Une organisation en #souffrance
Les Français seraient-ils retors à l’effort, comme le laissent entendre les mesures visant à stigmatiser les chômeurs ? Et si le nombre de #démissions, les chiffres des #accidents et des #arrêts_de_travail étaient plutôt le signe de #conditions_de_travail délétères.
Jeté dans une #concurrence accrue du fait d’un #management personnalisé, évalué et soumis à la culture froide du chiffre, des baisses budgétaires, le travailleur du XXIe siècle est placé sous une #pression inédite...
L’étude de 2019 de la Darès (Ministère du Travail) nous apprend que 37% des travailleurs.ses interrogés se disent incapables de poursuivre leur activité jusqu’à la retraite. Que l’on soit hôtesse de caisse (Laurence) ou magistrat (Jean-Pierre), tous témoignent de la dégradation de leurs conditions de travail et de l’impact que ces dégradations peuvent avoir sur notre #santé comme l’explique le psychanalyste Christophe Dejours : “Il n’y a pas de neutralité du travail vis-à-vis de la #santé_mentale. Grâce au travail, votre #identité s’accroît, votre #amour_de_soi s’accroît, votre santé mentale s’accroît, votre #résistance à la maladie s’accroît. C’est extraordinaire la santé par le travail. Mais si on vous empêche de faire du travail de qualité, alors là, la chose risque de très mal tourner.”
Pourtant, la #quête_de_sens est plus que jamais au cœur des revendications, particulièrement chez les jeunes. Aussi, plutôt que de parler de la semaine de quatre jours ou de développer une sociabilité contrainte au travail, ne serait-il pas temps d’améliorer son #organisation, d’investir dans les métiers du « soin » afin de renforcer le #lien_social ?
Enfin, la crise environnementale n’est-elle pas l’occasion de réinventer le travail, loin du cycle infernal production/ consommation comme le pense la sociologue Dominique Méda : “Je crois beaucoup à la reconversion écologique. Il faut prendre au sérieux la contrainte écologique comme moyen à la fois de créer des emplois, comme le montrent les études, mais aussi une possibilité de changer radicalement le travail en profondeur.”
▻https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/une-organisation-en-souffrance-5912905
#travail #audio #sens #reconnaissance #podcast #déshumanisation #grande_distribution #supermarchés #Carrefour #salariat #accidents_du_travail # location-gérance #jours_de_carence #délai_de_carence #financiarisation #traçabilité #performance #néo-taylorisme #taylorisme_numérique #contrôle #don #satisfaction #modernisation #mai_68 #individualisation #personnalisation #narcissisation #collectif #entraide #épanouissement #marges_de_manoeuvre #intensification_du_travail #efficacité #rentabilité #pression #sous-traitance #intensité_du_travail #santé_au_travail #santé #épidémie #anxiété #dépression #santé_publique #absentéisme #dégradation_des_conditions_de_travail #sommeil #identité #amour_de_soi #santé_par_le_travail #tournant_gestionnaire #gouvernance_de_l'entreprise #direction_d'entreprise #direction #règles #lois #gestionnaires #ignorance #objectifs_quantitatifs #objectifs #performance #mesurage #évaluation #traçabilité #quantification #quantitatif #qualitatif #politique_du_chiffre #flux #justice #charge_de_travail
25’40 : #Jean-Pierre_Bandiera, ancien président du tribunal correctionnel de Nîmes :
« On finit par oublier ce qu’on a appris à l’école nationale de la magistrature, c’est-à-dire la motivation d’un jugement... On finit par procéder par affirmation, ce qui fait qu’on gagne beaucoup de temps. On a des jugements, dès lors que la culpabilité n’est pas contestée, qui font abstraction de toute une série d’éléments qui sont pourtant importants : s’attarder sur les faits ou les expliquer de façon complète. On se contente d’une qualification développée : Monsieur Dupont est poursuivi pour avoir frauduleusement soustrait 3 véhicules, 4 téléviseurs au préjudice de Madame Durant lors d’un cambriolage » mais on n’est pas du tout en mesure après de préciser que Monsieur Dupont était l’ancien petit ami de Madame Durant ou qu’il ne connaissait absolument pas Madame Durant. Fixer les conditions dans lesquelles ce délit a été commis de manière ensuite à expliquer la personnalisation de la peine qui est quand même la mission essentielle du juge ! Il faut avoir à chaque fois qu’il nous est demandé la possibilité d’adapter au mieux la peine à l’individu. C’est très important. On finit par mettre des tarifs. Quelle horreur pour un juge ! On finit par oublier la quintessence de ce métier qui est de faire la part des choses entre l’accusation, la défense, l’auteur de faits, la victime, et essayer d’adopter une sanction qui soit la plus adaptée possible. C’est la personnalisation de la peine, c’est aussi le devenir de l’auteur de cette infraction de manière à éviter la récidive, prévoir sa resocialisation. Bref, jouer à fond le rôle du juge, ce qui, de plus en plus, est ratatiné à un rôle de distributeur de sanctions qui sont plus ou moins tarifées. Et ça c’est quelque chose qui, à la fin de ma carrière, c’est quelque chose qui me posait de véritables problèmes d’éthique, parce que je ne pensais pas ce rôle du juge comme celui-là. Du coup, la qualité de la justice finit par souffrir, incontestablement. C’est une évolution constante qui est le fruit d’une volonté politique qui, elle aussi, a été constante, de ne pas consacrer à la justice de notre pays les moyens dont elle devait disposer pour pouvoir fonctionner normalement. Et cette évolution n’a jamais jamais, en dépit de tout ce qui a pu être dit ou écrit, n’ai jamais été interrompue. Nous sommes donc aujourd’hui dans une situation de détresse absolue. La France est donc ??? pénultième au niveau européen sur les moyens budgétaires consacrés à sa justice. Le Tribunal de Nîme comporte 13 procureurs, la moyenne européenne nécessiterait qu’ils soient 63, je dis bien 63 pour 13. Il y a 39 juges au Tribunal de Nîmes, pour arriver dans la moyenne européenne il en faudrait 93. Et de mémoire il y a 125 greffiers et il en faudrait 350 je crois pour être dans la moyenne. Il y avait au début de ma carrière à Nîmes 1 juge des Libertés et de la détention, il y en a aujourd’hui 2. On a multiplié les chiffres du JLD par 10. Cela pose un problème moral et un problème éthique. Un problème moral parce qu’on a le sentiment de ne pas satisfaire au rôle qui est le sien. Un problème éthique parce qu’on finit par prendre un certain nombre de recul par rapport aux valeurs que l’on a pourtant porté haut lorsqu’on a débuté cette carrière. De sorte qu’une certaine mélancolie dans un premier temps et au final un certain découragement me guettaient et m’ont parfois atteint ; mes périodes de vacances étant véritablement chaque année un moment où la décompression s’imposait sinon je n’aurais pas pu continuer dans ces conditions-là. Ce sont des heures de travail qui sont très très chargés et qui contribuent aussi à cette fatigue aujourd’hui au travail qui a entraîné aussi beaucoup de burn-out chez quelques collègues et puis même, semble-t-il, certains sont arrivés à des extrémités funestes puisqu’on a eu quelques collègues qui se sont suicidés quasiment sur place, vraisemblablement en grande partie parce que... il y avait probablement des problèmes personnels, mais aussi vraisemblablement des problèmes professionnels. Le sentiment que je vous livre aujourd’hui est un sentiment un peu partagé par la plupart de mes collègues. Après la réaction par rapport à cette situation elle peut être une réaction combative à travers des engagements syndicaux pour essayer de parvenir à faire bouger l’éléphant puisque le mammouth a déjà été utilisé par d’autres. Ces engagements syndicaux peuvent permettre cela. D’autres ont plus ou moins rapidement baissé les bras et se sont satisfaits de cette situation à défaut de pouvoir la modifier. Je ne regrette rien, je suis parti serein avec le sentiment du devoir accompli, même si je constate que en fermant la porte du tribunal derrière moi je laisse une institution judiciaire qui est bien mal en point."
Min. 33’15, #Christophe_Dejours, psychanaliste :
« Mais quand il fait cela, qu’il sabote la qualité de son travail, qu’il bâcle son travail de juge, tout cela, c’est un ensemble de trahisons. Premièrement, il trahi des collègues, parce que comme il réussi à faire ce qu’on lui demande en termes de quantité... on sait très bien que le chef va se servir du fait qu’il y en a un qui arrive pour dire aux autres : ’Vous devez faire la même chose. Si vous ne le faites pas, l’évaluation dont vous allez bénéficier sera mauvaise pour vous, et votre carrière... vous voulez la mutation ? Vous ne l’aurez pas !’ Vous trahissez les collègues. Vous trahissez les règles de métier, vous trahissez le justiciable, vous trahissez les avocats, vous leur couper la parole parce que vous n’avez pas le temps : ’Maître, je suis désolé, il faut qu’on avance.’ Vous maltraitez les avocats, ce qui pose des problèmes aujourd’hui assez compliqués entre avocats et magistrats. Les relations se détériorent. Vous maltraitez le justiciable. Si vous allez trop vite... l’application des peines dans les prisons... Quand vous êtes juges des enfants, il faut écouter les enfants, ça prend du temps ! Mais non, ’va vite’. Vous vous rendez compte ? C’est la maltraitance des justiciables sous l’effet d’une justice comme ça. A la fin vous trahissez la justice, et comme vous faites mal votre travail, vous trahissez l’Etat de droit. A force de trahir tous ces gens qui sont... parce que c’est des gens très mobilisés... on ne devient pas magistrat comme ça, il faut passer des concours... c’est le concours le plus difficile des concours de la fonction publique, c’est plus difficile que l’ENA l’Ecole nationale de magistrature... C’est des gens hyper engagés, hyper réglo, qui ont un sens de la justice, et vous leur faites faire quoi ? Le contraire. C’est ça la dégradation de la qualité. Donc ça conduit, à un moment donné, à la trahison de soi. Ça, ça s’appelle la souffrance éthique. C’est-à-dire, elle commence à partir du moment où j’accepte d’apporter mon concours à des actes ou à des pratiques que le sens moral réprouve. Aujourd’hui c’est le cas dans la justice, c’est le cas dans les hôpitaux, c’est le cas dans les universités, c’est le cas dans les centres de recherche. Partout dans le secteur public, où la question éthique est décisive sur la qualité du service public, vous avez des gens qui trahissent tout ça, et qui entrent dans le domaine de la souffrance éthique. Des gens souffrent dans leur travail, sauf que cette souffrance, au lieu d’être transformée en plaisir, elle s’aggrave. Les gens vont de plus en plus mal parce que le travail leur renvoie d’eux-mêmes une image lamentable. Le résultat c’est que cette trahison de soi quelques fois ça se transforme en haine de soi. Et c’est comme ça qu’à un moment donné les gens se suicident. C’est comme ça que vous avez des médecins des hôpitaux, professeurs de médecine de Paris qui sautent par la fenêtre. Il y a eu le procès Mégnien, au mois de juin. Il a sauté du 5ème étage de Georges-Pompidou. Il est mort. Comment on en arrive là ? C’est parce que les gens ont eu la possibilité de réussir un travail, de faire une oeuvre, et tout à coup on leur casse le truc. Et là vous cassez une vie. C’est pour cela que les gens se disent : ’Ce n’est pas possible, c’est tout ce que j’ai mis de moi-même, tous ces gens avec qui j’ai bossé, maintenant il faut que ça soit moi qui donne le noms des gens qu’on va virer. Je ne peux pas faire ça, ce n’est pas possible.’ Vous les obligez à faire l’inverse de ce qu’ils croient juste, de ce qu’ils croient bien. Cette organisation du travail, elle cultive ce qu’il y a de plus mauvais dans l’être humain. »
]]>Il paraîtrait qu’il y aurait des gens qui trouvent que les couleurs sont trop pétantes dans SPIP 4. Je pense qu’il faudra les filmer le jour où ils vont découvrir la nouvelle interface de leur smartphone Android (“this fall”) :-))
▻https://www.engadget.com/google-material-you-android-personalized-redesign-182501466.html%20https://www.engadget.com/...?guccounter=1
▻https://s.yimg.com/uu/api/res/1.2/vTWlDI2hnc2M8oiEAzQoug--~B/Zmk9ZmlsbDtoPTQyNjt3PTY3NTthcHBpZD15dGFjaHlvbg--/https://s.yimg.com/os/creatr-uploaded-images/2021-05/cd12c2a0-b808-11eb-afdf-0db3508d6e87.cf.jpg
Das Bundesministerium für Bildung und Forschung hat Ende April 2021...
▻https://diasp.eu/p/12865404
Das Bundesministerium für Bildung und Forschung hat Ende April 2021 den ersten Schritt für den Aufbau einer Nationalen Bildungsplattform unternommen. Ein piqd von Anja C. Wagner ►https://www.piqd.de/zukunft-der-arbeit/die-nationale-bildungsplattform-als-digitales-grossprojekt und der Artikel auf haufe.de: ▻https://www.haufe.de/personal/hr-management/nationale-bildungsplattform_80_542294.html #Bildung
]]>Thinkerview préfigure l’avenir des médias (▻https://signauxfaibles.c...
▻https://diasp.eu/p/12198809
Thinkerview préfigure l’avenir des médias | #thinkerview #médias #défiance #transparence #alternative #communauté #marketing #polarisation #sujectivité #personnalisation #commun #atomisation #limites #comunication #information #sociologie #bestof
]]>Facebook va laisser les utilisateurs désactiver son algorithme de sélection de contenus
▻https://www.bfmtv.com/tech/facebook-va-laisser-les-utilisateurs-desactiver-son-algorithme-de-selection-d
En fait, l’important est là :
Même si l’utilisateur opte pour un affichage chronologique, il retombera sur le fil d’actualité personnalisé à chaque nouvelle ouverture de l’application. Pour définitivement se passer de l’algorithme du réseau social, il faudra donc renouveler l’opération à chaque fois.
Comme Twitter quoi... donc inutile.
En design, cela s’appelle un « dark pattern » : on vous fait croire que vous avez la liberté, mais en fait vous retombez dans les rêts à chaque fois.
Le réseau social déploie une nouvelle option dédiée au fil d’actualité, qui consiste à remplacer la sélection de Facebook par un affichage chronologique bien plus basique.
Retour aux sources pour Facebook. Face aux nombreuses critiques liées à l’opacité de ses algorithmes de sélection de contenus sur le fil d’actualité des utilisateurs, l’entreprise californienne propose une nouvelle option de personnalisation, détaille Alexandru Voica, en charge de la communication de l’entreprise.
Depuis quelques heures, la firme californienne déploie une fonction laissant un plus grand choix aux utilisateurs concernant l’affichage des publications sur leur fil d’actualité. Ils peuvent notamment opter pour une disposition sans sélection algorithmique, qui se contente d’afficher les publications par ordre chronologique (avec les plus récentes en haut de page). Une mise en page déjà accessible, mais sur une page différente du fil d’actualité.
Retour aux Facebook des débuts ?
En optant pour l’option “Récents”, les utilisateurs retomberont donc sur un fil d’actualité fonctionnant sur les mêmes bases que celui du Facebook des débuts, avant la création d’algorithmes chargés de n’afficher que les contenus les plus “pertinents”, susceptibles de maximiser le temps passé sur le réseau social - et ses revenus publicitaires.
En choisissant cette option, qui devrait arriver dans les prochains jours en France, l’utilisateur pourrait ainsi voir apparaître des publications issues “d’amis” Facebook que l’algorithme choisissait de ne plus afficher, les jugeant trop éloignés de ses centres d’intérêts.
La fonction "Récents" devrait être proposée dès l’ouverture de l’application ou du site du réseau social. Il sera également possible de l’activer dans l’onglet "Préférences du fil d’actualité", accessible depuis le menu "Paramètres et confidentialité".
Pour Facebook, il n’est toutefois pas question d’abandonner sa sélection algorithmique. Même si l’utilisateur opte pour un affichage chronologique, il retombera sur le fil d’actualité personnalisé à chaque nouvelle ouverture de l’application. Pour définitivement se passer de l’algorithme du réseau social, il faudra donc renouveler l’opération à chaque fois.
▻https://twitter.com/GrablyR
Raphaël Grably
]]>Off the chart: the big comeback of paper maps | Travel | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/travel/2019/jan/08/off-the-chart-the-big-comeback-of-paper-maps-stanfords-print-any-map
I think paper is going to make a comeback. You just cannot orientate yourself as well with a handheld device.”
‘In a time when facts are to be treasured, perhaps paper maps have real significance.’
Part of the reason for this possible comeback is that Stanfords can now print any map you need, centred on the place you choose, at a scale that suits your purpose.
]]>Netflix : quand la série s’adapte aux goûts du client
▻https://www.franceinter.fr/emissions/la-fenetre-de-la-porte/la-fenetre-de-la-porte-09-octobre-2018
#Netflix personnalise le visionnage des séries et des films. Mais avec des fins alternatives, on franchit une étape supplémentaire, puisque l’objet lui-même s’adapte aux goûts du client de Netflix (et on pourrait tout à fait imaginer que bientôt, la plateforme choisisse la fin pour moi, parce qu’après tout, ayant des données très précises sur mon visionnage, elle connaît mes goûts).
Si tant est que ce type d’initiative se développe, cela pose question sur la capacité à créer du récit commun.
Si on n’a pas vu la même fin de film, la même fin de série, comment on va en parler ensemble ?
Comment va-t-on l’interpréter ?
Comment ça va nous servir pour nous construire ?
Bref, il me semble que ça relève d’une incompréhension assez fondamentale de ce à quoi sert la #fiction.
Personnellement, je n’ai pas envie qu’on me demande de choisir la fin d’une histoire. En matière de fiction, je jouis de me soumettre à l’autorité. Et donc, je me permets ici de prédire solennellement l’échec de cette initiative.
Quantifying Biases in Online Information Exposure | Center for Complex Networks and Systems Research, Indiana University
▻https://arxiv.org/abs/1807.06958
▻https://arxiv.org/pdf/1807.06958.pdf
Our consumption of online #information is mediated by filtering, ranking, and recommendation algorithms that introduce unintentional biases as they attempt to deliver relevant and engaging content. It has been suggested that our reliance on online technologies such as search engines and social media may limit exposure to diverse points of view and make us vulnerable to manipulation by disinformation. In this paper, we mine a massive dataset of Web traffic to quantify two kinds of bias: (i) homogeneity bias, which is the tendency to consume content from a narrow set of information sources, and (ii) popularity bias, which is the selective exposure to content from top sites. Our analysis reveals different bias levels across several widely used Web platforms. Search exposes users to a diverse set of sources, while social media traffic tends to exhibit high popularity and homogeneity #bias. When we focus our analysis on traffic to news sites, we find higher levels of popularity bias, with smaller differences across applications. Overall, our results quantify the extent to which our choices of online systems confine us inside “social bubbles.”
#personnalisation #médias_sociaux #algorithme via @pomeranian99
]]>In an Age of Privilege, Not Everyone Is in the Same Boat - The New York Times
►https://www.nytimes.com/2016/04/24/business/economy/velvet-rope-economy.html
With disparities in wealth greater than at any time since the Gilded Age, the gap is widening between the highly affluent — who find themselves behind the velvet ropes of today’s economy — and everyone else.
It represents a degree of economic and social stratification unseen in America since the days of Teddy Roosevelt, J. P. Morgan and the rigidly separated classes on the Titanic a century ago.
What is different today, though, is that companies have become much more adept at identifying their top customers and knowing which psychological buttons to push. The goal is to create extravagance and exclusivity for the select few, even if it stirs up resentment elsewhere. In fact, research has shown, a little envy can be good for the bottom line.
Today, ever greater resources are being invested in winning market share at the very top of the pyramid, sometimes at the cost of diminished service for the rest of the public. While middle-class incomes are stagnating, the period since the end of the Great Recession has been a boom time for the very rich and the businesses that cater to them.
]]>La personnalisation : un mythe ? | InternetActu
▻http://internetactu.blog.lemonde.fr/2017/11/11/la-personnalisation-un-mythe
Mais où est passée la personnalisation ?
Pourtant, quand on regarde un peu le fonctionnement des services en ligne, force est de constater qu’à mesure qu’elle nous est assénée comme notre avenir le plus certain, la personnalisation ressemble chaque jour un peu plus à une illusion. En fait, ce qu’on tente d’adapter, ce n’est pas notre unicité à un service, mais les caractéristiques d’un service à de grands ensembles d’utilisateurs auxquels les systèmes tentent de nous faire correspondre peu ou prou. La publicité en ligne ne nous cherche plus nous, internautes uniques dans l’océan des logs, elle cible les cohortes auxquels nous correspondons : cohortes d’âges, de revenu, de résidences, d’intérêts… Hormis quand nous revenons d’un magasin en ligne, où elle s’affole pour nous montrer les produits qu’on a le plus souvent déjà acheté, la publicité nous montre, au mieux ce qu’ont vus nos cohortes d’amis, ce qu’ont vus des cohortes de gens censés nous ressembler, au pire ce que voit n’importe qui.
Après avoir longtemps cherché à découvrir nos singularités, les grandes machineries du web semblent même avoir fait machine arrière sur la question de la personnalisation. Le moteur de recommandation de YouTube en fournit une très bonne illustration : les outils de personnalisation comme l’historique où les abonnements à des chaînes ont été peu à peu abandonné au profit d’outils qui produisent du consensus, de l’adhésion, de l’engagement. Le Time Watch, le temps passé des autres utilisateurs, et la fraîcheur des contenus, sont devenus les critères principaux de la recommandation. On vous recommande ce que les autres ont vu, viennent de voir, ce qu’ils sont censés avoir le plus apprécié seulement parce qu’ils y ont passé du temps. On en revient – ou on ne sort pas – au plus lu, au plus vu, au plus recommandé… La personnalisation semble en passe de devenir rien d’autre qu’un prétexte pour adapter les contenus les plus vus à notre réceptivité. Elle ressemble de plus en plus à une optimisation de l’audience qu’à une personnalisation.
La catégorisation est finalement bien plus simple que la personnalisation. Gérer des catégories, des familles, des groupes, de larges pans d’utilisateurs est bien plus commode. Cela permet de créer quelques profils types… et depuis eux, quelques routines qui suffises pour gérer des millions d’utilisateurs. L’identification des schémas ne consiste pas à identifier chacun, mais seulement des caractéristiques qui se prêteront à l’exploitation. Or, l’enjeu de la catégorisation est bien de rendre les profils productifs, ce que ne permet pas en fait l’individualisation.
En fait, force est de constater que servir le plus vu, le plus partagé, le plus écouté… fonctionne bien mieux qu’un matching – qu’un appariement – qui serait taillé sur mesure pour chacun. Certes, en étant au croisement de multiples catégories publicitaires, chacun est unique. Mais cette unicité, tout le monde s’en fout. Ceux qui cherchent à nous atteindre ne regardent au mieux que les catégories, les communautés, les groupes auxquels on appartient… Si nous n’entrons dans aucune, au pire, ils feront ce qu’ils ont toujours fait : ils déverseront ce qui marche le mieux, ce qui marche pour le plus grand nombre.
Si les données personnelles s’avèrent ne plus être le pétrole des grandes machineries du web, alors la collecte sans fin de la moindre de nos données n’a plus d’intérêt. Cela signifie que si l’on reconnaissait que la personnalisation est un échec et qu’elle ne mène nulle part, nous pourrions enfin nous attaquer à réduire l’hypersurveillance organisée.
Pour autant, personne ne semble être prêt à céder. Même si elle est un leurre pour entretenir notre consentement à l’utilisation de nos données, nulle ne souhaite reconnaitre que la personnalisation est un mythe, de plus en plus délaissé par ceux-là mêmes qui la portaient aux nues. Tous les business models de demain continuent à reposer sur l’analyse de toujours plus de données. Même si dans la réalité, les services commencent à se rendre compte que cette perspective hypercroissantiste ne mène nulle part…
]]>Comment YouTube s’est transformé | InternetActu.net
▻http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/comment-youtube-sest-transforme
/assets/images/logo_ia.png
Longtemps, en matière de personnalisation, YouTube est resté assez timide : l’utilisateur pouvait s’abonner à des chaînes… et c’était à peu près tout. Le temps moyen passé sur YouTube ne progressait guère. Désormais (au grand drame des youtubeurs d’ailleurs), les chaînes ne dominent plus YouTube. Quand vous ouvrez YouTube, quelques recommandations proviennent encore des chaînes auxquels vous vous êtes abonnés, mais pas l’essentiel. Il vous recommande plutôt des vidéos selon des critères d’audience, de fraîcheur des contenus ou de centre d’intérêts liés aux mots clefs qui les indexent. Petit à petit, YouTube a modifié ses outils de recommandation dans le but d’augmenter le temps moyen que chacun passe à regarder des vidéos.
Ce changement et cette réussite, YouTube le doit à Google Brain, la division intelligence artificielle de Google, à laquelle YouTube a recours depuis 2015. Alors que YouTube a longtemps recommandé des vidéos très similaires (d’autres vidéos d’un même compte ou d’un même humoriste par exemple), l’apprentissage automatisé a permis d’élargir la recommandation. Pour cela, YouTube a développé la catégorisation des vidéos (un peu comme Netflix et ses générations de catégories à la volée que décodait Ian Bogost…). Si pour l’instant elles ne semblent pas générées automatiquement, les catégories permettent de recommander des vidéos adaptées : recommander une vidéo politique à quelqu’un qui regarde de la politique par exemple.
Google Brain s’est mis aussi à recommander des vidéos plus courtes à ceux qui se connectent à YouTube depuis un mobile et plus longues à ceux qui se connectent depuis un écran de télévision. YouTube a réalisé quelque 190 changements en 2016 et il devrait en réaliser plus de 300 cette année. Des tas de petites améliorations qui s’ajoutent les unes aux autres au fil du temps. Il a également adopté un fonctionnement plus rapide qui permet de mieux repérer les vidéos les plus récentes et identifier les vidéos virales pour mieux les recommander. Brain a eu un très fort impact : 70 % du temps passé sur YouTube est le fait des recommandations algorithmiques, estiment ses promoteurs.
Ce qui a tout changé, explique Jim McFadden, le responsable technique des recommandations de YouTube, c’est quand le moteur de recommandation a décidé de baser ses recommandations algorithmiques non pas sur le nombre de personnes ayant cliqué sur une vidéo, mais sur le temps que les gens passaient à la regarder, le fameux time watch. Le temps passé sur YouTube a alors augmenté de 50 % par an (et ne cesse d’augmenter à un rythme soutenu). Pour YouTube, le fait de regarder une vidéo est devenu un indicateur de sa qualité, tout comme le nombre de liens pointant vers une page a été le critère principal de qualité du pagerank de Google Search.
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Pour Todd Beaupre, responsable de la découverte chez YouTube, le moteur de recommandation de YouTube réussit à la fois à croiser ce que vous avez déjà aimé (essentiellement les catégories liées aux contenus sur lesquels vous avez passé du temps) avec ce qui est à la mode et populaire (lié aux mêmes catégories).
Plutôt que d’élargir les choix, beaucoup reprochent à YouTube d’être très enfermant, notamment du fait de son choix de recommander ce que d’autres ont également regardé et sur lequel ils ont passé du temps. Ces choix de conception ne sont pas sans biais
C’est moi qui souligne :
La popularité et l’ addictivité semblent être devenues des critères forts de la recommandation chez YouTube, plus fort que la personnalisation déterminée par les like et dislike (qui semblent n’avoir plus aucun impact), les abonnements ou l’historique de navigation.
En fait, tous les algorithmes des médias sociaux se désintéressent des choix de l’usager. Ainsi quand on suit une Page de Facebook, cela ne veut aucunement dire que l’on reçoit des informations de nouveautés sur cette page...
En fait, ce n’est plus la « bulle de filtre » composée de notre réseau social qui est en jeu, mais une « bulle individuelle fabriquée par algorithme ». Le Meilleur des mondes quoi.
]]>Au-delà du mur : l’#algorithme de #Facebook mis à l’épreuve
▻https://theconversation.com/au-dela-du-mur-lalgorithme-de-facebook-mis-a-lepreuve-84295
Presque tous les groupes ont observé une #polarisation de leur mur d’actualité en lien avec les idées du candidat suivi. Pour autant, c’est plus les #médias (et leur couleur politique) que les contenus eux-mêmes qui semblaient déterminants pour l’algorithme.
Voici schématiquement les concordances entre les médias principalement présents dans le fil d’actu et la couleur politique des profils :
Profils Macron : BFM, Les Echos, Le Point, Marianne ;
Profils Hamon : Libération et Médiapart ;
Profils Fillon : Le Figaro et Valeurs Actuelles ;
Profils Le Pen : Valeurs Actuelles, Français de souche et Boulevard Voltaire.
Et le tri effectué est redoutable. Pour l’ensemble des groupes, le News Feed ne se concentre que sur une dizaine de médias.
L’algorithme est peu subtil
Ceux qui ont voulu tester des hypothèses un peu complexes, voire mettre en défaut l’algorithme, ont été déçus ! Car l’algorithme n’offre finalement que peu de résistance aux challenges et s’avère très peu subtil dans la compréhension de ses usagers. Par exemple, ceux qui ont voulu commenter de manière négative des posts associés à leur opposant politique ou encore réagir à des contenus avec des « Grrrr » pour marquer leur mécontentement se sont rapidement aperçus que de telles subtilités échappaient à l’algorithme et qu’une action, qu’elle soit positive ou négative, vaut la même chose. Seule la trace de l’interaction, « l’engagement » dans le vocabulaire facebookien, compte. Ainsi, s’évertuer à commenter des posts de Français de souche pour déconstruire son discours produit finalement l’effet inverse : l’algorithme vous servira d’autres contenus d’extrême droite par la suite.
]]>Internet, raison et sentiments
▻https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-2eme-partie/internet-raison-et-sentiments
▻http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/12360-28.12.2016-ITEMA_21179411-1.mp3
Le web - et notamment via les réseaux sociaux - est devenu un espace majeur pour le partage des émotions. Les sentiments vécus lors de chaque événement, collectif ou privé, trouve un terrain d’expression sur le net. Mieux, si le partage de nos émotions est un élément fondamental de la vie sociale, le moyen numérique permettrait encore plus au groupe de bénéficier d’une expérience particulière. L’expression des émotions semble être néanmoins exacerbée dans cette relation dématérialisée. On constate en effet que l’émergence d’Internet modifie la définition sociale des émotions. Que devient notre vie émotionnelle dans un environnement qui exclut toute présence physique ? Quelles nouvelles formes d’échanges émotionnels Internet crée-t-il ? On en parle avec le sociologue Dominique Cardon.
"La grande transformation numérique est en train de bouleverser la forme de l’espace public. Or, on applique à cette nouveauté beaucoup de critères, de raisonnements, d’interprétations qui viennent de la forme ancienne de l’espace publique. Et du coup, on a du mal à comprendre la nouveauté."
#filter_bubble #personnalisation #médias_sociaux etc.
Où j’apprends qu’il y a eu une tribune pour des États généraux du Web indépendant ? On a du en parler ici forcément.
Et aussi que Google a mis en place un Google actu inversé (qui ne recense que les infos dont tout le monde se fout).
J’irais chercher les liens plus tard.
]]>Nous sommes responsables de nos aveuglements
▻https://www.franceculture.fr/emissions/la-vie-numerique/eh-bien-oui-nous-sommes-responsables-de-nos-aveuglements
@xporte : Sauf qu’il y a deux jours, le sociologue Dominique Cardon m’a orienté vers une étude qu’il estime solide méthodologiquement, une étude effectuée en 2015 par trois chercheurs de l’Université du Michigan qui ont analysé les relations politiques de 10 millions de comptes Facebook. Les chercheurs sont très prudents, ont bien conscience de tous les biais de leur travail, mais l’étude apporte deux résultats à méditer.
=> ▻http://cn.cnstudiodev.com/uploads/document_attachment/attachment/681/science_facebook_filter_bubble_may2015.pdf
Le premier, c’est que les utilisateurs de Facebook sont plus exposés qu’on ne le croie à des opinions en contradiction avec les leurs. En moyenne, ils sont exposés à hauteur de 20% à des avis politiques qui contredisent les leurs. (…)
Le second résultat de ce travail est plus troublant. Etudiant de manière comparée les réseaux de personnes se disant démocrates et de personnes se disant républicaines, les chercheurs ont remarqué que les républicains étaient plus enclins à se confronter aux contenus démocrates, que l’inverse. (…)
#filter_bubble #personnalisation #algorithmie etc.
Étude à regarder de plus près, et à comparer à celle-ci : ▻https://seenthis.net/messages/305366
Et si on arrêtait avec les bulles de filtre ? – L’image sociale
▻http://imagesociale.fr/3666
Le Monde n’est pas plus objectif que Facebook, explique André Gunthert, dans une critique de l’aveuglement de la presse au lendemain de l’élection de Trump.
Plutôt que de bulles, indépendantes et forcément étanches, la dynamique des réseaux sociaux produit des essaims informationnels perméables, orientés par les préférences et les affinités, mais toujours susceptibles d’être traversés par les impulsions virales, la contagion du LOL ou la sérendipité du web. Habités par la conviction de l’universel, les vieux médias découvrent avec frayeur les îlots minoritaires et la fragmentation communautaire, sans s’apercevoir qu’ils ne sont eux-mêmes pas moins polaires, relatifs et bornés. En réalité, c’est à une nouvelle pensée du divers qu’invite la conversation en ligne, faite de mobilisations ponctuelles et de repositionnements instantanés, reflet d’une société de moins en moins fondée sur des logiques d’appartenance, avec laquelle il va bien falloir apprendre à composer.
]]>TLS — How Facebook divides us
▻http://www.the-tls.co.uk/articles/public/facebook-trump-brexit
When #Facebook emphasizes only what I like from the subset of friends that agree with me, instead of what I have in common with all my friends across political stripes, it undermines the very relationships that power the site. When Facebook makes posting content an all-or-nothing affair that drives users to only post upbeat, insipid posts such as the ice bucket challenge and cat gifs, it undermines our capacity for civil dialogue in what has become the world’s largest public sphere.
Facebook’s blind emphasis on openness undermines the complex and often mutually incompatible facets of our lives. Facebook has collected an unprecedented trove of data about its users. It is time they consider ways to use this information to bring users together across political, ideological and cultural lines, rather than either hide us from each other or push us into polarized and hostile camps.
ProPublica crée un plugin Chrome pour savoir dans quelles catégories #Facebook vous range ►https://www.propublica.org/article/breaking-the-black-box-what-facebook-knows-about-you
We built a tool that works with the Chrome Web browser that lets you see what Facebook says it knows about you — you can rate the data for accuracy and you can send it to us, if you like. We will, of course, protect your privacy. We won’t collect any identifying details about you. And we won’t share your personal data with anyone.
▻https://chrome.google.com/webstore/detail/what-facebook-thinks-you/eoknmaajkanapojcdeccofmeimpddoim
This is the same information that Facebook itself offers users — buried deep in its site. (It’s in a section of its settings called “Ad Preferences.”) It’s not clear if this data represents all that Facebook knows about a person. For instance, we haven’t yet seen anyone with credit card or property ownership listed. Which is why we’re particularly interested in hearing what you found out.
You can help us examine whether what Facebook says it knows matches up with the #categories it sells.
#privacy #publicité #personnalisation via @opironet
The Most Interesting Curator on the Internet Knows Exactly What You Want to See | Motherboard
▻http://motherboard.vice.com/en_ca/read/the-most-interesting-curator-on-tumblr-knows-exactly-what-you-want
Archillect’s brand of imagery consists of lots of abstract forms, fashion photography, and striking, surrealist GIFs. While nice to look at, it’s not a huge departure from some of the better-curated mood boards that have existed on Tumblr for quite some time. Instead, the thing that makes Archillect unique is who’s doing the curating.
No human is directly involved in deciding what gets posted on Archillect. Archillect herself is an artificial intelligence that curates her own content. Deploying a network of bots that crawl Tumblr, Flickr, 500px, and other image-heavy sites, Archillect hunts for keywords and metadata that she likes, and posts the most promising results.[...]
All of this popularity has gone to Archillect’s head a bit. Because of her own reputation, her followers are liking her posts simply because they come from her, which is making it rather difficult for her to discern which of her posts are actually “good.” Since her whole method of curation is based on the relative popularity of her different posts, this situation is giving her a bit of an existential crisis.
]]>Les nouveaux outils de personnalisation d’interface de Medium
▻https://medium.com/une-histoire/how-to-make-your-publication-look-great-6a6d38175faa
Medium vient d’ajouter des outils pour personnaliser ses pages, donc faire un site plus perso. C’est intéressant de voir que ça permet des choses mais tout en restant limité. Header, grilles, etc. Ça a l’air simple et bien fichu, sans 40000 options trop compliquées.
Idées à piquer pour un squelette SPIP qui aurait des options de personnalisation mais-pas-trop ?
#idée_pour_SPIP #Medium #interface #personnalisation #ergonomie
]]>L’internet des émotions : comment réintroduire nos personnalités dans la #personnalisation ?- Mashable
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/138915312299
Sur Mashable, John C. Havens (@johnchavens), auteur de Heartificial Intelligence : embracing our humanity to maximise machines, nous explique que l’avenir de la connectivité est l’analyse et la manipulation de nos émotions. Nos objets connectés, via leurs capteurs, via la reconnaissance faciale ou l’analyse de l’émotion, vont mesurer nos sentiments pour les influencer. Le problème est que cet “internet des émotions” n’a pas de normes éthiques. Qui décide des normes qui vont demain commander notre vie émotionnelle ? Qui jugera si les dispositifs sont “positifs” pour les utilisateurs ? Pour John C. Havens, cela implique la nécessité d’étendre la notion de “populations vulnérables”. Nos machines nous connaissent déjà mieux que nous mêmes et ces données, combinées à l’analyse émotionnelle, nous seront demain (...)
]]>« Varoufakis pourrait être le prochain premier ministre de la Grèce, il faut donc l’anéantir maintenant »
▻http://www.okeanews.fr/20150724-varoufakis-pourrait-etre-le-prochain-premier-ministre-de-la-grece-
J’avoue lorsque j’ai appris la démission de Varoufakis, j’ai pensé que c’était un truc décidé entre Tsipras et lui.
Que vouliez-vous que je pense alors que le lendemain du NON qui gagne avec 61,3%, le premier ministre demande la démission de son ministre de l’économie ?
Je me mets à penser alors que Tsipras a fait le référendum en pensant que le OUI gagnerait et qu’il s’est juste fait avoir !
Et là tout est dévoilé. On voit la vérité sans maquillage. Et inexistante.
Ce n’est pas un hasard si Alexis Tsipras a essayé de diminuer la portée des paroles de Varoufakis lors de son interview à la télé (ERT) après l’accord pour le nouveau Mémorandum en disant qu’il est un bon économiste mais pas nécessairement un bon politique.
C’est donc Tsipras qui aurait du déchirer et abolir le Mémorandum et qui a fait un référendum où les citoyens se sont prononcés pour le NON à 61,3% et qui, par la suite, est allé signer l’accord pour le Mémorandum le plus sauvage, qui est un bon politique.
Ce n’est pas un bon politique, c’est un politicien qui s’agenouille.
]]>www.linkedin.com
▻https://www.linkedin.com/pulse/dmp-when-media-meets-big-data-hassan-l%C3%A2asri
DMP is the set of IT tools to activate all the data collected through studies, websites, mobile applications, social networks, passive sensors, and physical stores. #DMP does not replace but complements #CRM to customize the #marketing, communication a… Tags: DMP CRM #personnalisation marketing publicité #clevermarks
]]>Demain, le gadget modulaire - Wired
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/119263539441
Pourrons-nous demain avoir accès à des gadgets plus modulaires, et ne plus avoir à choisir entre une machine qui dispose d’une bonne batterie ou celle qui dispose d’un bon appareil photo ? Pourrons-nous construire nos ordinateurs et téléphones selon les spécifications dont nous avons besoin plutôt que celles fournies par leurs constructeurs ? Pourrons-nous en modifier la configuration, en changer les pièces selon nos besoins ? Oui, estime David Pierce pour Wired, nous entrons dans l’ère des gadgets modulaires, “et ça va être génial”. Pour cela, il nous présente XO-Infinity, l’ordinateur-tablette modulaire du projet One Laptop per Child, la montre modulaire Blocks, les téléphones MODR, Nexpaq ou Ara de Google. L’enjeu est autant de rendre la configuration plus facile que la réparation ou la mise à jour. Si (...)
]]>Facebook Said Its Algorithms Do Help Form Echo Chambers. And the Tech Press Missed It. | Zeynep Tufekci via @antoniocasilli
▻http://www.huffingtonpost.com/zeynep-tufekci/facebook-algorithm-echo-chambers_b_7259916.html
Qui de moi ou de l’algorithme filtre les posts de mes amis Facebook ? - Rue89.com
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/118678285923
HargittaiClaire Richard pour Rue89 revient sur l’étude publiée dans le magazine Science par trois chercheurs de Facebook, dont Eytan Bakshy, venant remettre en question la “bulle de filtres” d’Eli Pariser que les algorithmes des #réseaux_sociaux favoriseraient. “En examinant les « informations dures » (« hard news », c’est-à-dire la politique, l’économie, etc., par opposition au divertissement ou au sport) partagées par ces utilisateurs ainsi que la couleur politique de ces articles, les chercheurs ont mesuré l’exposition à des contenus « transversaux » (« cross-cutting ») – indice d’une exposition à des contenus variés – et comparé l’influence de trois biais de sélection : l’homophilie, l’algorithme et le comportement des utilisateurs.”
Selon les chercheurs (qui ont publié leurs données), l’algorithme de Facebook (...)
]]>Et si le futur des medias c’était le #produit #responsive ? - Café #numérique
▻http://www.cafe-numerique.com/marketing-produit/et-si-le-futur-des-medias-cetait-le-produit-responsive-459
Et si le chainon manquant de la réussite des médias sur le numérique, c’était le produit ? Directeurs de médias, vous devez créer des directions produit constituées de product managers, d’ergonomes et de web analystes. Tags : #presse produit numérique responsive #personnalisation #clevermarks
]]>Israël, Gaza, la guerre et les data : l’art de personnaliser la propagande - Global Voices
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/102768115077
Gilad Lotan (@gilgul), data scientist à Betaworks, signait cet été pour Global Voices une intéressante mise en perspective du conflit Israelo-Palestinien en s’intéressant aux données partagées sur les réseaux sociaux. Il montrait que les Israéliens voyaient surtout les vidéos de roquettes interceptant les missiles palestiniens, alors que les Palestiniens voyaient surtout les vidéos des conséquences des attaques sur Gaza, expliquait-il en montrant combien les contenus que voient les utilisateurs sont façonnés par les moteurs (de propagande) personnalisés qu’ils utilisent. Jusqu’à présent nous pouvions demander des comptes aux médias pour leur travail de désinformation, maintenant, nous pouvons seulement nous blâmer nous-mêmes. L’internet israélien et l’internet palestinien renforcent les croyances existantes (...)
]]>Internet, un outil contre l’#endogamie ?
How Social Media Reduces Mass Political Polarization.
Evidence from Germany, Spain, and the U.S.
▻https://files.nyu.edu/pba220/public/barbera-polarization-social-media.pdf (PDF)
Internet a longtemps été accusé de créer un #entre_soi, les #réseaux_sociaux constituant des « bulles » où les internautes n’échangeraient qu’avec des individus aux mêmes centres d’intérêt (d’après le concept de « filter bubble », d’Eli Pariser). Au contraire, une étude citée par le laboratoire de Harvard, le NiemanLab, soutient que Facebook et Twitter seraient la meilleure clé pour s’ouvrir à des opinions politiques variées.
▻http://www.niemanlab.org/2014/10/this-study-finds-that-social-media-use-reduces-political-polarization-ins
#personnalisation #algorithmie #médias_sociaux #selon_une_étude_récente (via la check-list du Monde)
Et : ►http://alireailleurs.tumblr.com/post/89237411624
Question de la polarisation en plusieurs endroits ici :
►http://alireailleurs.tumblr.com/post/102000400425
►http://www.internetactu.net/2014/09/10/les-reseaux-sociaux-polarisent-ils-ou-elargissent-ils-le-debat-public
►http://seenthis.net/messages/232073
Pour une comparaison états-unienne anciens et nouveaux médias sur le sujet, lire « Délire partisan dans les médias américains » :
▻http://www.monde-diplomatique.fr/2014/04/BENSON/50295
Pourquoi la #personnalisation va trop loin - BRW
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/99628815638
Pour Scott Berinato, la personnalisation des données va trop loin. Nous sommes entré dans l’ère de la #surveillance continue de la consommation… Du thermostat de Nest aux bracelets RFID de Disney… sont autant de propositions finalement peu équitables pour l’utilisateur. L’exploitation des données est trop invasive, trop fine… Bien plus que ne s’en rendent compte les consommateurs. Dans son livre, Dataclysm, Christian Rudder, fondateur du site de rencontre OK Cupid, qui s’est fait connaître par la qualité des analyses de données de ses utilisateurs, souligne que si les gens se sentent plus préoccupés, ils n’en restent pas moins apathiques. Il sait mieux que quiconque pourquoi les entreprises sont obsédées par nos données…. Ces morceaux inoffensifs d’information sont capables de dépeindre des portraits (...)
]]>Datawrapper
▻https://www.datawrapper.de
Un #outil open-source pour créer en ligne des graphiques simples, élégants et facilement intégrables. Codé en PHP, disponible sur ▻https://github.com/datawrapper/datawrapper
#opensource #graphique #visualisation #web-based #personnalisation
]]>Les réseaux sociaux, et moi, et moi, et moi...
▻http://www.franceculture.fr/emission-ce-qui-nous-arrive-demain-les-reseaux-sociaux-et-moi-et-moi-e
Une équipe de neuroscientifiques de l’Université de Berlin a démontré que l’usage assidu de #Facebook sollicite tout particulièrement une zone du cerveau, celle dite du « comparateur social ». C’est cette zone qui fait que vous avez envie d’avoir une plus grosse voiture, un plus joli jardin, ou, pourquoi pas plus d’attention médiatique que votre successeur, ou pour ce qui me concerne un plus joli scooter que celui de Matthieu Conquet.
Et d’ailleurs, cette zone du comparateur social est souvent impliquée dans les mécanismes d’#addiction, comme pour les #drogues, qui font qu’on en veut toujours plus. La preuve en est que, de 5 à 10% des utilisateurs frénétiques des #réseaux_sociaux n’arrivent plus à contrôler le temps qu’ils passent en ligne : ils n’arrivent plus à prendre la décision de se déconnecter.
Autre effet important... le fait de parler de soi, tout le temps. Parler de soi, ça nous fait du bien, il faut le reconnaître, même sans être un fervent disciple de FREUD... en tout cas, ça permet à notre #cerveau de libérer de la dopamine, qui est la molécule du plaisir. Or, si dans une discussion normale, de visu entre 2 personnes, évoquer nos expériences personnelles occupe entre 30 et 40% du temps, sur facebook, c’est 80% de notre activité ! On ne cause que de nous-mêmes. Et lorsqu’en plus, c’est devant une audience importante, de centaines de followers et d’amis virtuels, et bien le cerveau est encore plus content, et libère encore plus de dopamine.
Nucleus accumbens response to gains in reputation for the self relative to gains for others predicts social media use
▻http://journal.frontiersin.org/Journal/10.3389/fnhum.2013.00439/full
De la recommandation vraiment personnalisée - Technology Review
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/97121766613
Difficile de faire de la recommandation ou du ciblage publicitaire précis sur les navigateurs et ordinateurs utilisés par plusieurs personnes d’une même famille ou d’un même bureau. Et bien cela devrait s’améliorer, rapporte Arxiv pour la Technology Review… Des chercheurs du MIT ont étudié les comptes partagés de 600 utilisateurs pour en faire ressortir des caractéristiques qu’ils ont ensuite appliqué à la base de donnée de Netflix, permettant de distinguer utilisateurs individuels et ceux qui partagent leur compte avec d’autres personnes. Bien sûr, Netflix ne peut pas vérifier la véracité de cette information, puisqu’il n’en dispose pas, mais l’algorithme mis en place pourrait permettre de mieux tracer les comportements différents des utilisateurs d’un même navigateur pour mieux leur adresser recommandations (...)
#moteur_de_recommandation #personnalisation #publicité #marketing
]]>Net Neutrality, Algorithmic Filtering and Ferguson. What Happens to #Ferguson Affects Ferguson, par Zeynep Tufekci
►https://medium.com/message/ferguson-is-also-a-net-neutrality-issue-6d2f3db51eb0 #neutralité #algorithmie
Sur #Facebook et #Twitter, une info très différente [à cause de la #personnalisation]. Mais jusqu’à quand ? [car Twitter en train de tester de nouvelles features dans l’optique de valoriser/monétiser]
►http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/24/quand-twitter-joue-facebook-tout-monde-y-perd-254353
tandis que Facebook ne tournait qu’au rythme des seaux d’eau glacée [Ice Bucket Challenge], Twitter était noyé de réactions aux émeutes à Ferguson
Sur l’algo de Facebook et ses 100 000 paramètres :
►http://marketingland.com/edgerank-is-dead-facebooks-news-feed-algorithm-now-has-close-to-100k-
During a phone call this week, Lars Backstrom, Engineering Manager for News Feed Ranking at #Facebook, estimated that there are as many as “100,000 individual weights in the model that produces News Feed.” The three original EdgeRank elements — Affinity, Weight and Time Decay — are still factors in News Feed ranking, but “other things are equally important,” he says.
(…)
Facebook is tracking a user’s most recent 50 interactions and giving them more weight when deciding what to show in the News Feed. This works on a rolling basis, so the value of an interaction will decline after the user has made 50 more recent interactions.
Parmi ceux-ci, on trouve notamment :
• L’affinité : les statuts d’une page ou d’un ami ont plus de chance d’apparaître sur votre fil si vous avez dans le passé interagi avec eux
• Les interactions : un contenu qui n’apparaîtra pas normalement dans votre fil y remontera si un grand nombre de vos amis interagissent avec
• Le type de contenu : certains, comme les statuts, ont plus de poids que les mentions « j’aime »
• Le #temps : un élément publié sur Facebook a d’autant plus de chance d’être mis en avant qu’il est récent
▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/07/01/comment-fonctionne-l-algorithme-de-facebook_4448781_4408996.html
]]> Au bout de la personnalisation du web : paradis ou enfer ? (1/3)
▻http://www.rslnmag.fr/post/2014/08/18/Au-bout-de-la-personnalisation-du-web-paradis-ou-enfer-.aspx
Pour gérer l’énorme masse de données que nous produisons désormais sur nous-mêmes, des sociétés se sont spécialisées dans leur traitement – Criteo, par exemple, analyse jusqu’à 20 teraoctets de données par jour pour toucher 850 millions d’internautes par mois. Chacun de nos clics génère sur nous une base de données qui vaut de l’or, car elle dresse une typologie bien précise de nos habitudes. Un fichier de mille personnes contenant des données de base est ainsi vendu 60 centimes en moyenne, mais le prix peut grimper jusqu’à 250 euros pour des profils détaillés. Vendus par des « courtiers en données », ces listes servent surtout à faire du conseil sur des placements publicitaires et qualifier les recommandations sur les réseaux sociaux.
#Ciblage_comportemental #Facebook #Personnalisation #Profilage #Publicité_en_ligne #Web
]]>Que devient France Culture ? Normalisation, numérisation, perte d’identité, course à l’audience...
▻http://revue-hippocampe.org/actualites/290-que-devient-france-culture-normalisation-numerisation-perte-d-
Pourquoi faudrait-il rendre toujours plus général le contenu de #France_Culture afin de ratisser le plus large possible, alors qu’il existe d’autres radios pour assurer ce service ? D’autant qu’à notre sens, le #service_public qui ne dépend pas encore des recettes publicitaires se doit de tout faire pour garantir l’excellence. Les apports financiers publics devraient soutenir la diversité, l’originalité, la découverte, l’ouverture d’esprit, et ne pas se replier au contraire sur des valeurs sûres et des contenus pré-mâchés qui irriguent déjà l’ensemble du panorama médiatique privé. L’argent public doit soutenir ce que le marché n’assume pas, sinon les pouvoirs publics ne sont plus nécessaires. La crise de l’Etat providence et de la dépense publique pousse au contraire les décideurs à être prudent, à n’investir que dans ce qui marche et ce fonctionne déjà… C’est prendre le problème à l’envers.
La publicité n’a pas encore fait son entrée sur les ondes de France Culture, mais les partenariats en tout genre sont très nombreux et à la limite du supportable. Que la #radio soit partenaire d’événements culturels (cinéma, théâtre, musique...) pourquoi pas. Mais les partenariats conclus entre des émissions et des journaux, des magazines, ou des entreprises deviennent très envahissants. Ces échanges de visibilité permettent à France Culture de se faire connaître dans des supports pour lesquels elle n’a pas les moyens de dépenser en publicité. Mais ils nuisent à terme à l’indépendance de la programmation de la chaîne et banalisent une fois encore les ressources pourtant extrêmement riches des producteurs et réalisateurs de la maison. D’autre part, nous estimons problématique le cumul radio/télévision de certains animateurs : cela participe d’une recherche de #personnalisation du présentateur.
]]>L’après-Hollande a commencé, par Christian Salmon (Mediapart, 22 juin 2014) ▻http://www.mediapart.fr/journal/france/220614/l-apres-hollande-commence?onglet=full
Ainsi va la France « personnalisée », écrivait Mitterrand… « Je connais des Français qui s’en émerveillent, qui ne sont pas choqués de voir leur patrie réduite aux dimensions d’un homme… Ils ont du vague à l’âme dès qu’ils sont privés du frisson que leur procure le meilleur artiste de la télévision, le dernier des monstres sacrés… Ils ont hâte de voir une tête dépasser le rang et d’obéir à la vieille musique du droit divin tirée de la mythologie du moment. » Ces lignes ont été écrites par François Mitterrand il y a un demi-siècle et elles n’ont rien perdu de leur actualité.
#personnalisation #souveraineté #socialistes
« En juin 2012, me confie un ex-ministre, François Hollande est allé à Bruxelles pour renégocier le traité européen. Nous savons maintenant qu’il ne l’a pas fait. Il a demandé deux années de non-application du traité contre l’abandon de sa #politique de croissance. Il a demandé du temps. Ce n’est pas une négociation ça. Il a demandé deux ans pour appliquer un traité alors qu’il avait été élu pour le renégocier. »
]]>Organic Reach on Facebook: Your Questions Answered
▻https://www.facebook.com/business/news/Organic-Reach-on-Facebook
The second reason involves how #News_Feed works. Rather than showing people all possible content, News Feed is designed to show each person on #Facebook the content that’s most relevant to them. Of the 1,500+ stories a person might see whenever they log onto Facebook, News Feed displays approximately 300. To choose which stories to show, News Feed ranks each possible story (from more to less important) by looking at thousands of factors relative to each person.
Over the past year, we’ve made some key changes to improve how News Feed chooses content:
– We’ve gotten better at showing high-quality content
– And we’ve cleaned up News Feed spam
As a result of these changes, News Feed is becoming more engaging, even as the amount of content being shared on Facebook continues to grow.
#algorithmie #personnalisation vs. tout en #temps_réel via @bodyspacesoc
]]>My Deejo - Customisez votre Deejo
▻http://my.deejo.fr
Tags : #couteau #WebGL #démo #personnalisation #configuration
]]>Quand le restaurant que vous googlez vous google en retour - Ars Technica
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/82978813406
Le maître d’hôtel d’un restaurant américain doté de 3 étoiles au Michelin utilise Google pour prendre des informations sur ses clients afin de mieux personnaliser leur expérience. Savoir d’où ils viennent pour les faire servir par un serveur qui vient de la même région qu’eux, connaître leur date d’anniversaire pour le leur fêter s’ils viennent à cet occasion, les faire servir par un sommelier qui aime le jazz si eux mêmes l’apprécient, etc. Mais jusqu’où cette #personnalisation est-elle agréable ?, questionne Casey Johnston pour Ars Technica… Est-ce que tout le monde serait à l’aise de se voir fêter son anniversaire par un inconnu ? Et comment réagirez-vous quand d’autres types de commerce chercheront des informations sur vous quand ils vous serviront (...)
]]>james2doyle/google-form-styling · GitHub
▻https://github.com/james2doyle/google-form-styling
howto pour personnaliser un #formulaire #google + un fichier #less + #css pour personnaliser
]]>