#plénel

  • Après la tentative de #perquisition, conférence de presse à 16h, en direct de Mediapart | Le Club de #Mediapart
    https://blogs.mediapart.fr/la-redaction-de-mediapart/blog/040219/apres-la-tentative-de-perquisition-conference-de-presse-16h-en-direc
    #benalla #pitch #sais_4

    A partir de 16h, retrouvez en direct et en vidéo (sur Facebook Live et dans ce billet) la conférence de presse avec Edwy #Plenel, notre avocat Emmanuel Tordjmann et nos journalistes travaillant sur l’affaire Benalla (Marine Turchi, Antton Rouget et Fabrice Arfi)

  • Voyage en terres d’espoir - Histoire / Société
    http://www.editionsatelier.com

    /index.php ?page=shop.product_details&category_id=1&flypage=bookshop-flypage.tpl&product_id=676&option=com_virtuemart&Itemid=1

    « Ce voyage est une invitation à se promener sur le continent des obscurs. À partir à la recherche de celles et ceux dont le souvenir est effacé par les puissants et les dominants, qui réquisitionnent l’Histoire à leur profit. Bref, à aller à la rencontre de tous ces militant-e-s de l’égalité sans lesquels nos idéaux démocratiques et sociaux n’auraient jamais vu le jour. Or seul le Maitron, cet immense dictionnaire biographique du mouvement ouvrier et social, avec ses milliers de héros inconnus ou méconnus, donne librement accès à ces territoires oubliés, sur une longue durée qui va de 1789 à 1968.

    #bibliographie #plenel

  • La gauche, l’extrême droite et la xénophobie - Page 2 | Mediapart
    http://www.mediapart.fr/journal/france/111113/la-gauche-l-extreme-droite-et-la-xenophobie?page_article=2

    Si on laisse dire, qui plus est par un ministre, qui plus est chargé de l’ordre public, qui plus est se prétendant de gauche, que des populations ne sont pas intégrables à raison de leur origine, donc de leur apparence, de leur façon d’être, de leur mode de vie, on ouvre grand la porte que, de tout temps, l’extrême droite a voulu forcer. Celle du racisme, celle de la xénophobie, celle de la haine de l’autre, au cœur même de la société.

    #Manuel-Valls #gauche #Plenel

  • Une voix dissidente parmi le concert de louanges (thx @supergeante) :

    « La virginité virtuelle d’Edwy Plenel » (CQFD, mensuel de critique et d’expérimentation sociales)

    Quand on a été le taulier du Monde, quotidien tombé en pâmoison devant les puissances de l’argent, rien de tel qu’Internet pour se refaire une virginité. Edwy Plenel, fondateur du site d’information Mediapart, ex-pilier de la presse de connivence, s’est reconverti en prophète autoproclamé de l’indépendance des médias.

    http://cqfd-journal.org/La-virginite-virtuelle-d-Edwy

    « L’argent roi, l’argent fou, Tapie en est l’illustration depuis 30 ans. L’argent est au cœur de son parcours » , piaillait dans son discours d’introduction celui qui dirigea la rédaction du quotidien Le Monde , de 1996 à 2004. Avant de se lancer à l’assaut du Parti de la presse et de l’argent (le fameux PPA), il avait pourtant, avec Jean-Marie Colombani, PDG du groupe Le Monde, et Alain Minc, plagiaire et président du conseil de surveillance du Monde, invité les puissances économiques et industrielles à s’asseoir à la table du quotidien de référence. Avec son « frère [1]  » et son « ami [2]  » , Edwy Plenel a accueilli à bras ouvert la holding Artemis de François Pinault, du groupe Pinault-Printemps-Redoute – elle était actionnaire indirecte du journal. Sous leur règne, Publicis, la boîte de pub de Maurice Lévy, possédait la régie du groupe Le Monde, M Publicité, à hauteur de 49 %. De plus, en 1999, Hachette, propriété du marchand d’armes Lagardère, a acquis 34 % du Monde interactif, filiale multimédia du quotidien. Puis, en 2005, Lagardère entrera dans le capital de la holding Le Monde SA. Et c’est le même trio qui, en 2001, a soutenu un projet d’entrée en bourse du quotidien – qui finalement avorta. Cette évolution a « constitué un “putsch […] perpétré tout en douceur” [3]. Elle a rogné significativement le pouvoir des journalistes sur leur journal en permettant une emprise toujours plus grande des actionnaires externes » , constatait en 2007 le site de critique des médias Acrimed [4]. Alain Rollat, journaliste du Monde mis à la porte en 2001, enfonce le clou dans son livre Ma Part du Monde [5], avançant que la direction du journal œuvra « à des restructurations juridiques qui ont mis Le Monde sous la dépendance de ses banquiers, au détriment de la Société des rédacteurs » . De quoi inspirer Bernard Tapie dans sa gestion de La Provence…

    #Plenel #Mediapart #Le_Monde #PPA #presse

  • Inversion des rôles :
    le procureur (#Plénel) plus coupable que le prévenu (#Cahuzac), car le prévenu, fort de la présomption d’innocence, apparait comme une victime potentielle d’une injustice, tandis que le procureur montre sa méchanceté d’accusateur acharné ?
    C’est ce que laisse sous-entendre les propos ci-après : si le procureur se trompe (dans le cadre de sa fonction), il devra encourir une peine symétrique à celle que le prévenu doit accomplir dans le cadre de son délit. Ou comment rendre équivalent une erreur d’appréciation (même guidée par la malveillance) et un acte d’escroquerie (même réalisé sans malveillance apparente)
    (faut il rappeler qu’une dissimulation fiscale est une escroquerie envers l’Etat, et donc un acte d’escroquerie envers chaque citoyen(ne) ).

    Voilà un exemple où l’émotion prend le pas sur la raison.

    Hier, 20 mars, jour du printemps, à l’occasion de la démission de Jérôme Cahuzac de son poste de ministre du Budget, Edwy Plenel était l’invité du Grand Journal de Canal+ en tant que « tombeur » du responsable politique. Le chroniqueur Bruno Donnet avait choisi comme « petit mot » celui de « responsabilité ». Il lui demanda, Cahuzac ayant pris ses responsabilités en quittant son poste, si, dans l’hypothèse où l’instruction se soldait par un non-lieu, lui, Edwy Plenel, prendrait aussi ses responsabilités... en démissionnant.

    Pour les médias, pour la télévision, seule la victime est un « bon client ». Cela conduit à sacraliser la parole de la victime, à la sanctuariser. Cela tend à déséquilibrer naturellement la balance de la justice. On l’a vu avec la parole de l’enfant dans l’affaire d’Outreau et avec celle de la femme dans l’affaire DSK. Qui était la victime, hier soir, dans le cas de Cahuzac. Pour Edwy Plenel, c’était nous tous, le peuple, la démocratie, et lui, le journaliste, en était le porte-parole. Il était supposé incarner la parole de la victime. C’est peut-être ça qui a jeté un froid : on n’a pas envie, dans cette affaire, d’être considérés comme des victimes et quand bien même ce serait le cas, personne n’a envie de s’exprimer par la voix d’Edwy Plenel, même s’il devait être un jour démontré que, par l’exercice de son métier difficile, il aura joué un rôle dans la sauvegarde de notre démocratie.

    http://www.lepoint.fr/invites-du-point/nathalie-rheims/cahuzac-la-presomption-d-innocence-et-la-tele-21-03-2013-1643705_1452.php

    Je tique là dessus
    « on n’a pas envie, dans cette affaire, d’être considérés comme des victimes »
    Pourquoi ? Parce que l’on pratique tous la dissimulation fiscale et par conséquent cela signifie que si il y a victimes cela fait de nous des coupables ?
    Ou simple rejet de l’autorité judiciaire , de l’inquisition d’un procureur ? d’un délateur ?

    ça mériterait une bonne psychanalyse collective cette histoire...