person:william playfair

  • « Quand William Playfair voulait dépecer la France ! »

    Signalé sur Twitter par Michael Friendly @datavisFriendly

    A little known Playfair map: “A map of France with the proposed divisions”, 1793.

    William Playfair proposes dividing France and giving pieces to its neighbors.

    Found in: John Delaney’s “First X, Then Y, Now Z”, p. 143.

    #cartoexperiement #cartographie #william_playfair #précurseurs #frontières #territoires

  • Data visualization: Stop making charts when a table is better — Quartz
    https://qz.com/1107993/data-visualization-stop-making-charts-when-a-table-is-better
    https://qzprod.files.wordpress.com/2017/10/chartnotneeded.jpg?quality=80&strip=all&w=1600

    Charts are cool. But they are not always necessary, or even helpful. I am here to make a case for the humble, effective table.

    While the use of tables to display data in rows and columns goes back, at least, to the 2nd century, the chart is a relatively new innovation. Bar, line, and pie charts, the workhorses of data visualization, were all invented by Scottish political economist William Playfair at the turn of the 18th century. Playfair thought his charts were a particularly excellent way to show changes of magnitude over time. For example, in one of the earliest known charts, Playfair brilliantly used a line chart to show the evolution of England’s balance of trade.

    #visualisation #statistiques

  • Deux siècles de contributions cartographiques à l’analyse des interactions spatiales par les flux

    https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01518424/document

    Par Françoise Bahoken

    L’idée qui consiste à représenter graphiquement des données quantitatives trouve son origine au XVIIème siècle, dans les travaux de William Playfair considéré comme l’inventeur de la statistique graphique. Il faudra toutefois attendre la seconde moitié du XIXème siècle pour voir apparaître les premières cartes portant sur des flux agrégés, qu’ils soient affectés (flux matériels) ou non (flux immatériels) sur réseaux. En effet, si la cartographie chorophète s’est développée dans un premier temps, la situation apparemment secondaire de la cartographie de flux tiendrait dans la difficulté de sa construction et celle de la mobilisation de données complexes. Elle réside moins dans la manipulation d’un outil, que dans la méconnaissance des méthodes pouvant être mises en oeuvre, quelle que soit l’époque considérée. Outre les questions liées au support de la représentation, la difficulté de réalisation d’une carte de flux émane surtout de la capacité à résoudre les problèmes inhérents à l’appréhension d’un objet complexe : une matrice de flux agrégés dans l’espace, le temps et à sa représentation. Cette complexité intrinsèque à l’objet se traduit par la concomitance de plusieurs composantes (spatiales, sociales ou thématiques, et temporelles) dont l’articulation nécessite de faire des choix quant à la logique de raisonnement à mettre en oeuvre, aux méthodes et outils à mobiliser compte tenu de la sémantique (flux, mouvement) et du type de flux (commerciaux, financier, migratoire...). Ces différentes contraintes n’étant pas, dans l’ensemble, nouvelles, certaines d’entre elles ont pu être résolues au cours du temps, à mesure que se développait l’analyse des interactions spatiales. L’objectif de cette communication est de présenter la contribution de l’analyse cartographique des flux (et des mouvements) au domaine de l’analyse spatiale. Pour ce faire, nous proposons une mise en perspective de l’évolution de la figure de la carte de flux en six grandes périodes (1836-2016) que nous considérons représentatives d’une (r)évolution dans la manière de penser, de faire (émergence d’une méthode ou d’un procédé) et de donner à voir les motifs de flux sur une carte. En la matière et probablement plus qu’ailleurs, l’innovation méthodologique est indéniablement le reflet d’une époque, de ses acquis théoriques et des possibilités techniques permettant leur validation empirique. Elle participe pleinement de la réponse, apportée par les géographes, aux critiques qui leur sont formulées dans la première moitié du XXème siècle à savoir : un renforcement de la prise en compte des mouvements spatiaux dans l’analyse géographique, a fortiori dans leur représentation. La recherche géographique a ainsi pu identifier différents types de mouvements, de flux et autres circulations dont il a bien fallu modéliser les processus et représenter graphiquement les motifs principaux ou significatifs, par le truchement de variables visuelles. La présentation de ces six périodes sera par ailleurs réalisée au prisme d’une classification des méthodes de cartographie de flux réalisée en fonction des principaux types de matrices.

    #cartographie #histoire #sémiologie #sémantique #flux #circulation #précurseurs #cartoexperiment

  • A Look At Area Graphs - Visualoop

    http://visualoop.com/blog/30496/a-look-at-area-graphs

    The chart we’ll be looking at in this post is Area Graphs, a graph which is essentially a Line Graph with the area below the line filled in.

    A Simple Area Graph is drawn by plotting data points on a cartesian coordinate grid, then joining a line between the points and finally filling in the space below the completed line. This give Area Graphs their iconic rocky mountain-like appearance. Area Graphs are ideal for showing trends, by showing the development of quantitive values over intervals or time periods.
    History

    The first appearance of a Area Graph or Line Graph was a chart on the national debt of England in the 1786 book The Commercial and Political Atlas, by William Playfair, a Scottish engineer and political economist.

    #visualisation #graphique #sémiologie