la diplomatie de médiation qui a jadis fait sa grandeur. Se démarquant tant des États-Unis que du Qatar, de l’Arabie Saoudite et de la Turquie, elle doit chercher à construire une coalition internationale sous mandat de l’ONU, capable d’éradiquer les groupes terroristes. C’est tout le système d’alliances de la France et sa vision internationale qui doivent être repensés si nous voulons contribuer à mettre un terme à la menace de la guerre et construire la paix, en Syrie et ailleurs.

  • Myriam Benraad : « La chute d’Alep, un revers immense pour les Occidentaux » - regards.fr
    http://www.regards.fr/web/article/myriam-benraad-la-chute-d-alep-un-revers-immense-pour-les-occidentaux

    il est évident que la démonstration de force effectuée par Vladimir Poutine et son allié syrien à Alep représente un revers immense pour les Occidentaux, dont la marge de manœuvre et la crédibilité en ressortent effritées. Comme le souligne très justement le politologue Bertrand Badie dans son dernier ouvrage, « nous ne sommes plus seuls au monde ». En arrière-fond, c’est l’ensemble du système multilatéral qui subit aussi une remise en cause historique, à commencer par l’ONU qui a été incapable de permettre un arrêt des violences, gérant au jour le jour une catastrophe humanitaire dont les répercussions promettent de s’alourdir encore.

  • Le diplomate tué : un artisan du rapprochement entre la Russie et la Turquie
    http://vilistia.org/archives/13379

    Andreï Karlov : un artisan du rapprochement entre la Russie et la Turquie 19 déc. 2016, 22:21 Andreï Karlov (droite) aux côtés de Vladimir Poutine, à Istanbul, le 10 octobre 2016, ©Osman Orsal/Reuters L’ambassadeur Andreï Karlov, assassiné à Ankara, était … Lire la suite →

    #TURQUIE_RUSSIE_IRAN_OCS

  • Vladimir Poutine : le meurtre de l’ambassadeur Andreï Karlov est une « provocation »
    http://vilistia.org/archives/13374

    Vladimir Poutine : le meurtre de l’ambassadeur Andreï Karlov est une « provocation » 19 déc. 2016, 21:02 © Sergey Guneev / Sputnik Le chef d’Etat russe a condamné l’attentat contre l’ambassadeur russe, qu’il qualifie de provocation destinée à « compromettre le processus … Lire la suite →

    #TURQUIE_RUSSIE_IRAN_OCS

  • La Syrie fracture les partis politiques français

    À droite, le candidat F. Fillon se rapproche du FN en défendant le régime d’Assad & V. Poutine. Le PS & les écologistes relaient l’opposition syrienne, quand JL. Mélenchon défend une lecture anti-impérialiste où les États-Unis sont le principal adversaire.

    La chute d’Alep est un révélateur. Y compris des fractures au sein des partis politiques français. À droite, la primaire a désigné un candidat, F. Fillon, qui s’est distingué de nombre de ses compagnons par son soutien à V. Poutine, voire à B. al-Assad, sur une ligne proche de celle du Front national. À l’inverse, le PS et les écologistes condamnent sans hésiter le régime dictatorial et soutiennent l’opposition syrienne non-djihadiste. Jean-Luc Mélenchon, lui, cultive une lecture anti-impérialiste qui suscite de vives polémiques.

    C’est par un communiqué d’à peine quelques lignes, que François Fillon a rompu jeudi 15 décembre le silence de plus en plus pesant qu’il observait depuis la chute d’Alep. « L’indignation est nécessaire mais elle n’a jamais sauvé une vie », explique-t-il. Pour « arrêter le massacre, il n’y a que deux solutions », poursuit celui qui, isolé dans sa famille politique, prône depuis des mois une alliance stratégique avec le régime de Damas.

    La première, celle d’« une intervention militaire que seuls les Américains peuvent conduire », n’a pas sa faveur « compte tenu de ce qu’il s’est passé en Irak ». La seconde, qu’il défend, « c’est une initiative puissante, européenne, diplomatique pour mettre autour de la table toutes les personnes qui peuvent arrêter ce conflit sans exclusive, et donc y compris ceux qui commettent des crimes aujourd’hui ». Pour François Fillon, reprendre le dialogue avec Bachar al-Assad, mais aussi avec Vladimir Poutine, est la seule voie de sortie pour le conflit syrien.
    .
    Il y a quelques semaines, Fillon a refusé de parler de « crimes de guerres » à Alep. « Il ne faut pas utiliser des mots comme ça, sans pouvoir vérifier », affirmait-il, dans L’Émission politique, sur France 2. « Quand on est en guerre, on doit choisir son principal adversaire », écrivait-il aussi dans Vaincre le totalitarisme islamique (Albin Michel, 2016) pour justifier un rapprochement avec Damas et Moscou. « Il y a deux camps en Syrie et non pas trois comme on le dit », assurait-il le 13 octobre dernier lors d’un débat avec ses concurrents à la primaire, parlant des partisans d’un « régime totalitaire islamique » et « des autres », oubliant au passage l’opposition syrienne non-djihadiste. « Moi, je choisis les autres parce que je considère que ce danger-là est trop grave pour la paix mondiale. »

    Mais, jeudi, Fillon, tout à sa volonté de rassemblement post-primaire, a nommé Bruno Le Maire « représentant pour les affaires européennes et internationales ». Un Bruno Le Maire qui défendait pourtant des positions diamétralement opposées à celle du vainqueur de la primaire sur le dossier syrien, allant jusqu’à prôner une intervention militaire au sol menée par la France. « Il faut que la France prenne le leadership d’une coalition internationale qui associerait des États européens et des États de la région. Entre l’alignement sur les États-Unis et la vénération aveugle de la Russie, il y a un choix alternatif : l’indépendance », déclarait-il dans le JDD. Choisir Bruno Le Maire laisse-t-il entrevoir un infléchissement de la ligne de François Fillon ? « Il n’y a aucune inflexion et il n’y a qu’un chef, c’est François Fillon », répond aujourd’hui son porte-parole Thierry Solère.

    Cela dit, la ligne pro-Assad de certains des soutiens historiques de Fillon, comme le député Thierry Mariani qui s’est félicité de la chute d’Alep-Est, risque de poser des problèmes au candidat LR, dont les positions ressemblent parfois à s’y méprendre à celles du Front national.

    Ce jeudi, Marine Le Pen n’avait toujours pas réagi à la chute d’Alep entre les mains d’un régime qu’elle a de toutes façons toujours défendu. Lundi, au lendemain de l’attentat perpétré contre une église copte au Caire, la candidate du FN avait pourtant immédiatement rédigé un communiqué de soutien aux chrétiens « sauvagement frappés par le fondamentalisme islamique ».
    .
    « Alep était infestée d’islamistes, ce qui ne veut pas dire qu’il n’y a pas des drames avec des civils (…), il y en a », a répondu Florian Philippot ce jeudi sur BFMTV. Reprenant la ligne du parti d’extrême droite, il a, de nouveau, déclaré qu’il fallait « parler avec la Russie ». « Au lieu d’observer et de se lamenter, il aurait fallu être acteur : (…) La France aurait œuvré à créer une vraie coalition mondiale avec les États-Unis, avec les pays européens dont la France, mais aussi avec la Russie ; cela aurait été plus responsable. »
    .
    Outre les liens étroits du FN avec la Russie, notamment financiers (lire nos enquêtes), le FN a toujours, dans ce conflit repris, à la virgule près, la propagande de Bachar al-Assad, estimant que son régime permettait de faire « cohabiter pacifiquement des minorités qui demain vont se faire massacrer », comme l’affirmait en 2013 Marion Maréchal-Le Pen. L’entourage de la dirigeante du FN a parfois noué des liens d’affaires avec Bachar al-Assad. La société de communication de Frédéric Chatillon, conseiller officieux de Marine Le Pen, Riwal a perçu, comme le racontait Mediapart, entre 100 000 et 150 000 euros par an du régime syrien, pour gérer la communication dudit régime.

    Les candidats à la primaire du PS : le soutien à l’opposition syrienne

    Ils ne sont d’accord sur rien, ou presque. Sauf sur la guerre en Syrie. Les principaux candidats à la primaire du PS, prévue les 22 et 29 janvier, reprennent tous à leur compte la ligne des autorités françaises, définie sous Nicolas Sarkozy et poursuivie par François Hollande : condamnation du régime de Bachar al-Assad et soutien à l’opposition syrienne, dite modérée (hors djihadistes). Mais la plupart se gardent bien d’aller au-delà sur le terrain diplomatique. Seul véritable point de discorde : la question des réfugiés entre, d’un côté, Manuel Valls, renvoyé à son discours de Munich dans lequel il avait critiqué la politique d’accueil de la chancelière Angela Merkel, et, de l’autre, tous ses concurrents.

    Manuel Valls a tweeté mardi un appel à la Russie de Vladimir Poutine, avant de critiquer « un tropisme pro-russe chez François Fillon ». La France « doit parler avec la Russie mais aussi dire avec la plus grande fermeté que ce qui se passe à Alep est intolérable, indigne, c’est une blessure pour l’humanité », a-t-il déclaré au média en ligne Brut.

    Mercredi à Paris, Benoît Hamon a commencé son discours en rendant hommage à « nos frères et sœurs en humanité » qui meurent à Alep et en parlant de « crime de guerre » et de « crime contre l’humanité ». « Je me refuse à graduer l’horreur selon qu’elle est perpétrée par Daech ou par Bachar al-Assad », a-t-il argumenté, mais sans s’avancer sur les solutions diplomatiques. Il s’est en revanche clairement distingué de Manuel Valls sur l’accueil des réfugiés – alors premier ministre, il avait critiqué les choix d’Angela Merkel. « J’ai eu honte que des responsables soient allés tancer une chancelière (allemande) pour lui dire de ne pas en faire autant sur les réfugiés », a balayé Hamon mercredi, qui veut créer un visa humanitaire, sortir des accords de Dublin et octroyer plus rapidement aux migrants le droit de travailler.
    .
    Même tonalité chez Vincent Peillon qui, interrogé sur France Inter, a surtout appelé à accueillir les Syriens réfugiés : « Si l’on peut faire quelque chose, c’est les accueillir », a-t-il expliqué.
    .
    Seul Arnaud Montebourg, après avoir exprimé son « indignation profonde », s’est un peu plus avancé sur le plan diplomatique : dans un communiqué publié sur son site, il salue « les efforts diplomatiques que la France a entrepris ces dernières années avec Laurent Fabius et Jean-Marc Ayrault ». Avant d’ajouter : « Mais nous ne pouvons agir ou peser seuls. (...) Il faut exiger dès les prochaines heures une initiative commune de l’ensemble des chefs de gouvernements pour mobiliser les autres puissances mondiales, Chine et États-Unis notamment, faire pression sur la Russie, l’Iran afin que cesse l’un des plus sinistres épisodes et l’un des plus lourds échecs diplomatiques de ces dernières décennies. »

    Les écologistes, fidèles à leurs traditions

    Droits de l’homme, aide humanitaire et appel à la communauté internationale : les dirigeants d’Europe Écologie-Les Verts, et le candidat Yannick Jadot, sont fidèles à la tradition politique de leur mouvement. Dans une tribune publiée par Le Monde, après avoir condamné les massacres du régime, le candidat Yannick Jadot appelle avec l’essayiste Raphaël Glucksmann au renforcement des sanctions contre la Russie (« Ce régime russe est aussi une oligarchie qu’il faut frapper au portefeuille »), et à refuser que la Coupe du monde de football ait lieu en Russie en 2018.
    .
    Ils s’en prennent aussi à plusieurs dirigeants français : « Alep crève depuis des mois et Marine Le Pen a applaudi Assad et Poutine, son modèle et son parrain. Alep crève et François Fillon a dit, dans un débat de la primaire démocratique de la droite française, “choisir Assad” avant de justifier Poutine. Alep crève et Jean-Luc Mélenchon a affirmé dans une émission populaire du service public : “Je pense que Poutine va régler le problème en Syrie.” »
    .
    Quant à l’ancienne ministre Cécile Duflot, elle s’est rendue en début de semaine à la frontière turco-syrienne – la délégation, également composée des députés Patrick Mennucci (PS) et Hervé Mariton (LR), a demandé, en vain, à accompagner jusqu’à Alep le président du comité civil d’Alep-Est Brita Hagi Hasan. Plusieurs responsables écologistes, dont Jadot et Jacques Boutault, maire du IIe arrondissement de Paris, ont aussi participé jeudi, aux côtés d’Anne Hidalgo (PS), à la manifestation organisée pour le départ d’un convoi d’aide humanitaire.

    Mélenchon, contre l’impérialisme américain mais à quel prix ?

    À gauche, seul Jean-Luc Mélenchon se distingue réellement. Au centre de nombreuses polémiques, il a pris soin, depuis quelques mois, de préciser ses propos. Dans sa dernière émission, Revue de la semaine, mise en ligne sur Youtube jeudi, le candidat de la France insoumise insiste sur cette information qui le « percute ». « Ces dernières heures nous avons tous été bouleversés par la diffusion des images en provenance d’Alep et de la partie est de cette ville, des bombardements qu’elle est en train de subir », commence Mélenchon, qui en profite pour répondre à ses détracteurs, qui font de lui « un ami des bombardements sur cette partie de la ville ». « Comment peut-on penser qu’il y a une personne ici ou là qui aime les bombardements et leurs conséquences ? À ceux qui se posaient des questions, je leur dis que je suis comme eux : indigné, blessé », poursuit-il.
    .
    Jean-Luc Mélenchon réexplique, dans cette vidéo, la série d’arguments qui lui permettent de se définir comme un « non aligné » (« une propagande mortelle interdit tout débat, toute critique, tout point de vue non aligné », déclarait-il dans une note de blog mercredi 14 décembre). D’abord le fait que, selon lui, cette guerre en Syrie n’est pas celle qu’on croit, mais bien une guerre pour les matières premières (le gaz et le pétrole).

    « Il s’agit d’une guerre du pétrole et des gazoducs qui n’a pas d’issue sans une coalition universelle ! Nul n’admet, contre les faits eux-mêmes, que ce sont les États-Unis et la France qui ont refusé la formation d’une coalition universelle avec la Russie pour combattre les bandes armées de Daech, Al Nostra [le Front Al-Nosra – ndlr] et compagnie », détaillait Mélenchon le 14. « Le problème de la guerre en Irak et en Syrie, ce n’est pas la religion, ce sont les oléoducs et les gazoducs. (...) Ce sont des guerres traditionnelles pour l’accès aux matières premières et l’accumulation de la richesse. Et dans l’affaire de la Syrie c’est tout à fait ça au point de départ », déclarait-il le 11 décembre à l’émission Question politique.

    Au début du soulèvement syrien en 2011, le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon faisait pourtant partie des formations politiques à saluer les printemps arabes, y compris en Syrie. Sa coprésidente Martine Billard signait, le 28 août 2013, un communiqué condamnant clairement les bombardements à l’arme chimique quelques jours plus tôt, commis par le régime. « Après plus de 100 000 victimes tuées depuis le début du soulèvement en Syrie en mars 2011, et la destruction de régions entières du pays, le Parti de gauche dénonce le massacre à l’arme chimique de centaines de civils syriens le 21 août. Cette escalade dans l’horreur est inadmissible. » Mais, déjà, elle prévenait qu’« une intervention armée des États-Unis et d’autres pays alliés dont la France, ne ferait qu’aggraver le conflit d’autant que la Russie entend continuer à soutenir le régime criminel de Damas, notamment pour préserver ses intérêts dans la région ».

    Depuis, si le PG a changé de pied, c’est à la fois à cause de la montée en puissance des groupes armés islamistes et djihadistes (les deux étant parfois confondus dans le discours du parti) parmi l’opposition syrienne au régime, du soutien du Qatar, de l’Arabie saoudite et de la Turquie à certains de ces groupes, et le déclenchement de l’intervention internationale emmenée par les États-Unis. Or, pour le parti de Mélenchon, « le monde est entré dans l’ère des “guerres de l’Empire global” », selon son texte de congrès de juin 2015. Peu à peu, cette grille d’analyse a effacé celle présidant au soulèvement des peuples de Tunisie, d’Égypte, de Bahreïn ou de Syrie contre leurs dictateurs, indépendamment de tout agenda extérieur.

    « En Libye, en Irak, en Syrie ou au Yémen, les États-Unis tirent prétexte du chaos qu’ils ont eux-mêmes créé, en armant des terroristes islamistes, avec l’aide de leurs alliés pour justifier les interventions meurtrières pour les populations. Quatre ans après les soulèvements populaires du monde arabe, les peuples restent pris en étau entre les régimes autoritaires et dictatoriaux (comme le régime d’Assad), la progression d’un fanatisme subventionné par les monarchies wahhabites du Golfe, les seigneurs de guerre mafieux », écrivait alors le PG.

    De là découle, par exemple, le refus de Mélenchon de parler de « crimes de guerre » : le 16 octobre, dans le JDD, il rétorquait : « Toute guerre est une addition de crimes ! À quoi bon cette escalade verbale de Hollande ? Nous sommes déjà en danger de guerre généralisée. Pourquoi en rajouter avec cette menace du Tribunal pénal international ? Sait-on que ni les USA ni la Russie ne le reconnaissent ? Le dire n’est pas soutenir Poutine. D’ailleurs, il a mis en prison mes amis en Russie. »

    L’entrée en guerre de la France n’a fait que renforcer Mélenchon dans sa grille d’analyse. C’est aussi en défenseur des « intérêts de la France » qu’il se présente : « Depuis le début de la crise, d’un excès à l’autre, la diplomatie française s’est inutilement identifiée au camp des faucons nord-américains, écrivait-il le 4 novembre. Il n’y a plus de représentation diplomatique française à Damas. Comment envisager une discussion sur la paix et même une transition démocratique en Syrie en maintenant la rupture de toute relation diplomatique avec l’État syrien ? Ce choix n’est pas celui de tous les pays européens. Sept pays de l’UE conservent des relations diplomatiques avec la Syrie, dont la Grèce et l’Espagne. (...) La voix présidentielle de la France s’égarant actuellement dans le soutien aveugle aux islamistes turcs, c’est à nous d’incarner la France qui ne se trompe pas d’amis en Turquie. Nous l’avons fait concrètement en accueillant des parlementaires et dirigeants du HDP à nos universités d’été. »

    Ses positions sont l’objet de toutes les polémiques et gênent une partie de la gauche radicale (lire à ce sujet le texte de Julien Salingue*), et de ses soutiens. Mercredi, Clémentine Autain a condamné un « crime contre l’humanité » commis « au nom de la lutte contre Daech » et son mouvement, Ensemble, a relayé l’appel à manifester à Paris avec le collectif Avec la Révolution syrienne, et dénoncé un « dictateur sanguinaire ».

    Le PCF est beaucoup plus mesuré : dans un communiqué publié mercredi, les communistes demandent un cessez-le-feu pour les populations civiles d’Alep mais renvoient dos à dos « chacun des belligérants, et de leurs soutiens ». « Des crimes de guerre ont été commis par toutes les parties en présence, et leurs alliés, depuis le début de l’offensive sur Alep et de la guerre en Syrie », dit encore le Parti communiste, qui appelle à une « transition démocratique » en Syrie avec « un processus conciliant les ennemis d’aujourd’hui », sans un mot de condamnation sur Bachar al-Assad.

    Lénaïg Bredoux, Lucie Delaporte & Christophe Gueugneau

    *http://resisteralairdutemps.blogspot.be/2016/12/massacres-alep-lettre-un-camarade-qui.html

  • Une pieuvre aux connexions mafieuses
    https://www.mediapart.fr/journal/international/161216/une-pieuvre-aux-connexions-mafieuses

    Les documents #football Leaks révèlent que #Doyen Sports, l’un des plus gros fonds d’investissement du football européen, est contrôlé par une famille d’oligarques kazakho-turcs aux connections mafieuses. Elle blanchit son argent aux îles Vierges. L’un de ses membres était le « boss » d’un trafic de prostituées mineures. De gauche à droite : l’oligarque russe Musa Bazhaev, Alexander Mashkevitch et Tevfik #Arif, lors d’une soirée privée à Bruxelles en 2009. Chacun des trois hommes a un accès direct à un président, respectivement Vladimir Poutine (Russie), Noursoultan Nazarbaïev (Kazakhstan) et #Recep_Erdogan (Turquie) © (...)

    #International #Alexander_Machkevitch #Alijan_Ibragimov #Arif_Arif #Arif_Efendi #Donald_Trump #football_leaks #matières_premières #paradis_fiscaux #Patokh_Chodiev #Tevfik_Arif

  • Selon Wikileaks, la fuite des mails de Clinton a été orchestrée par un membre du parti démocrate !
    https://www.crashdebug.fr/international/12841-selon-wikileaks-la-fuite-des-mails-de-clinton-a-ete-orchestree-par-

    Perso moi je n’y croyais pas à cette histoire de hack, un hack en interne au profit d’Hillary Clinton aurrais été possible, mais pas en externe, enfin je ne pense pas.

    Alors que la Maison Blanche continue d’incriminer les pirates russes et Vladimir Poutine, un représentant de WikiLeaks et ancien ambassadeur britannique en Ouzbékistan, Craig Murray, confirme avoir reçu les documents compromettant Hillary Clinton de la part… d’un démocrate dégoûté par l’activité du parti !

    Les tentatives de saboter la présidentielle aux États-Unis, le référendum sur le Brexit, ou encore le piratage de la correspondance du Parti démocrate (perpétré par Poutine lui-même !)… telle est la longue liste des « forfaits » perpétrés par les terribles Russes aux yeux de l’Occident.

    N’en déplaise aux phobiques qui voient flotter (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • Liz Kovarni, romancière française, salue Vladimir Poutine – vidéo
    http://vilistia.org/archives/13271

    Liz Kovarni, romancière française, salue Vladimir Poutine Pravda France 13 0 Diffusé en direct le 9 déc. 2016 La grosse arnaque informatico-bancaire est la trame même du roman « 52 », histoire d’une DG aussi intelligente que mignonne qui s’est faite projeter … Lire la suite →

    #*_VIDEOS_ICI

  • Citations du Président Vladimir Poutine
    http://vilistia.org/archives/13220

    mercredi 14 décembre 2016 Citations du Président Vladimir Poutine « Les USA ont commencé leur développement avec un nettoyage ethnique sans précédent dans l’Histoire » 1. « La #RUSSIE ne négocie pas avec les terroristes, elle les détruit » Source photo:Eclypsia 2. »Vous devez toujours … Lire la suite →

  • Donald Trump nomme Rex Tillerson, PDG d’ExxonMobil, au poste de secrétaire d’Etat
    https://www.crashdebug.fr/international/12820-donald-trump-nomme-rex-tillerson-pdg-d-exxonmobil-au-poste-de-secre

    Selon un communiqué officiel, le président américain élu a désigné Rex Tillerson, proche de Vladimir Poutine, à la tête de la diplomatie américaine.

    Rex Tillerson, lors du Congrès mondial du gaz, à Paris, le 2 juin 2015. Benoit Tessier / REUTERS

    L’incertitude va s’ajouter à l’incertain. Le président élu Donald Trump, dont la vision des affaires étrangères n’a cessé d’alimenter les interrogations, a en effet annoncé mardi 13 décembre via un communiqué son intention de nommer un néophyte à la tête de la diplomatie américaine. M. Trump a définitivement tranché en faveur du dernier nom évoqué pour ce poste stratégique, celui de Rex Tillerson, 64 ans, le patron du géant pétrolier ExxonMobil.

    Ce dernier, qui devait quitter la compagnie en mars, atteint par la limite d’âge, y a effectué toute sa carrière. Elle l’a (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • L’aviation russe porte 64 frappes pour empêcher Daech d’entrer à Palmyre
    https://www.crashdebug.fr/international/12808-l-aviation-russe-porte-64-frappes-pour-empecher-daech-d-entrer-a-pa

    En tout cas, depuis que Vladimir Poutine a décidé d’intervenir au Moyen Orient, on peut dire que les choses bougent...

    (c) Sputnik. Mikhail Voskresensky

    Les forces syriennes appuyées par l’aviation russe ont repoussé cette nuit toutes les attaques des djihadistes sur la ville.

    Les avions russes ont porté cette nuit 64 frappes contre les terroristes, leurs positions, leurs colonnes ainsi que leurs entrepôts, coupant ainsi court à leur tentative de pénétrer dans Palmyre, a annoncé dimanche matin le ministère russe de la Défense.

    « Au cours de la dernière nuit, les troupes gouvernementales syriennes soutenues par l’aviation russe ont repoussé toutes les attaques des terroristes contre Palmyre », a indiqué le ministère dans un communiqué.

    « Les terroristes ont activement fait usage de voitures (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International