Fork Awesome, a fork of the iconic font and CSS toolkit
▻https://forkaweso.me/Fork-Awesome
Un fork de FontAwesome (équivalent FA v4 ?) en licence open source :
Fork Awesome is fully open source and is GPL friendly. You can use it for commercial projects, open source projects, or really just about whatever you want.
Syntaxe des classes strictement identique : <i class="fa fa-camera-retro"></i>
Comment signaler les déchets nucléaires par-delà les millénaires ?
▻https://theconversation.com/comment-signaler-les-dechets-nucleaires-par-dela-les-millenaires-12
Partant de l’hypothèse que chaque génération se chargera de maintenir la transmission, le premier scénario parie sur une « continuité entre présent et futur ».
Cependant, sur une période plurimillénaire, plusieurs risques surgissent : des incompréhensions liées à la non-intelligibilité des archives constituées, des mécompréhensions entraînées par une mauvaise interprétation des documents et, enfin, la destruction matérielle des supports d’informations. À cet égard, pour l’Andra, « même si tout sera fait pour conserver une mémoire institutionnelle des sites (par le biais des archives), il serait irresponsable d’exclure la possibilité de sa perte ».
#Signalétique de l’apocalypse
Alerter de la #dangerosité des #déchets_nucléaires par-delà les millénaires
Laetitia Ogorzelec-Guinchard
▻https://journals.openedition.org/terrain/18319#authors
#nucléaire #administration_du_désastre #langage #symbole #tête_de_mort #sémiologie #sémantique #pictogramme #pérennité #monument #mémoire #archives #radioactivité
L’industrie nucléaire à d’ailleurs sollicité les artistes, plusieurs années de suite pour faire des propositions sur ce sujet par le biais d’un « appel à projet » .
Appel auquel je me suis abstenu de répondre, ne souhaitant pas cautionner le projet de Bure.
Dans cette idée de signalisation pour les générations futures il y a une naïveté criminelle glaçante, un #tout_va_bien lancinant digne de l’aveuglement dans lequel nous souhaitons nous maintenir.
Comme si les catastrophes nucléaires n’avaient pas déjà eu lieu et n’avaient pas privé des territoires entiers de toute vie humaine, sans perspective future de sa réintroduction.
Ma question serait plutôt dans quelles structures physiques (puisque nous parlons de cela et non des structures sociales ou politiques déjà impactées par les mêmes dominants qui financent le nucléaire) Donc, dans quelles structures physiques survivrons nous à la diffusion des déchets nucléaires dont les émanations radioactives ne seront jamais bloquées. Faudra-t-il en appeler à de nouveaux architectes ou couturiers du vivant, fabricants de nouveaux lieux de vies, de nouveaux corps, peaux, cerveaux et sexes, pour échapper à nos disparitions, dématérialiser nos vies et abolir la mort dans des espaces médicalisés et protégés de la contamination globale où le rapport à l’Autre (humain ou nature) sera un programme d’émotions numériques à déconnecter quand bon nous semblera.
J’ai souvenir de scènes à ce sujet dans le documentaire Into Eternity.
Mais peut-être que la question ne se posera « même pas » :
Une étude révèle que les matériaux utilisés pour le stockage des déchets nucléaires – verre, céramique et acier inoxydable – interagissent entre eux, accélérant leur dégradation chimique.
▻https://www.courrierinternational.com/article/conditionnement-dechets-nucleaires-les-materiaux-de-stockage-
Une chronique de #Hervé_Gardette suite à la parution de l’article :
De la difficulté à transmettre une information capitale dans un futur lointain, eu égard aux évolutions de la langue.
A voir sur le sujet également, l’expo « La Forêt Rouge » de l’artiste sud-coréen #Daesung_Lee
▻https://www.brestculture.fr/la-foret-rouge.html
(j’en ai déjà trop dit, je ne veux pas spoiler plus :) )
merci @jeanmarie j’aimerai bien voir cette expo, la forêt rouge.
Icongram
▻https://icongr.am
Une sorte de méga #cheatsheet pour plein de packs/fonts d’icones.
L’accès du sujet à la fonction symbolique : l’apport de la violence de l’interprétation théorisée par Piera Aulagnier - revue ¿ Interrogations ?
▻http://www.revue-interrogations.org/L-acces-du-sujet-a-la-fonction
Annotations :
Sandor Ferenczi relève ainsi que c’est dans les premiers temps de sa vie que l’individu va acquérir, par le #langage, l’accès au « symbolisme verbal [qui] rend possible la pensée consciente [la seule qui permette l’adaptation à la réalité] dans la mesure où, s’associant aux processus de pensée en eux-mêmes inconscients, il leur confère des qualités perceptibles » (Ferenczi, 2006 : 60). Piera Aulagnier appréhende l’activité psychique comme constituée de trois modes de fonctionnement qui apparaissent successivement au cours du développement de l’infans (terme psychanalytique qui désigne l’enfant qui n’a pas encore acquis le langage) puis coexistent dans la psyché du sujet, (...)
#psychanalyse #pictogramme #topique #.articles_revues #_P._Aulagnier #affect
La mort dans l’âme - Cairn.info
▻http://www.cairn.info/revue-topique-2001-1-page-57.htm
Annotations :
Piera montre en substance que la mission prioritaire de la vie psychique est de donner une interprétation de ce qui lui arrive telle qu’elle maintienne son devenir comme investissable et désirable. Elle montre avec une clarté plus grande même que celle de Freud que la préservation des investissements ne peut se réaliser que sur la base du maintien d’un investissement relationnel. La dimension relationnelle est la condition même de l’auto-conservation, c’est-à-dire de façon inséparable, de l’auto-investissement et des investissements objectaux. Pour que les pulsions du moi, le narcissisme, demeure auto-conservateur, il faut d’abord que soit préservée une possibilité relationnelle, c’est-à-dire une possibilité de lien (...)
#psychanalyse #_Piera_Aulagnier #psychose #pictogramme #originaire_ #_Winnicott #metapsychologie #eros/thanatos
Geography Isn’t Sacred in the Playful World of Pictorial Maps | History | National Geographic Australia - National Geographic
▻http://www.nationalgeographic.com.au/history/geography-isnt-sacred-in-the-playful-world-of-pictorial-maps.
▻http://cdn.natgeotv.com.au/11_pictorial_maps.adapt.1900.1.jpg?v=27&azure=false&scale=both&widt
The maps in the slideshow above represent an underappreciated form of American visual art: the pictorial map. They’re maps designed to draw you in and—as often as not—try to sell you something, whether it’s a tropical vacation, a brand of bourbon, or a version of the American dream.
Pictorial maps thrived in the United States from the 1920s to the ’60s, says Stephen Hornsby, a professor of geography at the University of Maine and author of a new book, Picturing America: The Golden Age of Pictorial Maps. “They’re a manifestation of the enormous vibrancy of American popular culture,” Hornsby says.
Bientôt un nouveau #pictogramme #handicap ? - LOGONEWS
▻http://logonews.fr/2017/04/18/bientot-nouveau-pictogramme-handicap
Il s’agissait au départ d’un projet de street art. Ses deux créateurs originels Brian Glenney et Sara Hendren collaient des stickers sur les pictogrammes handicap pour mettre en valeur une personne non plus statique mais dynamique. Cet objectif est atteint selon le bureau d’études spécialisé en accessibilité handicap Access’Autonomy. Ils décrivent ce logo comme : « la tête penchée en avant, représentant un mouvement et symbolisant le côté dynamique des personnes à mobilité réduite, la position des bras démontre l’effet de propulsion et ainsi la volonté, les roues coupées en deux renforcent l’impression de vitesse, les jambes donnent l’impression d’aller de l’avant ». Glenney et Hendren ont ensuite fait appel à un graphiste, Tim Ferguson Sauder, pour lui donner la forme qu’il a actuellement. Depuis, le logo est très souvent repris et bien au-delà des frontières US. Ses créateurs ont fait en sorte qu’il soit utilisable gratuitement et qu’il appartienne au domaine public.
Très belle idée. Très belle réalisation.
Maintenant il faut inventer un logo qui ait plusieurs handicaps, le « handicap » en général quoi :)
@perline : la silhouette en fauteuil ne correspondant pas, l’accessibilité numérique a effectivement adopté un autre logotype.
Wild Life Collection | Noun Project
▻https://thenounproject.com/animnarsi@yahoo.com/collection/wild-life/?oq=life
2085 free SVG and PNG icons for your games or apps
▻http://game-icons.net
An ever growing collection of game icons
Dozen new symbols are added weekly and organized in intuitive categories to offer both a comfy browsing and let room for serendipity.
Stay up to date by following the project on twitter, subscribing to the newsletter or just fetching the RSS feed.
Easy styling thanks to SVG
All the images are downloadable in a vector format, so you can easily tweak colors, rotation and adjust effects like blur, bevels or shadows.
Another direct benefit is infinite scaling, it means no size limit for the resulting files which can be used for high resolution interfaces, retina display, logos, stencils etc...
Community oriented
People designing video games or crafting board games have different constraints and needs.
» Case Study : Our #SVG Icon Process Cloud Four Blog
▻http://blog.cloudfour.com/our-svg-icon-process
SVG’s versatility empowers us to craft the most appropriate solution for our audience and use-case. So as much as I’d like to, I can’t say exactly how you should implement SVG icons in your next project. There’s no substitution for research and tryi… Tags: #processus #picto #grunt #gulp SVG #clevermarks
En lien avec, puisque ce sont les mêmes :
►http://seenthis.net/messages/433569
Mais je persiste : je ne trouve pas ça bien d’avoir à insérer des images (SVG ou pas peu importe) de décoration, dans le HTML. Pour moi c’est typiquement un truc uniquement propre au thème graphique du moment, et qui doit pouvoir être changé juste en changeant les choix graphiques, sans toucher aux templates.
@rastapopoulos si tu les gères à l’extérieur et que c’est juste ton processus de packaging/déploiement qui les met dans le HTML, ça ne te suffit pas ? ;-)
oui ça c’est encore autre chose… avec un post-processeur ?
Du coup qu’appelles-tu les gérer à l’extérieur ? Dans ton HTML tu as par exemple des classes CSS classiques, par exemple class="bouton precedent", et ensuite comme tu dis que sur cet élément tu veux le décorer avec un pictogramme SVG ?
Oui, par exemple, et du coup une tâche (npm, Grunt, Gulp, whatever) prend le HTML, injecte le sprite SVG au début, puis des <use> aux bons endroits.
Oui, je comprends bien le principe du post-processing, ya pas de problèmes… mais ma question c’était plus, comme tu gères concrètement le fait de dire que tu veux tel pictogramme de décoration devant le texte de tel bouton ayant telle classe ? Où et comment tu décris ça ? C’est un peu une réinvention du CSS quoi ?… :D
Ah mais on ne s’est pas compris, comme eux je dis que "because our icons represent or reinforce content, they should exist in markup", donc ce n’est pas (complètement) de la décoration, donc pas du ressort de CSS.
Si tu regardes le source de ►http://play.esviji.com tu verras au tout début du <body> un sprite SVG qui contient des boutons que j’utilise après dans l’interface. Pour l’instant le sprite est en dur dans le HTML initial, mais j’ai prévu de l’externaliser dans les sources, pour qu’il ne soit inclus qu’à la « compilation ».
Ah oui mais moi je dis clairement l’inverse, que « une flèche vers la gauche », c’est une décoration pour un bouton « précédent ».
Une loupe c’est une décoration pour un bouton « rechercher ».
Etc etc. Donc ce n’est pas du tout du contenu (pour moi).
(Et une icône toute seule sans aucun label, c’est quasiment à coup sûr très mal.)
Après si le post-proc sert « juste » à dire qu’on transforme le span class « icone loupe » en lui assignant un SVG de loupe, évidemment là le truc est déjà dans les balises. Bon au moins ça permet de changer l’icône si le thème graphique change, sans toucher aux balises.
Mais pour moi c’est le fait même de dire d’aller chercher une icône de « flèche vers la droite » qui ne fait pas partie du contenu (et qui peut très bien changer).
Je comprends ta réticence de puriste, on pourrait continuer sans fin… ;-)
Une icône toute seule sans aucun label, c’est parfois nécessaire, et avec le SVG inline, ça peut être complètement accessible.
Hihi oui je sais. :D
Pour l’accessibilité, oui et non : pour moi l’accessibilité ce n’est pas QUE une histoire de lecteur d’écran (et là oui on peut lui faire lire un label, etc). Même si t’as des yeux, une icône toute seule, il y a un grand nombre de cas où le sens n’est potentiellement pas immédiat à beaucoup trop de monde, car il n’y a pas de standard. Ça fait trop d’apprentissage, trop lent, et donc ce n’est bon ni pour les gens qui ont un handicap de compréhension (il y a des handicaps cognitifs), ni pour l’optimisation des « conversions » dans un contexte marketing.
Les tests A/B sur hamburger seul VS mot « menu » le montrent assez bien. Et « Try Icon Labels instead of opening for interpretation. »
▻http://goodui.org/index.html#47
Je connais bien le problème du hamburger comme seule représentation du menu, effectivement. Nous sommes d’accord que c’est de l’accessibilité au sens cognitif, mais donc plus largement de l’UX pour tout le monde.
Mais imagine mettre des labels sur tous les boutons d’un WYSIWYG par exemple… :-p
A Berlin, des graphistes ont développé un livre entièrement composé de pictogrammes pour communiquer avec les réfugiés. Sur le site www.icoon.de, un poster à télécharger gratuitement : First communication help : ▻http://bit.ly/1GPmkop.
Et dans la vidéo ici (▻https://youtu.be/Ah3fnYikSgo
Reçu via Facebook
Dans la lignée de l’excellent ▻http://www.migrantas.org/web_migrantas_english.html (à Berlin aussi)
Bonne nouvelle ! Enfin !
Dans la série des pictogrammes qui maltraitaient les genres, On a vu de nos yeux vus le premier pictogramme sans ambiguité - à l’aéroport de Vienne, ce soir - qui montre bien que ce sont les papas qui torchent les bébés :
Ah oui ? Un papa qui torche un bébé et c’est la nouvelle du siècle ! Effectivement, c’est tellement rare qu’il faut l’épingler et la diffuser largement.
@houria c’est-à-dire qu’en 6 années d’observation dans ls aéroports et les gares, c’est le premier pictogramme du genre que je vois, donc oui, ça valait la peine de le montrer ! (et ça fait référence à un vieux débat démarré sur seenthis ici et là)
J’avoue que... j’ai en premier vu cela :
J’ai quand même fait un petit tour et regardé du côté des toilettes des hommes et...
J’ai vu cela au Musée de la science de Trento (très beau, par ailleurs) :
TIME(LESS) SIGNS Otto Neurath and Reflections in Austrian Contemporary Art
Austrian Cultural Forum London
▻http://www.acflondon.org/exhibitions/timeless-signs-otto-neurath-and-reflections-austri
C’est bien sur l’expo à ne pas rater ! Moi, je prendrai l’avion rien que pour voir ça. Cette expo est une sorte d’expo-miroir de celle de Vienne en Janvier 2013 “a tribute to otto neurath”
–-> ▻http://www.zeitlose-zeichen.at/timeless-signs.html
This multi-media exhibition, curated by Maria Christine Holter and Christopher Burke, features over 30 contributions from renowned contemporary Austria based artists, whose work is either directly or indirectly inspired by Neurath.
TIME(LESS) SIGNS
Otto Neurath and Reflections in Austrian Contemporary Art
Tuesday 30 September 2014, 6.30pm | Austrian Cultural Forum London
The exhibition continues until Friday 9 January 2015
What is the state of art in today’s visual language? Signs, icons and ideograms determine our daily communication; pictographic guidance systems dominate public space. Much of what we understand as visual language originates in Otto Neurath’s Vienna Method of Pictorial Statistics, later known as ISOTYPE (International System of Typographic Picture Education).
The exhibition presents various artistic strategies for using pictograms and pictorial statistics to visualise political, social, global or purely individual agendas. Original works by social economist and Vienna Circle philosopher Neurath (1882 Vienna – 1945 Oxford) will feature alongside contemporary pieces.
Participating artists:
Bernhard Cella, Ilse Chlan, Hazem El Mestikawy, Nikolaus Gansterer, Wilfried Gerstel, Christoph Hinterhuber, Barbara Höller, Christian Hutzinger, Martin Kaltenbrunner et al., Karl-Heinz Klopf, Matthias Klos, Lena Knilli, Clemens Kogler/ Karo Szmit, Richard Kriesche, Gert Linke, open3.at, Bernd Oppl, Olaf Osten, Hermann Josef Painitz, Waltraud Palme, Andrea Ressi, Christian Rupp, Sito Schwarzenberger, Niko Wahl, Michael Wegerer, Peter Weibel, Jun Yang and Anthony Burrill (UK).
http://www.acflondon.org/media/images/events/YANG_revolutions_still03_jpg_573x380_crop_q85.jpg
http://www.acflondon.org/media/images/events/Neurath-GW56-Cars_jpg_573x380_crop_q85.jpg
http://www.acflondon.org/media/images/events/KNILLI_2010_Mitgift_jpg_573x380_crop_q85.jpg
http://www.acflondon.org/media/images/events/CHLAN_patterns_of_economic_efficiency_2012_3_world_bank_jpg_573x380_crop_q85.jpg
Pour ceux que ça intéresse, voici la présentation complète du premier volet (viennois) de cet hommage à Otto Neurath.
▻http://www.k-haus.at/de/ausstellungen/archiv/10/77/zeit-lose-zeichen.html
▻http://www.k-haus.at/de/kuenstlerhaus/aktuell/ausstellung/242/zeit-lose-zeichen-goes-london.htm
–— ---
TIME(LESS) SIGNS / ZEIT(LOSE) ZEICHEN
Contemporary Art in Reference to Otto Neurath
13 December 2012 through 17 February 2013
Opening: Wednesday,12.12.2012, 7 p.m.
Pictograms, icons and apps, ... analog and digital signs determine our daily communication, visual guidance systems dominate public space. The most recent political revolutions have also relied on universally understandable pictograms. That which is state of the art in today’s media originates from Otto Neurath’s system of visualization: ISOTYPE (International System of Typographic Picture Education).
Otto Neurath: “The common citizen should without limitation be able to obtain information about all matters of interest ...”
Neurath, who?
Few contemporary users or designers of pictograms are aware of their historical roots – the method of picture education and pictorial statistics created by the Austrian social economist and philosopher Otto Neurath (b. 10. Dec.1882 in Vienna, d. 22. Dec.1945 in Oxford) and his German-born graphic artist Gerd Arntz (1900–1988).
The year 2012 commemorates the 130th anniversary of Otto Neurath’s birth. On this momentous occasion, art historian Maria Christine Holter and artist Barbara Höller are curating an exhibition investigating the significance of Neurath’s pictorial ideas for visual arts at present and for global communication. The show will focus on various strategies for using pictograms and pictorial statistic in realizing communicational aims, particularly in the clear and powerful visualization of political, social, global or purely individual agendas.
Artists:
Michael Bielicky (CZ) / Kamilla B. Richter (D), Anthony Burrill (GB), Bernhard Cella, Ilse Chlan, Erdal Duman (TR), Hazem El Mestikawy (EG), Harun Farocki (D), Wilfried Gerstel, Nikolaus Gansterer, Christoph Hinterhuber, Christian Hutzinger, Martin Kaltenbrunner, Karl-Heinz Klopf, Matthias Klos, Lena Knilli, Clemens Kogler / Karo Szmit, Richard Kriesche, Alexander Lehmann (D), Gert Linke, Stano Masar (SK), Kollektiv migrantas (D), open 3, Bernd Oppl, Hermann Painitz, Waltraud Palme, Palme / Richtex, Rodolfo Peraza (CU), Olaf Osten, Philippe Rekacewicz (F), Andrea Ressi, Christian Rupp, Sito Schwarzenberger, Societe Realisté (HU), Roman Tyc (CZ), Niko Wahl, Michael Wegerer, Peter Weibel, Jun Yang.
Related activities:
A TRIBUTE TO OTTO NEURATH – an interdisciplinary symposium, 24–25 January 2013
Presented in cooperation with the Institute Vienna Circle (IVC), University of Vienna, the symposium will address hot topics like open data government, signal ethics, art, cartography and info graphics, as well as the historical background of ISOTYPE.
Lectures by Peter Weibel, Christopher Burke, Elisabeth Nemeth, Günther Sandner,
Richard Kriesche, Kollektiv migrantas, Erwin K. Bauer, Sophie Hochhäusl, Philippe Rekacewicz, Carl-Markus Piswanger & Robert Harm (open3.at)
Plus sur Otto_Neurath :
►http://visionscarto.net/neurath-politics-of-orchestration
“The Battle Of The Sexes, Reduced To Pictograms”
▻http://www.fastcodesign.com/3034703/the-battle-of-the-sexes-reduced-to-pictograms
Chez Noun project : un troisième projet ouvert et collaboratif de conception d’icônes / #pictogrammes
▻http://thenounproject.com/johncaserta/collection/documentary
Brief :
This collection harkens back to the 1930s pictographic style, when icons were drawn as a type of early documentary photograph – descriptive of everyday actions, but more suitable for reproduction with the coarse printing presses of the era. This realistic (but not without humor, voice or wit) type of drawing is visible in Rudolf Modley and Gerd Arntz’s archive. We can get a sense of the culture by seeing a slightly simplified version of the hair, clothes, mannerisms and industrial objects of the time.
Pictograph Corporation Icons (Rudolf Modley)
I’m asking all of you — wherever in the world you may be — to help build a collection that documents people doing what they do today — whether funny, awkward, honorable or mundane. What I hope to see is a snapshot of contemporary global culture using a timeless pictographic style.
Think of them as documentary icons, akin to the small format photographs taken in the subsequent era by Henri Cartier-Bresson, Robert Frank, Diane Arbus, and Lee Friedlander.
Il y a même des indications pratiques sur comment travailler :
Ohlala, y’a encore du chemin sur les représentations sexuées. La femme est sur les toilettes ou danse le Twerk (parade sexuelle) tandis que monsieur fait du skate ou se promène.
Pour le coup, c’est assez simple de corriger la situation... le projet est ouvert :)
I’m asking all of you — wherever in the world you may be — to help build a collection that documents people doing what they do today — whether funny, awkward, honorable or mundane. What I hope to see is a snapshot of contemporary global culture using a timeless pictographic style.
Avec un peu d’humour, d’absurde et de dérision, on doit pouvoir proposer des pictos/miniatures un peu moins genrés, voire militants.
Vous avez des idées ?
Sérieusement, si vous avez des photos qui pourraient coller, mettez les ici, on peut se partager le boulot ;)
cc @tetue
Une application (libre !) en ligne pour construire sa police d’icônes, super simple.
Fontello - icon fonts generator
►http://fontello.com
▻https://github.com/fontello/fontello
Une application en ligne similaire à IcoMoon
▻http://seenthis.net/messages/234952
mais dont le code est libre sur github. Qui peut s’utiliser aussi en API à distance, soit avec le serveur par défaut, soit si on a installé sa propre instance.
Le principe est le même que pour IcoMoon :
– on sélectionne des jeux d’icônes (fournis par défaut + on peut en ajouter)
– à l’intérieur on sélectionne quelles icônes on veut vraiment
– on personnalise le nom de chaque icône
– on personnalise le code Unicode attaché à chaque icône
– on génère la police
#icône #icon #picto #webapp #font #développement #web #intégration #accessibilité #responsive #CSS
Clarisse Herrenschmidt, auteur de « Les trois écritures »
▻http://www.franceculture.fr/emission-des-idees-sous-les-platanes-clarisse-herrenschmidt-auteur-de-
▻http://www.franceculture.fr/sites/default/files/sons/2014/07/s28/NET_FC_096e1812-b95f-43a2-a248-9a433cae7e15.mp3
Clarisse Herrenschmidt, est anthropologue, (spécialiste de l’Iran ancien), philologue, linguiste et Historienne de la littérature, chargée de recherches au CNRS, et au Laboratoire d’anthropologie sociale au College de France, (langue, écriture et histoire).
Elle est l’auteur de Les trois écritures, #langue, #nombre, #code (Gallimard, NRF2007)
– A propos de la naissance du #texte : « Texte = tissage »
La #mathématique est un texte, une combinaison de signes, de nombres, une sorte de « tissage de ces signes ».
Pour mieux comprendre la naissance de l’ #écriture, il faut passer par le processus comptable (textes comptables, #stocks des denrées agricoles, blé, grain, etc..)
Puis glissements progressifs vers les tablettes pictographiques qui sont les outils de la #langue. Ces signes d’écriture sont directement reliés à la #pensée (Théorie du langage)
– Le #logogramme (ou #pictogramme, ou #idéogramme) : un signe = un mot. Il existe une harmonie entre le mot, le signe et la langue (une sorte de rapport symphonique, comme le dit si joliment Clarisse Herrenschmidt.
– A propos de la « magie » de l’écriture : le langage est invisible, c’est l’écriture qui le rend « visible »..C’est en quelques sorte : être le « magicien de soi-même », en passant de la parole à l’écriture, une façon de s’approprier l’écrit.
(c’est ce moment « magique » que vivent les enfants de 5/6 ans lorsqu’ils commencent à ma^triser l’écriture.
– A propos de l’encodage de la langue : les évolutions et « glissements » de la langue dans le temps. La langue et le niveau d’élocution « s’aplatissent » au fur et à mesure.
– A propos de l’écriture #monnétaire arithmétique, (découverte vers -620 avant notre ère en Grèce d’Asie, près d’Ephèse)...et qui glisse peu à peu vers l’ #informatique.
– L’invention de la monnaie frappée : quelques expressions en découlent : riche comme Crésus - C’est le pactole..
La monnaie frappée est d’abord un outil cognitif, un vecteur d’écriture non dédié au langage, mais aux #nombres.
– ..L’arrivée de l’Informatique, puis de l’écriture #numérique, est une véritable révolution : un signal donne un ordre, qui obtient un résultat (différence entre le signe et le signal). Ces signaux sont pauvres, mais ils permettent toutefois de traiter presque tout..
@rezo
J’aime aussi beaucoup la suite :
Après on critique. Bah je veux dire... évidement !... que bon.
Waow, elle est vraiment géniale ^^
Elle a fait une conf’ en 2013 à Devoxx, un évènement pour les développeurs (merci à @rlespinasse pour l’info).
En voici la vidéo :
▻http://www.devoxx.com/pages/viewpage.action?pageId=6818412
Oui ! Xavier de la porte est très bon, et Herrenschmidt semble comme une joyeuse tornade qui débarque dans l’émission :-)
@0gust1 Merci pour la vidéo :-)
Comment symboliser l’accessibilité numérique ?
▻http://romy.tetue.net/symbole-accessibilite-numerique
Confondu avec le handicap moteur, critiqué pour sa passivité, le symbole international d’accessibilité a été conçu pour les lieux physiques. Comment symboliser l’accessibilité numérique ?
Intéressant...
VISUAL VOCABULARY FOR REFUGEE PROTEST VIENNA
▻http://katherineball.com/Refugee-Protest
#protestation_visuelle #vocabulaire #réfugiés #asile #migration #Vienne #Autriche #visualisation #symbole #affiche #espace_public #pictogramme
cc @reka
Une application en ligne pour construire sa police d’icônes, super simple.
Présentation :
▻http://icomoon.io
et l’application :
▻http://icomoon.io/app
– On peut choisir parmi plusieurs sets de pictos, dont en licence libre, en tout des milliers de pictos possibles.
– Puis on sélectionne lesquelles on veut (on peut donc mélanger des icônes venant de plusieurs sources).
– On peut aussi importer ses propres images !
– On assigne ensuite chaque icône à un caractère unicode, on peut donc même choisir le vrai lorsqu’il existe (ce qui est souvent le cas).
– Hop on télécharge un ZIP avec tout, y compris la super CSS qui va permettre d’insérer l’icône uniquement avec class="icon-truc".
Encore plus fou :
– On peut créer un compte en ligne et sauver ses projets de font, pour les retrouver plus tard sans tout refaire à zéro.
– Et on peut même télécharger les projets en JSON sans aucune inscription, et les réimporter ensuite sans compte en ligne.
#icône #icon #picto #webapp #font #développement #web #intégration #accessibilité #responsive #CSS
Emblèmes religieux officiels pouvant être mis sur la tombe d’un soldat états-unien, affichés sur le site de l’administration en charge des anciens combattants.
Notez celui de l’athée, celui des vikings (le marteau de Thor), celui que l’administration n’a pas pu afficher pour des raisons de droit d’auteur, etc.
Line icon set for #UI & more // Infinitely scalable on Behance
▻http://www.behance.net/gallery/Line-icon-set-for-UI-more-Infinitely-scalable/10712283
Industry design trends
▻http://imperavi.com/blog/industry_design_trends
En 2012, chaque éditeur WYSIWYG était unique, mais la tendance est à l’uniformisation :
Aucun ne me convient : tous ont des « erreurs », dans le sens où aucun n’offre toutes les possibilités de mise en sens d’un texte (citation, titraille, définitions ?), offrant pourtant des possibilités de mise en forme superficielle (couleurs, retrait).
Je préfère l’approche et l’interface suggérée ici (cf. ▻http://seenthis.net/messages/158560) :
Il est quand même plus aisé de rédiger son texte au kilomètre, les mains sur le clavier, sans devoir s’interrompre tous les trois mots pour cliquer un bouton ! Bref, je préfère les raccourcis clavier aux clicodromes.
Ceci dit, cette approche n’exclut pas l’ajout d’une barre de boutons cliquables. Dans ce cas je préfère sans hésitation la dernière, celle de Redactor : simple, sans filets superflus, en une seule ligne. Ce qui me rappelle le relookage que j’avais fait de la barre typo pour SPIP 3 :
En y regardant de plus près, l’éditeur Redactor (dont il était déjà question ici : ▻http://seenthis.net/messages/108537) s’avère assez complet, ce que ne montrent pas les captures précédentes : titraille et citations sont bien disponibles, mais étonnamment cachées en sous-menu dépliant.
L’usage ne dément pas la simplicité apparente, c’est agréable. Par contre, c’est toujours aussi laborieux de faire une simple liste en WYSIWYG, là où des tirets à la ligne suffisent en texte brut… et je n’ai pas trouvé comment faire une liste imbriquée. Recalé ! Mais c’est très réussi pour les tableaux et l’insertion d’image : immédiatement visible, tout en restant simple. Nettement mieux que TinyMCE et CKEditor !
Râh, ça me donne envie de spécifier mon éditeur idéal !
Niveau ergonomie peut-être, mais ça génère encore uniquement du HTML, donc problématique quand on ne veut pas enregistrer ça (en base ou en fichier, enfin peu importe le mode de stockage).
Et sinon, la page d’accueil démarre par un livre d’Ayn Rand, #wtf ? :D
@Rastapopoulos : oui, mes considérations étaient d’ordre ergonomique, d’abord UI puis UX. Le format de contenu stocké est une autre problèmique, sans rapport direct, puisque non dépendant de l’interface (barre typo, syntaxe ou WYSIWYG). Faut pas tout mélanger.
@fil Oui, c’est vrai, tant que le HTML est propre, sans imbrications bizarres ni classes utilisées pour des fonctionnalités.
Mais je ne sais pas si c’est vraiment le format pivot idéal (pour générer « pas que du web », à partir de ce qui a été rédigé).
On abandonne la piste Markdown aussi alors, et on revient à du HTML uniquement ?
Bon ça ne résout pas la question des « modèles » (inclusion avec possiblement des paramètres), fonctionnalité qui n’est pas propre à SPIP, utilisée dans d’autres système (entre autre les wikimedias évidemment).
@tetue ce n’est pas mélangé, ça a une incidence et un rapport. En effet, un éditeur qui n’édite que du HTML, c’est beaucoup plus facile de faire du wysiwyg (ce dont on parle ici) puisqu’il édite directement ce qui sera produit au final. Alors que quand on veut un autre format, il faut forcément passer à un moment dans un compilateur (que ce soit côté client ou côté serveur) qui va produire le HTML permettant de voir (le what you see).
Ce qui fait que quand on décide que le HTML produit nous suffit, il ne reste « plus que » l’interface, l’ergonomie, à étudier. La partie technique étant à peu près résolue (mise à part pour les inclusions/modèles).
Il est initialement question d’interface, pas tant de l’éditeur, plus précisément de la « barre typo » (ici WYSIWYG, mais pas forcément, comme c’est le cas de SPIP, et générant… peu importe). C’est-à-dire des boutons, des pictos (symbolisant les enrichissements possibles), de leur nombre, leur répartition, leur graphisme, etc.
L’article cité montre l’évolution dernière de cet élément d’UI. On remarque une nette tendance à la simplification : moins de couleurs, moins de boutons, moins de lignes, d’encombrement, moins d’effets… Ce qui est frappant dans cette uniformisation, c’est : niveaux de gris avec accentuation du contraste négatif ayant pour conséquence de valoriser le signe, mais aussi la persistance d’un effet de relief discret, façon métal brossé, délicat, presque étonnant en ces temps de flat design. Ça n’est pas anodin.
Quels boutons mettre à dispo dans une barre typo ? Dans quel ordre les ranger ? Comment préserver la simplicité ? Faciliter l’usage ?
Peut-être que l’aspect bombé continue de faire consensus pour signifier que ce sont des boutons, qu’on peut appuyer dessus. Mais ça ne marche pas forcément comme explication vu que toute la barre est bombée, alors que seuls les endroits où il y a des pictos sont cliquables.
Oui, ça m’intrigue. D’autres exemples contemporains :
Chez Dotclear (avec syntaxe wiki2xhtml) :
Barre typo vue chez Opquast Community :
Aloha Editor (façon Word) :
Dans Redmine (avec Wiki formatting) :