person:xavier de jarcy

  • A l’encontre » Histoire. Le Corbusier, l’ami des fascistes, ne mérite ni statue, ni musée

    Le Corbu nauséabond, et je le rappelle, il a aussi brutalisé moralement Otto Neurath lors de la croisière du SIAM IV entre Marseille et Athènes.

    http://alencontre.org/societe/histoire/histoire-le-corbusier-lami-des-fascistes-ne-merite-ni-statue-ni-musee.ht

    Par Xavier de Jarcy (journaliste) ; Daniel de Roulet (architecte) ; Laurent Olivier (archéologue) ; Marc Perelman (universitaire)

    Une statue de Le Corbusier a été installée le 24 janvier dernier dans le centre-ville de Poissy, Place des Capucins (dans les Yvelines). Une première statue de l’architecte avait été inaugurée le mercredi 10 mai 2017 en Mairie (Poissy) en présence entre autres de l’artiste et du Maire. À ce moment-là, l’artiste russe M. Andrey Tyrtyshnikov expliquait qu’il avait « été attiré par la personnalité et la philosophie de Le Corbusier ». C’est précisément à propos de la personnalité et de la philosophie de l’architecte que nous voudrions réagir.

    L’exposition au centre Georges Pompidou (« Le Corbusier. Mesures de l’homme », avril-août 2015) avait permis de révéler à un large public l’antisémitisme de l’architecte, ses accointances avérées avec l’extrême droite fasciste, sa fascination pour les dictateurs (Hitler, Mussolini…). Une polémique internationale s’en était suivie. Désormais, on connaît mieux les propos sans ambiguïté de l’architecte.

    #fascisme

  • „Qui a peur de Le Corbusier ?” - Le Point

    http://www.lepoint.fr/culture/qui-a-peur-de-le-corbusier-25-04-2015-1924210_3.php

    Le 1er septembre 1965, André Malraux prononçait au Louvre l’éloge funèbre de Le Corbusier, son « maître » et « ami », devant des ambassadeurs du monde entier. Cinquante ans plus tard, en guise d’hommage anniversaire et alors que le Centre Pompidou lui consacre une grande rétrospective, l’architecte reçoit des coups de griffe : trois ouvrages paraissent qui soulignent ses sympathies brunes. « Fasciste », Corbu ? On connaissait sa foi en un homme régénéré, sain de corps, utile à une société machiniste. Xavier de Jarcy, Marc Perelman et François Chaslin (*) vont plus loin. Ils rappellent son amitié avec le docteur Pierre Winter ou l’ingénieur François de Pierrefeu, eugénistes et membres de groupuscules fascistes dans les années trente. Relèvent, dans sa correspondance, des propos antisémites. Soulignent sa conception d’une guerre à visée hygiénique et son séjour à Vichy entre 1941 et 1942. Une instruction à charge ? Antoine Picon, professeur d’histoire de l’architecture à Harvard et président de la Fondation Le Corbusier, leur répond.

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    La charpente fasciste de Le Corbusier | Big Browser

    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/04/24/la-charpente-fasciste-de-le-corbusier

    es détracteurs de Le Corbusier ont une nouvelle raison (en béton) de le détester. A l’heure du 50e anniversaire de sa mort, et à quelques jours de l’ouverture d’une exposition au Centre Pompidou (29 avril-3 août), deux ouvrages viennent en effet rappeler la part d’ombre de l’architecte à qui l’on doit notamment la Cité radieuse marseillaise.

    Charles-Edouard Jeanneret, alias Le Corbusier, « a milité pendant vingt ans dans des groupes dont l’idéologie était très nette », explique ainsi François Chaslin, qui publie Un Corbusier, aux éditions du Seuil. Un passé sombre « caché », selon lui. Xavier de Jarcy a choisi de son côté de le révéler dès le titre de son ouvrage : Le Corbusier, Un fascisme français.

    #le_corbusier #architecture