Une intelligence artificielle révèle les préjugés anti-LGBT (et anti-plein d’autres gens) des chercheurs de Stanford | Antonio A. Casilli
►https://www.casilli.fr/2017/09/09/une-intelligence-artificielle-revele-les-prejuges-des-chercheurs-de-stanford
Dès les premières lignes de l’étude (avec un lignage revendiqué de la physiognomonie et de Cesare Lombroso) jusqu’aux derniers paragraphes (“la fin de la vie privée est inévitable est c’est la faute aux usagers qui s’affichent tout le temps sur les réseaux”), en passant par l’explication du fonctionnement de l’IA par un lien ténu avec l’hypothèse—qualifiée ici de théorie—des “prenatal hormones”, on a vite épuisé son stock de médicaments antireflux.