“You don’t look autistic”: On stereotypes and late diagnosis
What is it like to be autistic? And why are a growing number of women receiving late diagnoses for autism? After spending most of her life not knowing she was autistic, our writer describes her experience of being neurodivergent. In this honest and original piece, she explores the discrimination she faces because of preconceptions, stereotyping and a lack of adequate support.
▻https://lacuna.org.uk/equality/autistic-stereotypes-late-diagnosis-2
#diagnostic #santé #maladie #stéréotypes #autisme #femmes #femmes_autistes #autisme
La suite de :
Fil de discussion autour de la #Loi_de_programmation_pluriannuelle_de_la_recherche (#LPPR) : informations autour du contenu de la loi...
]]>Human hippocampal neurogenesis drops sharply in children to undetectable levels in adults | Nature
▻https://www.nature.com/articles/nature25975
Editorial Summary
No new neurons in adult humans
Previous lines of evidence have suggested that neural precursors are present in adult humans and continue to generate new neurons in the hippocampus even after full maturation. Here, Arturo Alvarez-Buylla and colleagues re-visit that concept and come to a different conclusion. Using a more comprehensive and larger set of samples of human hippocampus than those analysed in previous studies, the authors find evidence for the production of new neurons early in life, but note that hippocampal neurogenesis rates decline rapidly within the first few years of childhood. The authors were unable to detect the production of any new neurons in adults. The same patterns of neurogenesis were observed in rhesus macaques. show less
]]>De #villes en #métropoles, #Tôkyô, métropole #japonaise en #mouvement perpétuel :
▻http://geoconfluences.ens-lyon.fr/doc/typespace/urb1/MetropScient3.htm
Publié le 20/09/2006
Vu le 08/06/2018
Cet article de Natacha Aveline du bureau #CNRS #Japon Corée à Tôkyô, Institut d’#Asie #orientale, publié sur le site #géoconfluences, traite du mouvement perpétuel de Tokyo de différents points de vue. Elle rappelle d’abord l’importance #démographique de la ville, notamment par rapport au #monde et ses #lieux les plus peuplés tout en invoquant les raisons #économiques de cette #croissance par rapport à l’#histoire de la ville. Elle précise que la ville et la #campagne sont difficilement discernables et nous pouvons en conclure que la #périurbanisation doit contribuer non seulement à l’importance démographique de la ville, mais aussi à tous les #changements qui s’y opèrent, la périurbanisation progressant sans cesse sur le #territoire : c’est ce qu’elle évoque par la notion d’#émiettement #urbain. Malgré les perspectives actuelles en matière d’#économie et de #démographie, ce phénomène pose toujours #problème.
Près de 80% des Japonais vivent en ville. […] Le #gigantisme urbain atteint sur l’#archipel des niveaux inégalés en Europe. Onze villes ont plus d’un #million d’habitants (2006), dont onze se regroupent dans quatre grandes #conurbations qui structurent un cordon urbain quasi-continu de mille kilomètres s’étirant le long du littoral Pacifique de Tôkyô à Fukuoka. Deux se distinguent par leur #démesure : Tôkyô, première #agglomération de la planète avec 34 millions d’habitants, et Ôsaka, la dixième avec 17 millions d’habitants, cumulent un produit régional brut de quelque 1 850 milliards de dollars, équivalent à celui de l’Italie et des Pays-Bas réunis.
Si la #macrocéphalie est un phénomène commun à bien des pays d’Asie, la structuration en #mégalopole […] est plus spécifique au Japon. Elle résulte des choix industriels effectués dès l’époque Meiji (1868-1912), mais aussi de l’#expansion singulière d’un espace #urbanisé d’autant plus difficile à cerner que la ville ne s’est jamais opposée à la campagne, dans un pays où seuls les châteaux étaient fortifiés à l’époque féodale. Le phénomène d’émiettement urbain atteint ainsi une intensité sans équivalent dans les autres grands pays #industrialisés. Il a été, au Japon, une cause majeure de pathologies pendant la Haute Croissance et reste source de #problèmes aujourd’hui, en dépit de perspectives économiques et démographiques radicalement nouvelles.
Ainsi, différentes #questions sont soulevées, d’abord celle des « logiques d’#urbanisation », elle évoque alors « l’#entremêlement de #fonctions #rurales et urbaines dans les #périphéries et […] les #zones #centrales » desquelles résulte « la faible hauteur des #constructions » et l’« #étalement du bâti » qu’elle nuance légèrement en rappelant la #verticalisation de Tôkyô entre 1980-1990 « sous l’effet des multiples opérations de #rénovation urbaine » ; et qui provient en partie de « la faible #intervention de l’#État dans la #gestion urbaine, le rôle majeur qu’ont joué à cet égard les #opérateurs #ferroviaires #privés, la toute-puissance de la propriété #foncière et l’extraordinaire #plasticité du bâti. »
Elle donnera le la précision sur cette « faible intervention de l’État » en évoquant la #désorganisation des villes, les conséquences de l’#occupation #américaine et les problèmes qui en découle quant à la part de #responsabilité donnée aux #pouvoirs #publics.
Elle donnera également par la suite plus de précision quant aux réseaux ferroviaires privés, leur expansion et leur influence sur la #structure urbaine, ce qui semble pouvoir lui permettre, plus tard, d’aborder la question « statut du foncier dans l’économie #japonaise » et ainsi des rénovations et du #morcellement et de l’aspect #juridique des #parcelles #cadastrales.
Elle en déduit de la valeur accordée au #sol et non aux constructions, ce qui lui permet d’expliquer le phénomène de la plasticité du bâtit.
Ainsi, elle évoque enfin les nouvelles #difficultés en #ville avec « l’arrêt de la hausse quasi-interrompue des prix fonciers depuis 1955 et mis un terme à la #croissance exceptionnelle qui soutenait l’économie ». Ce qui lui permet d’évoquer la nouvelle politique de #revitalisation des villes avec le "#renouvellement urbain" (toshi saisei) […] des "#périmètres #spéciaux d’#intervention d’#urgence" […] (Tôkyô, Osaka et Nagoya) », de manière à stabiliser les #prix pour la #spéculation ; le choix de #développer le #commerce et la #restauration et l’utilisation des « #friches #ferroviaires et #industrielles. »
]]>Un court article de vulgarisation sur ce qu’on entend par plasticité cérébrale, c’est-à-dire la transformation des connexions synaptiques. Plus précisément, l’article en évoque 3 formes, relatives au développement de l’individu :
① des activités électriques « spontanées » qui effectuent un premier tri dans un #cerveau « hyper-connecté »
② une phase plus tardive, liée aux activités sensorielles et motrices
③ la plasticité cérébrale liée à l’expérience :
La troisième forme de plasticité est dépendante de l’expérience. C’est le type de plasticité qui nous est le plus familier car elle affecte de nombreux aspects de notre vie quotidienne et est à la base de notre mémoire et des nombreux changements comportementaux qui nous affectent. Dans ce cas, l’expérience modifie les connexions synaptiques déjà existantes : par exemple, la mémorisation n’entraine pas simplement une addition de nouvelles synapses, mais plutôt un réarrangement de connexions nerveuses pour coder et emmagasiner les apprentissages et souvenirs. La plasticité cérébrale est aussi utilisée par le cerveau lors de traumatismes ou lésions cérébrales. Dans un premier temps, les tissus nerveux trop abimés sont détruits, puis un phénomène de plasticité réorganise les connexions environnantes afin de tenter de suppléer aux fonctions défaillantes.
La plasticité cérébrale, par Yesser Hadj Belgacem – Cahiers des Fellows de l’IMéRA
▻https://imera.hypotheses.org/506
Men Are Better At Maps Until Women Take This Course - Issue 32 : Space
▻http://nautil.us/issue/32/space/men-are-better-at-maps-until-women-take-this-course
Sheryl Sorby, a professor of engineering education at Ohio State University, was used to getting A’s. For as long as she could remember, she found academics a breeze. She excelled in math and science in particular, but “I never thought there was a subject I couldn’t do,” she says matter-of-factly. So when she started engineering school, she was surprised to struggle in a course most of her counterparts considered easy: Engineering graphics. It’s a first-year course that sounds a bit like a glorified drawing class to a non-engineer. The hardest part is orthogonal projection, a fundamental engineering task. Given a top, front, and side view of an object, engineers must be able to mentally synthesize two-dimensional representations into a three-dimensional object. It’s easy—if you’re good at (...)
]]>Un vélo inversé impossible à utiliser - La boite verte
▻http://www.laboiteverte.fr/un-velo-inverse-impossible-a-utiliser
▻https://youtu.be/MFzDaBzBlL0
C’est comme faire du vélo, ça s’oublie pas…
]]>Au delà des #stéréotypes de #genre et du #déterminisme_biologique
Le #cerveau en perpétuel mouvement - Sciences - France Culture
▻http://www.franceculture.fr/emission-continent-sciences-le-cerveau-en-perpetuel-mouvement-2015-10-
« Nos cerveaux, tous pareils, tous différents »
un entretien avec Catherine Vidal, neurobiologiste.
]]>Hugues Duffau : « Le #cerveau se répare lui-même » - L’Express
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/100573777897
Dans une passionnante interview pour l’Express, le spécialiste international du cerveau et de la chirurgie éveillée, Hugues Duffau revient en détails sur ses découvertes et dynamite l’idée de la cartographie du cerveau, c’est-à-dire que des zones aient des fonctions spécifiques, à l’image de l’ère de Broca, sensée être le siège de la parole.
"J’ai constaté qu’il n’existait pas deux cerveaux semblables. Selon la localisation et la taille de la tumeur, des fonctions peuvent se déplacer ailleurs dans le même hémisphère, ou bien passer d’un hémisphère à l’autre. La plasticité du cerveau, c’est-à-dire sa capacité à réorganiser les connexions entre les neurones, est plus phéno - ménale encore qu’on ne l’imaginait." (…) “Le cerveau ne se découpe pas en zones géographiques qui commanderaient chacune une fonction. Cette (...)
]]>Sur ce nouveau #blog de #philosophie, une Interview with Catherine Malabou - Groundwork
►http://groundworkphilosophy.wordpress.com/2012/02/17/interview-with-catherine-malabou
So in philosophy a groundwork is never a groundwork, it’s always a re-grounding work.
#hegel #heidegger #deleuze #raison #fondement #ontologie
Où C. Malabou, ex MC de Nanterre désormais au CRMEP de la Kingston University de Londres ►http://fass.kingston.ac.uk/research/crmep, que vient d’ailleurs de rejoindre E. Balibar (encore Nanterre), précise ses rapports avec #Derrida, son concept de #plasticité et ses recherches actuelles, en rapport notamment avec celles de Q. Meillassoux, qui lui est une sorte de star à l’ENS Ulm.
what I’m trying to do has some relation to that, to the extent that a radical approach to philosophy has to precisely put everything between parentheses and say, ‘what is an absolute beginning?’ This is Meillassoux’s question. At the same time, I’m not sure that the problem is finitude. I’m not sure that the problem is the emergence of man into that.
The first thing I can say about plasticity and politics is about abolishing the frontier between symbolic and biological life. So it will be about a kind of awareness, a biological being. Not bodily beings but biological. Producing the subjectivation of biological life. Which is taking into account, really becoming aware of, the epigenetic fashionability of our brain and of our body. This is beyond what we can be aware of, what we hear, listen to and read. We are imprinted by so many other processes and we are trying to be aware of that and understand what it means. Today the conception of our physical bodily existence as only proceeding from a genetic code is absolutely obsolete. We are made of, by epigenetic factors and this I think is very important for us to be aware of. Because what is a political subject? I think here again I agree with Meillassoux that it can’t be the classical finite subject. In too many contexts the political subject is the Kantian subject, a finite subject that is limited. I have nothing against limits but perhaps limits have to be thought of differently.
Petite référence à la querelle #Freud / #Jung et au film A dangerous method à la fin (film pas mal j’ai trouvé, dans sa capacité à mettre en scène des problèmes théoriques importants en #psychanalyse, en gros à raconter une correspondance sans que ce soit chiant)
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