#pic-pétrolier

  • http://petrole.blog.lemonde.fr/2014/06/11/petrole-hormis-les-non-conventionnels-americains-la-production-

    #Pétrole : hormis les non-conventionnels américains,
    la #production mondiale a baissé en 2013

    A propos, des pétroles de #schiste et des sables bitumineux, Richard Miller ironise :

    « Nous sommes comme des rats de laboratoire qui ont mangé tous les cornflakes, et qui découvrent qu’on peut aussi manger la boîte. »

    #pic-pétrolier

  • Le boom du pétrole de schiste américain devrait plafonner en 2016 , selon Washington. Et ensuite ? | Oil Man
    http://petrole.blog.lemonde.fr/2014/01/22/le-boom-du-petrole-americain-devrait-plafonner-en-2016-selon-wa

    Le boom du pétrole de schiste américain devrait plafonner en 2016, selon Washington. Et ensuite ?
    Pour l’industrie, le boom du pétrole de schiste aux Etats-Unis ouvre une voie capable de repousser sine die le déclin de la production mondiale de brut. Une voie étroite, vu le dernier pronostic publié par l’administration Obama. Tout autour du globe, la course de crête est lancée !

    Grâce à la fracturation hydraulique du pétrole de schiste aux Etats-Unis (et bientôt ailleurs), la question du pic de production « ne semble plus vraiment pertinente », m’a récemment fait savoir un haut responsable du groupe pétrolier français Total.

    Le boom du pétrole de schiste (ou de roche-mère à plus proprement parler) a permis un bond de 15 % de la production américaine de brut l’an dernier. Il s’agit de la plus forte progression enregistrée depuis vingt ans où que ce soit dans le monde. La production pourrait à nouveau augmenter de pas moins de 780 000 barils par jour en 2014, soit une nouvelle hausse spectaculaire de près de 10 %.

    Les arbres ne montent cependant toujours pas jusqu’au ciel.

    L’administration Obama a annoncé en décembre que la production américaine de pétrole brut devrait plafonner à partir de 2016, "quasiment" au niveau de son record historique de 1970. Puis cette production entrera à nouveau en déclin en 2020. Un sursis pourrait être apporté par de nouvelles prouesses techniques, très plausibles (nous y reviendrons).

    Washington estime pour l’heure que le boom du pétrole de roche-mère, concentré au Texas et dans le Dakota du Nord, devrait durer sept ans au total, de 2009 à 2016. C’est plus court que la phase d’expansion de l’Alaska et plus court encore que celle de la mer du Nord, deux zones pétrolifères développées tambours battant à l’issue du premier choc pétrolier, et désormais en fort déclin.

    En prenant en compte les agrocarburants, les liquides de gaz naturel et les condensats, la production totale de toutes les formes de carburants liquides aux Etats-Unis pourrait dépasser 14 millions de barils par jour. Ce serait la production la plus élevée jamais atteinte par un pays dans l’histoire. Cette production totale devrait elle aussi plafonner en 2016, et entrer en déclin en 2020 :

    Il sera indispensable de répéter ailleurs le boom américain du pétrole de roche-mère, si l’industrie veut en faire une issue face au déclin de la production de pétrole conventionnel.

    Où ça ailleurs ?

    En Ukraine, Shell et Chevron ont signé en novembre des plans d’investissements de plusieurs milliards de dollars potentiels pour rechercher et exploiter du pétrole et du gaz de roche-mère.

    En Argentine, Shell et Chevron, encore eux, ont commencé l’exploration de la formation de Vaca Muerta. Ils sont loin d’être seuls sur les rangs.

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    #Ukraine.